AccueilNature et ville : regards croisés franco-lusophones

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Nature et ville : regards croisés franco-lusophones

Nature and city conference - Franco-Lusophone comparative approaches

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Publié le mercredi 21 juin 2017

Résumé

Modification du climat, diminution de la biodiversité, standardisation des paysages : dans un monde de plus en plus urbanisé, ne faut-il pas examiner en quoi ces enjeux environnementaux concernent les villes, où qu’elles se trouvent dans le monde et quelle que soit leur taille ? Réciproquement, quand les autorités locales s’emparent des questions de nature, sous la pression des populations ou par la force des modèles d’écocités, n’aborde-t-on pas simultanément des questions écologiques et d’autres qui relèvent de l’urbanisme et de la promotion d’un territoire ?

Annonce

Argumentaire

Objet scientifique et objectifs du colloque

Depuis dix ans, des chercheurs brésiliens et français en urbanisme et aménagement du territoire ont établi des liens de coopération et d’échange afin de réfléchir ensemble aux enjeux contemporains de la ville et à ses défis futurs. Des Dialogues franco-brésiliens en aménagement et urbanisme se sont tenus alternativement dans les deux pays : Paris (2011), São Paulo (2012), Lille (2014), Salvador de Bahia (2009, 2016).

Désormais, ces Dialogues sont animés par les deux associations qui rassemblent chacune les instituts d’urbanisme et aménagement francophones et brésiliens, l’APERAU Internationale, Association pour la Promotion de l’Enseignement et de la Recherche en Aménagement et Urbanisme, et l’ANPUR, Associação Nacional de Pósgraduação e Pesquisa em Planejamento Urbano e Regional.

Le principe de l’élargissement des Dialogues aux deux aires culturelles de la francophonie et la lusophonie a été arrêté à Lille en 2014 et réaffirmé en juin-juillet 2016, à l’occasion de la quatrième édition des Dialogues de Bahia et du World Planning Schools Congress de Rio de Janeiro.

Il s’agit, à travers l’utilisation du français et du portugais, de promouvoir, à l’échelle globale des aires culturelles dans lesquelles s’inscrivent ces deux langues, les échanges scientifiques relatifs aux enjeux contemporains posés, au nord comme au sud, par la ville. Les chercheurs en urbanisme, aménagement du territoire et planification territoriale de ces deux aires culturelles déclarent ainsi leur volonté commune de nourrir le débat scientifique sur le devenir des villes, confrontées aux enjeux globaux et locaux, que ceux-ci soient climatiques, sociaux, économiques, culturels...

Les pays et territoires qui se trouvent dans ces deux aires linguistiques représentent à coup sûr un éventail très large de situations, propice aux comparaisons, aux mises en perspective et aux échanges. Aussi le principe est-il, pour chaque proposition, d’associer autant que faire se peut au moins un intervenant lusophone et un intervenant francophone. En effet, les communications doivent privilégier si possible les approches comparatives, ou  à tout le moins permettre la mise en perspective de sujets qui seraient spécifiques à l’un ou à plusieurs des pays du monde lusophone ou de la sphère francophone. Ces 5èmes  Dialogues doivent être l’occasion de valoriser la comparaison, l’échange d’expériences socialement significatives, de méthodes de travail, etc., grâce à un débat fécond entre les intervenants.

Pour l’édition 2018, nous proposons comme orientation d’ensemble le thème des rapports entre ville et nature

Le colloque vise à poursuivre et à compléter l’effort de réflexion sur la relation espace-société-environnement déjà mené par de nombreux chercheurs, selon une perspective interdisciplinaire, internationale et comparative. L’objectif est de rassembler des chercheurs ou praticiens intéressés par le croisement des questions urbaines et environnementales, et mobilisant aussi bien les apports des sciences de la nature  que des sciences humaines et sociales. D’une approche interdisciplinaire large, il est attendu un renouvellement des méthodes et questionnements suscités par les rapports entre espace, société et environnement en contexte urbain, lato sensu. Le colloque vise à mieux articuler la compréhension des phénomènes spatiaux, aux différentes échelles territoriales, et la réflexion sur l’action visant la transformation ou la réorganisation des espaces urbanisés. Il sera l’occasion de dresser un bilan partagé des connaissances concernant les pays aussi bien africains qu’européens ou américains du nord et du sud des deux aires concernées.

