Entre 1939 et 1943, les forces armées italiennes occupent l’Albanie et quelques portions de la France, de la Grèce et de la Yougoslavie. Depuis septembre 1943, lorsque l’Italie signe un armistice avec les Alliés, ces territoires sont rapidement occupés par l’Allemagne, en mettant fin au rêve italien d’un spazio vitale (voire espace vitale) européen. Malgré que ces tentatives d’occupation militaires aient échoué, elles représentent un aspect très important de l’histoire du fascisme, des occupations militaires et de la seconde guerre mondiale. Ce dossier vise à enrichir l’historiographie concernant les occupations militaires italiennes en Europe, en privilégiant des travaux de recherche sur des sujets originaux.

Tra il 1939 e il 1943, le forze armate italiane occuparono l’Albania e parte della Francia, della Grecia e della Iugoslavia. L’8 settembre 1943, quando l’Italia firmò l’armistizio con gli Alleati, questi territori vennero rapidamente occupati dalla Germania, ponendo fine al sogno italiano di uno «spazio vitale» europeo. Sebbene queste occupazioni militari si siano concluse con in fallimento per l’Italia, hanno rappresentato un aspetto importante per la storia del fascismo, delle occupazioni militari e della Seconda guerra mondiale. Questo numero monografico ambisce a contribuire alla storiografia sulle occupazioni militari italiane, privilegiando ricerche originali.

Argumentaire

Entre 1939 et 1943, les forces armées italiennes occupent l’Albanie et quelques portions de la France, de la Grèce et de la Yougoslavie. Depuis septembre 1943, lorsque l’Italie signe un armistice avec les Alliés, ces territoires sont rapidement occupés par l’Allemagne, en mettant fin au rêve italien d’un spazio vitale (voire espace vitale) européen. Malgré que ces tentatives d’occupation militaires aient échoué, elles représentent un aspect très important de l’histoire du fascisme, des occupations militaires et de la seconde guerre mondiale.

Ce dossier vise à enrichir l’historiographie concernant les occupations militaires italiennes en Europe, en privilégiant des travaux de recherche sur des sujets originaux. Comment sont administrés les territoires occupés ? Comment fonctionnent les économies des territoires occupés ? Comment est vécue l’expérience de l’occupation par les populations des territoires occupés et quelle est l’interaction entre les forces armées italiennes et de la population? Quels plans sont élaborés par les idéologues fascistes pour développer ce spazio vitale? Comment fonctionne l’alliance entre Italie et Allemagne dans les territoires occupés et comment les acteurs en compétition interagissent entre eux ?

Ce dossier vise à contribuer à un débat historiographique de plus en plus important et de se pencher sur un sujet concernant la seconde Guerre mondiale qui est souvent sous-évalué par les historiens.

Soumettre un article

Les auteurs intéressés à participer au numéro peuvent nous adresser les articles en italien, anglais, français, português, allemand, grec (les articles en português, allemand et grec seront traduits par la rédaction) ou espagnol. Les articles ne devraient être compris entre 35.000 et 50.000 signes, espaces et notes compris, et devraient respecter les normes rédactionnelles et les consignes aux auteurs décrites ici devront devront être envoyés à l’adresse e-mail: redazione.diacronie[at]hotmail.it.

Merci de nous faire part de votre intention de soumettre une proposition d’article et de nous envoyer un résumé de 1000 signes

avant le 15 décembre 2016:

nous vous informerons de l’acceptation ou du rejet de la proposition au plus tard le 31 décembre 2016. La date limite pour l’envoi des articles est le 28 février 2017; le numéro de la revue sortira dans le mois de juin 2016.

Comité scientifique

• Niall MacGalloway (University of St Andrews)
• Deborah Paci (Ca' Foscari Università di Venezia)

Presentazione

Tra il 1939 e il 1943, le forze armate italiane occuparono l’Albania e parte della Francia, della Grecia e della Iugoslavia. L’8 settembre 1943, quando l’Italia firmò l’armistizio con gli Alleati, questi territori vennero rapidamente occupati dalla Germania, ponendo fine al sogno italiano di uno «spazio vitale» europeo. Sebbene queste occupazioni militari si siano concluse con in fallimento per l’Italia, hanno rappresentato un aspetto importante per la storia del fascismo, delle occupazioni militari e della Seconda guerra mondiale.

Questo numero monografico ambisce a contribuire alla storiografia sulle occupazioni militari italiane, privilegiando ricerche originali. Alcuni delle questioni – ma non saranno le sole – su cui sarà incentrato il numero, saranno: come furono amministrati i territori occupati dall’Italia? Come funzionavano le economie dei territori occupati? Come vissero le popolazioni l’occupazione italiana e come interagirono con le forze armate italiane? Quali piani avevano elaborato i teorici del fascismo per questo «spazio vitale»? Come operava l’alleanza italo-tedesca all’interno dei territori occupati dall’Italia e come interagivano questi attori in competizione fra loro? Questo numero monografico ambisce a rinsaldare un filone storiografico e a costituire l’avanguardia di un campo ancora non dovutamente esplorato dello studio della Seconda guerra mondiale.

Sottoporre un articolo

Gli autori possono inviarci i loro articoli in italiano, inglese, francese, portoghese, tedesco, greco (gli articoli in portoghese, tedesco e greco verranno tradotti in italiano dalla redazione) o spagnolo. Gli articoli dovranno essere compresi fra 35.000 e 50.000 battute, spazi e note inclusi, rispettando le norme redazionali e le istruzioni specificate qui e dovranno essere inviati al seguente indirizzo e-mail: redazione.diacronie[at]hotmail.it.

Informateci della vostra intenzione di partecipare con un contributo, prendendo contatto con la redazione e inviando un abstract di 1000 caratteri

entro il 15 dicembre 2016

: comunicheremo l’eventuale accettazione della proposta entro il 31 dicembre 2016. La data di consegna degli articoli è fissata per il 28 febbraio 2017; il numero uscirà nel mese di giugno 2017.

Comitato scientifico

• Niall MacGalloway (University of St Andrews)
• Deborah Paci (Ca' Foscari Università di Venezia)