InicioAtlas historique et archéologique de l'Asie Mineure antique

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Atlas historique et archéologique de l'Asie Mineure antique

Historical and Archaeological Atlas of Ancient Asia Minor

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Publicado el jueves 11 de marzo de 2010

Resumen

La rencontre qui se tiendra à Besançon les 26 et 27 novembre 2010 est ouverte à toutes les personnes souhaitant poursuivre différemment les recherches sur l’Asie Mineure ancienne, dans un esprit collectif et positif. En effet, il s’agira de discuter la mise en place de l’Atlas historique et archéologique de l’Asie Mineure antique et son lancement effectif. Après avoir effectué un point détaillé sur l’actualité scientifique, les discussions porteront sur l’organisation scientifique du projet, sur les futures perspectives de recherche, mais aussi sur tous les partenariats envisageables. Cette rencontre fera ensuite l’objet d’une publication aussi rapidement que possible.

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Depuis le XIXe siècle, de vastes travaux historiques et archéologiques ont été lancés en Asie Mineure (essentiellement en Turquie) par des équipes internationales, mais les données scientifiques, à la fois complexes, variées et abondantes, ont été publiées de manière complètement dispersée. La région est au carrefour de grandes civilisations et de nombreux peuples (Hittites, Louvites, Phrygiens, Lydiens, royaume d’Urartu, etc) issus d’Europe (Thraces, Celtes, Grecs, Macédoniens, Romains), d’Asie (Perses, Mésopotamiens) et d’Afrique (Égyptiens), aussi bien en rapport avec les cités-États de Mésopotamie qu’avec tout le Proche-Orient, l’Iran ancien, le Caucase, l’Égypte et la Grèce.

Since the nineteenth century, numerous and varied historical and archaeological works have been launched in Asia Minor – essentially in Turkey – by international teams, but the scientific data, which are complex and numerous too, have been published in total dispersion. The Anatolian area is a crossroad of several famous civilizations and of many populations and cultures (Hittites, Luwians, Phrygians, Lydians, Urartu kingdom for example) from Europe (Thracians, Celts, Greeks, Macedonians, Romans), from Asia (Persians, Mesopotamians) and from Africa (Egypt), often in connection with city-states of Mesopotamia and the Near-East, with ancient Iran, the Caucasian area, Egypt and Greece.

The meeting that will be held in Besançon (France) on November 26th and 27th, 2010 is open to all the persons who want to carry on the researches on ancient Asia Minor differently, with a collective and a positive spirit. Yet the Historical and Archaeological Atlas of Ancient Asia Minor and its launching will be discussed. After the most complete statement as possible on the recent researches, the detailed discussions will deal with the scientific organization of the project, with the future research trails, and with all the actual and expected partnerships. Then the results of the meeting will be published as soon as possible.  

Projet : Atlas historique et archéologique de l’Asie Mineure antique 

Colloque international

Université de Franche-Comté / Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité

Besançon (France)

