AccueilÉglises africaines et engagements écologiques

AccueilÉglises africaines et engagements écologiques

*  *  *

Publié le lundi 02 janvier 2023

Résumé

L’Église comme communauté des chrétiens formant un corps social hiérarchiquement organisé, instituée par Jésus-Christ et ayant foi en lui, ne saurait rester insensibles aux problèmes écologiques. L’homme en général et le chrétien en particulier est acteur dans le projet créateur de Dieu. Quelle est l’apport de la théologie chrétienne en général dans la régulation et l'exploitation des ressources naturelles pour plus de justice, de paix et une politique capable d'assurer le bien-être commun ? Que propose la théologie africaine en particulier dans un contexte où les populations et croyances tournent autour de l’environnement et qui conjuguent dans un même élan la relation à la nature et la loi de la société dans sa dimension intérieure et extérieure ?

Annonce

Appel à contribution pour AMANI, revue théologique du Sud, Numéro 2

Argumentaire

L’Église comme communauté des chrétiens formant un corps social hiérarchiquement organisé, instituée par Jésus-Christ et ayant foi en lui, ne saurait rester insensibles aux problèmes écologiques. L’homme en général et le chrétien en particulier est acteur dans le projet créateur de Dieu. Wenin fait observer que la pensée chrétienne enseigne que Dieu a confié à l’homme le devenir de sa création en y étant absent ou invisible. « À l’opposé de culture où l’homme se sent immergé dans une nature dont les éléments divinisés sont pour lui sacrés et intouchables, mais aussi inquiétants voir menaçants, le discours biblique sur la création libère l’homme du fatalisme et de l’immobilisme où ces cultures tendent à le confiner. En faisant du monde une réalité profane où Dieu s’est absenté et en situant l’être humain comme clé de voûte de l’univers terrestre, le premier chapitre de la bible ouvre la porte à la maîtrise scientifique et technique de l’homme sur l’univers et sur le vivant. » [1] Confesser Dieu comme créateur, c’est reconnaître la terre comme un don confié à l’homme, lui-même arrivé à l’image de Dieu (Gn 1 :26) ; c’est affirmer que l’humanité et le cosmos participent à une seule et même création. Dans cette perspective, la nature n’est plus un simple décor au sein duquel se déroule l’histoire de l’humanité, et l’évolution cosmique n’est plus une simple préparation à l’avènement de l’humanité.

Des théologiens africains se sont penchés sur la question notamment Patrice Nsouami, [2] qui introduit la question de la pertinence de la théologie face aux défis actuels du devenir de l'humanité, dans la création. À travers une relecture exégétique du Texte et du projet fondamental de la création, il se demande comment saisir la contribution théologique dans l'articulation du message du texte avec la question du salut.  Pour lui, il s'agit d'une véritable mise en évidence de la signification fondamentale de la responsabilité confiée à l'Homme et qui est de prolonger l'acte majeur de la création. Il montre que la tâche du discours de cette théologie écologique ouvre à l'intelligence une « catéchèse écologique » qui instruit le procès du rapport, dans la question du salut du monde, entre le support biblique et son ancrage dans la réalité culturelle africaine.

Avec Marcel Ngirinshuti[3], nous remarquons que  les grandes civilisations du monde prouvent de nos jours que l’écologie, dans sa globalité, fait partie des grandes préoccupations de l’être humain. Pour lui, depuis les années 1970, les questions écologiques sont prises au sérieux d’une manière plus ou moins universelle et diverses stratégies sont mises en œuvre à différents niveaux de décision. Le continent africain est confronté à des problèmes écologiques alarmants. La recherche des stratégies adaptées à cette situation est l’une des préoccupations des gouvernements et de certaines associations. Pour cet auteur,  il est question de mettre en exergue le rôle primordial que doit jouer l’Église à travers les orientations théoriques et pratiques face aux problèmes écologiques actuels auxquels le monde fait face. Quelles stratégies à mettre en place ? À qui la responsabilité première ?