Questionnements :

Dans un contexte fortement marqué par des perturbations globales allant du changement climatique aux mutations urbaines profondes, liées notamment au phénomène de la métropolisation en tant que traduction spatiale de la globalisation, de nombreuses questions ont surgi ces dernières années qui procèdent d’une interrogation plus générale sur le contenu et les évolutions des rapports entre ville et nature. Au demeurant, les impacts de la globalisation et les perturbations globales (modification du climat, raréfaction des ressources, diminution de la biodiversité, standardisation des paysages …) s’expriment également à travers des impacts directs et indirects sur les villes intermédiaires, moyennes et petites.

C’est ce qui explique l’importance prise ces dernières années par un questionnement sur la réalité des rapports de complémentarité et/ou d’opposition entre ville et nature. Ceci se vérifie dans les aires culturelles de la francophonie et de la lusophonie, mais avec des approches souvent différentes, les différences tenant à la fois au contexte sociétal, aux trajectoires du développement urbain et à la diffusion de modèles de « nature urbaine » spécifiques (on peut penser ici, par exemple, à l’influence considérable d’un Burle Marx sur la façon d’intégrer la nature dans l’espace public des villes brésiliennes). En conséquence, le colloque a pour première finalité de permettre une confrontation entre les différentes appréhensions des rapports ville-nature au sein des deux aires culturelles.

Toutefois, aborder la question des rapports ville-nature, telle qu’elle se pose dans les deux aires culturelles et dans les pays qui s’y rattachent, ne doit pas conduire à faire abstraction des spécificités internes à ces deux aires et à ignorer la diversité des approches que l’on peut rencontrer de part et d’autre, que l’on soit au Maroc, au Brésil, en Belgique ou au Mozambique, en Suisse ou dans tout autre pays luso- ou francophone. En outre, par son ampleur, cette question posée en priorité aux aménageurs-urbanistes, fait appel aux apports de nombreuses disciplines voisines, comme l’Écologie urbaine, l’Écologie du paysage, la Géographie, la Sociologie, l’Économie, la Science politique ou encore l’Architecture, dans une perspective d’interdisciplinarité. Le colloque est donc totalement ouvert à ces disciplines.

Axes thématiques proposés

Sans aucune exclusive à l’égard de questionnements plus spécifiques, il est souhaité que les propositions puissent s’inscrire dans l’un des trois axes thématiques suivants :

1° Dynamiques des rapports ville-nature

Cet axe intègre une liste de questionnements qui concernent à la fois les incidences de l’urbanisation, des activités urbaines, et de l’aménagement, sur les écosytèmes. De quelle façon ceci amène-t-il à imaginer la ville autrement ? Participent de cet axe des réflexions et analyses, proposées ici de façon non exhaustive, sur l’étalement urbain, ses modalités et ses impacts sur les espaces naturels et agricoles et la dynamique des milieux (terrestres ou aquatiques), sur la place de la nature dans le design urbain et plus généralement le paysage urbain et périurbain, sur la création des corridors écologiques (tels qu’en France les Trames Vertes et Bleues) et des actions visant le maintien d’espaces naturels en ville.

