AccueilTerminologie(s) et traduction. Les termes de l’environnement et l’environnement des termes

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Terminologie(s) et traduction. Les termes de l’environnement et l’environnement des termes

Terminology and translation: Terms of environment/environment of terms

Langage(s), discours et traduction

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Publié le lundi 10 avril 2017

Résumé

Le colloque « Terminologie(s) et traduction » se situe dans la tradition des manifestations « Langage(s) et traduction », (reformaté ces dernières années comme « Langage(s), discours et traduction »). Cette édition est ciblée sur la terminologie (comme science / discipline d’enseignement) et les diverses terminologies (à domaines référentiels disjoints) en tant que telles, dans leurs relations à la traductologie et à la glottodidactique d’abord, et à un certain domaine d’expérience, dont procèdera le thème spécifique abordé, ensuite.

Annonce

13 - 14 novembre 2017, Université de Bucarest (Faculté de Langues et Littératures Etrangères, Université de Bucarest)

Organisation

Organisé par : les sections de LEA et de Traduction-Interprétation du Département de Langue et Littérature Française (DLLF), le Master de Traductions Spécialisées et Études Terminologiques (sigle roumain : MTSST) et le Master « Culture et Langage des Organisations Européennes » (CLOE), de la Faculté de Langues et Littératures Etrangères, conjointement au CRU (Centre de Réussite Universitaire) de l’Université de Bucarest, en partenariat avec l’AET (Association Européenne de Terminologie) et sous le patronage de l’AUF et du CEREFREA (Centre Régional Francophone de Recherches Avancées en Sciences Sociales) 

Argumentaire

Le colloque « Terminologie(s) et Traduction » se situe dans la belle tradition des manifestations « Langage(s) et traduction », que nous avons organisées tous les deux ans, depuis 2011, à l’Université de Bucarest (reformaté ces dernières années comme « Langage(s), Discours et Traduction »), davantage orientées vers l’interface linguistique/ traduction (littéraire ou spécialisée) que vers la terminologie en soi, voire vers des questions de linguistique fondamentale (figement, non-dit), dans leurs relations à la linguistique appliquée (traductologie, terminologie, langues de spécialités, glottodidactique : enseignement du FLE, enseignement du FOS).

Cette fois-ci, nous ciblerons la terminologie (comme science/ discipline d’enseignement) et les diverses terminologies (à domaines référentiels disjoints) en tant que telles, dans leurs relations à la traductologie et à la glottodidactique d’abord, et à un certain domaine d’expérience, dont procèdera le thème spécifique abordé, ensuite.

Ni le choix du thème spécifique ni le choix de la date de ce colloque ne sont innocents.

L’environnement est un de ces domaines transversaux au sujet desquels les décideurs nationaux, européens et internationaux, le milieu des affaires et l’opinion publique débattent et souvent se confrontent depuis longtemps, mais qui constitue une problématique plus que jamais actuelle. Sa terminologie se renouvelle constamment au fur et à mesure de l’apparition de nouveaux défis, ou au gré de l’émergence de réponses novatrices à d’anciennes menaces qui s’aiguisent à vue d’œil. Cette année, la 23e Conférence des Parties (COP 23) à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) sera organisée du 6 au 17 novembre, à Bonn, en Allemagne (président de cette session de la COP, pour la première fois dans l’histoire, un petit Etat insulaire: les îles Fidji, qui ont assumé et déclaré comme principal objectif de cette session, d’envisager les changements climatiques sous l’éclairage du développement durable). Notre colloque se tiendra donc parallèlement à cet important événement international.

Nous avons délibérément joué sur les diverses acceptions du mot environnement, pour relier entre eux deux thèmes centraux : la terminologie de l’environnement (domaine référentiel prioritairement ciblé), d’une part, et l’environnement des termes (problématique métalinguistique) de l’autre. Dans l’espoir de mettre en place des échanges pluri- et interdisciplinaires fructueux entre langagiers (terminologues, réviseurs, traducteurs, rédacteurs techniques, …) et linguistes – de diverses allégeances théoriques (allant de la TGT à démarche résolument onomasiologique et normative, à la socio-terminologie, à la théorie des portes de Theresa Cabré, à l’analyse de discours et/ou à la sémantique lexicale à la française), d’une part, et experts de l’environnement (géographes, écologistes, juristes, sociologues, économistes, …) ainsi que représentants de la société civile ou du milieu des affaires, de l’autre.

