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  • Saint-Martin-d'Hères

    Colloque - Études des sciences

    Corps, cognition et danse

    L’esthétique incarnée en contexte artistique - Session II

    Après le succès d’un premier colloque international ayant posé les fondements nécessaires à la définition de l’esthétique incarnée en contexte artistique et tracé les contours de ses différents enjeux et domaines d’application, cette seconde édition porte l’ambition de se concentrer plus spécifiquement sur les liens entre corps, cognition et danse. Il s’agit d’établir un dialogue fécond et interdisciplinaire, encore trop rarement proposé, entre chercheur·euses en esthétique incarnée, théoricien·nes et praticien·nes de la danse. Comment les domaines de l’esthétique incarnée (embodied aesthetics) et de la recherche en danse (dance studies) peuvent-ils penser et agir ensemble ? Que peuvent-ils se transmettre mutuellement ? En réunissant des philosophes, chercheur·euses en arts du spectacle, artistes-chorégraphes, interprètes, neurobiologistes, l’événement place la dynamique science-art-vie en son centre.

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  • Appel à contribution - Études des sciences

    Art, science, magie

    L’apport des arts plastiques aux sciences secrètes

    Pour son cinquième numéro (prévu fin 2024), Arcana naturae cherchera à rendre compte de l’imbrication de l’art, de la science et de la magie, à travers l’histoire des sciences secrètes. On s’intéressera donc en particulier aux productions artistiques plastiques (au sens large, gravures, peintures, sculptures, cartes, etc.) qui témoignent de la relation entre ces trois pôles conceptuels. Les œuvres et les images ont toujours jouée – en parallèle des textes – un rôle déterminant au sein des sciences secrètes. Ce numéro d’Arcana naturae s’efforcera donc d’explorer la question des œuvres plastiques comme média singulier et autonome de la transmission et de la création des savoirs secrets. Dans quelle mesure les œuvres plastiques jouent-elles un rôle actif dans le processus de transmission et de diffusion des connaissances magico-scientifiques ?

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  • Villeurbanne

    Appel à contribution - Époque contemporaine

    Expérience sensible et sciences humaines et sociales

    Comprendre, transmettre, créer

    Penser en sciences humaines et sociales à partir de l’expérience sensible suppose le développement d’une interdisciplinarité radicale entre sciences de la vie et de la terre, sciences humaines et sociales et pratiques artistiques. Nombreux sont aujourd’hui les chercheurs qui œuvrent en ce sens, qu’ils étudient ces questions de manière théorique, qu’ils travaillent à un renouvellement méthodologique de leur discipline ou qu’ils s’inscrivent dans des démarches de création, en exploitant une diversité de médiums. Le colloque Expérience sensible et sciences humaines et sociales ambitionne de questionner la place réservée à l’expérience sensible au sein des sciences humaines et sociales, les procédures employées par les chercheurs de ces disciplines pour la restituer ou pour l’analyser, ainsi que l’apport à la recherche qui peut être celui des artistes.

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  • Marseille

    Appel à contribution - Représentations

    L’univers à l’écran au XXIe siècle : visible et invisible

    Deuxième partie : Rendre visible l’univers

    La première journée du cycle (20 janvier 2023, Université Paris Cité) était consacrée à la manière dont le cinéma de fiction contemporain s’empare des nouvelles images produites par les sciences astronomiques et astrophysiques, telles qu’elles sont données à voir, des images de l’univers tel qu’il est rendu visible pour le public par l’imagerie scientifique. Dans la continuité de ce premier temps, il s’agira, dans cette deuxième journée, de partir cette fois de l’invisible. Comment les écrans, des salles d’exposition aux salles obscures, donnent-ils à voir et concevoir les objets et lois de l’univers qui échappent à la perception humaine ?