Par leurs dynamiques propres, les espaces agricoles ou les réseaux écologiques imposent des contraintes aux espaces urbanisés, ce qui remet en cause la conception et la forme de ceux-ci. En outre, l’espace urbain ne peut être considéré comme un « désert écologique » : les fronts d’eau, les bords de fleuve, les délaissés, les friches, les espaces forestiers ou agricoles sont autant d’écosystèmes intra-urbains, certes soumis à une forte incidence anthropique, mais abritant néanmoins une biodiversité importante. La compréhension de ces espaces à l’échelle locale ou plus globale ouvre des perspectives pour de nouvelles méthodes de préservation des espaces naturels mais aussi de valorisation touristique, auxquelles il est également possible de consacrer des communications.

2° La nature, atout ou menace pour la ville

La nature est souvent perçue comme ressource à mobiliser pour un mieux vivre ensemble en ville. La notion de service écosystémique peut être ici convoquée pour analyser comment les espaces non bâtis et végétalisés, les espaces agricoles résiduels ou encore les milieux aquatiques, sont pris en compte dans les plans et projets d’aménagement. Il s’agit de dépasser une approche strictement écologique de la nature pour s’interroger sur les fonctions multiples qu’elle peut remplir dans un contexte urbain (amélioration du bien-être et de la santé, esthétique, espace nourricier, espace de rencontre et de fabrication de lien social, protection face au risque ou à la formation d’ilôts de chaleur…). Par ailleurs, la vision d’une nature-ressource peut aussi être posée dans une approche patrimoniale, comme bien commun à préserver ou à restaurer.

Toutefois, la nature peut également être associée aux menaces qu’elle fait peser sur la ville, inhérentes à l’intensité plus ou moins forte de risques divers, tels que les inondations, le changement climatique, les séismes… Ces menaces, d’autant plus fortes qu’elles peuvent parfois se

conjuguer avec de forts risuqes industriels, appellent en retour une réflexion sur l’adaptation de la ville aux risques « naturels » à travers des actions d’aménagement, que ce soit dans une perspective d’atténuation du risque ou de réduction de la vulnérabilité de la ville, qui peut aller jusqu’à repenser le modèle de développement urbain.

Il y a donc là un axe à part entière de réflexion qui concerne une nature urbaine « Janus », aux deux visages. Il est attendu que les propositions de communication puissent rendre compte de la façon dont cette dualité est appréhendée par les théoriciens ou praticiens.

3° Nature vécue et nature agie : représentations vs action publique

Peut-on parler d’une congruence ou au contraire d’un hiatus entre les perceptions et représentations des rapports ville - nature d’une part, et les actions et stratégies des acteurs de la fabrique de la ville, d’autre part ?

En premier lieu se pose la question de l’émergence d’un « désir de nature » et de la formation d’une demande sociale de nature chez les habitants ou les usagers au sein des deux aires culturelles ; ce qui conduit à s’interroger sur les perceptions et les représentations de la nature, chez les habitants comme chez les producteurs du cadre bâti. Peut-on à cet égard discerner des différences de perspective ou au contraire des communautés de vision, qui induiraient différentes façons « d’instrumentaliser » la nature dans les opérations et projets d’aménagement urbain ?

Mais, en second lieu, se pose également la question des impacts de la « mise en nature » ou en paysage de la ville sur son organisation socio-spatiale. Quels en sont les effets en termes de fragmentation urbaine, de gentrification, et d’inégalités d’accès à la nature et ses services ? Ce type de question nous renvoie plus globalement à des interrogations sur ce que peut recouvrer la notion de « justice environnementale urbaine » et la façon dont elle peut être prise en compte dans la conception et la mise en œuvre de l’action urbanistique.

Un autre volet de cet axe concerne enfin les modalités-mêmes de l’action sur la nature urbaine : sur les plans institutionnels et politiques, quels sont les facteurs qui président à l’élaboration d’une politique ou d’un projet de préservation de la nature ou de renaturation en ville ? Quels sont les obstacles rencontrés ? Voit-on émerger à travers politiques et projets de nouveaux modèles de développement urbain circulant à l’échelle internationale, pouvant aller jusqu’à de véritables ruptures dans les pratiques passées ?

