AccueilIntelligence territoriale et culture du développement

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Intelligence territoriale et culture du développement

Territorial intelligence and culture of development

Salerno 2009 - Conférence internationale d'intelligence territoriale

Salerno 2009 - International Conference of Territorial Intelligence

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Publié le vendredi 17 juillet 2009

Résumé

Cette manifestation sera la septième conférence internationale annuelle d’intelligence territoriale. La première, organisée à Besançon en 2002, a été l’occasion de constituer le Réseau européen d’intelligence territoriale à partir du réseau utilisateurs de la méthode Catalyse qui s’était progressivement développé en Europe depuis les années 90. Trois conférences ont eu lieu avant l’action de coordination du réseau européen d’intelligence territoriale, soutenue par le sixième Programme cadre de recherche et de développement technologique de l’Union européenne, dans la thématique « Citoyenneté et gouvernance dans la société de la connaissance » de mars 2006 à février 2009. Trois conférences internationales ont eu lieu dans le cadre de la caENTI à Alba Iulia (Roumanie, 2006), Huelva (Espagne, 2007) et Besançon (France, 2008).

Annonce

La conférence de Salerno, du 4 au 7 novembre 2009, correspond à un renouveau du réseau ENTI. Le succès de la conférence de Besançon, avec 250 participants venant de 22 pays différents, dont la moitié de participants extérieurs à la caENTI et 30 extérieurs à l’Union Européenne, a manifesté la volonté de pérenniser et de développer les acquis de la caENTI en proposant un projet de réseau d’excellence à l’occasion du prochain appel à projet du 7e programme cadre de recherche de l’Union Européenne. Ce sera notamment le temps fort pour discuter et enrichir les axes de recherche résultant de la caENTI : l’information territoriale pour le développement durable et la gouvernance territoriale équitable.

La conférence de Salerno abordera un thème nouveau dont l’importance n’a cessé de croître ces dernières années : la place de la culture dans le développement territorial durable.

La caENTI a progressivement défini l’intelligence territoriale comme la science dont l’objet est le développement durable des territoires et dont le sujet est la communauté territoriale. Elle met en relation les connaissances pluridisciplinaires sur les territoires et sur leurs dynamiques.

Elle renforce les capacités des communautés territoriales à maîtriser leur développement de façon équitable et durable.

Elle améliore le partage de l’information territoriale et diffuse ses méthodes et ses outils d’analyse grâce aux technologies de l’information et de la communication.

Elle valorise la gouvernance, les modes de décision et les pratiques partenariales et participatives ainsi que la recherche-action qui contribuent au développement équitable et durable de la communauté territoriale.

Elle ambitionne à ce titre de réaliser pour, avec et par les acteurs territoriaux des outils leur permettant d’élaborer, de gérer et d’évaluer des projets partenariaux et participatifs de développement durable des territoires.

L’intelligence territoriale, telle qu’elle est définie par notre groupe de recherche, doit être capable de concevoir des formes de promotion du développement des ressources disponibles qui ne doivent pas seulement ne pas altérer, mais même augmenter le patrimoine historico-environnemental tout en étant conformes à la culture dont le principal objectif est de sensibiliser aux besoins immatériels, conçus comme transnationaux.

L’un de ces aspects, présent dans les sociétés post-industrielles, concerne le concept de développement. En effet, on ne peut pas, comme on l’a fait jusque dans un passé récent, le définir de manière unique comme une forme de production industrielle à grande échelle. Ce nouveau concept, et c’est ici que réside le changement, implique la convergence des différentes formes de ressources non matérielles, et en particulier des ressources humaines. Une culture qui choisit des valeurs non matérielles, notamment concernant le patrimoine artistique et les paysages, nourrit le secteur touristique dans ces multiples dimensions.

