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  • Béja

    Appel à contribution - Histoire

    Frontières et régions frontalières

    La notion de limite d’État est présente dès l’Antiquité. En effet, l’Empire romain est bordé, à partir du Ier siècle, par un limes, ligne de postes fortifiés permettant de contrôler et de repousser les populations « barbares » vivant de l’autre côté. Par endroit, il s’agit d’une ligne continue. Ainsi, entre 122 et 127, l’empereur Hadrien fait édifier un mur de 117 kilomètres entre l’Angleterre et l’Ecosse actuelles. Au VIe siècle, l’historien byzantin Procope de Césarée distingue bien la romaion gè (terre des Romains) et les autres régions situées au-delà. Le mot « frontières » apparaît en français au XIIIe siècle. Il dérive du terme militaire « front » désignant la zone de contact avec une armée ennemie. L’acception actuelle se fixe progressivement à partir du XIVe siècle, à mesure que les pouvoirs étatiques se renforcent et qu’ils soumettent les territoires dépendant d’eux à des lois et à des impôts. Le progrès des techniques cartographiques et les travaux des ingénieurs topographes qui se développent à l’époque moderne permettent aux dirigeants de mieux définir les limites de leurs territoires et de mieux les contrôler. Cependant la fixation des frontières n’est pas uniforme dans le temps et, au XXe siècle, certains pays, en proie à des difficultés politiques ou économiques, n’ont pas encore exactement précisé l’emplacement de leurs confins.

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  • Yaoundé

    Appel à contribution - Religions

    Géopolitique du fait religieux au Cameroun

    Ce projet d’ouvrage, sur la Géopolitique du fait religieux au Cameroun, veut élargir la notion de Géopolitique des religions d’Yves Lacoste (2002). Si ce dernier la circonscrit autour de territoires physiques avec expression d’une violence ouverte, nous entendons davantage la géopolitique du religieux comme l’analyse des rapports de forces de groupes se revendiquant religieux, pour la conquête de territoires physiques et symboliques, avec expression d’une violence protéiforme - ouverte, symbolique ou sournoise. Quant aux territoires de Dieu (Lasseur, 2005), qui font ainsi l’objet de rivalités de pouvoirs, ils concernent des espaces physiques, mais aussi des territoires symboliques.

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  • Appel à contribution - Religions

    Pérennité du mythe

    Numéro spécial revue Religiologiques

    Paru il y a maintenant deux décennies, le volume 10 (1994) de la revue Religiologiques se proposait de « braver une indéfectible polysémie » inhérente à la pensée symbolique pour faire du mythe un objet d’étude. L’état des lieux démontrait alors toute la richesse du sujet et suggérait maintes pistes de recherche toutes aussi fertiles les unes que les autre. Vingt ans plus tard, nous proposons un retour sur le mythe en tant que « mode symbolique d’appréhension de l’expérience humaine » (Wunenberger 1994) en invitant à une réflexion pluridisciplinaire et diachronique qui met à profit le vocabulaire mythologique développé par Gilbert Durand dans « Pérennité, dérivations et usure du mythe » (1996).

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