Announcement
Rome, 6-7-8 février 2020
Académie de France à Rome – Villa Médicis
Sapienza – Università di Roma, Facoltà di Architettura
Présentation
Ancrées dans le temps long de l’histoire des techniques, de la construction architecturale, de la domestication et de l’acclimatation par l’homme des espèces animales, les volières constituent un objet de recherche interdisciplinaire qui offre de multiples points d’entrée pour étudier les liens, présents ou passés, qui unissent les sociétés à leur environnement, pour explorer la place des oiseaux dans les imaginaires collectifs, mais aussi apprécier l’originalité des œuvres ou des constructions dont l’une des fonctions est de représenter, de signifier ou de rendre effectivement présente la vie animale.
Conçues principalement pour l’élevage, l’exposition et la conservation des oiseaux en captivité, les volières ont été déclinées historiquement dans une multitude de formes. À la différence des cages, qui sont des objets mobiles et de plus petites dimensions, celles-ci sont de véritables constructions qui s’inscrivent dans des ensembles paysagers ou architecturaux. Ouvrages hybrides et polymorphes, elles ont pour particularité de présenter des structures fortement ajourées, ce qui leur permet de fonctionner à la fois comme des bâtiments ouverts, des lieux de captivité et des dispositifs de présentation pour les collections animales. Les volières présentent en outre d’importants volumes, adaptés au vol des oiseaux sur de courtes distances : elles érigent le vol des oiseaux en spectacle pour un regard extérieur et tendent à célébrer comme un état de « semi-liberté » la captivité animale.
Ces compositions spatiales et matérielles qui abritent, organisent et mettent en scène une communauté de vivants, sont douées en elles-mêmes d’un fort potentiel métaphorique qui en font souvent les vectrices d’une grande variété de discours, pratiques et représentations. Volières domestiques, zoologiques, cynégétiques, ornementales nous éclairent aussi bien sur les représentations de la nature et la place des humains en son sein que sur les conceptions morales, les hiérarchies sociales, les paradigmes scientifiques. Elles révèlent les dynamiques de circulation des objets, des êtres vivants, des savoirs et des idées, à l’intérieur des sociétés et entre les cultures, ainsi que les rapports de domination qui les sous-tendent.
L’objectif de ce colloque international est d’explorer les principaux axes, domaines et thématiques d’une recherche interdisciplinaire sur les volières. Il s’agira également d’en préciser les matériaux, objets et modalités d’enquête, et d’initier de nouvelles lectures à travers des travaux inédits, soutenus par des méthodologies originales.
Les participants sont invités à penser leur objet d’étude selon trois axes principaux :
1/ Structures et dispositifs : constructions, expériences sensibles et esthétiques du vivant.
Le premier axe de recherche envisage les différentes fonctions assignées aux volières – productives, ornementales, musicales, scientifiques, etc. – à partir d’une analyse serrée des techniques, des dispositifs et des modalités de fonctionnement. Il touche à la conception architecturale, aux propriétés spatiales, visuelles et acoustiques, mais aussi aux techniques du corps et aux relations entre humains et animaux qu’elles induisent, aux formes de l’expérience sensible et aux affects.
2/ Oiseaux encagés, oiseaux en collections : de la prédation des individus à la conservation des espèces animales.
Le deuxième axe s’intéresse aux oiseaux des volières en tant que cheptels mais aussi en tant qu’objets de collection. Il cherche à identifier les espèces, à analyser les techniques de chasse et de transport, à retracer la géopolitique des approvisionnements, à comprendre la logique des accumulations, classifications, catégories : oiseaux de bouche, de chant ou de proie, espèces indigènes ou exotiques, objets de délectation ou d’attachement, spécimens de science ou de patrimoine…
3/ Volières comme systèmes symboliques : conceptions du monde, allégories morales, incarnations du pouvoir.
Le troisième axe envisage les volières du point de vue des représentations, des idées et des valeurs. De conceptions spirituelles en paradigmes scientifiques, les volières au fil du temps recomposent les configurations du vivant et les conceptions de la nature : elles indiquent les bonnes façons de relier entre elles les différentes entités qui les constituent et de s’y situer en tant qu’humain. Leur étude dévoile les croyances, les cosmogonies, autant que les épistémès. Elle souligne les rapports de force au sein des sociétés et entre elles, pour l’accès et le contrôle des ressources faunistiques notamment.
