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Calenda - Le calendrier des lettres et sciences humaines et sociales

Entrepreneuriat social, environnemental et durable

Social, environmental and long-lasting(sustainable) Entrepreneurship

Empresariado social, medioambiental y sostenible

Regards croisés Nord / Sud

North/South crossed looks

Miradas cruzadas Nortes/Meridionales

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Publié le jeudi 02 mars 2017

Résumé

L’importance croissante de la notion de développement durable dans nos sociétés a fait émerger trois nouveaux types d'entreprenariats: l’entrepreneuriat social, l’entrepreneuriat environnemental et l’entrepreneuriat durable. Notre colloque se propose d'analyser les différents enjeux liés à ces types d'entrepreneuriat en Afrique.

La importancia creciente de la noción de desarrollo sostenible en nuestras sociedades hizo emerger tres nuevos tipos de empresariados: el empresariado social, el empresariado medioambiental y el empresariado sostenible. Nuestro coloquio propone analizar las diferentes puestas atadas(vinculadas) a estos tipos de empresariado en África.

The increasing importance of the notion of sustainable development in our companies(societies) brought to the foreground three new types(chaps) of entrepreneurships: the social entrepreneurship, the environmental entrepreneurship and the long-lasting(sustainable) entrepreneurship. Our colloquium suggests analyzing the various stakes bound(connected) to these types(chaps) of entrepreneurship in Africa.

Annonce

1- Contexte et problématique

L’importance croissante de la notion de développement durable dans nos sociétés a fait émerger trois nouveaux types d'entreprenariats: l’entrepreneuriat social, l’entrepreneuriat environnemental et l’entrepreneuriat durable.

Ces trois types d’entrepreneuriat demeurent encore peu connus et étudiés même si la recherche a fait des avancées notables en Europe et aux Etats-Unis. Ainsi, après deux décennies de recherches, les premières ayant débuté dans les années 90, des définitions claires de ces trois types d’entrepreneuriat ont vu le jour.

L’entrepreneuriat environnemental est un type d’entrepreneuriat axé sur les problèmes environnementaux tout en créant de la valeur économique. De son côté, l’entrepreneuriat social se propose de résoudre des problèmes sociaux et créer de la valeur pour la société. Enfin, l’entrepreneuriat durable s’attaque à la résolution de problèmes sociaux et environnementaux à travers la création d’entreprises rentables. En Afrique, la définition du nouvel entrepreneur- qu’il soit environnemental, durable ou alors social- n’est pas encore établie. Mais cela n’empêche pas l’éclosion de nouveaux types d’entreprises qui tentent de prendre en compte les réalités locales tout en poursuivant des objectifs environnementaux, sociaux ou encore durables. C’est le cas par exemple des artisans ou encore des coopératives et des associations qui mettent en valeur les produits naturels ou qui aident les populations locales. Ces entités ne pourraient elles pas être de nouveaux types d’entrepreneurs? Et si oui, quel serait le profil type du nouvel entrepreneur africain? Il s’agit bien entendu de quelques questions qui peuvent être posées et elles n’excluent pas d’autres questions toutes aussi pertinentes sur cette thématique.

Quelque soit son type, le nouvel entrepreneur a besoin d’un cadre juridique solide pour faire prospérer son activité. Le cadre juridique permet bien entendu de mettre en place l’environnement adéquat pour l’activité, de permettre un suivi mais également de contrôler pour limiter les risques. Les exemples de success stories comme celles de Manomama en Allemagne ou encore celles de Wallmart aux Etats Unis nous démontrent que la naissance de nouveaux entrepreneurs ne peut se faire sans un cadre juridique adapté. En Afrique, même si la plupart des pays se sont dotés de lois environnementales, le cadre juridique et surtout son impact sur le décollage du nouveau type d’entrepreneuriat reste encore peu étudiés. La récente initiative Zéro Mika, développée par le Maroc, pourrait porter des fruits très bientôt mais il faut encore du temps pour le confirmer. Alors quelle est aujourd’hui la situation actuelle? Comment le cadre juridique peut il aider les nouveaux entrepreneurs africains? Et dans quelles conditions? Il s’agit bien entendu de quelques questions qui peuvent être posées et elles n’excluent pas d’autres questions toutes aussi pertinentes sur cette thématique.