Nous ne soutenons cependant pas qu’il est possible de se passer de développement économique et donc de ne conserver que les organisations qui ont marqué la modernité en y imprégnant l’importance des biens immatériels. Cependant, nous souhaitons souligner la contribution de ces ressources immatérielles au développement général. D’une manière scientifique et formelle, nous voulons définir la limite entre le développement durable dans une zone socio-culturelle donnée et le développement économique tout court.

Le développement des ressources culturelles disponibles sur un territoire doit permettre de sélectionner et de promouvoir celles qui peuvent répondre aux besoins d’une population hétérogène à travers les différentes dimensions de la mondialisation. En même temps, elle permet aux différences de ne pas devenir un obstacle à l’affirmation de ces besoins, mais au contraire de souligner le patrimoine d’un territoire.

L’intelligence territoriale doit concilier les valeurs post-matérielles avec celles de la culture de la société industrielle en soutenant le développement des ressources des territoires. Cette discipline reconnaît les qualités implicites et l’unicité de ces dernières et rend leur utilisation attractive pour les sociétés glocales hétérogènes.

Ce type de cultures, dont le principal objectif est de sensibiliser au développement, doit permettre d’émanciper les populations d’une vision focalisée uniquement sur les ressources disponibles, en promouvant les traditions représentant les particularités d’un territoire. Par ailleurs, si l’on considère la multiplicité des territoires qui constituent une société, cette dernière doit permettre l’expression des différences qui permet d’avancer.

En conséquence, parmi les compétences dévolues à l’intelligence territoriale, l’action a une importance particulière. Elle favorise un développement global de la culture spécifique qui souligne les différences entre les éléments externes et endogènes d’un territoire et ne cède pas aux tentations d’exclusion et de séparation.

Les communications seront divisés entre quatre thèmes :

Thème A : État de l’art de l’intelligence territoriale

L’intelligence territoriale est un concept émergent et fortement polysémique qui s’efforce de répondre aux profonds changements auxquels notre planète et nos territoires sont confrontés depuis le milieu des années 1975. Ces mutations résultent de la conjonction du passage de l’économie industrielle à la société de la connaissance, de l’épuisement des énergies fossiles et de la prise en compte des déséquilibres écologiques majeurs. Elles mettent en cause à la fois les déséquilibres sociaux et territoriaux présents sur notre planète, le modèle de développement exclusivement économique et la gouvernance des territoires.

Face à la diversité des conceptions ENTI n’a pas cherché à donner une définition exhaustive de l’intelligence territoriale mais plutôt à proposer une définition répondant à ces enjeux et situant les objectifs du réseau par rapport à d’autres acceptions et à des concepts voisins. Notre conception distingue principalement l’intelligence territoriale de l’intelligence économique et du concept anglo-saxon de développement communautaire.

Elle ne confond pas le territoire avec un produit, un marché ou une entreprise. Elle intègre à côté de l’économie le social, l’environnement et la culture. Elle consolide les bénéfices et les coûts sociaux, environnementaux et culturels dans le budget d’un projet. Elle fait une place à la coopération comme régulateur de la concurrence.

Comme le développement communautaire, elle “fait référence à des changements volontaires dans, par et pour la communauté.” [SANDU, 2005]. Elle se fonde toutefois sur l’usage des technologies de l’information indispensable pour partager l’information et pour travailler de façon coopérative.

La conférence sera l’occasion d’approfondir cette analyse et de la confronter avec d’autres approches, y compris contradictoires. Elle doit permettre de situer l’intelligence territoriale par rapport à d’autres concepts proches, comme le développement durable ou le co-développement. Elle enrichira l’état de l’art de l’intelligence territoriale en matière de recherche et de pratiques à l’échelle planétaire.

Thème B : De la connaissance des territoires à l’action territoriale (connaissance, information et indicateurs, méthodes d’analyse, outils de traitement, processus décisionnel)

Les réflexions que la caENTI avait engagées sur les méthodes scientifiques et sur les outils génériques comme source d’inspiration pour la conception des outils pour les acteurs ont progressivement montré l’importance primordiale de la connaissance sur les territoires et de l’information territoriale. Parallèlement, la formalisation de spécifications pour ces outils a évolué vers l’intégration des outils d’analyse multicritère et d’analyse spatiale suivant le flux de la collecte des données à la publication des résultats.

