AccueilLe concept de « rapport à » en didactique du français

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Publié le mercredi 30 novembre 2022

Résumé

La revue Nouveaux cahiers de la recherche en éducation (NCRÉ) lance un appel de propositions pour un dossier thématique autour du concept de « rapport à », concept fécond en didactique du français depuis près de trois décennies. Christine Barré-De Miniac (1992, 2000, 2002) a contribué à l’intégration de cette notion en didactique du français à la suite des travaux de Charlot et de ses collègues de l’équipe éduction et scolarisation - ESCOL (Charlot et al., 1990, 1993).

Annonce

Coordination du dossier

Myriam Villeneuve-Lapointe, Christiane Blaser, Martin Lépine et Constance Lavoie (Université de Sherbrooke)

Présentation

La revue Nouveaux cahiers de la recherche en éducation (NCRÉ) lance un appel de propositions pour un dossier thématique autour du concept de «rapport à», concept fécond en didactique du français depuis près de trois décennies. Christine Barré-De Miniac (1992, 2000, 2002) a contribué à l’intégration de cette notion en didactique du français à la suite des travaux de Charlot et de ses collègues de l’équipe ESCOL (Charlot et al., 1990, 1993).

Origine du «rapport à»

Le «rapport à» est associé à des travaux dans différents domaines dont la psychologie, la sociologie, l’anthropologie, l’éducation et la didactique. Dans le domaine de la psychologie, le «rapport à» d’un individu correspond à son désir ou non de savoir, d’apprendre (Beillerot et al., 1996; Mosconi et al., 2000). La psychanalyse permet, entre autres, de documenter le «rapport à» d’un sujet qui peut être plus ou moins traumatique selon son vécu. Dans les mêmes années, Charlot (1997) propose, dans une perspective socio-anthropologique circonscrite au contexte éducatif, une association entre le sujet et le savoir puisqu’ils sont indissociables. Le sens d’un savoir est possible uniquement pour un sujet qui, pour sa part, ne peut se soustraire à l’influence sociale. Ainsi, le «rapport à» d’un individu est influencé par le contexte social dans lequel il évolue selon cette perspective. Chevallard (1985) a intégré ce concept au domaine des didactiques en considérant le sujet comme un être social et scolaire. Il utilise la métaphore d’un phare pour l’illustrer: «[L]e paysage c’est le savoir, le phare, l’individu; le faisceau lumineux, le rapport de l’individu au savoir» (p. 10). Plus spécifiquement en didactique du français, c’est à Barré-de Miniac que l’on doit un important travail de conceptualisation de la notion de rapport à l’écriture. Dès les années 1990, Barré-De Miniac (1992, 2000, 2002) l’a transposé dans ce domaine où elle a décrit le rapport à l’écriture de personnes enseignantes ainsi que d’élèves du collège français. Barré-De Miniac (2008) définit le rapport à l’écriture comme étant «l’ensemble des significations construites par le scripteur à propos de l’écriture, de son apprentissage et de ses usages» (2002, p. 29). Elle a opérationnalisé le concept autour de quatre dimensions: 1) l’investissement d’une personne en écriture; 2) ses opinions et ses attitudes relativement à l’écriture; 3) ses conceptions de l’écriture et de son apprentissage; 4) ainsi que ses modes de verbalisation (Barré-De Miniac, 2008).