Si le cadre juridique est important pour l’éclosion du nouvel entrepreneur africain, le soutien des universités ne l’est pas moins. Il est en effet souvent peu mentionné que les nouvelles technologies de production écologiques sont le résultat d’années de recherche effectuées par des ingénieurs ou par des chercheurs. Il est également oublié que la mise en place de produits innovants est basée sur des études de marchés ou des analyses de comportement produites par des chercheurs. Le rôle de l’université, à travers l’ensemble de ces composantes, ne saurait donc être oublié et c’est ce qu’a rappelé la ministre marocaine de l’environnement mme Hakima Haité, lors de son passage à l’université internationale de Rabat il y a quelques semaines. Et toute la question est désormais de savoir comment elle peut le jouer. Ainsi, les questions suivantes méritent d’être posées :

Quelle est la vision de l’université africaine sur la question du développement durable? Quel rôle peut elle jouer dans l’accompagnement des nouveaux entrepreneurs africains? Comment peut elle former de nouveaux entrepreneurs africains? Il s’agit bien entendu de quelques questions qui peuvent être posées et elles n’excluent pas d’autres questions toutes aussi pertinentes sur cette thématique.

Aucune entreprise ne peut espérer se développer sans être financée et c’est également le cas pour les entreprises environnementales, durables ou encore sociales. Elles ont besoin de prêts et d’un accompagnement financier adapté pour atteindre leurs objectifs. Pourtant, ces types d’entreprise font face à un manque cruel de financement malgré la multiplication des différents fonds et autres initiatives dédiés au financement environnemental, durable ou encore social. Il est donc légitime de se poser les questions suivantes: Y a t il actuellement des fonds disponibles pour le financement des nouveaux entrepreneurs? Et si oui, quels sont t’ils? Quels sont les moyens disposent les entreprises pour les obtenir? Et y a t’il des projets plus attractifs que d’autres? Il s’agit bien entendu de quelques questions qui peuvent être posées et elles n’excluent pas d’autres questions toutes aussi pertinentes sur cette thématique.

La force d’une entreprise, et donc sa rentabilité, est avant tout assurée par un marché. Et il est clair que si la demande existe, l’offre suivra forcément. C’est donc parce qu’il y a aujourd’hui un nombre croissant de consommateurs soucieux des critères écologiques, sociaux et durables que les marques adaptent leurs offres dans ce sens. Dans le secteur textile-habillement par exemple, le scandale qu'a dû affronter H&M sur la question du coton transgénique a conduit de nombreuses marques telles que Puma à imaginer des collections écologiques. La question de la sensibilité du consommateur se pose donc de manière légitime dans le cas des nouveaux entrepreneurs africains. Quelle est la vision de la population sur ces nouvelles questions? Les consommateurs sont ils prêts à dépenser plus pour acheter ses nouveaux produits? Le comportement peu altruiste d’une marque peut il les détourner de cette marque? Sont ils prêts à renoncer à certains de leurs avantages pour adopter des produits plus rustiques? Il s’agit bien entendu de quelques questions qui peuvent être posées et elles n’excluent pas d’autres questions toutes aussi pertinentes sur cette thématique.

Nous ne pouvons bien sûr terminer cet argumentaire sans mentionner le rôle de l’Etat dans cette nouvelle dynamique tant il est clair que son intervention se manifeste à tous les niveaux. Ainsi, c’est l’Etat qui met en place les lois pour inciter ou obliger à de nouveaux comportements. Et c’est encore l’Etat qui peut créer une demande nationale grâce l’achat public. Mais cet État a besoin de moyens nouveaux pour financer son action et donc d’une fiscalité redéfinie. Les questions que pose cet axe sont donc nombreuses: Quel mécanisme de contrôle pour un dispositif juridique efficace? Dans quelles conditions l’Etat peut il développer un marché porteur pour les nouveaux types d’entrepreneurs? Par quels moyens l’Etat peut il financer son action? Il s’agit bien entendu de quelques questions qui peuvent être posées et elles n’excluent pas d’autres questions toutes aussi pertinentes sur cette thématique.

2- Axes du Colloque

Axe 1: Qui sont ces entrepreneurs africains qui misent sur l’entrepreneuriat social, environnemental et durable?

Axe 2: Quel cadre juridique pour ces nouveaux entrepreneurs africains?

Axe 3: Quel est le rôle de l’université africaine dans le soutien de ces nouveaux entrepreneurs?

Axe 4: Quelles possibilités de financement pour ces nouveaux entrepreneurs africains?

Axe 5: Quels marchés pour ces nouveaux entrepreneurs africains?

Axe 6: Quel rôle de l’Etat dans l’essor de ces entreprises africaines?

