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Architecture et habitat social

Renewals for Architecture and Social Housing?

VIIIe dossier thématique des « Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère » (Craup)

8th thematics folder of the “Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère” (Craup)

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Publicado terça, 29 de outubro de 2019

Resumo

Cet appel à articles concerne un champ en pleine mutation, fort important pour les praticiens de l’architecture, du paysage et de l’aménagement de l’espace : l’habitat social. Présent en Europe à des niveaux variables, de 4 % en Roumanie à 32 % aux Pays-Bas, l’habitat social participe fortement au renouvellement urbain. Sa réhabilitation matérielle et immatérielle, l’évolution de ses significations, de ses acteurs ou de son peuplement conduisent à de nouvelles dynamiques, qui agissent sur les formes architecturales, urbaines et paysagères, sur les métiers de la production de l’espace et sur les modes d’habiter. C’est ce que ce dossier thématique vise à identifier et à décrypter au travers trois axes : 1) Vers de nouveaux modèles ; 2) Entre patrimonialisation, rénovation urbaine et développement durable ; 3) Formes spatiales et arrangements sociaux.

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Coordination

Dossier thématique coordonné par Sabrina Bresson, Yankel Fijalkow, Ioana Iosa

Argumentaire

Cet appel à articles concerne un champ en pleine mutation, fort important pour les praticiens de l’architecture, du paysage et de l’aménagement de l’espace : l’habitat social. Présent en Europe à des niveaux variables, de 4 % en Roumanie à 32 % aux Pays-Bas, l’habitat social participe fortement au renouvellement urbain. Sa réhabilitation matérielle et immatérielle, l’évolution de ses significations, de ses acteurs ou de son peuplement conduisent à de nouvelles dynamiques, qui agissent sur les formes architecturales, urbaines et paysagères, sur les métiers de la production de l’espace et sur les modes d’habiter. C’est ce que ce dossier thématique vise à identifier et à décrypter au travers des trois axes suivants.

1.Vers de nouveaux modèles

La définition de l’habitat social comme parc immobilier relevant de fonds publics, d’un prix fixé sans lien direct avec le marché et souhaitant répondre aux besoins des plus défavorisés, connaît des reconfigurations importantes en Europe en termes de quantité, de qualité et de contrat. Comment l’architecture répond à ces évolutions économiques et politiques ?

Certains pays ont profondément transformé leur logement social, comme le Royaume-Uni avec la mise en vente d’une partie du parc et sa gestion par des associations, ou les pays de l’Amérique du Nord qui intègrent un partenariat avec le secteur privé. Dans les pays de l’Est de l’Europe, où l’habitat social a été vendu à petit prix juste après 1989 à ses occupants de l’époque, la précarité des nouveaux propriétaires ne permet pas de faire face à l’entretien des logements. De plus, les injonctions européennes à la restitution des propriétés nationalisées déstabilisent les statuts juridiques classiques. En France, la fragilisation des délimitations institutionnelles du logement social, notamment l’appartenance au domaine public de l’État ou des collectivités locales, interroge son mode de production et le jeu des acteurs. Les partenariats privés et publics sont encouragés et on voit se développer une politique en faveur de la vente HLM, de l’investissement des petits propriétaires dans les « logements abordables » et de l’intermédiation locative entre associations et bailleurs privés dans le cas de « logements très sociaux ».

Alors que de nombreuses pressions s’exercent pour recentrer ce secteur vers les plus défavorisés, les bailleurs réfléchissent aux manières de se renouveler et aux nouveaux services pouvant être apportés aux habitants. Quels sont les effets de ces transformations sur le parc social, aussi bien du point de vue de sa conception qu’en matière de réhabilitation, de gestion ou d’entretien ? Dans quelle mesure ces recompositions affectent les projets architecturaux et d’espaces publics, voire les métiers de l’architecture et du paysage au service de l’habitat social ? Comment acteurs publics et privés envisagent d’intervenir dans la gestion et/ou la rénovation de l’ancien parc social et quel rôle peuvent jouer les professionnels de l’espace ?

