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• 07 nov 2012	08 nov 2012	09 nov 2012
  10 nov 2012

  Barcelone

  Colloque - Études urbaines

  Desertions, Counter-movements and Forced Mobilities in the Contemporary City

  First International Conference on Anthropology of Urban Conflict

  Social conflict is inherent in urban society in general. Social conflict is a historic constant that makes cities the epicenter of revolt in all of its forms. Despite our attempts to systematically classify the varied logics that lay behind existing disparate scales of uprising, e.g. large mass movements, small groups organized around blueprint actions, or individuals that quietly rebelled with daily contempt, to date it has not been possible to bring them all under a common systemic defiance. Political movements vs. social movements, peaceful vs. violent actions, organization vs. spontaneity, etc., these are old dichotomies overcome by the force of the present situation. So, how does conflict come about in contemporary cities? The varied kinds of agitation featured in the current crisis are a good example of the different types of rebellion against public order, the norms that sustain it, and the authorities that implement them. From a demonstration against government cuts to apolitical graffiti somewhere on the urban fringe, from insubordination against mortgage repossessions to the refusal to pay for the use of public transport, from symbolic happenings performed in public spaces to the defense, at any cost, of squatted housing, of neighborhood resistance against evictions or of the opposition to identification raids on undocumented migrants.

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• 19 oct 2012

  Paris

  Journée d'étude - Études du politique

  Vingt-cinq ans de transformation post-socialiste en Algérie (1987-2012)

  Depuis 25 ans, l’Algérie a connu de profonds bouleversements qui ont largement reconfiguré le système mis en place après l’indépendance. Le modèle de développement basé sur une industrialisation accélérée menée par l’État et financée par les hydrocarbures, entré dans une phase d’essoufflement, n’a pas résisté à la chute du prix du pétrole en 1986, ce qui favorisa le lancement de réformes. Ce bilan porte sur le processus initiée dès 1987 par des mesures partielles d’ouverture, et accéléré à partir des émeutes d’octobre 1988 avec la révision constitutionnelle de 1989 supprimant toute référence au socialisme et le lancement de la réforme (gouvernement des « réformateurs », 1989-1991). Ces bouleversements s’inscrivent dans le grand mouvement de transformation post-socialiste qui a marqué la fin du XXe et le début du XXIe siècles, tant en Europe de l’Est que dans les pays en développement qui avaient adopté dans ses grandes lignes le modèle socialiste.

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