Vendredi 26 et Samedi 27 novembre 2010  

Présentation

Depuis le XIXe siècle, de vastes travaux historiques et archéologiques ont été lancés en Asie Mineure (essentiellement en Turquie) par des équipes internationales, mais les données scientifiques, à la fois complexes, variées et abondantes, ont été publiées de manière complètement dispersée. La région est au carrefour de grandes civilisations et de nombreux peuples (Hittites, Louvites, Phrygiens, Lydiens, royaume d’Urartu, etc) issus d’Europe (Thraces, Celtes, Grecs, Macédoniens, Romains), d’Asie (Perses, Mésopotamiens) et d’Afrique (Égyptiens), aussi bien en rapport avec les cités-États de Mésopotamie qu’avec tout le Proche-Orient, l’Iran ancien, le Caucase, l’Égypte et la Grèce. À titre d’exemple, l’agriculture, les toutes premières cités (telles que çatal Höyük) et l’écriture se sont développées très tôt en Asie Mineure, avant que la péninsule anatolienne n’héberge un réseau très dense de cités gréco-romaines (entre le IXe siècle av. J.-C. et le Ve siècle de notre ère) non seulement sur les littoraux, mais également dans ses parties les plus continentales. La péninsule micrasiatique ayant été également l’aboutissement ou l’origine de nombreuses routes commerciales en rapport avec de grands empires (empire assyrien, empire perse, empire d’Alexandre le Grand et ses successeurs, empire romain puis byzantin), de nombreuses communautés (louvites, iraniennes, juives, gréco-romaines) se sont développées culturellement et ont prospéré dans cette région exceptionnelle entre l’âge du Bronze et le début de l’époque byzantine (Ve siècle de notre ère). C’est probablement ce qui explique que l’Asie Mineure constitue sans doute le plus grand « parc archéologique » du monde, avec d’innombrables sites fouillés ou à fouiller. En dépit des nombreux travaux lancés en ordre dispersé depuis environ 150 ans, on ne connaît pas encore bien les relations entre les peuples, les territoires et les espaces au fil de l’Antiquité. Or ces aspects sont fondamentaux, dans la mesure où l’avenir des relations entre les populations d’aujourd’hui dépend en bonne partie de notre manière de connaître et de respecter les cultures, dans un contexte géopolitique où la Turquie, candidate à l’Union Européenne depuis 1963, joue un rôle clé, en s’impliquant par exemple au Moyen-Orient. 

Objectifs / descriptif synthétique

Le projet d’Atlas historique et archéologique de l’Asie Mineure antique est né de discussions fécondes et plurielles qui ont eu lieu lors du colloque de Tours (21-22 octobre 2005), cette rencontre ayant récemment donné lieu à une publication internationale (22 contributions), avec le soutien des universités de Tours, d’Artois (Arras) et de l’université de Franche-Comté (Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité/ISTA, Besançon) : H. Bru, S. Lebreton & F. Kirbihler (éd.), L’Asie Mineure dans l’Antiquité : échanges, populations et territoires. Regards actuels sur une péninsule. Actes du colloque international de Tours (21-22 octobre 2005), Presses Universitaires de Rennes, 2009, 483 pages.

Grâce au concours de spécialistes et de jeunes chercheurs internationaux de l’Asie Mineure antique, l’ouvrage fait le point sur les recherches les plus novatrices et se propose de poursuivre l’exploration scientifique dans différents domaines. En effet, l’idée principale est de fournir une synthèse à jour de toutes les connaissances historiques et archéologiques concernant l’Asie Mineure antique, de l’âge du Bronze à la fin de l’époque romaine (du IIe millénaire av. J.-C. au Ve siècle de notre ère), en cartographiant tous les phénomènes culturels, sociaux, politiques, économiques, religieux et geographiques. Sur ce point, les quelques tentatives (G.E. Bean et W.M. Calder, A classical map of Asia Minor, 1957 ; R. Stillwell et al., Princeton encyclopedia of classical sites, Princeton, 1976 ; J. Haywood, Atlas of the Ancient World & Atlas of the Classical World, Oxford, 1998 ; R.J.A. Talbert, Barrington Atlas, 2000 ; série Tabula Imperii Romani) restent partielles et embryonnaires pour envisager une étude complète de l’Asie Mineure sur le temps long. Il est important de souligner que suite aux discussions avec plusieurs collègues des universités ou institutions de Turquie, de France et d’ailleurs, il existe une forte demande de participation à l’élaboration de ce projet. Il est maintenant l’heure de fédérer les efforts de recherche des savants ayant travaillé ou travaillant en Anatolie, dans le temps et dans l’espace, notamment en abolissant les clivages artificiels qui existent parfois entre classicistes et orientalistes, ou entre collègues qui ne se connaissent pas. À ce propos, en raison du volume de travail historique et archéologique à réaliser, il est nécessaire que les équipes intègrent des jeunes chercheurs de Turquie et d’ailleurs. Cette synthèse doit manifestement être réalisée par « ateliers régionaux » et diachroniques, selon les spécialités de chacun(e), d’une part en couvrant toute la bibliographie antérieure et tous les types de sources historiques, d’autre part en réalisant de nouvelles cartes, tout en proposant des approches innovantes pour le présent et l’avenir, notamment de nouvelles prospections archéologiques. Les domaines concernés sont multiples et complémentaires : histoire (sociale, économique, politique, religieuse), archéologie, histoire de l’art, épigraphie, numismatique, littérature ancienne, géographie historique, cartographie, ingénierie informatique (bases de données, sites web).