3-Comité scientifique

  • Saïd AHROUCH, Université Ibn Zohr, Agadir (Maroc)
  • Abderrahmane AMSIDDER, Université Ibn Zohr, Agadir
  • Fatima ARIB, Vice-présidente de l'association marocaine de l'économie de l'environnement
  • Gisèle BELEM, Hatch-Université du Québec à Montréal (Canada)
  • Aziz BOUSLIKHANE, Président fondateur de l’Université Internationale d’Agadir (Universiapolis)
  • Mamadou DIOMBERA, Université Assane Seck de Ziguinchor, Sénégal
  • Abibata DRAME, Université Félix Houphouët Boigny , Côte d’Ivoire
  • Théophile DZAKA-KIKOUTA, Université Marien Ngouabi de Brazzaville, Congo
  • Mhammed ECHKOUNDI ,  l'Institut des Etudes Africaines, Maroc
  • Jamal ELACHMIT, Université Ibn Zohr et professeur associé à l’Université Internationale d’Agadir
  • Abdelkebir ELOUIDANI, Université Ibn Zohr, Agadir
  • Hassan FAOUZI, Université Ibn Zohr, Agadir
  • Hicham HAFID, Institut des Etudes Africaines, Maroc
  • HAMADOU Daouda Youssoufou, Université de Tahoua (Niger)
  • Saïd LAARIBYA,  Université Ibn Zohr- Agadir
  • Ilias MAJDOULINE, Université Internationale d’Agadir (Universiapolis)
  • Raphaël NKAKLEU, ESSEC de Douala, Cameroun
  • Victor ONADJA, Université Aube Nouvelle/New Dawn University
  • Antoine  RESK DIOMANDE, Brandethic- Université Jean Moulin, France
  • Cindy ZAWADZKI, NEOMA Business School- Campus de Reims

4- Comité d’Organisation

  • Touré Abiba, Université internationale d’Agadir- universiapolis
  • Diallo, Laouraou, Université internationale d’Agadir-Universiapolis
  • Elachmit Jamal, Université internationale d’Agadir-Universiapolis
  • Abderrahmane Amsidder, Université Ibn Zohr, Agadir
  • Kouassi N’Douffou Jean Dimitri Université Internationale de Rabat
  • N’Da Angoran Baudelaire, Université Ibn Zohr Agadir
  • Ouedraogo Rimpayaïsidé Junias Vittorio, Université Ibn Zohr Agadir Elarbi El Fakir, Université Ibn-Zohr -Agadir

5- Calendrier et modalités pratiques

  • Date limite de soumission des propositions de communication de 2 500 signes (+ nom de l’auteur, fonction et adresse électronique, numéro de l’axe) : 8 Mai 2017
  • Les propositions seront évaluées en double aveugle. Elles doivent être envoyées aux adresses suivantes :
  • Date de notification de la décision du Comité scientifique : 31 Mai 2017.
  • Date d’envoi des articles complets (25 000 signes espaces compris) : 31 Juillet 2017.
  • Date limite de renvoi des articles modifiés et corrigés : 30 septembre 2017.
  • Dates du colloque : 23, 24, 25 novembre 2017

Les propositions sont à adresser à : entrepreneuriatsociale@universiapolis.ma

Les communications acceptées seront publiées dans les Actes du colloque.

Une sélection des meilleures communications paraîtra dans un numéro de la revue en ligne RIMEC (Revue Internationale de Management, Entrepreneuriat et Communication) et la Revue version papier. www.revue-rimec.org

6- Consignes aux auteurs

1)    L’auteur doit indiquer le titre de sa proposition, son prénom, nom, établissement d’attache et son courriel.

2)    Le format du texte : Corps de texte : Times New Roman 12, interligne simple. Les notes en bas de page : Times New Roman 10, interligne simple.

3)    les références bibliographiques (ou webgraphiques) se présentent de la manière suivante :

  • Pour un ouvrage : Nom de l’auteur, initiale du prénom, année d’édition, titre de l’ouvrage, lieu d’édition, maison d’édition, pages ou page exacte de la citation.
  • Pour un ouvrage collectif : Nom de l’auteur, initiale du prénom (ed.), année d’édition, titre de l’ouvrage lieu d’édition, maison d’édition.
  • Pour un chapitre d’ouvrage collectif : Nom de l’auteur, initiale du prénom, année d’édition, « titre du chapitre », in nom du coordonnateur de l’ouvrage initial (ed.), titre de l’ouvrage (en italique), lieu d’édition, maison d’édition, nombre de pages ou page exacte de la citation.
  • Pour un article de revue : Nom de l’auteur, Initiale du prénom, année d’édition, « titre de l’article », nom de la revue (en italique), numéro de la revue, mois ou numéro trimestriel, nombre de pages ou page exacte de la citation.

