HomeEntre savoirs scientifiques et savoirs pratiques : quelles sciences de l’information et de la communication pour les sociétés africaines en mutation ?
Published on Tuesday, May 31, 2022
Abstract
Ce colloque se propose de questionner la capacité des sciences de l’information et de la communication (SIC) à répondre efficacement aux préoccupations de la société, en particulier en contexte africain. Quel bilan peut-on faire de la domestication des théories de l’information et de la communication en Afrique ? Comment la production des savoirs en information-communication peut-elle s’appuyer spécifiquement sur les pratiques sociales et les techniques professionnelles en milieu africain pour mieux adresser les préoccupations du milieu ? Le colloque se veut un espace d’échange, de synthèse et de documentation de différentes contributions sur le rapport des SIC à la société, question centrale ayant marqué le parcours scientifique du professeur Laurent-Charles Boyomo Assala, à qui l’événement est dédié.
Announcement
Argumentaire
Organisé en hommage au professeur Laurent-Charles Boyomo Assala à l’occasion de sa retraite officielle, ce colloque se veut avant tout un moment inédit d’échanges, de synthèse et d’ouverture sur un ensemble de préoccupations scientifiques qui ont marqué le parcours de cet universitaire dont l’une des identités fortes fut l’ouverture interdisciplinaire et l’éclectisme scientifique. Sans chercher à prioriser l’un ou l’autre de ces sujets, il y a lieu de voir dans les rapports des sciences de l’information et de la communication à la société, autant un point fédérateur de la contribution intellectuelle de Laurent-Charles Boyomo Assala, qu’un stimulant chantier réflexif à prolonger et à documenter.
Aujourd’hui en effet, face aux nouvelles formes de crises sociales inhérentes notamment aux technologies relationnelles (Cardon, Smoreda, 2014) et surtout, face aux incertitudes des organisations à maîtriser ces nouvelles formes de sociabilité, la question de l’utilité des sciences sociales revient fatalement à l’ordre du jour. Elle se pose d’autant plus pour les sciences de l’information et de la communication (SIC) que celles-ci sont généralement interpellées au premier plan par les organisations, dès lors qu’on voit singulièrement à toute crise organisationnelle un « problème » d’information ou de communication. Il y a lieu ainsi de re-questionner, en particulier en contexte africain, la capacité des SIC à répondre efficacement aux préoccupations de la société.
En revisitant la contribution scientifique de Laurent-Charles Boyomo Assala autour de cette question, il est possible de la resituer dans une double perspective, dont le point commun est la place de la technique dans le champ scientifique.
La première perspective est une sorte d’appel à la déconstruction d’un ensemble de modèles établis et qui ont toujours été, pour les sciences sociales en général et les SIC en particulier, d’une certaine manière, un frein à l’innovation et à l’efficacité sociale. L’un de ces modèles est traduit par les frontières rigides entre les disciplines, défendues par les processus d’institutionnalisation et le besoin de sécurité qu’éprouvent les acteurs à se protéger à l’intérieur desdites frontières. Au sein des SIC elles-mêmes un inconfort épistémologique transparait bien souvent entre ce qui est considéré comme relevant des sciences de l’information stricto sensu, généralement adossées sur les sciences dures, et les sciences de la communication, selon le modèle anglo-saxon, qui elles relèvent indubitablement des sciences sociales. Si le modèle français SIC apparait comme la synthèse heuristique de l’information et de la communication, cette unification apparait davantage comme un idéal en quête perpétuelle de repère. Au-delà de ces premières considérations, la frontière science/technique n’est pas en reste, ici, la science est généralement définie comme un savoir élaboré, en situation de supériorité par rapport aux savoirs techniques et, a fortiori, par rapport aux pratiques sociales que Durkheim ([1895] 1993) reléguait d’emblée au rang de « prénotions », en décrétant radicalement que celles-ci doivent être systématiquement écartées. Quitte à écarter, en même temps, toute la richesse que peuvent révéler les pratiques des acteurs sociaux et même les discours qu’ils produisent sur ces pratiques.