S’interroger sur les rapports ville – nature, dans une perspective praxéologique, ne peut faire non plus l’économie d’une réflexion sur la place de la nature dans les utopies urbaines, tout comme sur le rôle qu’elle peut jouer dans la construction, planifiée ou non, d’une identité urbaine. Il est d’ailleurs aisément vérifiable que la nature et le paysage

sont de plus en plus souvent présents au cœur du projet urbain, les paysagistes étant directement sollicités pour son élaboration et consultés pour l’élaboration des documents d’urbanisme de l’échelle régionale à l’échelle locale. Que peut-on en déduire quant aux mutations de l’urbanisme contemporain ?

Dès lors que l’on évoque les stratégies urbaines et l’action publique, la question de la gouvernance occupe une place essentielle : Quelles sont les nouvelles formes de gouvernance induites par la prise en compte de la nature urbaine dans l’action publique locale ? En quoi les projets de nature en ville sollicitent-ils ou entraînent-ils plus de participation citoyenne, sous des formes nouvelles ? Y-a-t-il de nouveaux acteurs à prendre place sur la scène de l’action publique ?

Enfin, dès lors que la nature en ville incorpore le champ d’action des urbanistes, on ne peut manquer de s’interroger sur son statut de « bien commun », alors que les espaces dits « naturels » sont de plus en plus soumis à des processus de privatisation, via l’action des groupes immobiliers. On peut à cet égard se demander jusqu’à quel point il peut y avoir  «instrumentalisation» de la «nature» à des fins d’attractivité et de compétitivité urbaine à travers différentes pratiques telles que, les éco-quartiers, les opérations de verdissement, la valorisation et l’aménagement d’espaces naturels, la recherche «d’aménités vertes», etc.

Au total, cet axe renvoie à une multiplicité d’interrogations qui concernent aussi bien la dimension  substantielle de l’action, celle qui touche au contenu de l’intersection des trois piliers du développement durable,  que sa dimension procédurale.

L’ensemble des questions évoquées dans cet appel (tout comme celles connexes qui n’y sont pas explicitées) peuvent être abordées à différentes échelles, que ce soit celle de l’ilôt et du quartier, du cadre de vie de l’habitant, à celles de la ville, de l’agglomération, et plus largement à celle de l’aire fonctionnelle urbaine ou encore de la région métropolitaine, en tant que système urbain polycentrique. Quant à la nature, elle peut également être appréhendée sous différentes dimensions qui vont de la biodiversité au paysage, en passant par les espaces verts, les écoystèmes et les services qu’ils rendent.

Il importe que les propositions, quel que soit leur objet, répondent au souci de mettre à jour à la fois les invariants et les différences dans la façon d’appréhender – et d’agir sur -  les rapports ville – nature dans les pays qui composent les aires culturelles francophones et lusophones, et au-delà de penser comment peuvent s’articuler les actions sur les espaces urbains et « naturels ».

Modalités de soumission

Format : (outre les indications qui suivent, le modèle de mise en page proposé ci-dessous peut aider les auteurs respecter le format)

Organisé en France, la publication des actes, si elle est possible, se fera cette fois-ci en français. La rédaction dans cette langue est donc attendue, mais deux versions, en français et en portugais sont possibles, si les auteurs le peuvent. La version portugaise suit les indications ci-dessous données pour la version française. Les organisateurs remercient les auteurs de respecter les consignes de mise en page, afin de limiter les interventions ultérieures, et donc les risques d’erreur sur les textes.

Recommandations aux auteurs pour la mise en page :

Chaque auteur fournit le jour du colloque 20 exemplaires minimum de son texte, pour distribution en séance.

  • Marges de 2,5 cm à droite et à gauche, en haut et en bas. Texte justifié à droite et à gauche, y compris les résumés.