Les interventions pourront prendre la forme de monographies, d’enquêtes régionales, de recherches thématisées et/ou transversales, mais aussi de propositions d’ordre technique, méthodologique ou épistémologique, dans une approche ouverte sur les sciences humaines, les sciences, la médiation des savoirs et la valorisation des patrimoines, en vue de révéler toute la puissance heuristique et la valeur didactique de ces natures en cages.
Disciplines concernées : architecture, histoire de l’architecture, des arts, du paysage et des jardins, arts décoratifs, anthropologie de la nature et du vivant, anthropologie historique, heritage studies, collecting studies, museum studies, gender studies, postcolonial studies, histoire culturelle, histoire sociale, histoire des sciences, histoire des techniques, scénographie, littérature, musicologie, archéologie du son, archéozoologie, sciences du vivant, ornithologie, éthologie, animal studies.
Organisation du colloque
Les langues de communication sont l’italien, le français et l’anglais. Les interventions seront limitées à 25 minutes. Les travaux présentés au colloque feront l’objet d’une expertise en vue de leur éventuelle publication dans un ouvrage scientifique collectif.
Candidatures
Les propositions d’intervention devront être envoyées par courriel, avant le 4 juillet 2019,
à l’adresse suivante : patrizia.celli@villamedici.it
Elles devront compoter un titre, un résumé de 2500 signes maximum (espaces compris), ainsi qu’une présentation biographique de 1000 signes.
Les candidats seront informés de la sélection aux alentours du 15 juillet 2019 par courriel.
Organisateurs
- Francesca Alberti Académie de France à Rome – Villa Médicis ;
- Flaminia Bardati Sapienza – Università di Roma ;
- Julien Bondaz Université Lumière Lyon 2 ;
- Emmanuel Lurin Sorbonne Université/Centre André Chastel ;
- Mélanie Roustan Muséum national d’histoire naturelle.
Coordination
- Patrizia Celli Académie de France à Rome – Villa Médicis.
Comité scientifique
- Baudouin van den Abeele Université catholique de Louvain/FNRS ;
- Adrian van Allen California Academy of Sciences, Berkeley ;
- Etienne Anheim (EHESS, Paris) ; Damien Baldin (EHESS, Paris) ;
- Cyrille Bret Haute École des Arts du Rhin, Mulhouse et Strasbourg ;
- Hervé Brunon Sorbonne Université/CNRS, Paris ;
- Alberta Campitelli Vicepresidente dell’Associazione parchi e giardini d’Italia, Roma ;
- Claudia Cieri Via Sapienza – Università di Roma ;
- Allen Grieco Harvard Center for Renaissance Studies, Villa I Tatti, Firenze ;
- Frédéric Keck CNRS/Laboratoire d’anthropologie sociale, Paris ;
- Guy Lambert École nationale d’architecture Paris-Belleville ;
- Frédéric Laugrand Université Laval, Québec ;
- Iris Lauterbach Technische Universität, München ;
- Corinne Le Bitouze Bibliothèque nationale de France, Paris ;
- Vanessa Manceron CNRS/LESC, Paris ;
- Anne Monjaret CNRS, Laboratoire IIAC-LAHIC, Paris ;
- Monique Mosser Sorbonne Université/CNRS, Paris ;
- Mauro Mussolin Kunsthistorisches Institut in Florenz – Max Planck Institut ;
- Natsumi Nonaka Illinois State University, Normal ;
- Patrizia Tosini Università degli Studi di Roma Tre ;
- Anne-Gaëlle Weber Université d’Artois, Arras.
Rome, February 6-8, 2020
Académie de France à Rome – Villa Médicis/Sapienza – Università di Roma, Facoltà di Architettura
Presentation
Deeply rooted in the long history of technology, architectural construction, and the domestication and acclimatisation of animal species by humans, aviaries are an interdisciplinary research subject offering multiple approaches for studying both past and present bonds, connecting societies to their environment, to explore the place of birds in the collective imaginary, but also to appreciate the originality of works or constructions that were conceived in order to represent, signify or house animal life.
Designed mainly for the breeding, exhibition and conservation of birds in captivity, aviaries have historically taken a multitude of forms. Unlike cages, which are smaller mobile objects, aviaries are veritable constructions which are sit in a framework of architectures and landscapes. These hybrid and polymorphic structures present large perforated spaces, which allow them to function simultaneously as open buildings, places of captivity and for the presentation of animal collections. Aviaries are also sizeable enough to allow short distance flights: they make a spectacle of the flight of birds for the external observer and tend to celebrate the captivity of animals as a state of “semi-freedom”.
