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Transition récréative et écologie corporelle

Recreative transitions and corporeal ecology

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Publié le lundi 23 mai 2016

Résumé

Ce colloque international s'interroge sur les changements culturels engagés dans la transition récréative. Peux-t-on envisager une recomposition sociétale sans s'intéresser aux pratiques corporelles ? Celles-ci sont l'objet d'une mutation non seulement sous l'effet des technologies innovantes (matériaux, GPS, go pro, etc.) mais par volonté de redéfinir nos rapports à soi, aux autres et aux environnements. L'émergence de jeux écologiques, d'éco-mobilités, d'itinérances aux longs cours ou de médiations artistiques serait l'expression de cette mutation sociale. Le politique, l'économique, l'énergétique ou le juridique ne suffissent pas à penser la transition sociétale.

Annonce

Argumentaire

Le monde n’en finit pas de changer et d’être engagé dans une course perpétuelle à l’innovation et à la création de nouveaux produits, services et aménagements. Les réformes territoriales se succèdent pour repenser l’action publique. Les médias nous annoncent sans cesse des recompositions en cours qui viennent bousculer les équilibres géopolitiques mondiaux. A côté de cette accélération perpétuelle des univers économiques, culturels ou technologiques, d’autres acteurs s’engagent pour limiter les excès de vitesse, ralentir la course au toujours plus et envisager des transitions énergétiques, alimentaires ou politiques pour lutter contre la surchauffe de nos sociétés entropiques. Dans cette ambivalence portée par des uns et les autres, le corps n’échappe pas à ces interrogations et ces mouvements : certains acteurs souhaitent augmenter la performativité des corporéités dans différentes scènes sociales, ludiques, sportives et professionnelles, pendant que d’autres s’engagent dans la voie d’une écologie corporelle douce à la recherche de relations plus respectueuses des éco-bio-systèmes concernés. Si le transhumanisme et la cyborgculture ouvrent des perspectives intéressantes et stimulantes –et controversées– pour amplifier nos rapports au mouvement, à la motricité, à la santé biologique et au sensible, d’autres orientations souhaitent interroger la notion de transition récréative en lien avec l’écologie corporelle en mutation.

La créativité éco-corporelle envisage par exemple la mise en expérience de nos modes d’existence en activant différents processus de rencontre avec nos environnements de pratique récréative. Nombreux sont alors les individus qui proposent des scènes culturelles d’activité qui interrogent le corps dans sa manière de repenser sa relation avec les technologies, les habitats, les mobilités et les collectifs d’action. Cette perspective culturelle ne souhaite pas tendre vers un abandon du corps et de ses dimensions expressives, mais envisage de réactiver notre propension à développer une intelligence corporelle capable de trouver sa place dans ces univers technosphériques. « Osons rester humain » (Azam, 2015) consiste justement à interroger la manière dont les pratiques récréatives participent de ce mouvement et inventent une relecture de nos mondes-vie contemporains. Que ce soit par les pratiques « d’outdoor urbanites » (parkour, hip hop,…) en milieu urbain et du géocaching en milieu naturel, ou lors des engagements vertigineux en wingsuit ou en speedriding, le corps est au centre de ces investisssements, engagements ou mises en scène. Une autre écriture corporelle n’est-elle pas engagée dans les relations aux environnements de vie en opposition avec le monde des « geeks » (passionnés d’informatique) qui « surfent » au sein d’artefacts numériques a-corporels ? Ses engagements mineurs ou majeurs traduisent des amplifications corporelles qui permettent d’explorer d’autres dimensions esthétiques et cinétiques de l’humain. Les bio-nano-technologies peuvent-elles se penser comme étant réduites à l’émergence de l’individu bionique, coupé de son corps et de ses expressions récréatives ? Peuvent-elles être aussi une occasion de réenchanter les milieux de vie technologisés de nos sociétés contemporaines en permettant l’ouverture vers d’autres potentialisés d’expressions récréatives ?