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  • Paris

    Appel à contribution - Représentations

    Invertébré·e·s

    Vies et formes invertébrées dans les sciences et dans les arts

    Certaines formes de vie peuvent être qualifiées de liminales tant elles côtoient les seuils et les frontières du vivant ; c’est le cas des vies invertébrées. Ces êtres – méduses, escargots, limaces, anémones, argonautes, poulpes, etc. sont « presque une qualité » en cela qu’ils vivent au plus près de leur milieu naturel et semblent en constituer une simple extension mouvante, sous la forme d’un muscle pulsatile qui se serait détaché du monde. Déliés de toute ossature, les invertébrés épousent plus totalement les formes du monde, jusque dans leurs modulations les plus piquantes – les escargots ne se blessant pas au contact des épines de rose ; ils sont radicalement ambivalents : à la fois infracassables et en proie à une extrême fragilité. Cette journée sera l’occasion de construire collectivement un bestiaire des invertébrés, déployant leur présence objective et figurée dans les sciences et dans les arts.

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  • dunkerque

    Appel à contribution - Pensée

    Revue La Mire (premier numéro)

    La mire est une revue de recherche, éditée par EsäLab/Recherche. Elle propose de rapprocher les expérimentations effectuées au sein des différents programmes menés dans l’école avec les recherches qui se développent aussi bien dans d’autres établissements supérieurs d’enseignement artistique que dans des laboratoires de recherche, ainsi que sur différents terrains à l’échelle nationale et internationale.

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  • Lyon

    Appel à contribution - Études des sciences

    Valeurs de l’empreinte

    Quand elle désigne l’impression d’une forme sur une surface, l’empreinte n’est qu’un procédé technique parmi d’autres. Mais sitôt qu’elle est perçue comme le témoin privilégié du passage d’un corps sur un autre, ou comme la preuve de la présence passée d’un objet ou d’un être absent, alors l’empreinte acquiert une valeur et devient objet de polémiques. Dans ce colloque, nous ne nous intéresserons pas spécifiquement aux métamorphoses strictement esthétiques de l’empreinte, bien qu’il faille s’appuyer sur une poétique qui passe par des sublimations ou des détournements. Il sera surtout question d’interroger la façon dont les artistes et les écrivains investissent les enjeux politiques posés par l’approche scientifique de l’empreinte.

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  • Bourse, prix et emploi - Histoire

    Post-doctorat – Le dessin visionnaire et ses savoirs

    Institut d’études avancées de l’université de Strasbourg (USIAS)

    Le poste s’inscrit dans le programme de recherche Le dessin visionnaire et ses savoirs. À partir de l’étude et de la valorisation du fonds d’archives de Théophile Bra, financé par l’Institut d’études avancées de l’université de Strasbourg (USIAS). Ce programme de recherche vise l’examen, l’étude et la valorisation du fonds d’archives du dessinateur Théophile Bra (1797-1863) dans une perspective théorique, transhistorique (XIXe siècle à nos jours), et interdisciplinaire (histoire des arts graphiques, des savoirs, des sciences et de la philosophie).

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  • Venise

    Appel à contribution - Études des sciences

    Historical Epistemology: Arts and Sciences, Historicizing Boundaries

    The seventh International Workshop on Historical Epistemology is dedicated to exploring new ways of approaching the historical, conceptual, methodological, and technical relations between the arts and the sciences. Rather than looking for logical criteria for demarcating these domains, the workshop aims to question the arts / sciences dyad from the vantage point of its history.

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  • Appel d'offres - Sociologie

    La résidence à bord de l’Airbus ZERO-G

    Appel à projets de recherche pour une résidence en impesanteur

    La résidence en impesanteur mise en place par l’Observatoire de l’Espace est un terrain de réflexions et d’expérimentations dédié à des chercheurs en sciences humaines, dans des domaines aussi variés que la sociologie, l’anthropologie, l’histoire, la philosophie ou l’histoire de l’art, qui mettent la question gravitaire au cœur de leur projet d'étude. Cette résidence, qui consiste en un vol parabolique à bord de l'Airbus ZERO-G, a pour vocation de nourrir une pensée discursive, étayée d’un appareil théorique et critique venant renforcer la volonté de l’Observatoire de l’Espace d’approcher l’univers spatial par le biais des sciences humaines et de questionner ce que l’Espace fait à l’humain.