These spatial and material compositions that shelter, organise and present a community of living beings, possess a metaphorical potential which often makes them vectors for a wide variety of concepts, practices and images. Domestic, zoological, cynegetic, ornamental aviaries shed light on representations of nature and the place of human beings therein, as well as on moral conceptions, social hierarchies, scientific paradigms. They reveal the dynamics of circulation of things, living beings, knowledge and ideas within societies and between cultures, as well as the underlying power relations.
The goal of this international conference is to explore the primary perspectives, fields and topics of an interdisciplinary research on aviaries. It will also attempt to define materials, objects and investigation methods, and to instigate new interpretations through unpublished works, supported by original methodologies.
Participants are invited to consider this research topic following three main research perspectives:
1/ Aviaries as material structures and devices: constructions, sensorial experiences and aesthetics of the living world.
The first research perspective considers the different functions assigned to aviaries – productive, ornamental, musical, scientific, etc. – starting with a thorough review of techniques, devices and operating methods. It concerns architectural design, spatial, visual and acoustic properties, but also physical techniques, the relations they create between humans and animals, and the kinds of sensorial experience and affectivity.
2/ Caged birds, birds in collections: from predation to conservation
The second research perspective considers aviary birds as livestock, but also as collectable objects. It seeks to identify species, to analyse hunting and transportation methods, to follow the geopolitics of procurement, to understand the logic of accumulations, classification and categories: edible birds, songbirds or birds of prey, local or exotic species, objects of delight or affection, scientific or heritage specimens…
3/ Aviaries as symbolic systems: conceptions of nature, moral allegories, incarnations of power.
The third research perspective considers aviaries from the point of view of representations, ideas and values. From spiritual conceptions to scientific paradigms, over time aviaries recompose the configurations of living beings and the conceptions of nature: aviaries show the way to link the different entities which constitute them and to positioning oneself as a human being therein. Their study unveils beliefs, cosmogonies, as well as épistémès. It emphasises power structures within and among societies, particularly concerning access to and control of wildlife resources.
Talks may take the form of monographs, regional surveys, thematic and/or transversal research, but also technical, methodological or epistemological propositions. The overall approach is open to humanities, sciences and mediation of natural and cultural heritage, in order to free the heuristic power and the didactic value of this caged nature.
Disciplines concerned: architecture, history of architecture and of the arts, history of landscaping and gardens, anthropology of nature and living beings, historical anthropology, heritage studies, collecting studies, museum studies, gender studies, postcolonial studies, cultural history, social history, scientific history, history of techniques, scenography, literature, musicology, archaeology of sound, archaeozoology, life science, ornithology, ethology, animal studies.
Conference organisation
Talks may be in Italian, French and English. They will be limited to 25 minutes.
Papers presented at the conference will be reviewed for a possible publication in a collective scientific volume.
Submissions
Proposals must be submitted, via e-mail, before 4th July 2019,
to the following address: patrizia.celli@villamedici.it
They must include a title, a summary of 2500 characters maximum (spaces included), and a biographical presentation of 1000 characters.
Candidates will be informed of the selection around Monday, 15th July 2019 via e-mail.
Organizers
- Francesca Alberti Académie de France à Rome – Villa Médicis ;
- Flaminia Bardati Sapienza – Università di Roma ;
- Julien Bondaz Université Lumière Lyon 2 ;
- Emmanuel Lurin Sorbonne Université/Centre André Chastel ;
- Mélanie Roustan Muséum national d’histoire naturelle.
Coordination
- Patrizia Celli Académie de France à Rome – Villa Médicis.