Les immersions dans la nature des profondeurs sont aussi amplifiées par la présence de nouveaux appareils technologiques et communicationnels qui permettent de rester plus longtemps dans la nature, d’augmenter les relations avec les éléments (terre, eau, vent, froid, soleil,…) et de s’immonder fortement dans différentes sphères d’expérience (plongée, parapente,  kayak de mer, expédition polaire,…). Une relation moins violente et agressive à la nature est ainsi possible ouvrant la porte vers des cosmogonies esthétiques d’un nouveau genre. De même, le développement d’hébergements « insolites », écologiques et thématiques réenchante la relation avec le ciel et ses étoiles, les sons de la nature, les lumières et les odeurs des lieux. A côté des urbanisations modernes de privation sensorielle (à l’exemple des stations d’hiver de 3° génération ou des stations littorales de type Dubaï), en quoi et comment d’autres habitats émergent qui réactivent les relations esthétiques à la nature et replacent le corps sensoriel au cœur du dispositif de création ? L’habitabilité récréative comme processus permettant d’habiter un lieu en poète par la mise en expérience du monde vécu favorise t-elle l’émergence de cette écologie corporelle située ?

L’artialisation des médiations récréatives avec les lieux visités et vécus ouvre aussi des perspectives intéressantes pour réactiver la présence du corps dans les écosystèmes fréquentés. Après le temps de l’art moderne et contemporain, de nouvelles perspectives artistiques émergent comme invitation à repenser le lien et les échanges avec la nature, les habitats, les populations, les technologies et les modes de pensée. Le corps entre dans la scène artistique, devient le médiateur de cet échange et développe une communication infraliminaire avec le monde constitué. A l’exemple de certains sentiers thématisés et de l’usage de technologies numériques multiples, le corps est invité à se mouvoir dans ces scènes théâtralisées et fictionnelles qui redéfinissent les coupures historiques entre l’individu et l’espace touristique. Les expériences sensorielles, émotionnelles et kinesthésiques sont ainsi projetées au cœur du dispositif via diverses médiations symboliques permises par le concepteur de ces espaces récréatifs. En quoi et comment la visite de châteaux ou de musées, la fréquentation de parcs récréatifs ou la participation à différents évènementiels est-elle transformée par l’invitation à placer le corps au centre de l’espace parcouru ?

Sans doute, peut-on aussi interroger le rôle des technologies de réparation et d’amplification qui permettent aux handicapés moteurs et mentaux de retrouver la présence d’un corps fonctionnel ou virtuel leur donnant l’occasion de se réapproprier un corps d’action dans leur monde-vie habituel. Le corps caché et subi peut-il alors retrouver une présence via l’apport de ces prothèses technologiques, des innovations biotechnologiques, des aménagements ludiques et des potentialités permises par les espaces virtuels ? L’organisation en 2016 du Cybathlon à Munich, les prouesses sportives de Pistorius ou l’accessibilité physique à différents lieux récréatifs permise par les nouvelles normes de construction ne réduit plus le corps handicapé à un corps absent et inerte. Une écologie corporelle du handicap induit-elle une transition récréative dans la manière de situer ces publics dans la société contemporaine ? Plus globalement,  c’est la question de  la santé récréative qui est en jeu pour penser et gérer tous les handicaps, fragilités et souffrances qui touchent les identités contemporaines des uns et des autres.

Ces rencontres seront aussi l’occasion d’interroger la créativité écologique comme invitation à redéfinir nos liens avec la nature et nos modes d’habiter. Face à un environnement naturel et un corps en souffrance dans nos modes de vie contemporains, comment différents acteurs s’engagent-ils dans une transition récréative pour donner naissance à des écologies corporelles d’un nouveau genre ? Des éco-concepts culturels émergent en puisant leurs registres d’action dans des cosmogonies ancestrales. Des symboliques récréatives innovantes souhaitent prendre leur distance avec les logiques sportives modernes (compétition, performance, épreuve) et postmodernes (hédonisme, ludisme, vertige) en puisant dans d’autres références culturelles la relation à la naturalité ou à l’urbanité. Les pédagogies à l’environnement, certains mouvements de jeunesse, les prestations écologiques, les stages d’éco-thérapie ou encore des séjours éco-touristiques sont-ils à même d’investir l’écologie relationnelle (Ingold, 2013) pour revitaliser le lien à la nature ? Une autre relation aux environnements se diffuse t-elle en réinterrogeant la place du corps dans la définition de nos identités contemporaines ? Quels sont les processus de transition à l’œuvre ?