Qu’il s’agisse de partenariats publics/privés ou avec des associations, que l’on conçoive des logements « abordables » ou « d’adaptation », les recompositions précitées invitent à observer les transformations des relations entre maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre, avec les collectivités locales, l’État, les sociétés d’aménagement, les bailleurs sociaux et les habitants.

2. Entre patrimonialisation, rénovation urbaine et développement durable

Le renouvellement de l’architecture de l’habitat social répond à plusieurs nécessités : conserver les bâtiments, leurs abords et les rénover, tout en prenant en compte les enjeux du développement durable et de la transition écologique.

La patrimonialisation des opérations remarquables de la seconde moitié du XXe siècle est une question considérable à l’échelle de l’Europe où le parc social est historiquement daté. Il comprend en effet une part importante de constructions des Trente Glorieuses, période importante d’expérimentations architecturales et urbaines. L’analyse du processus patrimonial permettra de comprendre les métamorphoses matérielles et immatérielles de ces expérimentations, ainsi que les raisons sociales, économiques et politiques des transformations. Alors que les valeurs architecturales, paysagères et patrimoniales de certains ensembles d’habitat social pourraient favoriser la (re)valorisation de quartiers paupérisés, voire stigmatisés, il semblerait que les populations les plus en difficultés dans ces quartiers ne soient pas en capacité de se saisir de l’opportunité potentielle de la mise en patrimoine. Les bailleurs, quant à eux, ont une posture ambigüe : d’un côté ils souhaitent valoriser leur parc, de l’autre ils veulent pouvoir le faire à moindre frais, sans trop de contraintes et sans changer la vocation sociale des quartiers concernés.

En parallèle, les processus de rénovation urbaine imposent des transformations de ces quartiers, qui semblent en opposition avec les logiques de préservation de l’architecture. En France, par exemple, la démolition/reconstruction imposée par l’ANRU, ainsi que l’incapacité ou l’absence de volonté des municipalités de proposer et de rendre concrets des projets alternatifs, sont régulièrement dénoncées. De même, les projets d’artialisation, d’esthétisation et plus précisément l’accompagnement artistique des démolitions, dont l’objectif affiché est souvent celui d’organisation des rituels de séparation et de pacification du territoire concerné, méritent d’être questionnés.

Qu’est ce qui explique la réussite ou l’échec des processus de patrimonialisation et comment transforment-ils les quartiers ? Quels modèles architecturaux, urbains et paysagers pour rénover les ensembles d’habitat social ? Comment les architectes et les paysagistes conçoivent-ils les liens entre rénovation urbaine et patrimonialisation ? De quoi s’accompagnent les démolitions ou les transformations (instrumentalisations politiques de l’art, muséification de la mémoire, mise en tourisme, etc.) et quels effets sur la physionomie des quartiers ?

Les questions autour de la conservation et de la rénovation de l’habitat social interrogent aussi les stratégies d’adaptation de l’offre aux enjeux écologiques via la rénovation énergétique ou la construction neuve. Si de plus en plus de bâtiments répondent aux normes de qualité environnementale (matériaux, performances énergétiques) et sont encouragés à se doter de labels orientés vers le mieux-disant écologique, les effets structurels et à long terme de ces nouvelles règles sur l’architecture, l’urbanisme et le paysage questionnent. Comment ces questions transforment-elles le rapport entre maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre ? Entre gestionnaires et habitants ? L’encouragement à de nouvelles pratiques « écoresponsables » (déplacements doux, recyclage, lutte contre le gaspillage) conduit-il à de nouveaux rapports à l’espace habité, à une transformation des relations avec les bailleurs sociaux, voire avec les architectes plus associés à la gestion des bâtiments notamment dans le cadre des programmes de rénovation thermique ? Que pèsent les normes environnementales sur la transformation de l’architecture du logement social ?

3. Formes spatiales et arrangements sociaux

Enfin, il est indispensable d’interroger l’évolution de l’architecture de l’habitat social au regard des transformations démographiques récentes, des mutations des modes de vie et du renouvellement de la conception du logement.