Comité scientifique
- Baudouin van den Abeele Université catholique de Louvain/FNRS ;
- Adrian van Allen California Academy of Sciences, Berkeley ;
- Etienne Anheim (EHESS, Paris) ; Damien Baldin (EHESS, Paris) ;
- Cyrille Bret Haute École des Arts du Rhin, Mulhouse et Strasbourg ;
- Hervé Brunon Sorbonne Université/CNRS, Paris ;
- Alberta Campitelli Vicepresidente dell’Associazione parchi e giardini d’Italia, Roma ;
- Claudia Cieri Via Sapienza – Università di Roma ;
- Allen Grieco Harvard Center for Renaissance Studies, Villa I Tatti, Firenze ;
- Frédéric Keck CNRS/Laboratoire d’anthropologie sociale, Paris ;
- Guy Lambert École nationale d’architecture Paris-Belleville ;
- Frédéric Laugrand Université Laval, Québec ;
- Iris Lauterbach Technische Universität, München ;
- Corinne Le Bitouze Bibliothèque nationale de France, Paris ;
- Vanessa Manceron CNRS/LESC, Paris ;
- Anne Monjaret CNRS, Laboratoire IIAC-LAHIC, Paris ;
- Monique Mosser Sorbonne Université/CNRS, Paris ;
- Mauro Mussolin Kunsthistorisches Institut in Florenz – Max Planck Institut ;
- Natsumi Nonaka Illinois State University, Normal ;
- Patrizia Tosini Università degli Studi di Roma Tre ;
- Anne-Gaëlle Weber Université d’Artois, Arras.
Roma, 6-7-8 febbraio 2020
Accademia di Francia a Roma – Villa Medici
Sapienza – Università di Roma, Facoltà di Architettura
Presentazione
Radicate nel lungo sviluppo della storia delle tecniche, della costruzione architettonica, dell’addomesticazione e acclimatazione delle specie animali da parte dell’uomo, le voliere costituiscono un oggetto di ricerca interdisciplinare che offre molteplici punti di vista per studiare i legami, presenti o passati, che uniscono le società all’ambiente, per esplorare il posto degli uccelli nell’immaginario collettivo, ma anche per apprezzare l’originalità di queste opere o costruzioni progettate per rappresentare, significare o ospitare effettivamente la vita animale.
Concepite principalmente per l’allevamento, l’esposizione e la conservazione degli uccelli in cattività, le voliere sono state storicamente realizzate in una moltitudine di forme. A differenza delle gabbie, che sono oggetti mobili e di più piccole dimensioni, esse sono costruzioni vere e proprie inserite in complessi paesaggistici e architettonici. Opere ibride e polimorfe, hanno la particolarità di presentare strutture estremamente traforate, che permettono loro di funzionare sia come costruzioni aperte, che come luoghi di cattività e dispositivi di presentazione delle collezioni animali. Sviluppandosi su volumi tali da permettere di volare, benché su corte distanze, le voliere innalzano il volo degli uccelli a spettacolo per lo sguardo che, dall’esterno, tende a celebrare la cattività animale come uno stato di “semilibertà”.
Queste composizioni spaziali e materiali che nascondono, organizzano e mettono in scena una comunità di esseri viventi, sono dotate di un forte potenziale metaforico che ne fa spesso i vettori di una grande varietà di discorsi, pratiche e rappresentazioni. Voliere domestiche, zoologiche, cinegetiche, ornamentali ecc. ci illuminano sia sulle rappresentazioni della natura e sul posto occupato dall’uomo al suo interno, sia su concezioni morali, gerarchie sociali, paradigmi scientifici. Allo stesso tempo rivelano le dinamiche della circolazione degli oggetti, degli esseri viventi, del sapere e delle idee all’interno delle società e tra le diverse culture, così come i rapporti di dominazione insiti in tali dinamiche.
L’obiettivo del convegno internazionale è di esplorare i principali assi, campi e tematiche legati a un approccio interdisciplinare sulle voliere, anche precisando materiali, oggetti e modalità di indagine, e proponendo nuove letture attraverso lavori inediti, sostenuti da metodologie originali.
I partecipanti sono invitati a pensare i loro oggetti di studio secondo tre assi principali:
1/ Strutture e dispositivi: costruzioni, esperienze sensibili ed estetica dei viventi.
Il primo asse di ricerca esamina le diverse funzioni assegnate alle voliere – produttive, ornamentali, musicali, scientifiche, ecc. – partendo da un’analisi approfondita delle tecniche, dei dispositivi e delle modalità di funzionamento. Comprende la concezione architettonica, le proprietà spaziali, visuali e acustiche delle voliere, ma anche le tecniche del corpo e le relazioni indotte tra uomini e animali, le forme dell’esperienza sensibile e gli affetti.
2/ Uccelli in gabbia, uccelli da collezione: dalla cattura degli individui alla conservazione delle specie animali.