Ce flux s’inscrit dans le processus qui va de la connaissance d’un territoire à l’action. Il passe par l’information territoriale, la compréhension du territoire comme système complexe et de ses dynamiques, l’élaboration de scénarios de développement, la décision et l’action.

Ce thème recouvre donc de nombreuses possibilités de communications.

La réalisation d’une première base européenne d’indicateurs territoriaux articulée avec un système de web mapping a montré les nombreuses limites que présente encore l’information territoriale. Il y a peu de données homogènes à l’échelle de l’Europe. Nous manquons d’indicateurs diversifiés appropriés à une approche intégrale, notamment des indicateurs sociaux et environnementaux indispensables au développement durable. Ces indicateurs sont au mieux disponibles au niveau communal, ils ne sont pas accessibles au niveau des territoires à la fois infra et multi communaux dans lesquels s’inscrivent les interventions des acteurs. Enfin la recherche est plus souvent orientée sur les indicateurs de compétitivité que sur ceux qui intéressent les territoires en crise ou la protection des populations vulnérables.

Si les méthodes fondamentales et les outils génériques (comme les SIG) sont avant tout des moyens d’analyse de l’information territoriale, la caENTI n’a pas épuisé son projet d’inventaire. L’annuaire européen des équipes de recherche sur le territoire a confirmé la diffusion limitée et inégale de ces outils au sein des sciences humaines.

Au niveau des outils pour l’action, la caENTI a contribué à l’amélioration des outils Catalyse. Il reste cependant de nombreuses opportunités à ce niveau pour diversifier les outils pour, avec et par les acteurs, ainsi que pour décrire l’intérêt des technologies de l’information et de la communication dans l’articulation entre la connaissance et l’action. Les liens sont nombreux à ce sujet entre ce thème et le suivant.

Thème C : Gouvernance territoriale, populations vulnérables et territoires en tension

En effet le processus qui va du rassemblement des connaissances et de l’information sur les territoires à l’action implique la gouvernance de la communauté territoriale et l’animation d’un partenariat d’acteurs. Dès leur conception au début des années 90, les outils d’intelligence territoriale Catalyse ont intégré les principes de participation, d’approche globale et de partenariat. Ils sont conçus pour des partenariats territoriaux multisectoriels, comme les partenariats de développement du programme Européen d’innovation et de cohésion sociale Equal.

La caENTI a établi que la gouvernance territoriale est confrontée aux coûts sociaux et environnementaux du développement économique. C’est vrai dans les régions en crise, mais également dans les territoires qui bénéficient apparemment d’un fort développement. La gouvernance territoriale répond aux coûts de la globalisation par la constitution de réseaux publics, privés et associatifs, réseaux coopératifs qui régulent le secteur concurrentiel. La situation des territoires en crise et des populations vulnérables constitue des cas aigus qui appellent des solutions appropriées.

La Lettre de Qualité de la caENTI a inventorié de façon plus exhaustive les principes qu’implique le développement durable, en particulier dans le cadre de la recherche-action, lieu d’innovation pour la société de la connaissance. Elle a débouché sur deux recherches, l’une sur les méthodes participatives, l’autre sur les opportunités et les risques liés à l’usage des technologies de l’information et de la communication dans les projets de développement durable.

Les outils Catalyse ont été repensés en fonction de leur capacité à répondre aux usages des partenariats intersectoriels en matière de partage de l’information, d’analyse coopérative et d’information des habitants. C’est un thème qui intéresse conjointement les chercheurs et les acteurs territoriaux.

Un annuaire de projets d’observation territoriale coopérative dans le cadre de partenariats de développement durable est un projet de ENTI qui peut être enrichi d’analyses d’expériences.