La créativité territoriale n’est pas absente de cette transition par l’émergence de laboratoires récréatifs qui s’approprient des lieux urbains ou ruraux pour donner naissance à des mondes communs esthétiques. Que ce soit autour du livre, de la danse, des sports de nature, du patrimoine local ou des transhumances, différents publics s’investissent dans des lieux de vie pour repenser la définition du politique et des espaces publics.  En métissant les univers culturels, des formes récréatives inédites sont fabriquées invitant à repenser les liens entre les habitants, le politique, l’entreprise et le social. Ces tiers-lieux qui émergent ici ou là sont-ils emblématiques du renouveau de la société civile ? Questionnent-ils la manière dont le corps et ses expressions sont impliqués dans le réenchantement du quotidien ? Que ce soit à Roquefort autour des mémoires orales des habitants, à Mur de Barrez dans le développement des sentiers de l’imaginaire ou encore au Villaret dans la fabrique d’un espace artistique écologique, nombreux sont les exemples d’élaboration d’hétérotopies récréatives. Des lieux ordinaires peuvent-ils ainsi devenir extraordinaires comme des lieux touristiques peuvent « s’ordinariser » ? En reconfigurant les frontières entre « habiter » et « visiter », quel rôle peuvent jouer les migrations d’agrément dans cette transition récréative des lieux de vie ?

Toutes ces entrées proposées participent à un renouveau des écologies corporelles et interpellent les mouvements culturels, écologiques, économiques ou politiques de nos sociétés contemporaines dans leurs manières d’interroger les pratiques récréatives, qu’elles soient urbaines ou rurales. Dans quelle mesure et sous quelles formes ce processus participe t-il à une transition sociétale, actrice du dépassement des crises (sociale, économique, écologique, climatique et énergétique)  auxquelles font face les sociétés contemporaines ? Nous invitons les chercheurs mais aussi les praticiens (consultants, agents de développement, créateurs de parcs,…) à venir échanger autour de ces dynamiques créatives en émergence sur le campus rural du Pradel (Ardèche) les 1, 2 et 3 juin 2016, en bénéficiant de tous les avantages de ce lieu pour organiser des manifestations scientifiques de qualité.

Programme

Mercredi 1er juin 2016

14 h – 14 h 15 Ouverture du colloque

  • Pascal MAO, directeur du CERMOSEM

14 h – 15 / 15 h 45 Séance plénière introductive

  • Jean CORNELOUP, Transition récréative et écologie corporelle
  • Bernard ANDRIEU, La cosmose : l'émersion du vivant par l'écologie corporelle
  • Olivier SIROST, L’expérience transitionnelle postmoderne

16 h – 18 h  Ateliers

Séance 1 Les expériences immersives amplifiées

Animateur et rapporteur : Bernard ANDRIEU

  • Evelyne LOMBARDO et Christophe GUION, Expérience récréative immersive amplifiée avec visiocasque
  • Sylvie MIAUX (Canada), Le rôle des nouvelles technologies mobiles dans les promenades d’artistes et citoyennes : entre création, immersion et transformation
  • Valérian GEFFROY, Outillage numérique et médiatisation des pratiques : le tourisme sportif augmenté ?
  • Frédéric LEBAS, Expériences ubiquitaires et caméra d’action