7- Frais de participation

Les frais d’inscription comprenant les actes, les pauses café et les déjeuners pour les 3 jours sont de:

-150 euros (1500 MAD) pour les enseignants-chercheurs des pays du nord

-120 euros (1200 MAD) pour les enseignants-chercheurs des pays du Sud, -75 euros (750 MAD) pour les doctorants des pays du Nord,   -50 euros  (500 MAD) pour les doctorants des pays du Sud.

Pour l’hébergement, une liste d’hôtels à un tarif préférentiel sera proposée par les organisateurs du colloque.

1st edition(publishing) of the International Colloquium

I/Context and problem

The increasing importance of the notion of sustainable development in our companies brought to the foreground three new types of entrepreneurships: the social entrepreneurship, the environmental entrepreneurship and the sustainable entrepreneurship.

These three types of entrepreneurship still remain little known and studied even if the research made notable advances in Europe and in the United States. So, after two decades of researches, the first ones having begun in the 90s, clear definitions of these three types of entrepreneurship were born.

The environmental entrepreneurship is a type of entrepreneurship centred on the environmental problems while creating some economic value. From his part, the social entrepreneurship suggests solving social problems and creating some value for the society. Finally, the sustainable entrepreneurship attacks the resolution of social and environmental problems through the entrepreneurship profitable. In Africa, the definition of the new entrepreneur that he is environmental, sustainable or then social is not established yet. But it does not prevent the hatching of new types of companies who try to take into account the local realities while pursuing environmental, social or still long-lasting objectives. It is the case for example craftsmen or still cooperatives and associations that emphasize natural products or which help the local populations. Could not these entities not be new types of entrepreneurs? And if yes, what would be the typical profile of the new African entrepreneur? It is naturally some questions which can be put and they do not exclude other questions quite so relevant on this theme.

About is his type, the new entrepreneur needs a solid legal framework to make his activity prosper. The legal framework allows naturally to set up the adequate environment for the activity, to allow a follow-up but also to check to limit the risks. The examples of success stories as those of Manomama in Germany or still those of Wallmart in the United States demonstrate us that the birth of new entrepreneurs cannot be made without an adapted legal framework. In Africa, even if most of the countries were equipped with environmental laws, the legal framework and especially its impact on the take-off of the new type of entrepreneurship still remains little studied. The recent Zero initiative Mika, developed by Morocco, could carry fruits very soon but it still takes time to confirm it. Then what is the current situation today? How the legal framework can you he(it) help the new African entrepreneurs? And in what conditions? It is naturally about some questions which can be put and they do not exclude other questions quite so relevant on this theme.

If the legal framework is important for the hatching of the new African entrepreneur, the support of universities is it not less. It is little mentioned indeed often that the new ecological technologies of production are the result of years of research made by engineers or by researchers. It is also forgotten that the implementation of innovative products is based on market studies or analyses of behavior produced by researchers. The role of the university, through all these components, could not be thus forgotten and it is what called back Moroccan mdme Minister for the Environment Hakima Haité, during the passage at the international university of Rabat there is a few weeks. And all the question is from now on to know how it can play him. So, the following questions deserve to be put: what is the vision of the African university on the question of the sustainable development? What role can she play in the support of the new African entrepreneurs? How can she train of new African entrepreneurs?It is naturally about some questions which can be put and they do not exclude other questions quite so relevant on this theme.

No company can hope to develop without being financed and it is also the case for the environmental, sustainable or still social companies. They need loans and a financial support adapted to reach their goals. Nevertheless, these types(chaps) of company face(deal with) a cruel lack of financing in spite of the multiplication(increase) of the various funds(collections) and other initiatives dedicated to the environmental, long-lasting(sustainable) or still social financing. It is thus justifiable to ask(raise) itself the following questions:Has you he(it) at present liquid assets for the financing of the new entrepreneurs there? And if yes, what are you they? What are the ways(means) arrange companies to obtain them? And has you he of the projects more attractive than others there? It is naturally about some questions which can be put and they do not exclude other questions quite so relevant on this theme.