 Pour ce qui concerne l’organisation de l’Atlas, des « ateliers régionaux » seront créés, chacun d’entre eux étant représenté dans l’idéal au « bureau » / « comité de coordination » par un(e) « classiciste » et un(e) « orientaliste », lesquels auront la charge de maintenir en relation permanente tous les chercheurs, les ateliers régionaux et leurs travaux, afin de les coordonner et de préparer leurs publications sur papier et en ligne par l’intermédiaire d’un site web. Sur ce dernier point, l’ISTA propose aux chercheurs une toute nouvelle base de données permettant la mise en relation des populations, cultures, territoires, données historiques et archéologiques. Il existera au moins trois différentes manières de contribuer au projet d’Atlas : en rédigeant des synthèses régionales et thématiques basées sur des bibliographies extensives et sur les recherches les plus récentes – comme la série Asia Minor Studien s’est jusque là proposée de faire partiellement –, mais sur un large choix de sujets et de périodes ; en créant et dessinant de nouvelles cartes ; en travaillant à l’enrichissement d’une base de données. L’Atlas historique et archéologique de l’Asie Mineure antique pourrait intégrer toutes les équipes ou chercheurs travaillant en Turquie et éventuellement dans le Caucase si ces derniers souhaitent se joindre au projet, avec la participation des universités turques et du ministère de la Culture et du Tourisme de Turquie, particulièrement en ce qui concerne les prospections archéologiques sur le terrain ; d’autres institutions peuvent bien sûr se joindre au projet, lequel est en toute logique ouvert aux instituts archéologiques et culturels, à titre d’exemple. La création d’une nouvelle revue scientifique dédiée à la géographie historique de l’Asie Mineure est prévue, afin de suivre et d’accompagner la progression de l’Atlas. Des rencontres régulières pourraient se tenir au sein de différents pays et universités comme le font déjà le GIREA (recherches internationales sur l’esclavage antique) et l’ISHPES (recherches internationales sur l’histoire du sport) : cela constituerait un moyen de partager les diverses dépenses et d’éviter une trop forte centralisation des événements scientifiques organisés. D’autres propositions orientées vers l’écriture collective de l’histoire de l’Anatolie ancienne sont les bienvenues. 

La rencontre qui se tiendra à Besançon les 26 et 27 novembre 2010 est ouverte à toutes les personnes souhaitant poursuivre différemment les recherches sur l’Asie Mineure ancienne, dans un esprit collectif et positif. En effet, il s’agira de discuter la mise en place de l’Atlas historique et archéologique de l’Asie Mineure antique et son lancement effectif. Après avoir effectué un point détaillé sur l’actualité scientifique, les discussions porteront sur l’organisation scientifique du projet, sur les futures perspectives de recherche, mais aussi sur tous les partenariats envisageables. Cette rencontre fera l’objet d’une publication aussi rapidement que possible.  

Comité d’organisation :

  • Hadrien BRU (Maître de Conférences en Histoire Ancienne, Université de Franche-Comté / ISTA, Besançon)
  • Guy LABARRE (Professeur d’Histoire Grecque, Université de Franche-Comté / ISTA, Besançon)

Les langues du colloque sont le français, l'anglais, l'allemand et l'italien.

Les propositions de communication ou de participation ouverte peuvent être soumises, de préférence par courrier électronique

jusqu'au 30 juin 2010 à l'adresse ci-dessous.

