AccueilCalendrier
8 Événements
- 1
Trier
-
Langon
Quarante cinquième congrès de la Société de mythologie française
Le quarante cinquième congrès annuel de la Société de mythologie française portera sur le bœuf et le gras. Il prend comme sujet d’étude la mythologie, le folklore et les cultures populaires relatives au bœuf et plus largement aux bovins, et subsidiairement au gras, entendu au propre et au figuré, en France et contrées francophones, ou ailleurs à titre comparatif.
-
Épinal
Perspectives transculturelles et anthropologie de l'Imaginaire
Notre proposition est d'explorer diverses traditions et situations actuelles pour rendre compte de cette fascination pour l’Imaginal et son caractère opératoire que nous constatons dans les sociétés initiatiques d’hier et d’aujourd’hui dans les arts, les romans (cf. le gothique, la fantasy, le fantastique, l’utopie, diverses quêtes, les arts plastiques, l’Art total,les créations numériques, Il s’agira d’étudier les « images conteuses » (Bachelard) et autres « lieux conteurs », ces ponts suprêmes situés « entre un hic et nunc prosaïque et un illudtempus mythique » (Carmigiani), en fait, un véritable inter-monde.
-
Paris
Cycle de conférences - Ethnologie, anthropologie
Sources, archives et histoire institutionnelle de l'ethnomusicologie de la France
L'ethnomusicologie de la France se met en place dès 1937 au sein du musée national des Arts et tradition populaires avec la création d'un « secteur musique » confié par Georges Henri Rivière, directeur du musée, à Claudie Marcel-Dubois. La première enquête de « folklore musical » intervient dès 1939. Claudie Marcel-Dubois, secondée dès 1946 par Maguy Pichonnet-Andral, réalise ou programme, jusqu'au milieu des années 1980, plus d'une soixantaine de missions portant sur les terrains français et francophones. Sous leur férule, une profession s'organise, trouvant ses marques et définissant sa méthodologie ; une discipline, l'« ethnomusicologie de la France », s'affirme et revendique son autonomie aux côtés d'une ethnomusicologie « générale » ou exotique, qui a pris quelques longueurs d'avance au musée de l'Homme. Il est grand temps de prendre la mesure d’une entreprise aussi systématique, d’autant qu’elle se déploie, pour l’essentiel de la période considérée, en situation de quasi-monopole.
-
Évry
Le recours à l’origine accompagne le développement des récits nationaux et atteint son point d’orgue dans les logiques d’appartenance qui assurent le déploiement de l’ombre identitaire au cours de l’entre-deux-guerres. On perdrait néanmoins beaucoup à réduire l’ambivalence fondamentale de la notion à la seule opposition à l’idée de progrès ou à la norme d’ouverture à l’autre. Cette journée d’études circonscrit la réflexion autour de la presse musicale du premier XXe siècle et des écrits de compositeurs. Le mot-valise « origine » recoupe des usages polysémiques selon les aires géographiques, les enjeux historiques et artistiques, les parti-pris politiques ou crypto-politiques. Organisateurs : Philippe Gumplowicz et Timothée Picard.
-
Lyon
Journée d'étude - Ethnologie, anthropologie
Populaire ? Urbaine ? Traditionnelle ? Du monde ? À propos de la labellisation en musique
L’objectif de cette journée est d’interroger la labellisation d’une pratique musicale comme « populaire », « urbaine », « traditionnelle » ou encore comme « musique du monde ». Qu’elle corresponde à une stratégie commerciale (faire reconnaître un genre à des consommateurs), à une démarche intellectuelle (analyser une pratique et sa réception) ou qu’elle réponde à des enjeux politiques locaux, nationaux ou internationaux, la catégorisation musicale a largement intéressé les musicologues, les anthropologues, les historiens ou les sociologues. En se focalisant sur des musiques qui, pour des raisons diverses, se distinguent de la « musique classique occidentale », il s’agira d’explorer les présupposés idéologiques, les enjeux sociaux et politiques et les imaginaires sociaux qui sous-tendent l’existence de telles étiquettes et qu’à leur tour celles-ci viennent construire.