The strength of a company, and thus its profitability, is above all assured by a market. And it is clear that if the request exists, the offer will follow necessarily. Thus it is because there is today an increasing number of consumers worried about ecological, social and sustainable criteria that the marks adapt their offers in this sense. In the textil industry - clothing for example, the scandal that H*M on the question of the transgenic cotton had to face led numerous brands such as Puma to imagine ecological collections. The question of the sensibility of the consumer thus arises in a justifiable way in the case of the new African entrepreneurs. What is the vision of the population on these new questions? Are the consumers you ready to spend more to buy its new products? The little altruistic behavior of a brand can it divert them from this brand? Are you they ready to give up any of their advantages to adopt more rustic products? It is naturally about some questions which can be put and they do not exclude other questions quite so relevant on this theme.

We can end of course not this argument without mentioning the role of the State in this new dynamics so much it is clear that its intervention shows itself at every level. So, it is the State which sets up the laws to incite or oblige new behavior. And it is still the State which can create a national demand favor the public purchase. But this State needs new ways to finance its action and thus of a redefined tax system. The questions which puts this axis are thus numerous: what control mechanism for an effective legal plan?In what conditions the State can you he develop a growth market for the new types of entrepreneurs? By what ways the State can he finance its action? It is naturally some questions which can be put and they do not exclude other questions quite so relevant on this theme.

II/Axes of the Colloquium

- Axis 1: who are these African entrepreneurs who bet on the social, environmental and sustainable entrepreneurship?

- Axis 2: what legal framework for these new African entrepreneurs?

- Axis 3: what is the role of the African university in the support of these new entrepreneurs?

- Axis 4: what possibilities of financing for these new African entrepreneurs?

- Axis 5: what markets for these new African entrepreneurs?

- Axis 6: what role of the State in the development of these African companies?

III/ Scientific  Committee

  • Abderrahmane AMSIDDER, Professor of the higher education in Sciences of the communication and the information, Faculty of arts and Human sciences, Université Ibn Zohr, Agadir
  • Fatima ARIB, Professor of the higher education authorized in economy of the sustainable development, Vice-president of the Moroccan association of the economy of the environment
  • Aziz BOUSLIKHANE, PHD in Entrepreneurship, CEO and founder of the International University of Agadir (Universiapolis)
  • Abibata DRAME, Lecturer, Université Félix Houphouët Boigny, UFR Information-Communication et Art
  • -Théoplile DZAKA-KIKOUTA, Assistant CAMES, HDR Université Marien Ngouabi de Brazzaville
  • Mhammed ECHKOUNDI, Professor and researcher in l'Institut des Etudes Africaines
  • Jamal ELACHMIT, PHD in Human Sciences, expert in social entrepreneurship, Université Ibn Zohr, Associate professor at l’Université Internationale d’Agadir
  • Hicham HAFID, Professor and researcher à l'Institut des Etudes Africaines
  • HAMADOU Daouda Youssoufou, The qualified teacher of the Economic Faculties of science, Vice-chancellor and Dean of the faculty Economy and Management, Director of the Research laboratory and Analysis on the Economic and social Development ( LARADES), Université de Tahoua (Niger)
  • Ilias MAJDOULINE, Doctor in Management (Entrepreneurship), Director of the Ecole polytechnique, Université Internationale d’Agadir (Universiapolis)
  • Raphaël NKAKLEU, Teacher who has passed aggregation of the sciences of management à l'ESSEC de Douala; Professor (teaching and research) in GRH, strategic management and entrepreneurship; Founder member of the Research center and African Studies in Management and Entrepreneurship
  • Victor ONADJA, Professor and researcher Université Aube Nouvelle/New Dawn University
  • Cindy ZAWADZKI, Associate Professor In management control ;NEOMA Business School- Campus de Reims

Lieux

  • Université Internationale d’Agadir
    Agadir, Maroc

Dates

  • lundi 08 mai 2017

Mots-clés

  • entrepreneuriat environnemental, entrepreneuriat social, entrepreneuriat durable, Afrique

Contacts

  • Kany Abiba Touré
    courriel : entrepreneuriatsociale [at] universiapolis [dot] ma
  • Zineb Lebiad
    courriel : entrepreneuriatsociale [at] universiapolis [dot] ma

Source de l'information

  • Kany Abiba Nelly Carla Touré
    courriel : carla [dot] toure [at] yahoo [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Entrepreneuriat social, environnemental et durable », Appel à contribution, Calenda, Publié le jeudi 02 mars 2017, https://doi.org/10.58079/x3p

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