Séance 2 Solidarité et santé récréatives dans les espaces de proximité

Animateur et rapporteur : Katia FERSING

  • Esther GUILLEMARD et Suzie PASSAQUIN, L’université Foraine: living lab/ laboratoire émergent de la santé foraine ?
  • Abdelkader BENCHEHIDA, Othmane BENBERNOU, Mohamed SEBBANE (Algérie), Regards croisés sur les pratiques sportives et le handicap
  • Pascal BORDES, Et si l’on parlait d’écologie relationnelle ? La place des pratiques solidaires dans l’écologie corporelle

19 h – 20 h Repas

21 h – 22 h Soirée autour de la transition récréative et de l’expérience corporelle située

Jeudi 2 juin matin

8h45/10h15 Séance plénière Transition récréative et espaces de pratique

  • Guy DI MEO, Ecologie corporelle, géographie et aménagement
  • Guy SAEZ, Vers un néo-territorialisme existentiel ?

10 h 30 / 12 h 30 - Ateliers

Séance 3 L’amplification corporelle

Animateur et rapporteur : Eric DE LESELEUC

  • Dominique KREZIAK, Isabelle FROCHOT, Le meilleur du ski dans la meilleure des ambiances : concilier fête et ski lors d’un séjour touristique
  • Petrucia DA NOBREGA (Brésil), Le surf nu comme cosmose du corps : un exemple de co- existence des espaces récréatifs dans la plage de  Tambaba, Paraíba, Brésil
  • Isabelle MALLET, Handicap visuel et tourisme récréatif
  • Lionel CHAVAROCHE, Le slackline. D’une inscription culturelle à une écologisation dans le vide

Séance 4 L’habitabilité récréative

Animateur et rapporteur : Olivier SIROST

  • Ludovic FALAIX, De la vague habitée à l’habitabilité récréative : plaidoyer pour une géographie de l’intime.
  • Sylvie MIAUX (Canada), Bruno CHARLIER, Hélène DOUENCE, Danièle LAPLACE, Questionner l’habitabilité récréative à travers la co-création d’une promenade artistique : enquête immersive à partir d’un ruisseau urbain
  • Thomas RIFFAUD, Le corps, intermédiaire d’une danse avec l’espace urbain. L’habitabilité dans les sports de rue et la danse contemporaine.
  • Florian LEBRETON, Ecologie corporelle et pratiques d’outdoor urbanites

12 h 30 – 14 h 15 Repas

14 h 15 – 16 h 15

Séance 5 Les laboratoires récréatifs

Animateur et rapporteur : Olivier OBIN

  • Jean Pierre CAMPREDON, Cantercel  du ressenti au bâti, une expérience, une pédagogie
  • Laetitia BISCHOFF, L’Ecole de la Nature et des Savoirs, une autre façon d’habiter la terre
  • Mathilde COGNET, L’Ecole du vent, entre territorialité et habitabilité
  • Grant LINSCOTT, Le cas du Wave Surf Café à Bordeaux : une approche par le design thinking

Séance 6 Art, créativité et territoire

Animateur et rapporteur : Philippe BOURDEAU

  • François POUTHIER, Les usages d’un environnement naturel confrontés à la règle du jeu de l'oie. L’itinérance Bernache dans le bassin d'Arcachon
  • Katia FERSING, Emersions corporelles dans la fabrique d’un laboratoire culturel local
  • Cécile AUREJAC, Projet îles d'Auvergne : édition, 3D, land art et résidences d'artistes. Un projet multiforme pour artistes, architectes, paysagistes, écrivains,…
  • Olivier DUBUQUOY, Une désobéissance civile récréative pour une transition sociale et écologique

Atelier 16 h 30 – 18 h 30

Séance 7 Itinérance des profondeurs et naturalité

Animateur et rapporteur : Olivier BESSY

  • Marie Cheree BELLENGER, Le prédateur prosélyte : partager la passion pour la nature.
  • Loran NICOLARDOT, Le développement du bushcraft survie
  • Billy FERNANDEZ, Vers une approche douce de la wilderness de montagne : l'expérience Changer d'approche
  • Francisco MENA (Chili), Fabien BOURLON (Chili), Pascal MAO, Mauricio OSORIO (Chili), Du tourisme scientifique à la transformation écologique et corporelle

Séance 8 De quelle transition récréative parle-t-on ?