-
Paris
Colloque - Ethnologie, anthropologie
Edgar Morin et l'âme du cinéma
« Au sein du réalisme fleurit un animisme » peut-on lire dans Le cinéma ou l’homme imaginaire, ouvrage que publie Edgar Morin en 1956. Le cinéma y révèle son penchant au paradoxe : dans le même temps où il « fait percevoir » (au sens pratique du terme), il « donne à voir » (dans le sens visionnaire). Ainsi le cinéma introduit le spectateur dans une expérience qui frotte une matérialité extérieure à la matière irréelle du film, proche du rêve. Véritable mouvement dialectique de la matière sur et contre elle-même. Ce colloque, consacré à la relation persistante qu’entretient Edgar Morin avec le cinéma, souhaite interroger les enjeux anthropologiques, éthiques et esthétiques qui coexistent au sein d’une œuvre attachée au « vif » du cinéma et qui fait aujourd’hui rappel. « Dans la salle obscure…morts provisoires, nous regardons les vivants », écrivait-il alors… En présence d’Edgar Morin. -
Paris
Art et sociabilité au XVIIIe siècle, 1715-1815
Ce colloque a pour but d’examiner les pratiques sociales des artistes, des amateurs, des critiques, des salonniers, etc., pour comprendre les échanges sociaux et les réseaux formés non seulement par le commerce des objets matériels à travers l’étude des collections, du marché de l’art et des expositions, mais aussi par le commerce des idées à travers l’étude des écrits sur l’art et de l’art de la conversation. Ainsi, on peut s’interroger sur le rôle qu’ont joué les pratiques sociales au sein de la sphère publique dans l’évolution de la production artistique et des échanges matériels, économiques et verbaux. -
Paris
Autobiographie et individualité au Moyen Âge central
Au Xe siècle, commence une grande époque d’historiographie et d’hagiographie, en Europe centrale et occidentale, avec souvent quelques touches autobiographiques. La grande œuvre est celle d’Otloh de Saint-Emmeram, de laquelle on a rapproché souvent les Monodies de Guibert de Nogent. Il paraît intéressant aujourd’hui de réunir des médiévistes pour faire le point sur ces auteurs et sur les clercs et moines qui, entre le milieu du Xe et le début du XIIIe siècle, esquissent une étude d’eux-mêmes en évoquant leur individualité ou leurs démons, soit dans un essai d’autobiographie à résonance augustinienne, soit lorsqu’une chronique ou une vie de saint leur en fournit l’occasion.
8 Événements
- 1
Choisir un filtre
Événements
- Passés (8)
Format de l'événement
Langues
- Français
Langues secondaires
- Anglais (4)
Types
- Colloque (4)
- Journée d'étude (2)
- Appel à contribution (1)
- Cycle de conférences (1)
Catégories
- Sociétés (8)
- Sociologie (1)
- Ethnologie, anthropologie (8)
- Anthropologie culturelle
- Anthropologie religieuse (1)
- Histoire (2)
- Histoire sociale (2)
- Esprit et Langage (8)
- Pensée (8)
- Philosophie (1)
- Histoire intellectuelle
- Religions (2)
- Information (1)
- Représentations (6)
- Histoire culturelle (4)
- Histoire de l'art (1)
- Études visuelles (1)
- Identités culturelles (2)
- Épistémologie et méthodes (2)
- Épistémologie (1)
- Historiographie (1)
- Pensée (8)
- Périodes (6)
- Préhistoire et Antiquité (1)
- Préhistoire (1)
- Moyen Âge (1)
- Haut Moyen Âge (1)
- Époque moderne (1)
- XVIIIe siècle (1)
- Révolution française (1)
- Époque contemporaine (3)
- XXe siècle (3)
- Préhistoire et Antiquité (1)
- Espaces (8)
- Amériques (1)
- Amérique latine (1)
- Asie (1)
- Europe (8)
- France
- Monde germanique (2)
- Péninsule Ibérique (1)
- Amériques (1)
Lieux
- Europe (8)