La seconde perspective invite, dans la suite de la première, à repenser la place des techniques dans les objets des sciences sociales : replacer les techniques au cœur des savoirs des sciences sociales, mieux, partir des objets matériels concrets pour théoriser en rapport avec les techniques.
Certes, une telle perspective n’est pas nouvelle ; Michel Foucault ([1966] 1990) récusait déjà fortement la posture du théoricien surplombant la pratique, tout en invitant à mettre à plat tous les savoirs afin d’espérer pouvoir construire un savoir pertinent. Néanmoins, elle se renouvelle dans le contexte africain d’aujourd’hui, à la lumière des préoccupations spécifiques. En l’occurrence, l’invitation du théoricien africain des SIC et des sciences sociales à renverser la démarche pour surtout partir des objets pratiques de son terrain, se justifie particulièrement et de plus en plus, en raison du formatage historique du chercheur africain par les théories dites « classiques » élaborées en terre étrangère. L’évolution rapide des pratiques sociales d’information et de communication en Afrique et la complexification des interactions sociales y afférentes, ne peuvent que davantage éloigner le théoricien africain de ses réalités de terrain et ainsi de l’utilité sociale de son savoir.
Seront donc considérées avec un intérêt particulier les communications reposant clairement sur l’un des axes ci-après :
- Axe 1 : Sciences de l’information et de la communication au Cameroun : inventaire, trajectoires, avancées et défis.
- Axe 2 : Savoirs professionnels et savoirs scientifiques en communication : objets, méthodes et dispositifs.
- Axe 3 : La communication africaine : une voie pour la domestication épistémologique de la communication ?
- Axe 4 : Cultures africaines et rapport aux savoirs info-documentaires, modèles applicatifs des normes et des technologies innovantes : entre tekhnè, praxis et épistémè.
- Axe 5 : Chercheur(es) et professionnel(les) des SIC : perspectives d’interactions et nouveau cadre conceptuel et institutionnel.
- Axe 6 : SIC et sciences sociales : quelle domestication des théories dans l’interdiscipline ?
Évidemment, bien que centré dans sa formulation sur les sciences et techniques de l’information et de la communication, le thème du colloque convoque les apports croisés des sciences sociales et même des sciences dures, suivant la perspective interdisciplinaire caractéristique du parcours universitaire du professeur Laurent-Charles Boyomo Assala.
Une attention particulière sera néanmoins accordée aux contributions qui, dans le sens du positionnement épistémologique du colloque, privilégieront les démarches consistant justement à partir de l’expérience des techniques ou des pratiques sociales concrètes en milieu africain, pour proposer des savoirs ou des modèles explicatifs du vécu de ce milieu.
Modalités pratiques
- Nature de l’événement : Colloque scientifique.
- Dates : 26-27 janvier 2023.
- Lieu : Yaoundé, campus de l’ESSTIC.
Modalités spécifiques
- Intervention de certains participants en visioconférence.
- Transport et hébergement : à la charge des participants.
Calendrier
- 19 mai 2022 : publication de l’appel à contributions
- 15 août 2022 : date limite de réception des projets de contribution (résumés).
- 15 septembre 2022 : notification aux auteurs de l’acceptation ou du rejet des projets de contribution.
- 15 octobre 2022 : date limite de réception des contributions complètes, préalable à l’invitation au colloque.
- 26-27 janvier 2023 : tenue du colloque scientifique Laurent-Charles Boyomo Assala.
- 30 mars 2022 : notification aux auteurs des contributions sélectionnées, des corrections à effectuer sur leurs textes, en vue publication.
- 30 mai 2023 : date limite de retour des contributions corrigées pour publication.
- 30 novembre 2023 : parution de l’ouvrage collectif de « Mélanges en l’honneur de Laurent-Charles Boyomo Assala ».