Contact :

Hadrien BRU
Université de Franche-Comté
Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité (ISTA)
30, rue Mégevand
25000 Besançon
France
E-mail : hadrien.bru@univ-fcomte.fr
Tél. : (00 33) (0)6 42 06 91 49 

Project : Historical and Archaeological Atlas of Ancient Asia Minor

International symposium
Université de Franche-Comté/ Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité
Besançon (France)

November 26th and 27th, 2010

Presentation

Since the nineteenth century, numerous and varied historical and archaeological works have been launched in Asia Minor – essentially in Turkey – by international teams, but the scientific data, which are complex and numerous too, have been published in total dispersion. The Anatolian area is a crossroad of several famous civilizations and of many populations and cultures (Hittites, Luwians, Phrygians, Lydians, Urartu kingdom for example) from Europe (Thracians, Celts, Greeks, Macedonians, Romans), from Asia (Persians, Mesopotamians) and from Africa (Egypt), often in connection with city-states of Mesopotamia and the Near-East, with ancient Iran, the Caucasian area, Egypt and Greece. For example, the phenomenons of agriculture, writing and living among cities were relatively early in Anatolian history ; what is more, the area housed a dense network of Graeco-Roman cities between the IXth century B.C. and the Vth century A.D. – and beyond – not only on the coasts but inside of the most continental regions too. The Anatolian peninsula has been the goal or the origin of several trade routes in connection with the Assyrian, Persian and Macedonian empires or kingdoms from the period of Alexander the Great, until the Roman and Byzantine empires –, and a large number of communities (Luwian, Persian, Jewish, Armenian, Graeco-Roman…) have spread a certain culture and wealth among this exceptional area between Bronze Age and the beginning of the Byzantine era – Vth century A.D. –. That is probably the reason why Asia Minor has become undoubtly the greatest « archaeological park » of the world, with an incredible number of excavated sites – and to be excavated – in the future. Despite the valuable archaeological works launched for 150 years, we do not know well the precise relationships between populations, territories and spaces during Antiquity – for example between the Creto-Mycaenian and Anatolian populations –, furthermore the future relationships between the people depend today on the actual way to consider and respect the cultures, while Turkey plays a major geopolitical part, for example as candidate to join the European Union since 1963, with a permanent involvement in the Middle-East. 

Aims/descriptive synthesis

The project of Historical and Archaeological Atlas of Ancient Asia Minor is born after prolific and open discussions that we had with colleagues during the international symposium held in Tours (France) on 21st and 22nd october 2005 and recently published – 22 contributions – thanks to the support of three universities (université François Rabelais-Tours, université d’Artois-Arras, université de Franche-Comté-Besançon/Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité-ISTA) : H. Bru, S. Lebreton & F. Kirbihler (éd.), L’Asie Mineure dans l’Antiquité : échanges, populations et territoires. Regards actuels sur une péninsule. Actes du colloque international de Tours (21-22 octobre 2005), Presses Universitaires de Rennes, 2009, 483 pages.

Thanks to the knowledge of international specialists and young researchers who are working on Asia Minor in Antiquity, the book is a statement about the most recent historical and archaeological investigations in Turkey, and proposes to further the scientific explorations in different fields. The main idea of the project is to give an up-to-date synthesis of all historical and archaeological data concerning Anatolia in Antiquity, from the Bronze Age to the end of the Roman era, from the IInd millenium B.C. to the Vth century A.D. One way to proceed consists of making new maps relevant for cultural, social, political, economical, religious and geographical phenomenons observed on a long time span. Few endeavours occured – G.E. Bean & W.M. Calder, A classical map of Asia Minor, 1957 ; R. Stillwell & al., Princeton encyclopedia of classical sites, Princeton, 1976 ; J. Haywood, Atlas of the Ancient World & Atlas of the Classical World, Oxford, 1998 ; R.J.A. Talbert, Barrington Atlas, 2000 ; series Tabula Imperii Romani – but are still inadequate and insufficient to reach the most complete historical coverage that makes the innovative studies possible. It is important to underline that several discussions between different colleagues abroad, in Turkey, in France and elsewhere have already shown a great interest on the subject.

That is why the time may have come to assess and organize more carefully the work of researches done and to do in Anatolia through time and space, especially if we tend to abolish the artificial gaps existing on the one hand between classicists and orientalists, on the other hand between colleagues from different countries who in fact do not know each other. On this point, due to the remaining historical and archaeological work, the teams need to integrate young researchers from Turkey and elsewhere. This synthesis has to be done by regional and diachronic workshops that are using specialities of all the colleagues and institutions involved ; for each regional workshop, all the former bibliography has to be covered, including all kind of historical sources, then new maps concerning ancient populations, sites and social phenomenons will be drawn, and it will be possible to propose innovative approaches for present and future, for example in relationship with the coordination of experienced and new field-prospection teams. The considered areas and research fields are varied and complementary : social, economical, political and religious history, archaeology, art history, epigraphy, numismatics, ancient and modern literature, historical geography, cartography, computer engineering (for databases and websites).