Il secondo asse di ricerca si interessa agli uccelli delle voliere come specie, ma anche come oggetti da collezione. Si tratta di identificare le specie, di analizzare le tecniche della caccia e di trasporto, di ritracciare la geopolitica degli approvvigionamenti, di comprendere la logica dell’accumulo, della classificazione e delle categorie: uccelli da mangiare, per il canto o come preda, specie indigene o esotiche, oggetti di compiacimento o attaccamento, esemplari di scienza o di patrimonio…
3/ Voliere come sistemi simbolici: concezioni del mondo, allegorie morali, incarnazioni del potere.
Il terzo asse di ricerca esamina le voliere dal punto di vista delle rappresentazioni, delle idee e dei valori. Da concezioni spirituali a paradigmi scientifici, le voliere nel corso del tempo ricompongono le configurazioni degli esseri viventi e le concezioni della natura: indicano la giusta maniera di unire tra di loro le diverse entità che le costituiscono e di situarvisi in quanto esseri umani. Il loro studio svela credenze, cosmogonie, così come epistemi. Sottolinea i rapporti di forza nella società, in particolare per l’accesso e il controllo delle risorse faunistiche.
Gli interventi possono prendere forma di monografie, di inchieste regionali o di ricerche tematiche e/o trasversali, ma anche di proposte di ordine tecnico, metodologico o epistemologico, in un approccio aperto alle scienze, alla mediazione del sapere e della valorizzazione del patrimonio, con l’obiettivo di rivelare tutta la potenzialità euristica e il valore didattico di queste nature in gabbia.
Discipline interessate: architettura, storia dell’architettura, delle arti, del paesaggio e dei giardini, arti decorative, antropologia della natura e dei viventi, antropologia storica, patrimonio, collezionismo, studi museali, studi di genere, postcolonial studies, storia culturale, storia sociale, storia delle scienze, storia delle tecniche, scenografia, letteratura, musicologia, archeologia del suono, archeo-zoologia, biologia, ornitologia, etologia, animal studies.
Organizzazione del convegno
Le comunicazioni, la cui durata è limitata a 25 minuti, possono essere in italiano, francese e inglese. I lavori presentati nel convegno saranno oggetto di una valutazione in vista di una loro eventuale pubblicazione in un’opera scientifica collettiva.
Proposte
Le proposte di comunicazione dovranno essere inviate per mail, entro il 4 luglio 2019,
al seguente indirizzo di posta elettronica: patrizia.celli@villamedici.it.
Dovranno comprendere un titolo, un riassunto di 2500 caratteri massimo (spazi compresi) e di una presentazione biografica di 1000 caratteri.
I candidati saranno informati della selezione per mail verso il 15 luglio 2019.
Organizzatori
- Francesca Alberti Académie de France à Rome – Villa Médicis;
- Flaminia Bardati Sapienza – Università di Roma;
- Julien Bondaz Université Lumière Lyon 2;
- Emmanuel Lurin Sorbonne Université/Centre André Chastel;
- Mélanie Roustan Muséum national d’histoire naturelle.
Coordinazione
Patrizia Celli Académie de France à Rome – Villa Médicis.
Comitato scientifico
- Baudouin van den Abeele Université catholique de Louvain/FNRS;
- Adrian van Allen California Academy of Sciences, Berkeley;
- Etienne Anheim (EHESS, Paris) ;
- Damien Baldin (EHESS, Paris) ;
- Cyrille Bret Haute École des Arts du Rhin, Mulhouse et Strasbourg;
- Hervé Brunon Sorbonne Université/CNRS, Paris;
- Alberta Campitelli Vicepresidente dell’Associazione parchi e giardini d’Italia, Roma;
- Claudia Cieri Via Sapienza – Università di Roma;
- Allen Grieco Harvard Center for Renaissance Studies, Villa I Tatti, Firenze;
- Frédéric Keck CNRS/Laboratoire d’anthropologie sociale, Paris;
- Guy Lambert École nationale d’architecture Paris-Belleville;
- Frédéric Laugrand Université Laval, Québec;
- Iris Lauterbach Technische Universität, München;
- Corinne Le Bitouze Bibliothèque nationale de France, Paris;
- Vanessa Manceron CNRS/LESC, Paris;
- Anne Monjaret CNRS, Laboratoire IIAC-LAHIC, Paris;
- Monique Mosser Sorbonne Université/CNRS, Paris;
- Mauro Mussolin Kunsthistorisches Institut in Florenz – Max Planck Institut;
- Natsumi Nonaka Illinois State University, Normal;
- Patrizia Tosini Università degli Studi di Roma Tre;
- Anne-Gaëlle Weber Université d’Artois, Arras.