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  • Paris

    Appel à contribution - Pensée

    Expérience spectatorielle transcendantale

    Que dire des œuvres qui radicalisent l’idéalité du point de vue jusqu’à en faire une impossibilité empirique ? La perspective de la Renaissance permet des points de vue tellement surplombants que l’être humain ne peut les atteindre. Toutefois, ce qu’on a pu appeler la « perspective inversée », et plus généralement l’esthétique iconique, appellent aussi un point de vue bien différent du point de vue empirique, peut-être un point de vue eschatologique, depuis la fin des temps. Dans un autre registre, les nouvelles techniques numériques génératives permettent à présent d’engendrer des œuvres d’une durée infinie. Il n’est résolument pas possible de vivre une expérience spectatorielle de ces œuvres sans, à un moment, ne serait-ce que supposer une dimension transcendantale de sa propre subjectivité. La question est de savoir comment décrire ces expériences paradoxales, à la lisière de l’empirie et du transcendantal justement : l’expérience d’échapper à son propre point de vue, d’avoir à prendre un point de vue – dicté par l’œuvre – dont le spectateur réel est par principe incapable.

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  • Appel à contribution - Représentations

    Images scientifiques / images artistiques : croisements méthodologiques

    À la question de ce que l’histoire de l’art offre à l’analyse des images non artistiques, s’en ajoute alors une autre : quel apport (quelles stratégies, quelles notions) peuvent donner les méthodes scientifiques d’analyse d’images à l’histoire de l’art ? Est-ce que – juste pour donner deux exemples – la réduction du bruit ou l’emploi des fausses couleurs en astronomie peuvent enrichir la boîte à outils de l’historien de l’art ? Ces deux questions méthodologiques se croisent nécessairement sur le plan épistémologique : quel type de connaissance produisent les images ? Les images artistiques ainsi que les images scientifiques visent-elles l’objectivité ? Et encore, pour évoquer Daston et Galison, une histoire en images de l’objectivité peut-elle reconstruire une histoire des types de vision ? 

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  • Nancy

    Appel à contribution - Représentations

    No age, please, we're posthuman!

    Posthumain et culture de jeunesse

    Si le posthumain a fait l’objet d’une riche investigation universitaire ces dernières années, ses liens avec la culture jeune n’ont quant à eux été que peu exploités, alors même que l’un semble nécessairement problématiser l’autre. Après tout, pour reprendre Elaine Ostry, comment et pourquoi user du « moment adolescent » pour devenir humain et interroger son humanité quand les adultes se préparent (et nous préparent) déjà à la posthumanité ? Quelle valeur prend l’âge métamorphique de l’adolescence à l’heure de la fin de l’homme qu’évoque Fukuyama en 2002 dans Our Posthuman Future ?

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  • Neuchâtel

    Appel à contribution - Études des sciences

    Entre l’œil et le monde : dispositifs et expédients d’une nouvelle épistémologie visuelle dans les sciences de la nature entre 1740 et 1840

    Nous avons placé au centre de notre rencontre les expériences visuelles problématiques, qu’elles relèvent de l’illusion ou soulignent la faiblesse des sens, voire le caractère trompeur des informations prodiguées par ceux-ci. Cette réflexion portera de manière plus spécifique autour de questions liées aux sciences naturelles et expérimentales des années 1740 à 1840. Il s’agira plus particulièrement de problématiser la mise en visibilité, ou mise en scène d’une observation à laquelle il semble impossible d’accéder « naturellement », en nous concentrant sur les dispositifs et expédients visuels qui postulent un rapport d’immédiateté entre l’œil et l’objet ou, au contraire, le mettent en question.