À une époque où les avis des linguistes sont plus que jamais partagés sur le statut épistémologique et théorique du lexème/ mot – ainsi que le prouvent les nombreuses manifestations portant explicitement sur ce sujet, rien qu’en 2017[1] – nous tiendrons pour acquis que les termes (pour les concepts généraux), à l’instar des appellations (pour les concepts particuliers ou : uniques[2]), et à l’instar des symboles écrits non verbaux (valant tant de concepts généraux[3] que d’individus ou : concepts particuliers[4]) sont des désignations lexicalisées (stables en mémoire des locuteurs et faisant l’objet d’un consensus socio-culturel ou socio-professionnel), à la différence des énoncés définitoires et autres descriptions et périphrases qui en seront les désignations en combinatoire plus ou moins libre. Termes et appellations sont en outre des dénominations (Kleiber 2001). Autrement dit, du moins à l’horizon des travaux de ce colloque, l’existence même de ces unités du lexique est censée être présupposée. Par contre, le colloque ciblera comme objet de recherche explicite leur contexte d’émergence et d’emploi (pour la portée du contexte dans l’analyse des termes, voir, entre autres, Raus 2013 et les références qui y sont citées).

Seront donc privilégiés les axes de réflexion suivants :

Terminologie de l’environnement

Études terminologiques, traductologie ; droit de l’environnement, sociologie de l’environnement, écologie…

  • présentation de projets terminographiques bi- ou multilingues dans le domaine de l’environnement (changements climatiques, protection de l’environnement, espèces envahissantes, etc.) ;
  • compilation de et analyse de corpus comparables bi- ou multilingues en matière d’environnement ; exploitation de tels corpus dans la traduction de textes spécialisés portant sur l’environnement ;
  • caractéristiques linguistiques et culturelles du discours de vulgarisation scientifique en fait d’environnement et/ou du discours officiel en matière de politiques environnementales ;
  • droit de l’environnement, sociologie de l’environnement, économie de l’environnement, géographie, écologie : études de cas ou aspects/ incidences théoriques (concernant notamment des développements plus récents en matière d’environnement, à l’échelon national, européen, mondial[5])

Environnement des termes

Études de linguistique appliquée – terminologie, terminographie, traductologie, apport de la terminologie à la glottodidactique, didactique de la terminologie – ou bien études culturelles et interculturelles, non limitées au domaine référentiel de l’environnement

  • co-texte d’attestation des termes : phraséologie, collocations spécialisées… ;
  • le texte spécialisé comme « environnement » étendu de termes, et sa traduction (vectorisation vers ou à partir de la L1, tout couple de langues) : commentaire de traductions publiées ; proposition d’une traduction/ retraduction inédite ; analyse de texte sur objectif de traduction (pour les traductions inédites proposée par les intervenants) ; compte-rendu de projets de traduction à intervenants multiples (exemple : traduction de l’acquis communautaire) ... ;
  • la langue de spécialité comme environnement sémiotique des termes, encore plus étendu (caractéristiques de telle ou telle autre langue de spécialité et/ou analyses de discours spécialisé (discours des experts, discours de vulgarisation), quel que soit le domaine référentiel) ;
  • contexte socio-culturel plus large
    • contexte d’émergence et d’implantation des termes : cadre normatif national, européen et international ; aménagement terminologique et politiques linguistiques … ;
    • contexte pédagogique : didactique de la terminologie (per se ou dans le cadre de dispositifs d’enseignement/ apprentissage de la traduction spécialisée) ; apport de la terminologie à la didactique des langues étrangères.

