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  • Appel à contribution - Sociologie

    L’activité des musiciens - travail, formation et santé

    Revue « Laboreal »

    Les caractéristiques des activités du secteur économique de la musique révèlent une grande variété de lieux, d’horaires et de conditions de travail, ainsi qu’une informalité des liens de rémunération pour une grande majorité de musiciens. Ce sont des facteurs qui interfèrent évidemment dans les moments d’étude, dans l’activité de préparation de la prestation musicale, et vraisemblablement aussi lors des événements publics. Malgré cela, l’attention accordée à la recherche et à l’intervention auprès de cette catégorie de travailleurs est clairement insuffisante et les recherches instruisant les différentes facettes liées à l’exercice de l’activité musicale - formation, pratiques d’enseignement et d’étude, performance professionnelle - sont encore trop rares. La revue Laboreal ouvre un espace aux articles qui s’intéressent à l’activité des musiciens et invite les chercheurs engagés dans ces questions à contribuer à la publication de ce dossier.

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  • Paris

    Appel à contribution - Histoire

    Perdre son travail, quitter son travail

    La journée des doctorant·e·s de l’association française pour l’histoire des mondes du travail (AFHMT) propose de s’intéresser à la perte ou au départ de son emploi. Les nouvelles formes du travail (ubérisation, auto-entreprenariat, transformations du salariat, missions d’intérim…), portées par un idéal de flexibilité dans l’emploi, montrent bien l’actualité d’un tel sujet. Ces nouveaux statuts, sous couvert de la liberté qu’ils promeuvent, invitent à nous interroger sur la précarisation des travailleurs·euses. Cette journée d’étude est ouverte à tou·te·s les doctorant·e·s.

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  • Champs-sur-Marne

    Appel à contribution - Époque contemporaine

    Corps au travail

    Performance, discipline et fatigue à l’épreuve du métier (XVIIe-XXe siècle)

    La fatigue n’a cessé de meurtrir les corps au travail, mais, au sein des populations laborieuses, ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle qu'elle est désignée comme telle. Elle devient ainsi progressivement un « mot à maux » que l'on associe à l'apparition de pathologies multiples qui, toutes, confinent à l'usure physique et psychologique des travailleurs. Cependant, dès que l’on se rapproche du terrain, la fatigue qu’éprouvent celles et ceux qui sont soumis aux exigences de la performance reste un objet fuyant.

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