Retombées du «rapport à» en didactique du français

Les travaux de Barré-De Miniac ont montré que le rapport à l’écriture d’un individu influence grandement son goût d’écrire et sa capacité à rédiger des textes de qualité. Ainsi, l’enseignement de savoirs textuels, syntaxiques, grammaticaux et lexicaux n’est pas suffisant pour développer le goût de l’écriture chez les élèves et pour les amener à rédiger des textes de qualité. Un rapport à l’écrit conflictuel ou douloureux, caractérisé par peu d’investissement en écriture, par des opinions négatives sur l’acte d’écrire et par l’utilisation de termes présentant un jugement défavorable de leur compétence, entraîne une dévaluation de l’acte d’écrire (Beaucher et al., 2014). Ainsi, l’élève évite ou limite les situations où il doit écrire, ce qui ne lui permet pas de développer cette compétence. Dans le même ordre d’idées, plusieurs chercheurs (notamment Atwell et Atwell Merkel, 2016; Graves, 2004; Grossman et al., 2000; Lafont- Terranova et al., 2015; Lebrun, 2007; McDonald et al., 2004; Nadon, 2011; Routman, 2010; Turcotte, 2007) soulignent que les pratiques de lecture et d’écriture des personnes enseignantes ont une incidence positive sur leurs pratiques professionnelles. Par exemple, des enseignants qui se sentent compétents comme lecteurs et comme scripteurs transmettraient davantage leur intérêt pour la lecture et l’écriture, et auraient des gestes professionnels soutenant davantage l’enseignement de la lecture et de l’écriture (Blaser, 2007; Fearn et Farnan, 2007; McDonald et al., 2004; Whyte et al., 2007).

Déploiement du «rapport à» en didactique du français

Le concept de «rapport à» s’est taillé une place dans les travaux de recherche en didactique du français au cours des dernières années en ciblant ses diverses composantes: lecture, écriture, communication orale et grammaire. Par exemple, à partir de travaux fondateurs de Barré-De Miniac, Chartrand et Blaser (2008) se sont intéressées au rapport à l’écrit en associant la lecture et l’écriture, Colognesi (2022) au rapport à l’oral, Émery- Bruneau (2010) au rapport à la lecture littéraire d’abord et au rapport à la littérature ensuite et Lamb et collègues (2017) au rapport à l’écriture littéraire des enseignantes et des enseignants du primaire. Ces quelques exemples illustrent le déploiement du concept de «rapport à» dans différentes études portant sur l’écriture, la lecture, la communication orale et la littérature. Cette multiplication des travaux de recherche en didactique du français a mené à une diversification des définitions et de l’opérationnalisation du «rapport à» selon les savoirs visés et les publics cibles. Des dimensions du rapport à l’écriture de Barré-De Miniac (2008) sont conservées dans certains travaux (notamment Guernier et Barré-De Miniac, 2009; Mercier et Dezutter, 2012) tandis que d’autres (notamment Chartrand et Blaser, 2008; Dufour et Fleuret, 2008; Émery-Bruneau, 2014; Lamb et al., 2017; Maynard et Armand, 2016) en proposent de nouvelles dont les dimensions axiologique, affective, praxéologique et conceptuelle. Les définitions de ces dimensions fluctuent selon les auteurs. Par exemple, Chartrand et Blaser (2008) définissent la dimension axiologique comme la valeur que l’individu accorde à l’écrit. La dimension affective est quant à elle définie par Chartrand et Prince (2009) comme l’investissement de l’individu ainsi que les sentiments et les émotions ressenties par rapport à ce savoir. Maynard et Armand (2015) définissent la dimension praxéologique comme les pratiques de l’individu et le contexte dans lequel il les met en œuvre. La dimension conceptuelle est associée aux conceptions de l’individu et de ses représentations de l’objet étudié selon Lamb et al. (2017). Ainsi, certains éléments des dimensions de Barré-De Miniac sont repris avec d’autres pour produire certaines nouvelles dimensions alors que d’autres émergent d’éléments nouveaux. Cette diversification des dimensions utilisées pour documenter le «rapport à» des personnes participantes aux différentes recherches rend difficile la comparaison des résultats de recherche et de leurs retombées.

Axes de ce numéro thématique

Le présent numéro thématique vise à partager les résultats de recherche en didactique du français ayant recours au concept de «rapport à» tout en précisant les objets mis en forme et les phénomènes qu’ils permettent de mettre en formes, les enjeux et les retombées tant scientifiques que pratiques d’utiliser ce concept. Dans cette perspective, nous sollicitons des articles associés à l’un des trois axes suivants:

1.  Le «rapport à» comme objet de développement des compétences des personnes apprenantes dans différents contextes d’apprentissage