La traduction de textes littéraires fera l’objet de communications seulement dans la mesure où il s’agit de TS (textes sources) qui comportent des vocabulaires spécialisés (exemple : vocabulaire du bâtiment, de l’urbanisme et de l’architecture dans Tueur sans gages de Ionesco).

Langues du colloque

Le français. Autres langues de communication : l’anglais, le roumain.

Présentiels (papier ou Power Point) et résumés en français, pour les communications présentées en anglais ou en roumain. Traduction anglais-français ou roumain-français assurée (au besoin) par les organisateurs, contre remise des textes concernés (présentiels, résumés) dans les délais prévus.

Les communications en français seront pourvues d’un résumé en français et d’un abstract en anglais, pour la brochure de la conférence et pour les actes.

Conférenciers invités

(liste encore ouverte)

  • Eva Lavric (Université d’Innsbruck)
  • Henrik Nilsson (Centre National de Terminologie de Suède – Terminologicentrum TNC, Solna, président de l’Association Européenne de Terminologie)
  • Jordi Bover i Salvadó (TERMCAT, Barcelona – membre du Conseil d’administration et du Conseil de surveillance de TERMCAT)

Soumission des propositions

Les propositions (en français, roumain, anglais) comprendront :

  • un titre,
  • cinq mots clefs,
  • une bibliographie de quatre titres maximum
  • développement en 300 mots environ présentant la problématique, le cadre méthodologique, le corpus analysé, les principaux résultats escomptés.

Les auteurs sont priés d’indiquer de manière explicite la section à laquelle ils voudront s’inscrire.

Les propositions seront soumises avant le 15 juillet 2017

à l'une des adresses suivantes : ancamarinavelicu@gmail.com; soniaberbinski@yahoo.com

Organisation des interventions

  • Communications individuelles (25 minutes+5minutes discussions)
  • Conférences plénières (40 minutes + 5 minutes discussions)

Le comité d’organisation mettra à la disposition des participants l’offre d’hébergement pour la période du déroulement des travaux. Les frais de transport et d’hébergement sont (sauf spécification contraire) à la charge des participants.

Calendrier

  • 1er appel à communications : 30 mars 2017
  • 2ème appel à communications : 30 mai 2017
  • 3ème appel à communications – 30 juin 2017
  • Clôture : 15 juillet 2017
  • Notification aux auteurs : 25 août 2017
  • Présentiels et résumés à traduire en français dus : au plus tard le 25 octobre 2017
  • Travaux du colloque : 13-14 novembre 2017

Comité scientifique

  • Sonia Berbinski (Université de Bucarest)
  • Jordi Bover i Salvadó (TERMCAT, Barcelona)
  • Dan Dobre (Université de Bucarest)
  • Francis Grossmann (Université de Grenoble)
  • Georges Kleiber (Université de Strasbourg)
  • Eva Lavric (Université d’Innsbruck)
  • Henrik Nilsson (Centre National de Terminologie de Suède – Terminologicentrum TNC, Solna, président de l’Association Européenne de Terminologie)
  • Henri Portine (Université Bordeaux3, France)
  • Emmanuelle Simon (Université de Poitiers)
  • Agnès Tutin (Université de Grenoble)
  • Anca-Marina Velicu (Université de Bucarest)

Comité d’organisation

  • Sonia Berbinski (Université de Bucarest, DLLF, directrice du CRU)
  • Lidia Cotea (Université de Bucarest, directrice du DLLF)
  • Sandra Cuadrado (TERMCAT, Barcelona, secrétaire de l’EAFT)
  • Anca-Marina Velicu (Université de Bucarest, DLLF, MTSST)
  • Lucia Visinescu (Université de Bucarest, DLLF, MTSST)

Frais de participation

Les frais de participation de 80 Euros couvrent la publication des Actes du colloque et un dîner festif. Les modalités de paiement seront indiquées après l’acceptation de la proposition, avant le 25 août 2017.

Membres de l’AET : frais de participation : 30 €, dîner festif 25 € (optionnel).