Sur la première page :

  • Titre en français (Gras Times 12) et portugais (Times 12), Titres centrés après avoir passé 4 lignesblanches de 12 points d’épaisseur)
  • Auteurs centrés en gras (Times 12), en dessous statut & rattachement université en italique (Times 10), en dessous laboratoire ou équipe de recherche ou autre précision nécessaire. Le tout est centré.

Prénom NOM

Statut & rattachement universitaire

Nom laboratoire etc.

  • Résumé en trois langues : portugais (1 200 caractères), français (600 caractères espaces compris), anglais (600) en Times 10, précédé du titre en anglais. (Pour une version en portugais, d’abord résumé en français en 1 200 caractères, puis en portugais (600) et en anglais (600).
  • Mots clefs : 4 en français, en portugais et en anglais (en Times 10) après chaque résumé de chaquelangue. Un interligne entre chaque bloc Résumé/mots-clefs.

L’article commence sur la seconde page, après titres et résumés de la première

  • Corps du texte : 45 000 signes maximum (espaces compris) (= environ 12 pages en Times 12) hors résumé et bibliographie. Mise en page : un interligne entre chaque paragraphe et retrait de la premièreligne de 1cm. Maximum 3 niveaux de numérotation de partie (1 ; 1.1 ; 1.1.1)

1. Titre de la partie en gras souligné sans retrait par rapport à la marge (interligne de 6 points

après, avant début texte) (même chose intitulé introduction et conclusion, début et fin article)

1.1. Titre de la sous partie en gras retrait et 1cm par rapport à la marge (interligne 6 points

après, avant début texte)

1.1.1. Dernier niveau numérotation en écriture normale et 1cm par rapport à la marge (interligne de

6 points après, avant début texte)

Espace deux lignes entre deux parties (niveau 1),

Espace une ligne entre deux sous parties (niveau 2),

« Citations en italique et entre guillemets ». Mots en portugais dans texte français en italique (sans guillemets), et réciproquement dans une éventuelle version portugaise.

Les rappels d’auteurs se font comme suit (Dupont, 2010), (Dupont, 2010 a), (Dupont 2010 b) si plusieurs références dans une même année, (Dupont A., 2010), (Dupont G., 2011), si homonymie, même si années différentes). Ces rappels renvoient à la bibliographie.

Tant que faire se peut, éviter les notes infrapaginales, surtout pour de trop longues précisions. Les notes infrapaginales ne peuvent avoir qu’un caractère ponctuel. Elles sont numérotées en chiffres avec l’outil proposé par Word.

  • Bibliographie : 1 page maximum en Times 10, interligne de 6 après chaque référence ; chaque référence est précédée d’un tiret et d’un espace simple (- Dupont P., 2010, titre ouvrage, chapitre ou article. In « titre de l’ouvrage » ou revue, 4/2012, pp 23-35).
  • Figures et tableaux de données : L’ensemble résumé+texte+bibliographie est estimé ici à 14 pages selon les normes indiquées. Tout compris, avec les figures et tableaux de données, l’article peut atteindre 15 pages maximum pour un article, volume à ne pas dépasser.

Au-delà de 1 page de figure ou tableaux, déduire le volume de texte correspondant dans le texte principal

(1 page pleine = 3 500, une demi page = 1 700 caractères espaces compris). Attention : les figures (cartes, photos…) doivent être reproductibles en noir & blanc (les auteurs doivent s’assurer de la qualité en N&B des figures qu’ils proposent). Elles doivent avoir, ainsi que les tableaux, une taille suffisante (notamment les légendes et les textes) pour un maximum de lisibilité. Des figures illisibles peuvent amener le comité scientifique à refuser un article.

Les figures, qu’il s’agisse de cartes, graphiques, photographies ou autre sont numérotées selon un système unique : fig 1, fig.2, etc.
Les tableaux sont numérotés selon un système spécifique (tab.1, tab.2, etc.).