Modalités de soumission
Projets de contributions
Les résumés des contributions en anglais ou en français, d’un volume de 2500 signes maximum, doivent parvenir aux organisateurs aux adresses ci-après :
- salomengaminkala@gmail.com
- ntaabitang@yahoo.fr
- assomo2006@yahoo.com
- richardawono@gmail.com
au plus tard le 15 août 2022
Ils seront présentés, accompagnés d’une page de couverture séparée portant une courte biobibliographie de l’auteur (nom, institution d’appartenance, contacts…). Ces résumés feront l’objet d’une relecture sous anonymat par le comité scientifique. Les réponses seront données autour du 15 septembre 2022.
Communications complètes
Les communications complètes seront reçues aux mêmes adresses email ci-dessus, au plus tard le 15 octobre 2022. Elles ne devront pas excéder un volume de 8500 signes.
Protocole de rédaction
- Les consignes aux contributeurs : les contributeurs doivent se conformer aux exigences rédactionnelles suivantes :
- Titre : L’auteur formule un titre clair et concis (entre 12 et 15 mots). Le titre centré, est écrit en gras, taille 14.
- Mention de l’auteur : Elle sera faite après le titre de l’article et 2 interlignes, alignée à gauche. Elle comporte : Prénom, NOM (en gras, sur la première ligne), Nom de l’institution (en italique, sur la deuxième ligne), e-mail de l’auteur ou du premier auteur (sur la troisième ligne). L’ensemble en taille 10.
- Résumé : L’auteur propose un résumé en français et en anglais. Ce résumé n’excède pas 2500 signes et comprend : le problème étudié, la problématique, les principaux objectifs atteints ou à atteindre, la démarche méthodologie, les résultats escomptés et les conclusions principales.
- Mots-clés : Ils accompagnent le résumé. Se limiter à 3 mots minimum et 5 mots maximum. Les mots-clés sont indiqués en français et en anglais.
- Bibliographie - Elle reprend tous les livres et articles qui ont été cités dans le corps de son texte.
NB : Le résumé est rédigé en italique, taille 10. Les mots-clés sont écrits en minuscules et séparés par une virgule. L’ensemble (titre + auteur + résumé (français et anglais) + mots-clés) doit tenir sur une page.
- Conseils techniques
- Mise en page : Marges : haut 2 cm, bas 2 cm, gauche 2 cm, droite 2 cm.
- Style et volume – Garamond, taille 14 pour le titre de l’article et pour le reste du texte Garamond taille 12 (sauf pour le résumé, les mots-clés et la bibliographie qui ont la taille 10), interligne 1,5 ; sans espace avant ou après. Le texte ne doit pas dépasser 8500 signes. Le titre de l’article, l’introduction, les sous-titres principaux, la conclusion et la bibliographie ne sont pas numérotés mais sont précédés par deux interlignes. Les autres titres sont numérotés et les paragraphes sont séparés par une seule interligne.
- Titres et articulations du texte - Le titre de l’article est en gras, aligné au centre. Les autres titres sont justifiés ; leur numérotation doit être claire et ne pas dépasser 3 niveaux (exemple : 1. – 1.1. – 1.1.1. ; 2. – 2.1. – 2.1.1. etc.). Il ne faut pas utiliser des majuscules pour les titres, sous-titres, introduction, conclusion, bibliographie.
- Notes et citations - Les citations sont reprises entre guillemets, en caractère normal. Les mots étrangers sont mis en italique. Le nom de l’auteur et les pages de l’ouvrage d’où cette citation a été extraite, doivent être précisés à la suite de la citation. Exemple : (Afeli, 2003 :10)
NB : Les notes de bas de page sont à éviter.
- Tableaux, schémas, figures - Ils sont numérotés et comportent un titre en italique, au-dessus du tableau/schéma. Ils sont alignés au centre. La source est placée en dessous du tableau/schéma/figure, alignée au centre, taille 10.
- Présentation des références bibliographiques : Dans le texte : les références des citations apparaissent entre parenthèses avec le nom de l’auteur et l’année de parution ainsi que les pages. Exemple : (Maurer, 2010 : 15). Dans le cas d’un nombre d’auteurs supérieur à 2, la mention et al. en italique est notée après le nom du premier auteur. En cas de deux références avec le même auteur et la même année de parution, leur différenciation se fera par une lettre qui figure aussi dans la bibliographie (a, b, c,...).