Contact

(organisation et coordination scientifique)

  • Anca-Marina Velicu, Université de Bucarest, ancamarinavelicu@gmail.com  
  • Sonia Berbinski, Université de Bucarest : soniaberbinski@yahoo.com

Fiche d’inscription 

Nom :

Prénom :

Intitulé de la communication :

Affiliation :

Statut (enseignant, chercheur, doctorant, etc.) :

Courriel :

Adresse professionnelle :

Adresse personnelle :

Tél. (facultatif) :

Références

CABRÉ, Maria Theresa (2000) – « Terminologie et linguistique : la théorie des portes », Terminologies Nouvelles N° 21, Agence de la Francophonie et Communauté française de Belgique, pp. 10-15, http://www2.cfwb.be/franca/termin/charger/rint21.pdf (déchargé le 20 février 2017).

CHOMSKY, Noam (2001) – “Derivation by phase”, in: Ken Hale: A life in language, ed. Michael Kenstowicz, pp. 1-52. Cambridge, MA: MIT Press

CHOMSKY, Noam (2008) – “On phases”, in: Foundational issues in linguistic theory, eds. Robert Freidin, Carlos P. Otero, and Maria Luisa Zubizarreta, pp. 133-166. Cambridge, MA: MIT Press

GAUDIN, François (2003) – Socioterminologie, une approche sociolinguistique de la terminologie, Bruxelles : Duculot De Boeck

HALLE, Moris and MARANTZ, Alec (1993) – “Distributed Morphology and the Pieces of Inflection”, in: Hale, Keneth and Samule J. Keyser 1993 (eds) – The View from Building 20, Boston: the MIT Press, chap. 3

KLEIBER, Georges (2001) – « Remarques sur la dénomination », Cahiers de praxématique [En ligne], 36 | 2001, document 1, mis en ligne le 01 janvier 2009, consulté le 18 mars 2017. URL : http://praxematique.revues.org/292

ISO 704/2000 – Travail terminologique – Principes et méthodes, 2ème édition

LAMB, Sydney M. (1999) – Pathways of the Brain. The Neurocognitive Basis of Language, Amsterdam/ Philadelphia: John Benjamins Publishing Company

MARANTZ, Alec (1997) "No Escape from Syntax: Don't Try Morphological Analysis in the Privacy of Your Own Lexicon," University of Pennsylvania Working Papers in Linguistics: Vol. 4 : Iss. 2 , Article 14. 

Available at: http://repository.upenn.edu/pwpl/vol4/iss2/14

RAUS, Rachele (2013) –  « Terminologie, traduction et discours », La terminologie multilingue, Bruxelles, De Boeck Supérieur, « Traducto », 2013, p. 7-9.

URL : http://www.cairn.info/la-terminologie-multilingue--9782804175313-page-7.htm

WÜSTER, Eugen (1979) Einführung in die allgemeine Terminologielehre und terminologische Lexikographie, 1e éd., Vienne : Springer ; 1985, 2e éd., København : The LSP Centre, Unesco Alsed Lsp Network, Copenhagen School of Economics ; 1991, 3e éd., Bonn : Romanistischer Verlag.

Notes 

[1] Lecolloque « Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie », organisé au mois de mai 2017 par L’équipe de recherche sur le statut du mot dans le langage humain à l’Université McGill, au Canada, dans le cadre du 85e Congrès de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) se propose explicitement sinon de trouver un parfait consensus théorique, au moins d’aboutir à une meilleure compréhension de cette unité fondamentale, qui compte parmi les constructions les plus intuitives pour les locuteurs d’une langue (http://linguistlist.org/callconf/call-action.cfm?ConfID=272796) ; de ce côté-ci de l’Atlantique, „Roots V”, colloque organisé en juin 2017 par les Départements de Linguistique de la Queen Mary University of London et respectivement de l’University College London débattra spécifiquement de la question de savoir si les « pures » racines (par hypothèse dépourvues de traits catégoriels) postulées par la Morphologie Distribuée (dont les hypothèses – voir Halle & Marantz 1993 – ont fini par être intégrées aux dernières versions de la grammaire générative chomskyenne – voir Chomsky 2001, 2008) sont ou non des mots/ lexèmes, et à quel point elles sont prédéterminées pour certains environnements syntaxiques.