Thème D : Culture, tourisme et développement durable des territoires (la culture, quatrième pilier du développement durable, gouvernance et diversité culturelle, patrimoine et développement, accès à la culture et développement culturel, tourisme culturel et développement durable)

C’est un nouveau thème largement ouvert.

La perspective la plus générale concerne les rapports entre la culture et le développement durable. Le développement durable est souvent présenté comme ayant trois piliers : économique, social et environnemental. La culture n’en constitue-t-elle pas un quatrième ? Pouvons-nous occulter la dimension culturelle dans un projet de développement durable ? Comment la culture contribue-t-elle au développement durable des territoires ?

Ce thème renvoie à une liste de questions qui n’est pas limitative :

  • La relation entre la gouvernance territoriale et la diversité culturelle.
  • La fonction du patrimoine dans le développement durable d’un territoire.
  • L’accès à la culture, le développement culturel du territoire,
  • La contribution du tourisme culturel au développement durable des territoires. Quelle est la contribution du tourisme responsable au développement durable ? Quelles sont les formes de tourisme qui contribuent réellement au développement durable d’un territoire ?
  • La question de l’éducation au développement durable peut être classée dans ce thème.

Modalités de soumission des propositions de contribution sur le site de la conférence :

Communications can be presented in a presentation, a poster or a tools demonstration (in a computering room) form.

Communications propositions should be sent by the means of ConfTool, the conference tool of online management, following the procedure available at the following address: http://www.territorial-intelligence.eu/salerno2009/

Communication proposals should be sent in the form of a 800-word summary in English (that can be accompanied by a summary in Italian and/or French), indicating at the beginning:

  • The title
  • The author and his/her professional contact
  • The submitted form (presentation, poster or demonstration)
  • The theme treated: A , B, C or D.

The Scientific Committee will either accept the submissions as they are or ask for improvements or suggest a different form.

The Scientific Committee will be in charge of dividing the presentations in workshops. According to the workshops, presentations will be either orally presented by the author or synthetically presented by the workshop moderator.

All accepted communications, in the form of presentation, poster or demonstration will be digitally published  when the conference reception will take place. Consequently, the authors will have to provide, in addition to the summary transmitted at the proposition time:

  • For the presentations: the text in less than 7 pages and the slides
  • For the posters: the poster and an accompaniment text (maximum 4 pages)
  • For the demonstrations: an accompaniment text (maximum 4 pages) and possibly a poster.

They will be published in the Conference acts (7 pages for the presentations , 4 pages for the posters and demonstrations). It will be possible to complete the texts provided before the conference after the debates. The editorial committee of the “International Journal of Territorial Intelligence” will select the best communications.

Communication language is English. All the documents should be provided in English. They can be provided in addition in French and/or in another language so as to favour a better communication. We recommend to draft the « PowerPoint » presentations in two languages, English or French and Italian. Communications will be authorised in the author’s language if the presentation is written in English and in the author’s language. All the documents must be provided by the author, in all the languages he/she wants, properly written (please do not use online public tools of automatic translation). The conference organization will not provide any translation.

September, 10th 2009: Deadline for response to the call for papers (800 words summary).

International Scientific Committee

Coordination :

  • Natale AMMATURO, professor of Sociology, University of Salerno, Italy.
  • Csilla FILO, assistant professor in communication and civilisation, University of Pécs, Hungary.
  • Jean-Jacques GIRARDOT, lecturer in economics, caENTI scientific coordinator, ThéMA “Théoriser et Modéliser pour Aménager” UMR 6049 CNRS and Université de Franche-Comté, France.
  • Cyril MASSELOT, lecturer in information and communication science, Laboratory of Semio-Linguistic, Didactic and Computer Science EA 2281 of the Université de Franche-Comté, France.
  • Blanca MIEDES UGARTE, associate professor of labour economics and active employment policies, University of Huelva, Spain.
  • Mihai PASCARU-PAG, lecturer in sociology, University of Alba Iulia, Romania.