Animateur et rapporteur : Guy SAEZ

  • Olivier TURQUIN, Ecologie corporelle des bergers et écosophie spirituelle des pasteurs
  • Eric DE LESELEUC,  La mise en scène artistique contemporaine du corps handicapé : quelle transition?
  • Olivier BESSY, Pratiques extrêmes et transition récréative. L’exemple des pratiquants d’ultra-trail
  • Philippe BOURDEAU, L’après-tourisme, expression d’une transition récréative en mouvement

19 h – 21 h Repas en commun

21 h – 22 h Soirée autour de la transition récréative et de l’expérience corporelle située

Vendredi 3 juin matin

8 h 45 / 10 h 15 Séance plénière : comment penser la transition récréative ?

  • Christian GODIN, Un nouveau défi : le réapprentissage du renoncement
  • Eric DACHEUX, Le délibéralisme : penser une transition vers une démocratie solidaire et libertaire

10 h 30 – 12 h 30 Ateliers

Séance 9 : l’espace public en question

Animateur et rapporteur : Eric DACHEUX

  • Isabel CLAUS, Corps/espaces publics des hyper-centres : vers une sociabilité de contact ou une sociabilité diffuse ?
  • Davia  BENEDETTI, Vers une écologie partenariale du corps
  • Robinson TORRES (Chili), La résistance récréative au projet d’aménagement industriel de la nature en Patagonie
  • Romain BERARD, Tempelhofer Feld. L’émergence d’un laboratoire récréatif inattendu ?

Séance 10 : La créativité culturelle

Animateur et rapporteur : Ludovic FALAIX

  • Chiara KIRSCHNER, La créativité corporelle, écologique et relationnelle dans l'itinérance: vers une interprétation éthique des pratiques récréatives
  • Anne GOMBAULT, L'expression de la créativité dans la cybersexualité : une approche exploratoire
  • Pascal MAO, Olivier OBIN, La transition numérique des sports de nature,  vers des sportsnature 3.1

Séance 11 : Territoire en mouvement

Animateur et rapporteur : Florian LEBRETON

  • André SUCHET, A propos des friches sportives… Le tremplin de saut à ski des Jeux Olympiques d’hiver 1968, Grenoble
  • Marc LANGENBACH, Emilie JACCARD (Suisse), Les nouveaux espaces du trail pour repenser les liens entre centres urbains et périphéries touristiques
  • Frédéric REY, Géographie, technologies et motricités

12 h 30 – 14 h 30 Repas

14 h 30 /16 h 30 Table ronde conclusive

Transition récréative et écologie corporelle : bilan et perspectives

Animateur : Philippe BOURDEAU et  Jean CORNELOUP

  • Guy SAEZ,
  • Anne GOMBAULT,
  • Katia FERSIN,
  • Christian GODIN,
  • Eric DACHEUX,
  • Pascal MAO,
  • Ludovic FALAIX,
  • Olivier BESSY,
  • Eric DE LESELEUC,
  • Florian LEBRETON,
  • Olivier TURPIN.

16 h 30 Clôture du colloque

Lieux

  • Domaine Olivier de serres, Le Pradel
    Mirabel, France (07170)

Dates

  • mercredi 01 juin 2016

Mots-clés

  • transition, récréation, écologie, corps, transmodernité

Contacts

  • Jean Corneloup
    courriel : j [dot] corneloup [at] libertysurf [dot] fr

URLS de référence

Source de l'information

  • Jean Corneloup
    courriel : j [dot] corneloup [at] libertysurf [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Transition récréative et écologie corporelle », Colloque, Calenda, Publié le lundi 23 mai 2016, https://doi.org/10.58079/v4u

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