Modèle de mise en page : titre centré après 4 lignes blanches épaisseur 12 points
Centralité, projet métropolitain et mutation urbaine :l’exemple de la métropole lilloise. (times 12 gras)
Le même titre en portugais (times 12 normal)
Pierre Dupont (times 12)
Professeur d’aménagement-urbanisme à l’Université de …..,
Laboratoire …….
Résumé portugais : (times 10)
Times 10 x xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxx x
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxx

Mots clefs portugais : Times 10 zzzzz, rrrrrrrr, tttttttttt, yyyyyyyyyyyyyyyy,

Résumé français:
Times 10 x xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxx x
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxx

Mots clefs : Times 10 zzzzz, rrrrrrrr, tttttttttt, yyyyyyyyyyyyyyyy,

Tittle in English Times 10 Tittle in English Times 10 Tittle in English Times 10 Tittle in English Times 10
Abstract :
Times 10 x xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxx x
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxx

x Key words : Times 10 zzzzz, rrrrrrrr, tttttttttt, yyyyyyyyyyyyyyyy,

Introduction :
x xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxx xxx xxxxxxx xxxx x xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
1. Titre de partie
1.1. Titre de sous partie
1.1.1. Intitulé dernier niveau
yyyyyyyyy yyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyy yyyyyyyyyy yyyy
yyyyyyyyy yyyyyy
1.1.2. Intitulé dernier niveau de numérotation
yyyyyyyyy yyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyy yyyyyyyyyy yyyy
yyyyyyyyy yyyyyy
1.1.3. Intitulé dernier niveau de numérotation
yyyyyyyyy yyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyy yyyyyyyyyy yyyy
yyyyyyyyy yyyyyy
1.2 Titre de sous partie
yyyyyyyyy yyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyy yyyyyyyyyy yyyy

yyyyyyyyy yyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyy yyyyyyyyyy

2. Titre de partie

Xxx xxxxxx xxxxxx xxxxxxxx « et voici la citation d’un auteur » (Dubois, 2010).

Yyyyyyyy yyyyyyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyyyyyyy xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

xxxxxxxxxxxxx xxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxxxxx xxxxxxxxx et voici un mot en portugais que l’on écrit en italique Bossa Nova pour le distinguer du français, idem pour mot en français dans version en portugais.

Conclusion

yyyyyyyyy yyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyy yyyyyyyyyy yyyy

yyyyyyyyy yyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyy yyyyyyyyy yyyyyyyy yyyyyyyyyy

2 Ne pas abuser des notes infrapaginales

Comité scientifique :

  • Ana Fernandes, Pr, Université Fédérale de Bahia
  • Nadia Somekh, Pr, Université Mackensie, São Paulo
  • Valter Caldana, Pr, Université Mackensie, São Paulo
  • João Rovati, Pr, Faculté d’Architecture de l’Université fédérale du Rio Grande do Sul ANPUR
  • Camila d’Ottaviano, Pr, Faculté d’Architecture et d’Urbanisme, Université de São Paulo, ANPUR
  • Mauricio Chagas, Pr, Université Fédérale de Bahia
  • Eduardo Nobre, Pr, Faculté d’Architecture et d’Urbanisme, Université de São Paulo, ANPUR
  • Lúcia Zanin Shimbo, Pr,  Institut d’Architecture et d’Urbanisme de l’Université de São Paulo, ANPUR
  • Tomás Antonio Moreira,  Pr, Institut d’Architecture et d’Urbanisme de l’Université de São Paulo, ANPUR
  • Edna Castro, Pr, Núcleo de Altos Estudos Amazônicos, Université Fédérale du Pará (UFPA), ANPUR
  • Paulo Pinho, Pr, Université d’Ingénierie de Porto

Pour les parties francophones :