La baisse de la fécondité, le recul de l’âge de la mise en couple et de la première maternité, la hausse des séparations, ou encore l’allongement de l’espérance de vie, sont autant de facteurs qui font croître la part des ménages d’une personne, estimée aujourd’hui à plus d’un tiers en Europe, et encore plus dans les grandes villes (51 % par exemple à Paris). Cette diminution de la taille des ménages pose la question de l’adaptation de l’offre de logements, en particulier dans un contexte de vieillissement de la population. La recherche d’alternatives à la maison de retraite et le désir d’autonomie amènent en effet à repenser les conditions de logement des personnes âgées. Ces évolutions démographiques affectent les manières d’habiter. Comment s’y adapte le secteur social ? Comment évolue le logement standardisé conçu pour la famille nucléaire idéal-typique d’après-guerre ? Comment adapter les typologies de logement à la diversité des ménages ? Comment les architectes et maîtres d’ouvrage répondent-ils aux évolutions des besoins spécifiques des populations isolées (vieillissement, handicap, exclusion) ? De quelle manière la compréhension de ces besoins alimente-t-elle, ou non, l’innovation architecturale ?

Parallèlement, les difficultés d’accès au logement dans les métropoles, le travail à domicile, les ruptures ou les mobilités professionnelles qui amènent à des situations de multi-résidences, font émerger de nouvelles demandes et de nouvelles pratiques d’habiter faisant de plus en plus de place à la cohabitation, au partage et à la mutualisation des espaces. Outre la colocation d’étudiants, on voit apparaître de nouveaux modèles d’habitat partagé, allant de l’habitat participatif à une nouvelle offre dont la promotion privée s’est déjà emparée (exemple du co-living). Comment l’habitat social peut-il s’en inspirer pour répondre à ses problématiques de peuplement (cohabitation intergénérationnelle, lutte contre l’isolement) ou de gestion (espaces intermédiaires, problèmes de voisinage) ? Quels espaces mutualiser ? Quels impacts sur les typologies de logement ?

Ces nouveaux usages (cohabitation, partage) mettent en avant les collectifs d’habitants et leur rôle dans la conception et la gestion des logements et de leurs abords. En Europe du Nord ou dans le monde anglosaxon, ces pratiques sont courantes. En France, dans un contexte social favorable à la « participation citoyenne », notamment dans le cadre de la politique de la ville et de la rénovation urbaine, des organismes HLM initient des expériences pour favoriser de nouvelles relations avec ou entre les habitants. Ces expériences peuvent se développer dans des opérations d’accession sociale à la propriété, ou dans le cadre locatif afin d’impliquer les habitants dans la conception et la gestion de leur logement, et même parfois favoriser leur insertion sociale. Comment ces opérations transformant-t-elles le processus de conception et les pratiques professionnelles ? Comment les collaborations entre habitants, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre se mettent-t-elles en place ? Transforment-elles la nature des projets et des espaces produits ? Peuvent-elles se concevoir dans le cadre de l’habitat durable avec des programmes de logements plus économes en énergie et des habitants plus mobilisés sur les enjeux environnementaux de l’habitat ?

Ce projet de numéro ambitionne de mieux comprendre une part importante du renouvellement des villes contemporaines, en analysant les transformations de l’habitat social et la capacité de l’architecture à les accompagner. Il fera une place importante à la dimension internationale, aux variations de perspectives et de situations.

Les articles attendus devront s’inscrire dans un des trois axes de l’appel. Ils n’ont pas comme objectif de formuler une doctrine, une compétence technique ou une méthode d’intervention. Il s’agit d’analyser les conjonctures et les logiques d’intervention, de saisir les éventuelles contradictions, les incompréhensions ou les divisions entre les différentes catégories d’acteurs. Les propositions d’articles devront analyser les enjeux institutionnels, politiques, sociaux et environnementaux décrits dans l’appel, et leurs effets sur le renouvellement des formes architecturales, urbaines et paysagère de l’habitat social. La prise en considération des facteurs institutionnels et politiques dans la définition des nouveaux modèles, dans la mise en œuvre de projets patrimoniaux et dans l’accompagnement de la recomposition du peuplement du parc social est fondamentale. De même, si l’adaptation des logements aux enjeux écologiques doit tenir compte des évolutions démographiques et organisationnelles du parc social, celle-ci influe aussi sur la dynamique de patrimonialisation, ainsi que sur les typologies et les esthétiques architecturales et paysagères pratiquées de nos jours.