Les travaux fondateurs de Barré-De Miniac ont montré que le rapport à l’écriture d’un individu influence grandement son goût d’écrire et sa capacité à rédiger des textes de qualité. En sachant que le «rapport à» d’un individu sur un objet est malléable selon les expériences vécues, différents travaux (voir entre autres Chartrand et Prince, 2009; Dufour et Fleuret, 2012; Guernier et Barré- De Miniac, 2009) ont tenté de prendre en compte le «rapport à» des personnes apprenantes afin de les soutenir dans le développement de leurs compétences en littératie et de leur goût pour l’écrit (lecture et écriture). Des travaux subséquents sont toutefois nécessaires afin de mettre en lumière les retombées de l’utilisation du «rapport à» comme objet de développement dans les différentes composantes de la didactique du français qui n’ont pas encore été documentées, et ce, dans divers contextes d’apprentissage. Cet axe vise ainsi à illustrer la manière dont la prise en compte du «rapport à» peut contribuer au développement des personnes apprenantes sur divers objets liés à la didactique du français dans une variété de contextes formels ou non d’apprentissage.

2.  Le «rapport à» comme outil de développement professionnel

Dans le collectif dirigé par Daunay, Reuter et Schneuwly, Barré- De Miniac (2011) présente le «rapport aux savoirs» comme un concept important en didactique du français puisqu’il a une incidence sur les choix didactiques des personnes enseignantes, et sur la transposition mise en place (Barré-De Miniac, 2000; Chartrand et Blaser, 2008; Wirthner et Garcia-Debanc, 2010). Pour transformer leurs pratiques enseignantes en didactique du français, le «rapport à» des personnes enseignantes doit être pris en compte. C’est pourquoi, dans les dernières années, le «rapport à» est utilisé dans des recherches en didactique du français visant le développement professionnel des personnes enseignantes (voir notamment Bousquet et Desmeules, 2020; Lépine et al., 2019; Pereira et al., 2019). Des recherches subséquentes permettront de mieux comprendre comment soutenir le «rapport à» des personnes enseignantes dans les différentes dimensions en didactique du français: lecture, écriture, oral et grammaire. Cet axe permet de présenter les résultats de travaux dans lesquels le «rapport à» se taille une place dans les modèles de développement professionnel comme variable importante.

3.  Méthodologie de recherche ayant le «rapport à» comme objet d’étude

La multiplication des recherches (voir notamment Chartrand et Blaser, 2008; Émery-Bruneau, 2014; Guernier et Barré- De Miniac, 2009; Maynard et Armand, 2016; Mercier et Dezutter, 2012) montre l’intérêt des personnes chercheuses pour le «rapport à» en didactique du français et les influences qu’il peut avoir sur les choix didactiques des personnes enseignantes de tout niveau d’enseignement. Cette multiplication des travaux a toutefois mené à la proposition d’une variété de définitions et de dimensions du «rapport à» et rend difficile la comparaison des résultats de recherche afin de d’effectuer un état des lieux sur la question. Cet axe offre la possibilité de relever les apports, les enjeux et les retombées méthodologiques de l’utilisation de ce concept en didactique du français.

Modalités de contribution

Les intentions (3 000 signes maximum, espaces compris), incluant un titre préliminaire, une présentation de la problématique (problème, contexte et positionnement dans les écrits scientifiques), d’un angle d’attaque et de ses implications au niveau méthodologique et les principaux résultats, doivent être adressées à ncre@USherbrooke.ca

au plus tard le 6 janvier 2023.

Les auteurs dont les intentions seront retenues seront avisés autour du 31 janvier 2023.

L’acceptation de l’intention ne présume pas de l’acceptation de l’article, lequel sera soumis à la procédure d’évaluation habituelle de la revue (évaluation par les pairs). Les articles complets (en français, maximum 50 000 signes espaces compris, références incluses, accompagnés d’un résumé de 120 mots maximum) devront être soumis avant le 1er mai 2023 en version électronique par courriel (ncre@USherbrooke.ca). Les auteurs sont invités à consulter les normes éditoriales de la revue pour la rédaction des textes finaux. La revue n’accepte que les textes originaux et inédits qui ne sont pas en évaluation par une autre revue. Pour obtenir des renseignements supplémentaires, veuillez nous écrire à ncre@USherbrooke.ca.