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  • Paris

    Colloque - Pensée

    Le sensible à l’œuvre

    Savoirs du corps entre esthétique et neurosciences

    Les nombreuses recherches regroupées depuis vingt ans sous l’appellation de « neuroesthétique » représentent de manière emblématique, bien que controversée, une quête majeure de notre époque : celle de la compréhension du pouvoir cognitif du corps humain. La neuroesthétique a pu apparaître comme l’avant-garde d’un matérialisme renouvelé par les techniques d’imagerie cérébrale. Néanmoins, au-delà de son apport empirique, elle peut contribuer au développement d’un savoir théorique. Outre une interrogation critico-historique de la neuroesthétique, « Le sensible à l'œuvre » se propose d’aborder le corps comme un « a priori matériel » exprimé par les arts, notamment performatifs. Il rappellera ainsi que l’esthétique ne peut jouer son rôle dans la philosophie qu’en soulignant le lien inhérent entre le vécu et le corps vivant.

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  • Montréal

    Appel à contribution - Époque moderne

    Coping with Copia

    Surabondance épistémologique entre art et science dans la première modernité

    Un appel à contribution pour un colloque qui unira des historiens de l'art, des sciences et des idées, autour des stratégies visuelles employées aux XVIe et XVIIe siècles pour faire face à la surabondance épistémologique exceptionnelle de cette ère. À cette époque, l'optimisme quant aux perspectives ouvertes par les nouveaux savoirs était inextricablement mêlé aux craintes d'avoir « trop à savoir » – ainsi qu'à la difficulté à comprendre, sélectionner et organiser des informations en quantité constamment croissante. À l'époque, comme aujourd'hui, les artistes et les chercheurs étaient à la pointe de l'entreprise visant à digérer et à discipliner les savoirs – ou, à l'inverse, cherchant à dénoncer sa surabondance et à exprimer l'inévitable échec humain à organiser tout ce que l'on sait et à y donner un sens.

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  • Créteil

    Appel à contribution - Pensée

    Penser le mouvement

    L’Equipe d’Accueil « Lettres Idées Savoirs » et l’Ecole Doctorale « Cultures et Sociétés » organise les 15 et 16 juin 2012 un colloque intitulé « Penser le mouvement ». Réunissant des doctorants et des enseignants-chercheurs en philosophie, littérature, arts et théorie de l’art, le colloque se propose d’examiner la notion de mouvement – qu’il s’agisse du mouvement des corps, humains ou célestes, ou du mouvement de la pensée et de la sensibilité –, dans une perspective métaphysique, épistémologique ou esthétique.

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  • Strasbourg

    Journée d'étude - Représentations

    Les monstres qui parlent

    Relevant du domaine de l'écart, de ce qui détonne, le monstre questionne tout en s'inscrivant dans notre inconscient collectif. Part d'ombre ou part d'imaginaire, il engendre la diversité voire la différence et est source d'innombrables représentations. Que nous racontent les monstres, quel serait un discours du monstre, à rebours peut-être d'un discours sur le monstre ? Ces deux journées d'études abordent le thème du monstre de façon pluridisciplinaire, en particulier par le biais des arts visuels, de l'histoire de l'art et de la philosophie. Dans le même temps se tiendra une exposition consacrée au même thème au Musée Zoologique de Strasbourg.

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  • Paris

    Informations diverses - Études des sciences

    Horst Bredekam, Darwin et l’image du corail

    Horst Bredekamp - Darwin, the coral and the concept of a non-hierarchical evolution of beauty

    Le darwinisme a consacré l’image de l’arbre pour représenter l’évolution des espèces. Or cette image impose une vision hiérarchique et téléologique absente du raisonnement initial de Darwin. Dans une étude scrupuleuse des esquisses du père de l’évolutionnisme, l’historien d’art Horst Bredekamp montre que Darwin a préféré à la métaphore de l’arbre l’image du corail, de ses branches fragiles et de son développement anarchique. Avec les coraux, Darwin a introduit dans sa théorie de l’évolution naturelle une pièce maîtresse issue de la tradition des cabinets de curiosités. Il a ainsi renoué avec une vision ancienne de l’équilibre naturel et lui a ajouté la signification politique associée au XIXe siècle à ces êtres sous-marins : le pouvoir du nombre. La métaphore, au-delà de ses enjeux esthétiques et politiques, n’est pas sans intérêt pour les discussions dont « l’arbre de la vie » fait l’objet dans la biologie évolutionniste.

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