- À la fin du texte : Pour les périodiques, le nom de l’auteur et son prénom sont suivis de l’année de la publication entre parenthèses, du titre de l’article entre guillemets, du nom du périodique en italique, du numéro du volume, du numéro du périodique dans le volume et des pages. Lorsque le périodique est en anglais, les mêmes normes sont à utiliser avec toutefois les mots qui commencent par une majuscule.
- Pour les ouvrages, on note le nom et le prénom de l’auteur suivis de l’année de publication entre parenthèses, du titre de l’ouvrage en italique, du lieu de publication et du nom de la société d’édition.
- Pour les extraits d’ouvrages, le nom de l’auteur et le prénom sont à indiquer avant l’année de publication entre parenthèses, le titre du chapitre entre guillemets, le prénom et le nom des responsables de l’édition, le titre du livre en italique, le lieu de publication, le numéro du volume, le nom de la société d’édition et les numéros des pages concernées.
- Pour les papiers non publiés, les thèses etc., on retrouve le nom de l’auteur et le prénom, suivis de l’année de soutenance ou de présentation, le titre et les mots « rapport », « thèse » ou « papier de recherche », qui ne doivent pas être mis en italique. On ajoute le nom de l’Université ou de l’Ecole, et le lieu de soutenance ou de présentation.
- Pour les actes de colloques, les références sont traitées comme les extraits d’ouvrages avec notamment l’intitulé du colloque mis en italique. Si les actes de colloques sont sur CD ROM, indiquer : les actes sur CD ROM à la place du numéro des pages.
- Pour les papiers disponibles sur l’Internet, le nom de l’auteur, le prénom, l’année de la publication entre parenthèses, le titre du papier entre guillemets, l’adresse Internet à laquelle il est disponible et la date du dernier accès.
Normes de citation et de présentation bibliographique
Pour la présentation des résumés et des communications complètes, les normes seront comme indiquées dans les exemples ci-dessous :
- Article avec DOI :
Auteur, A., Auteur, B. et Auteur, C. (année). Titre de l’article. Titre du périodique, volume (numéro), xxx-yyy. DOI
- Article sans DOI :
Auteur, A., Auteur, B. et Auteur, C. (année). Titre de l’article. Titre du périodique, volume (numéro), xxx-yyy.
Article dans un journal ou un magazine :
Auteur, A. (année, jour mois). Titre de l’article. Nom du Journal. DOI ou URL
- Livre :
Auteur, A. (année). Titre du livre (xe éd., vol. y). Maison d’édition.
- Livre publié sous la direction de :
Auteur, A. (dir.). (2015). Titre du livre (xe éd.). Maison d’édition.
- Livre électronique avec DOI :
Auteur, A. et Auteur, B. (2017). Titre de l’ouvrage. Maison d’édition. DOI
- Chapitre de livre :
Auteur, A. (année). Titre du chapitre. Dans A. Directeur et B. Directeur (dir.), Titre du livre (xe éd., vol. x, p. xx-yy). Maison d’édition.
- Rapport, publication gouvernementale :
Nom du ministère ou de l’organisme. (date). Titre (publication no xxxx [si disponible]). Éditeur [si différent de l’auteur]. DOI ou URL
- Thèse, mémoire :
Auteur, A. (année). Titre [thèse de doctorat, nom de l’université]. Nom du dépôt. URL
- Communication lors d’un colloque :
Auteur, A. (date). Titre de la communication [communication orale ou communication par affiche]. Nom du colloque, Lieu. DOI ou URL
- Publication :
Les contributions les plus pertinentes seront sélectionnées dans le cadre de la publication d’un ouvrage collectif issu des travaux du colloque.