Modalités de transmission des propositions d’articles

Les propositions d’articles complets seront envoyées par mail avant le 1er mars 2020

au secrétariat de rédaction des Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère, secretariat-craup@culture.gouv.fr

Pour plus d’informations, contacter Aude Clavel au 06 10 55 11 36

Formats attendus : articles ou « matériaux de recherche ».

Les articles, en français ou en anglais, ne doivent pas excéder 50.000 caractères (espaces compris), bibliographie et notes incluses.

Les matériaux de recherche peuvent prendre les formes suivantes :

  • Entretiens d’acteurs (40 000 signes + 15 illustrations)
  • Carnets de terrain (15 000 signes + 15 illustrations)
  • Expérimentations de protocoles de travail avec les habitants (15.000 signes + 15 illustrations)

Les articles doivent être accompagnés de :

  • 1 notice biobibliographique entre 5 à 10 lignes (nom et prénom du ou des auteur(s), statut professionnel et/ou titres, rattachement institutionnel éventuel, thèmes de recherche, dernières publications, adresse électronique).
  • 2 résumés en français et en anglais.
  • 5 mots clefs en français et en anglais.

Instructions aux auteurs  

1/ Règles générales

Italique : mots en langues étrangères par rapport à la langue utilisée, donc op. cit., ibid., cf., a priori, a posteriori…

Pas d’usage du gras (à l’exception des titres), ni de capitales (à l’exception du début des noms propres, des institutions, de l’usage des majuscules pour les titres en anglais, etc.).

2/ Corps du texte

Le texte doit être saisi dans le logiciel Word en Times New Roman, taille 12, interligne 1,5, sans mise en forme particulière, hormis les titres, intertitres, légendes et sauts de paragraphes.

3/ Citations

Les citations de moins de 3 lignes seront insérées dans le texte et mise entre guillemets.

Les citations de plus de cinq lignes seront en retrait à gauche et à droite, de taille 10 (et non 12), et sans guillemets.

4/ Références bibliographiques

Les références bibliographiques seront regroupées par ordre alphabétique de nom d’auteur en fin d’article dans une section « Bibliographie », selon le modèle suivant :

 Pour un ouvrage : Prénom Nom, Titre, Ville d’édition, Maison d’édition (Collection), année de publication, page.

 Pour un ouvrage collectif : Prénom Nom et Prénom Nom (dir./coord./éds./etc.), Titre, Ville d’édition, Maison d’édition, année de publication, page, ou Prénom Nom et al., Titre, Ville d’édition, Maison d’édition, année de publication, page.

 Pour un chapitre d’un ouvrage collectif : Prénom Nom, Titre, dans Prénom Nom et Prénom Nom (dir./coord./éds./etc.), Titre, Ville d’édition, Maison d’édition, année de publication, page.

 Pour un article de revue : Prénom Nom, « Titre de l’article », Titre de la revue, vol. /n° , date, Ville d’édition, Maison d’édition, année de publication, page.

 Pour une référence électronique : Prénom Nom, « Titre de l’article », Titre de la revue, vol. /n° , date, [en ligne] [url], consulté le [date].

5/ Illustrations, graphiques et tableaux

Les photographies et illustrations accompagnant le texte devront être numérisées en haute définition (300 dpi, 15 cm de long ou de large minimum) dans les formats Jpg ou Tiff.

Les fichiers texte seront distincts des fichiers graphiques.

L’auteur doit vérifier que les images/figures dont il n’est pas l’auteur sont libre de droits.

Dans le cas contraire, il doit faire la demande auprès du propriétaire de l’image/figure avant de la soumettre à la revue.

