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• 15 oct 2017

  Cerisy-la-Salle

  Appel à contribution - Études urbaines

  Saisir le rapport affectif aux lieux

  Un tournant affectif (ou emotional turn) nourrit depuis environ une dizaine d’années le monde de la recherche, mobilise les professionnels de tous ordres, caractérise les comportements individuels et collectifs. Sur un plan  théorique, certaines disciplines, certains chercheurs traitent ce sujet depuis fort longtemps et  la thématique des affects draine dorénavant la grande majorité des champs de recherche. Les approches, les méthodes et les présupposés diffèrent selon les disciplines, voire au sein des courants qui les composent. L’urbanisme, l’aménagement du territoire, le paysagisme, l’architecture, le design, tant comme pratiques que comme champs de savoir et plus largement  les acteurs de la ville et des territoires se saisissent peu à peu de cette dimension de la fabrique urbaine. 

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• 18 avr 2017

  Paris

  Appel à contribution - Sociologie

  Un gouvernement de la prédiction ?

  La mise en politique des technologies de calcul et de modélisation

  Que ce soit sous la forme de l’analyse de grandes masses de données, de la modélisation et simulation numériques, la computation promet une action publique orientée vers le futur, une capacité et légitimité accrues à construire, prédire, ou agir sur celui-ci. Que le futur soit objet de connaissance et d'action n'est pourtant pas chose nouvelle. Quelle est la caractéristique du rapport politique contemporain au(x) futur(s) ? Dans quelle mesure l'émergence d'outils de computation et plus généralement la mise en calcul de la société change-t-elle ce rapport au futur et la capacité à agir sur celui-ci ? Comment les technologies de prédiction sont-elles mises en politique(s) et participent-elles de l’action publique ?

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• 02 jan 2017

  Appel à contribution - Afrique

  Cheikh Anta Diop, Frantz Fanon et Jean-Marc Ela, des savants au service de L’Afrique contemporaine

  Dans une Afrique qui fait face à nombre de problèmes et qui cherche ses marques dans un monde dominé par la loi du plus fort, c’est-à-dire des plus riches, les pensées de Cheikh Anta Diop, Frantz Fanon et Jean-Marc Ela semblent importantes et méritent encore plus d’attention. Même si beaucoup a été enseigné et écrit à propos d’eux, il reste cependant qu’ils méritent toujours d’être relus et d’attirer l’attention compte tenu de la richesse du corpus scientifique qu’ils ont élaboré et qui sont toujours d’un grand intérêt pour l’Afrique contemporaine. Lus entre les lignes, leurs travaux ne peuvent-ils pas inspirer et servir à l’élaboration d’un modèle de développement plus adapté aux réalités africaines ?

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