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  • Le Havre

    Journée d'étude - Études des sciences

    Artifices. La création artistique à l’heure de l’intelligence artificielle

    Une machine peut-elle véritablement être autrice ? Peut-elle inventer, ou bien doit-elle être traitée comme un simple outil, ou une forme de partenaire avec lequel des créateurs collaborent ? Et ses créations, qui s’appuient sur la collecte et l’analyse de milliards de textes ou d’images préexistants relèvent-elles d’une forme de pillage ? Enfin, si la créativité des Intelligences Artificielles génératives n’est qu’un leurre, les artistes ne doivent-ils pas craindre, plus que les machines, le manque d’ambition véritable des commanditaires qui, parfois, se satisfont de gestes répétés et attendus, voire se défient de l’invention réelle ? La création autant que son économie sont chamboulées par ces questions nouvelles, et c’est ce qui nous amène à organiser une journée d’étude sur le sujet, avec des spécialistes du droit d’auteur et de l’éthique de l’Intelligence Artificielle, ainsi que quelques-uns des artistes les plus inventifs dans le domaine. 

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  • Appel à contribution - Représentations

    Esthétiques anarchistes : l’art et le non-gouvernable

    Revue Turbulences n° 2

    Par « anarchisme », on entendra ici le refus général du « préjugé gouvernemental », de l’idée que gouverner et être gouverné soient indispensables et que toute conduite, individuelle ou collective, ait à s’inscrire dans l’asymétrie du commander et de l’obéir. Si l’ingouvernable se définit par sa résistance et son opposition directes au gouvernement, le non-gouvernable désigne quant à lui une zone d’étrangeté et d’extériorité radicale. L’objectif principal de ce numéro de la revue Turbulences consisterait alors à relever en art les traces et les manifestations du non-gouvernable, les formes de son déploiement artistique, en les envisageant aussi bien pour elles-mêmes que comme lieux de recharge de l’ingouvernable, comme appelant, ne serait-ce qu’implicitement, à des actes de résistance et de désobéissance concrets.

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  • Orléans

    Appel à contribution - Époque contemporaine

    Autour du « Grabuge » : évocation des films mystérieux, sulfureux, désavoués, oubliés, perdus

    En 1968, le cinéaste français Edouard Luntz (1931-2009) réalise Le Grabuge, film franco-brésilien, produit par la 20th Century Fox et scénarisé par le sociologue rochelais Jean Duvignaud (1921-2007). Le film, l’auteur et le scénariste ont un point commun : ils sont oubliés, voire reniés, en dépit du fait qu’ils ont laissé des traces dans la culture et le patrimoine français et même international. Il nous semble que remettre sur le devant de la scène ces œuvres et figures marginales et oubliées est légitime et éclairant dans un environnement culturel souvent enclin à la reproduction et au discours aseptisé. L’objectif de cette journée d’étude est non seulement de révéler un fragment du patrimoine cinématographique, mais aussi d’évoquer et d’encourager l’étude des origines mythologiques, des répercussions sociologiques, culturelles, géographiques,… des films mystérieux, sulfureux, désavoués, oubliés, perdus.

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  • Orléans

    Appel à contribution - Époque moderne

    Réputation contestée – réputation paradoxale ?

    (XVIe-XVIIIe siècle)

    La réputation peut potentiellement se détacher d’une vérité factuelle. Elle peut être écran de projection plutôt que représentation à l’identique. Cela augmente sa plasticité et l’intérêt de son analyse par l’investissement discursif, notamment à l’endroit où elle fait l’objet de constructions contradictoires, de contestations qui révèlent des ordres discursifs divergents, des critères de jugement discordants. En résultent des réputations paradoxales, dues aux constructions contradictoires qui ne sont pas solubles dans un consensus social, mais relèvent de groupes sociaux et milieux divers, aux autorités concurrentes, et permettent ainsi d’appréhender les dynamiques sociales à l’œuvre. La journée d’étude s’intéressera à différents types de réputation paradoxale, ainsi qu’aux représentations de ces réputations complexes, aux XVIe-XVIIIsiècles, dans les différents domaines sociaux, historiques, littéraires, artistiques, etc.

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  • Paris

    Cycle de conférences - Représentations

    Introduction à l’histoire de l’art des XIXe et XXe siècles. Claude Monet et les caprices de l’histoire

    Sciences Po à Orsay

    De son jardin artificiel de Giverny où se mélange la double inspiration de l’Occident et de l’Extrême-Orient, Monet tire ses derniers chefs-d’œuvre. Pourquoi les Nymphéas installés à l’Orangerie des Tuileries, aujourd’hui plébiscités par le public, ont-ils été rejetés jusqu’en 1945 ? Par quelle opération sont-ils sortis du purgatoire et désignés comme des sources d’inspiration de la peinture abstraite ? En s’appuyant sur l’essai du philosophe allemand Oswald Spengler, Le Déclin de l’Occident, Laurence Bertrand Dorléac s’interroge sur la notion de déclin et de progrès appliquée à l’histoire de l’art.

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  • Paris

    Cycle de conférences - Histoire

    L’aventure impressionniste au Musée d'Orsay

    À l’occasion des 150 ans de la première exposition impressionniste et en lien avec l'exposition « Paris 1874 », un cycle de conférences tout public abordera l’impressionnisme sous un angle neuf et dynamique.

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  • Paris

    Cycle de conférences - Histoire

    Sciences Po à Orsay : Introduction à l’histoire de l’art des XIXème et XXème siècles

    Claude Monet et les caprices de l'histoire des XIXe-XXe siècles

    Laurence Bertrand Dorléac est professeure d’histoire de l’art à Sciences Po. Elle est aussi l’autrice de Contre-déclin : Monet et Spengler dans les jardins de l’histoire, Ed. Gallimard, Paris, 2012. S’appuyant sur les collections des musées d’Orsay et de l’Orangerie, elle livre à travers ce cours une réflexion sur la perception et la destinée de l’œuvre du maître de l’impressionnisme, Claude Monet. De son jardin artificiel de Giverny où se mélange la double inspiration de l’Occident et de l’Extrême-Orient, Monet tire ses derniers chefs-d’œuvre. Pourquoi les Nymphéas installés à l’Orangerie des Tuileries, aujourd’hui plébiscités par le public, ont-ils été rejetés jusqu’en 1945 ? Par quelle opération sont-ils sortis du purgatoire et désignés comme des sources d’inspiration de la peinture abstraite ? En s’appuyant sur l’essai du philosophe allemand Oswald Spengler, Le Déclin de l’Occident, Laurence Bertrand Dorléac s’interroge sur la notion de déclin et de progrès appliquée à l’histoire de l’art.

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