À propos de la revue

La revue Nouveaux cahiers de la recherche en éducation (NCRÉ) est une revue scientifique québécoise couvant le champ des sciences de l’éducation. Soutenue par la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke, elle est actuellement sous la responsabilité scientifique de Patricia Dionne.

Elle a pour ambition d’être à la fine pointe de l’actualité de la recherche en éducation et de se situer au carrefour de sensibilités disciplinaires et de traditions théoriques diverses. La revue Nouveaux cahiers de la recherche en éducation est qualifiante pour la section CNU 70 (Sciences de l’éducation et de la formation).

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Références

Atwell, N. et Atwell Merkel A. (2017). La zone lecture. Comment former des lecteurs compétents, passionnés et critique. D’eux.

Barré-De Miniac, C. (1992). Les enseignants et leur rapport à l’écriture. Études de communication, 13, 1-13.

Barré-De Miniac, C. (2000). Le rapport à l’écriture. Aspects théoriques et didactiques. Presses universitaires du Septentrion.

Barré-De Miniac, C. (2002). Le rapport à l’écriture: une notion à plusieurs dimensions. Pratiques, 113-114, 29-40.

Barré-De Miniac, C. (2008). Le rapport à l’écriture: une notion à valeur euristique. Dans S.-G. Chartrand et C. Blaser (dir.), Le rapport à l’écrit: un outil pour enseigner de l’école à l’université (p. 11 à 23). Presses universitaires de Namur.

Barré-De Miniac, C. (2011). Le rapport à l’écriture: une notion heuristique ou un nouveau concept? Dans B. Daunay, Y. Reuter et B. Schneuwly (dir.), Les concepts et les méthodes en didactique du français (p. 175-184). Presses universitaires de Namur.

Beaucher, C., Blaser, C. et Dezutter, O. (2014). Traces de la formation des enseignants sur la transformation du rapport à l’écrit d’étudiants québécois. Raido, 16(8), 141-155.

Beillerot, J., Blanchard-Laville, C. et Mosconi, N. (1996). Pour une clinique du rapport aux savoirs. L’Harmattan.

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Charlot, B. (1990). Enseigner, former: logique des discours constitués et logique des pratiques. Recherche et formation, 8, 5-17.

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Charlot, B. et Bautier, E. (1993). Rapport à l’école, rapport au savoir et enseignement des mathématiques. Repères, 10, 5-24.

Chartrand, S.-G. et Blaser, C. (2008). Du rapport à l’écriture au concept didactique de capacités langagières: apports et limites de la notion du rapport à l’écrit. Dans S.-G. Chartrand et C. Blaser (dir.), Le rapport à l’écrit: un outil pour enseigner de l’école à l’université (p. 107-127). Presses universitaires de Namur.

Chevallard, Y. (1985). La transposition didactique: du savoir savant au savoir enseigné. La pensée sauvage.

Colognesi, S. (2022, 24 mai). Un premier essai de modalisation du rapport à l’oral par un groupe de recherche collaborative: quelles étapes pour quelles productions? [communication orale]. Colloque de l’AiRDF, Louvain-la-Neuve, Belgique.

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Émery-Bruneau, J. (2010). Le rapport à la lecture littéraire: des pratiques et des conceptions de sujets-lecteurs en formation à l’enseignement du français à des intentions didactiques [thèse de doctorat inédite]. Université de Montréal.

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Routman, R. (2010). Enseigner l’écriture: revenir à l’essentiel. Chenelière Éducation.

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Wirthner, M. et Garcia-Debanc, C. (2010). À la recherche des savoirs des enseignants de français: méthodologies, difficultés et premiers résultats. Repères, 42, 5-23.

Catégories

Lieux

  • Sherbrooke, Canada

Dates

  • vendredi 06 janvier 2023

Fichiers attachés

Mots-clés

  • rapport à, didactique, français, éducation, sujet, savoir

Contacts

  • Patricia Dionne
    courriel : ncre [dot] education [at] usherbrooke [dot] ca

Source de l'information

  • David Reneault
    courriel : ncre [dot] education [at] usherbrooke [dot] ca

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Le concept de « rapport à » en didactique du français », Appel à contribution, Calenda, Publié le mercredi 30 novembre 2022, https://doi.org/10.58079/1a30

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