Les illustrations, graphiques et tableaux doivent être légendés de manière spécifique :

Le titre des illustrations, précédés de « figure [n] : » ou « Tableau [n] : » doit être placé au-dessus de l’illustration.

La légende et les crédits (source, copyright, etc.) doivent être placés sous l’illustration, sur deux lignes distinctes.

Ligne éditoriale

Inscrits dans les champs de la recherche architecturale, urbaine et paysagère, les Cahiers se sont développés à l’origine dans les laboratoires des écoles d’architecture à partir des années 1970. La revue initie aujourd’hui une nouvelle formule en ligne : revue scientifique internationale, elle s’adresse aux communautés de recherche concernées par les transformations spatiales intentionnelles, quelles que soient les échelles.

Les Cahiers visent à répondre aux intérêts et questionnements actuels, mais aussi à les renouveler, et ainsi ouvrir de nouvelles voies de recherche. Trois pôles de questionnement sont plus directement visés : l’un concerne spécifiquement le registre des théories, de manière à développer les échanges et les controverses entre théories du design, du planning, de l’architecture et du paysage. Un second pôle renvoie à la matérialité de la ville, aux savoir-faire constructifs impliqués dans la transformation spatiale, mais aussi à la dimension matérielle des phénomènes de transfert et de mobilisation, régulièrement analysés dans d’autres revues sous des angles a-spatiaux. Enfin, le troisième pôle interroge le projet et sa conception, qui occupe une place toute particulière dans les sciences et pratiques de l’espace (rôles performatifs des projets, théories de la pratique).

Ces trois pôles appellent à des travaux pluridisciplinaires, préoccupés de tracer des explications approfondies des transformations des environnements construits à l’âge de l’anthropocène. La production scientifique attendue renvoie aux critères usuels d’évaluation en double aveugle par les pairs. Elle sera particulièrement attentive à l’enjeu des images et du visuel dans un domaine où l’iconique peut tenir lieu de discours.

Dossiers thématiques

Les Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère en ligne publient deux ou trois fois par an un dossier thématique composé d’une dizaine d’articles en français et en anglais, autour d’un thème prédéfini et problématisé.

Un appel à article est diffusé pour chaque dossier thématique. Les propositions d’articles peuvent être rédigées en français ou en anglais. Leur évaluation se fait en double aveugle.

Rubriques

La revue en ligne dispose de 2 rubriques pour accueillir des articles au fil de l’eau, hors dossiers thématiques.

Actualités de la recherche : comptes rendus variés : thèses, habilitations à diriger des recherches (HDR), recensions d’ouvrages, d’expositions...

Matériaux de la recherche : entretiens, paroles d’acteurs, traductions, textes de référence…

Les propositions d’articles peuvent être rédigées en français ou en anglais. Leur évaluation se fait en double aveugle.

Comité de rédaction

Rédacteur en chef : FREDERIC POUSIN

  • MANUEL BELLO MARCANO
  • FRANCK BESANÇON
  • GAUTHIER BOLLE
  • ENRICO CHAPEL
  • BENJAMIN CHAVARDES
  • LAURENT DEVISME
  • YANKEL FIJALKOW
  • SANDRA FIORI
  • FRANCOIS FLEURY
  • XAVIER GUILLOT
  • CAROLINE MANIAQUE
  • BEATRICE MARIOLLE
  • VALERIE NEGRE
  • DANIEL SIRET
  • HELENE VACHER

Secrétariat de rédaction : AUDE CLAVEL


Datas

  • domingo, 15 de março de 2020

Palavras-chave

  • habitat social, architecture

Contactos

  • Aude Clavel
    courriel : craup [dot] secretariat [at] gmail [dot] com

Fonte da informação

  • Aude Clavel
    courriel : craup [dot] secretariat [at] gmail [dot] com

Licença

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Para citar este anúncio

« Architecture et habitat social », Chamada de trabalhos, Calenda, Publicado terça, 29 de outubro de 2019, https://doi.org/10.58079/13qd

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