Sans y apporter une réponse exhaustive, Hervé Djilo Kuate dans une réflexion[4], donne aux Églises protestantes du Cameroun un outil sérieux pour  réorienter leur mission dans le domaine écologique et pratiquer une diaconie alimentaire sereine, actuelle et futuriste. Il  fournit les outils aux chrétiens pour mieux accomplir leur travail de gardiens de la création et de pourvoyeurs de nourriture. Son  travail est une contribution à une gestion écologiquement saine de la planète pour un épanouissement de tous les habitants de la terre en leur permettant de mieux appréhender les liens entre l’homme et son milieu de vie. L’auteur propose aux différents acteurs des solutions agricoles, industrielles et urbaines qui nuisent le moins possible à l’environnement, tout en permettant de nourrir et d’abriter au mieux le plus grand nombre d’individus, et cela sans freiner le progrès économique, technologique et scientifique. Pour être plus pratique, l’auteur propose  un programme de formation dans le domaine de la sauvegarde de la création et de la sécurité alimentaire pour les Églises protestantes du Cameroun à partir de l’encyclique Laudato si’ du pape François.

En plus de ces auteurs, il faut dire que quelques actions sont menées pars des associations chrétiennes comme le CIPCRE qui se déploient dans une sensibilisation à travers ECOVOX[5] qui est un magazine de l'écologie et du développement durable. Ainsi, avec ces auteurs nous voyons que Dieu a confié le monde à l’homme d’hier, d’aujourd’hui et à la lignée de ses générations comme un don de sa gloire. L’homme est appelé à travailler dans le jardin du monde d’une manière active, rationnelle et spirituelle, pour conserver et améliorer la qualité de la création L’exploitation des richesses de la nature pour l’épanouissement de l’homme doit se faire en respectant les besoins actuels et surtout en pensant aux générations futures.  Jésus  lui-même était façonné par son terroir. Yves Saoût le fait remarquer lorsqu’il affirme que Jésus « lui-même a dû remplir son cœur en contemplant les créatures. Son regard a été façonné par les paysages, les plantes et les animaux de la Palestine, les montagnes (où l’élévation et la solitude favorisant la prière : Mc 6,46) et les endroits semi-désertiques (lieu des esprits mauvais et des épreuves : Lc 11, 24 ; 4,1-2). »[6]

L’apport spécifique d’une lecture chrétienne de l’écologie se situe dans un regard différent sur les grandes expériences constitutives de toute vie humaine, tels que le rapport au temps, le rapport à l’espace et le rapport à autrui. Le regard chrétien doit être inspiré par sa vision de ce qu’est l’homme dans le projet créateur de Dieu.

Or, l’humain est de nos jours saisi par le désir d’avoir et de jouir plus que par celui d’être et de croître, exploite d’une manière excessive et désordonnée les ressources de la terre et même celles de sa vie. Face à cette situation, quelle est l’apport de la théologie chrétienne en général dans la régulation et l'exploitation des ressources naturelles pour plus de justice, de paix et une politique capable d'assurer le bien-être commun ? Que propose la théologie africaine en particulier dans un contexte où les populations et  croyances tournent autour de l’environnement et qui conjuguent dans un même élan la relation à la nature et la loi de la société dans sa dimension intérieure et extérieure ?  La question vaut pour qui sait qu’il existe dans la cosmovision négro-africaine des profondeurs fondamentales qui rendent compte à l’Absolu des attitudes face à la vie, à la terre, à la nature, aux végétaux, aux minéraux, aux animaux et aux humains.

Le croyant doit savoir replonger son existence dans le don de vie qui lui a été fait et qui ne lui appartient en aucune manière. C’est un gage de liberté et de dépassement de toutes les contraintes immédiates qui pèsent sur l’homme, lui-même inscrit dans le temps, dans l’espace et dans un rapport avec autrui. Il ne doit pas se contenter de subir les dégradations de l’environnement dans lequel il vit. Il a l’obligation  d’être un artisan de ce qu’il devient par ses choix de vie, par son rapport aux hommes et aux choses et surtout par la vision de l’avenir qu’il développe. L’être humain est appelé à devenir protagoniste de la construction d’un monde différent, juste, équilibré, harmonieux, respectueux de la nature et des humains.