Regarding the organization of the Atlas, a « bureau » or a « co-ordination committee / board » – it would be great to find in the « bureau » two persons, a « classicist » and an « orientalist » member of each regional workshop – has to bring a permanent communication and relationships between all the « regional workshops » and their works, in order to co-ordinate them and to prepare the publications on paper and on line thanks to website facilities. On this point, the ISTA (Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité, université de Franche-Comté, Besançon/France) proposes a brand new database which makes easier the scientific connections between populations, cultures, territories, historical and archaeological data. There will be at least three different main ways to participate in the Atlas project : by writing regional and thematic synthesis based on extended bibliographies and on the most recent researches – as the series Asia Minor Studien partly did so far – but on a full range of topics and periods, by creating and drawing new maps, and by working on the databases. The Historical and Archaeological Atlas of Ancient Asia Minor could integrate all the teams or scholars working in Turkey and elsewhere if the researchers wish to join the project, for example with the participation of Turkish universities and of the Turkish Ministry of Culture and Tourism, especially concerning the field-prospections. The project is also logically open to the archaeological and cultural institutes, or to other institutions and countries. A new scientific journal focused on historical geography of Asia Minor could be created too, in order to follow the progression of the atlas itself. Regular meetings could be held among different countries and universities, as the GIREA (international researches on ancient slavery) and the ISHPES (international researches on sport history) do, which would permit the sharing of expenses and perhaps forestall an overly strong centralization of the scientific events. Other proposals to write a collaborative history of ancient Anatolia are welcome. 

The meeting that will be held in Besançon (France) on November 26th and 27th, 2010 is open to all the persons who want to carry on the researches on ancient Asia Minor differently, with a collective and a positive spirit. Yet the Historical and Archaeological Atlas of Ancient Asia Minor and its launching will be discussed. After the most complete statement as possible on the recent researches, the detailed discussions will deal with the scientific organization of the project, with the future research trails, and with all the actual and expected partnerships. Then the results of the meeting will be published as soon as possible.  

Organization committee :

  • Hadrien BRU (Maître de Conférences en Histoire Ancienne, Université de Franche-Comté / ISTA, Besançon)
  • Guy LABARRE (Professeur d’Histoire Grecque, Université de Franche-Comté / ISTA, Besançon)

The languages of the symposium are French, English, German, Italian.

Paper proposals or open contributions shall be submitted by e-mail with an english abstract

before June 30th, 2010. 

Contact :

Hadrien BRU
Université de Franche-Comté
Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité 
30, rue Mégevand
25000 Besançon
France
E-mail : hadrien.bru@univ-fcomte.fr
Tél. : (00 33) (0)6 42 06 91 49

Lugares

  • Université de Franche-Comté/ISTA 30 rue Mégevand
    Besanzón, Francia

Fecha(s)

  • miércoles 30 de junio de 2010

Palabras claves

  • Asie Mineure, Anatolie, Turquie, Caucase, Antiquité, Atlas, géographie historique, histoire, archéologie, cultures, espaces, territoires, peuples, langues, épigraphie, numismatique, textes littéraires, représentations, pouvoirs, politique, géopolit

Contactos

  • Hadrien Bru
    courriel : hadrien [dot] bru [at] univ-fcomte [dot] fr

Fuente de la información

  • Hadrien Bru
    courriel : hadrien [dot] bru [at] univ-fcomte [dot] fr

Licencia

CC0-1.0 Este anuncio está sujeto a la licencia Creative Commons CC0 1.0 Universal.

Para citar este anuncio

« Atlas historique et archéologique de l'Asie Mineure antique », Convocatoria de ponencias, Calenda, Publicado el jueves 11 de marzo de 2010, https://doi.org/10.58079/g0r

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