[2] Représentations mentales multimodales d’individus particuliers (au sens de la neurolinguistique connexionniste – voir Lamb 1999). La terminologie normative classique orientée concept oppose la notion de <concept général> non pas directement les individus particuliers (niveau ontologique des objets du monde non seulement extralinguistique mais aussi voire surtout : extra-mental, extérieur à l’esprit du sujet en général), mais aux <concepts particuliers> (appelés aussi concepts uniques) – voir norme ISO 704/2000.

[3] Ruban de Möbius pour signaler l’aptitude au recylage, croix/ croissant rouge, €, £, $, …

[4] Le fameux Love Symbol #2 – imprononçable – choisi par Prince pour nom de scène en 1993 :

[5] Environnement et ODD (objectifs mondiaux de développement durable –adoptés le 25 septembre 2015), critères environnementaux, sociétaux et de gouvernance (ESG – au sens de la cible 12.6 des ODD pour les sociétés, notamment pour les grandes multinationales), biodiversité (nouvelles menaces, nouvelles mesures de protection ; trafic d’espèces sauvages (terme IATE de la semaine 27 février- 5 mars, le 3 mars ayant été institué par l’ONU, dès 2014, comme journée internationale de la vie sauvage…) etc.

[6] The symposium « Le mot : syntaxe, morphologie et phonologie », organized in May 2017, by the Word’s structure research group, at the McGill University (Canada), in the context of the 85th Congress of the Acfas (Association francophone pour le savoir) explicitly wants, if not to obtain a perfect consensus between researchers, at least to get a better understanding of this basic unit of human cognition, which belongs to the most intuitive constructions for the speakers of almost any given language (http://linguistlist.org/callconf/call-action.cfm?ConfID=272796); on our side of the Atlantic Ocean, the “Roots V” conference, organized in June 2017, by the Linguistics Departments of Queen Mary University of London and of University College London respectively, is specifically addressing the question of pure roots (by hypothesis lacking any category feature) in the vein of the Distributed Morphology (see Halle & Marantz 1993, Marantz 1997, whose ideas were more or less integrated into the phases model of the generative grammar’s Minimalist Program – Chomsky 2001, 2008), that is the question of knowing in what measure roots are predetermined for certain syntactic environments, and if they can be assimilated to words (in any traditional sense).

[7] Multimodal mental representations of individuals, in the vein of connectionist neurolinguistics networks (Lamb 1999). Classic normative concept oriented terminology opposes general concepts not directly to individuals (which belong to the ontology-level of objects vs concepts, that is which are not only outer-linguistic but also extra-mental entities), but to individual concepts. See ISO 704/ 2000.

[8] A Möbius loop used to indicate a product is both recyclable and contains recycled content, the red cross/ red crescent, €, £, $, …

[9] The famous unpronounceable Love Symbol #2 Prince had chosen as its stage name after 1993:

Lieux

  • secteur 1, Faculté des Langues et Littératures Etrangères, siège du CRU, salles 402/404 - 3-5 rue Edgar Quinet
    Bucarest, Roumanie (011266)

Dates

  • samedi 15 juillet 2017

Mots-clés

  • terminologie, environnement, linguistique, traduction, interdisciplinarité, politique linguistique

Contacts

  • Sonia Berbinski
    courriel : sonia [dot] berbinski [at] lls [dot] unibuc [dot] ro

URLS de référence

Source de l'information

  • Sonia Berbinski
    courriel : sonia [dot] berbinski [at] lls [dot] unibuc [dot] ro

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Terminologie(s) et traduction. Les termes de l’environnement et l’environnement des termes », Appel à contribution, Calenda, Publié le lundi 10 avril 2017, https://doi.org/10.58079/xe9

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