Membres (liste en cours d’actualisation):

  • Yves ALPE, professor in education sociology, Université de Provence, France.
  • Andrea BARBIERI, senior researcher, IRPPS-CNR, Salerno, Italy.
  • Horacio BOZZANO, professor of geography, University of La Plata, Argentina
  • Manuela DE PAZ BAÑEZ, professor of applied economics, Universidad de Huelva, Spain.
  • Marie-Hélène DE SEDE MARCEAU, professor of geography, Université de Franche-Comté, France.
  • Jean-Marie DELVOYE, former director of the Observatory Optim@, Belgium.
  • Guénael DEVILLET, deputy Manager of the SEGEFA, University of Liège, Belgium.
  • Edwige DUBOS-PAILLARD, , lecturer in geography, Université de Franche-Comté, France.
  • Philippe DUMAS, professor of information and communication sciences and technics, Univerity of Toulon, France.
  • Jean-Luc FAUGUET, lecturer in education sociology, Université de Provence, France.
  • Julia FERNANDEZ QUINTANILLA, director of the ACCEM, Spain.
  • Serge GAGNON, professor of geography, Université du Québec en Outaouais, Canada.
  • Luc GRUSON, professor of management, Université de Franche-Comté, France.
  • Antonio IANNACCONE, professor in psychology, University of Salerno, Italy.
  • Jean-Guy HENCKEL, director of the “Jardins de Cocagne” Network, France.
  • Ioan ILEANA, professor of computer science, University of Alba Iulia, Romania.
  • Alain LEGARDEZ, prodessor of education sciences, Université de Provence, France.
  • Emiliana MANGONE, researcher in sociology, University of Salerno, Italy.
  • Christiane MARECHAL-RULOT, director of the Intermunicipal Observatory Intégra, Belgium.
  • Alexandre MOINE, professor of geography, Université de Franche-Comté, France.
  • Serge ORMAUX, professor of geography, director of the laboratory ThéMA “Théoriser et Modéliser pour Aménager” UMR 6049 CNRS and Université de Franche-Comté, France.
  • Dolores REDONDO TORONJO, lecturer of applied economics, University of Huelva, Spain.
  • Tullia SACCHERI, associate professor in sociology, University of Salerno, Italy.
  • Claude-Étienne SISSAO, lecturer in economics, University of Ouagadougou, Burkina Faso
  • Philippe SIGNORET, research ingeneer in Geography, Univerité de Franche-Comté, France
  • Celia SANCHEZ, lecturer in economics, Universidad de Huelva, Spain.
  • Serge SCHMITZ, doctor in sciences, University of Liège, Belgium.
  • Richard STEPHENSON, lecturer in Geography, Université de Franche-Comté, France.
  • Giovanna TRUDA, researcher in sociology, University of Salerno, Italy
  • Tullia SACCHERI, professor of Sociology, Universitá di Salerno
  • Zoltan WILHELM, lecturer in geography, University of Pécs, Hungary.

Organisational Committee in the University of Salerno

Coordinator

  • Natale AMMATURO, University of Salerno, Italy.

University of Salerno team

  • Giuseppe MASULLO, University of Salerno, Italy.
  • Gennaro MERCONE, Emmegi informatic, Salerno, Italy.
  • Monica MOLLO, University of Salerno, Italy.
  • Virginia NUNZIATA, University of Salerno, Italy.
  • Silvana PANZA, University of Salerno, Italy.
  • Luca TATEO, University of Sassari, Italy.

Lieux

  • Università degli Studi di Salerno
    Salerne, Italie

Dates

  • jeudi 10 septembre 2009

Mots-clés

  • intelligence territoriale, développement

Contacts

  • Gioivanna Truda
    courriel : gtruda [at] unisa [dot] it

Source de l'information

  • Jean-Jacques Girardot
    courriel : jjg [at] mshe [dot] univ-fcomte [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Intelligence territoriale et culture du développement », Appel à contribution, Calenda, Publié le vendredi 17 juillet 2009, https://doi.org/10.58079/ew1

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