Contacts
- Pr Nta à Bitang : ntaabitang@yahoo.fr
- Dr Alain Assomo : assomo2006@yahoo.com
- Dr Richard Awono: richardawono@gmail.com
École Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ESSTIC) - B.P. 1328 Yaoundé - Cameroun
Tél./Fax : (+237) 242 16 08 80 - E-mail essticuy2@yahoo.fr
Comité scientifique
- Pr. Jacques Fame Ndongo, Président (Université de Yaoundé II)
- Pr. Adolphe Minkoa She (Université de Yaoundé II)
- Pr. Laurent-Charles Boyomo Assala (Université de Yaoundé II)
- Pr. Mbonji Edjenguele (Université de Yaoundé I)
- Pr. David Simo (Université de Yaoundé I)
- Pr. Alawadi Zélao (Université de Dschang)
- Pr. Jean Njoya (Université de Yaoundé II)
- Pr. Missè Missè (Université de Douala)
- Pr. Armand Leka Essomba (Université de Yaoundé I)
- Pr. Joseph-Marie Zambo Belinga (Université de Yaoundé I)
- Pr. Jean-François Tétu (Université Lumière Lyon 2)
- Pr. Ahmed Silem (Université Jean Moulin Lyon 3)
- Pr. Thomas Atenga (Université de Douala)
- Pr. Messanga Obama (Université de Yaoundé II)
- Pr. Eugène Booh Bateng (Université de Yaoundé II)
- Pr. Mathias-Éric Owona Nguini (Université de Yaoundé II)
- Pr. Moluh Yacouba (Université de Yaoundé II)
- Pr. Georges Madiba (Université de Douala).
Comité d’organisation
- Pr. Adolphe Minkoa She (Supervision générale)
- Pr. Alice Nga Minkala (Présidente)
- Pr. Nta à Bitang
- Pr. Marie-Marcelle Mpessa Mouangue
- Pr. Augustin Charles Mbia
- Dr Alain Assomo
- Dr Esther Olembé
- Dr Richard Awono
- Dr Parfait Akana
- Dr Basile Ngono
- Dr Thomas Hervé Mboa
- Dr Richard Bertrand Etaba Onana
Bibliographie indicative
Boyomo Assala, L.-C. (2001). Communication locale et démocratie au « ras du sol » : remarques sur le processus de construction médiatique de l’espace public local au Cameroun. Dans Langues et communication, 1(1), 151-174.
Boyomo Assala, L.-C. (2007). Le droit de la communication en Afrique : problématique et perspectives à l’heure de la convergence. Dans Africulture (n° 71), 74-79.
Boyomo Assala, L.-C., Tétu, J.-F. (2010). Communication et modernité sociale : questions Nord/Sud, Paris, L’Harmattan.
Boyomo Assala, L.-C. (2012). Communication des organisations : sociologie de la médiation organisationnelle, Yaoundé, Presses de l’UCAC.
Cardon, D., Smoreda, Z. (2014). Réseaux et les mutations de la sociabilité. Dans Réseaux (n° 184-185), 161-185. https://doi.org/10.3917/res.184.0161
Durkheim, E. ([1895] 1993). Les Règles de la méthode sociologique. Paris, Presses universitaires de France.
Foucault, M. ([1966] 1990). Les Mots et les choses. Paris, Gallimard.
Meyer, V. (2006). De l’utilité des recherches-action en SIC. Dans Communication & Organisation (30), 89-108.
SFISIC (2006). Questionner les pratiques d’information et de communication : Agir professionnel et agir social. Paris, SFSIC.
Subjects
- Information (Main category)
Event attendance modalities
Hybrid event (on site and online)
Date(s)
- Monday, August 15, 2022
Attached files
Keywords
- science de l'information et de la communication, épistémologie des SIC, théorie de l'information et de la communication, technique de l'information et de la communication
Contact(s)
- Richard Awono
courriel : richardawono [at] gmail [dot] com - Jean Nta à Bitang
courriel : ntaabitang [at] yahoo [dot] fr - Alain Assomo
courriel : assomo2006 [at] yahoo [dot] com
Reference Urls
Information source
- Richard Awono
courriel : richardawono [at] gmail [dot] com
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To cite this announcement
« Entre savoirs scientifiques et savoirs pratiques : quelles sciences de l’information et de la communication pour les sociétés africaines en mutation ? », Call for papers, Calenda, Published on Tuesday, May 31, 2022, https://doi.org/10.58079/1912