  • Didier Paris, Pr, Université de Lille, Laboratoire TVES, APERAU
  • Florine Ballif, Mcf, IUP, Université de Paris-Est Créteil, laboratoire LABURBA, APERAU
  • Jean-Pierre Frey, Pr,  IUP, Université de Paris-Est Créteil, Laboratoire LAVUE, APERAU
  • Christophe Demazière, Pr, Université de Tours, Laboratoire CITERES, APERAU
  • Jean-Paul Carrière, Pr, Université de Tours, Laboratoire CITERES, APERAU
  • José Serrano, Pr, Université de Tours, Laboratoire CITERES, APERAU
  • Marion Brun, Université de Tours, Laboratoire CITERES
  • Franck Scherrer, Pr, Université du Québec à Montréal, APERAU
  • Francesca Di Pietro, Mcf, Université de Tours, Laboratoire CITERES
  • Jean-Louis Yengue, Mcf, Université de Tours, laboratoire CITERES
  • Laura Verdelli, Mcf, Université de Tours, Laboratoire CITERES, APERAU
  • Divya Leducq, Mcf, Université de Tours, Laboratoire CITERES, APERAU, CORUM
  • Evelyne Gauché, Mcf, Université de Tours, laboratoire CITERES
  • Helga Scarwell, Pr, Université de lille1, Laboratoire TVES, APERAU
  • Abdelillah Hamdouch, Pr, Université de Tours, laboratoire CITERES, APERAU
  • Anne Latendresse, Pr, Université de Québec à Montréal
  • Marion Amalric, Mcf, Université de Tours, laboratoire CITERESMario Carrier, Pr, Université Laval, ESAD, Québec, APERAU
  • Geneviève Cloutier, Pr, Université Laval, ESAD, Québec, APERAU
  • André Torre, DR, Agroparistech, Paris
  • Sylvie Paré, Pr, Département d’études urbaines et touristiques (DEUT) de l’UQAM, APERAU
  • Danielle Labbé, Pr, École d’urbanisme et d’architecture de paysage, Université de Montréal,APERAU
  • Lise Bourdeau-Lepage, Pr, Université de Lyon 3, ASRDLF
  • Hichem Rejeb, université de Sousse, Tunisie, APERAU
  • Imène Zhouia, ISTEUB, APERAU

Comité d’organisation :

  • Jean-Paul Carrière
  • José Serrano
  • Marion Brun
  • Abdelillah Hamdouch
  • Divya Leducq
  • O.Plea
  • Christophe Demazière
  • Amélie Robert
  • Matthias Wantzen
  • Jean-Louis Yengué
  • Francesca Di Pietro
  • Laura Verdelli
  • Evelyne Gauché
  • Marion Amalric
  • Karine Hochart
  • Sabine Bouché-Pillon

Calendrier :

  • Première diffusion information du colloque :  avant le 20 mai 2017
  • Mise en place site internet : juin 2017
  • Seconde diffusion : octobre 2017
  • Limite des résumés des propositions :

15 Novembre 2017

  • Avis du comité scientifique sur les propositions : 31 janvier 2018
  • Remise définitive des textes : 1er Mai 2018

Contacts :

  • Karine Hochart, doctorante en aménagement de l’espace et urbanisme : karine.hochart@etu.univ-tours.fr
  • Jean-Paul Carrière, Professeur émérite en aménagement de l’espace et urbanisme : carriere@univ-tours.fr

Site web du colloque : https://natureetville.sciencesconf.org

Lieux

  • Tours, France (37)

Dates

  • mercredi 13 juin 2018

Fichiers attachés

Mots-clés

  • ville, nature, amenagement, urbanisme, biodiversité ,territoire, ecologie

Contacts

  • Abdelillah Hamdouch
    courriel : abdel-illah [dot] hamdouch [at] univ-tours [dot] fr

URLS de référence

Source de l'information

  • Muriel Hourlier
    courriel : hourlier [at] univ-tours [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Nature et ville : regards croisés franco-lusophones », Appel à contribution, Calenda, Publié le mercredi 21 juin 2017, https://doi.org/10.58079/xxx

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