Axes thématiques

Cet appel à contribution s’articule autour des axes suivants

  • Écologie, Bible et pastorale : Que disent les Saintes Écritures au sujet de la sauvegarde de la création ? Quelles sont les implications pour les Églises ? Comment est-ce que les activités de préservation de l'environnement pourraient s'inscrire dans le cadre de l'Agir d'une église locale en Afrique ?
  • Écologie et spiritualité : La sensibilité écologique s’accompagne d’un engagement non seulement politique mais aussi spirituel, la spiritualité ayant un rôle à jouer dans l’avènement d’une civilisation écologique soutenable. Les deux sont d’ailleurs liés. Quelle limite peut-on faire entre animisme et protection de la création ? Les religions se laisseront-elles déplacer par la quête spirituelle, aujourd’hui vécue individuellement ?
  • La pratique religieuse et l’écologie : Quel regard la religion porte-t-elle sur la question écologique ? Les pratiques religieuses prennent-elles en compte dimension écologique ? Comment la religion appréhende-t-elle l’écologisme ?
  • Le sens et l’essence d’une pratique écologique pour l’homme du 21e siècle : L’homme du 21e siècle a-t-il (encore) besoin de l’écologie ? En quoi la prise en compte des questions écologiques peut-elle aider à faire face aux défis du présent ? cette prise en compte peut-elle assurer l’avenir de l’homme ? Peut-elle le rendre meilleur ?
  • Écologie et Justice: L’équation dans la justice distributive telle qu’elle est pensée aujourd’hui est-elle soluble? Le contexte écologique qui introduit la réalité d’une finitude et d’une interdépendance qui tend à contrarier certains fondements éthiques des théories classiques de la justice est –il d’actualité ? Comment peut-on alors considérer les termes de la justice sociale dans un monde fini ? Quelles perspectives chrétiennes et/ou théologiques peuvent-elles en découler ?
  • Écologie et Paix : peut-on imaginer la paix si la survie même de l’humanité est en jeu et qu’il n’y a plus personne pour la faire cette paix ? Peut-on imaginer la paix si les tensions générées par l’accès aux ressources se fait de plus en plus prégnant ? Peut-on imaginer la paix en ignorant les réfugiés climatiques et autres victimes écologiques ? Quelles perspectives chrétiennes et/ou théologiques peuvent-elles en dépendre ?
  • Écologie et Diaconie: Le drame quotidien que vivent chaque jour les nécessiteux nous confronte au quotidien à notre capacité d'être solidaires et de contribuer à répondre à ces drames par notre solidarité.
  • Écologie et politique : Écologie et politique sont-elles compatibles ? Quels sont les usages de l’écologie dans la politique et les implications du politique dans l’écologie ?  Quelles perspectives chrétiennes et/ou théologiques peuvent-elles en résulter ?
  • Écologie et Femme africaine : Quels rôles jouent les femmes dans la sauvegarde de la création en Afrique ? Y a-t-il des modèles bibliques de femmes qui ont contribué à la protection de l’environnement ? quelle est la place de l’écofeminisme dans la sauvegarde de la création en Afrique ?

Modalités de contribution

  • Choisir l’axe de réflexion
  • Présenter clairement sa problématique
  • Présenter les défis et les enjeux et les solutions à partir d'une situation précise
  • Développer une réflexion dans une démarche de préférence corrélative
  • Proposer une théorie à appliquer à des pratiques dans le domaine concerné.

Les résumés ou projets d’articles et textes complets devront respecter les modalités de rédactions suivantes :

  • Police : Times New Roman ;
  • interligne : 1,5 ;
  • Taille : 12, assorti de 5 mots clés et, suivi du nom, prénom, affiliation institutionnelle et grade de l’auteur.

Chaque proposition finale, de 12 à 20 pages, devra comporter un résumé final (en Français et Anglais) de 150 à 200 mots au maximum.

Les résumés / textes doivent être envoyés au secrétariat de AMANI,  Revue Théologique du Sud à l’adresse suivante hervedjilo@yahoo.fr et ampliation obligatoire aux adresses suivantes : editonscle@yahoo.fr, nicosvital74@gmail.comrevdrnkolofanga@gmail.com, brigitteatsin@gmail.com, vincentdplele@gmail.com, tchoumbafefe@yahoo.fr.

Calendrier

  • Publication de l’appel : 01 Janvier 2023
  • Les résumés des propositions de communications de 300 à 400 mots maximum devront comportés (une idée générale ; les objectifs bien définis ; la problématique ; la méthodologie et l’axe de réflexion.) Ils sont attendus au plus tard le 25 Févier 2023
  • Les différents contributeurs seront notifiés de l’acceptation ou du rejet de leurs propositions à partir du 10 Mars 2023
  • La date limite d’envoi des textes complets (en français ou anglais) est fixée au 10 Mai 2023

Comité scientifique

  • Rév.  Prof.  ALAGBADA Nicodème (Université Protestante d'Afrique Centrale)
  • Rév. Prof NKOLO NFANGA Jean Patrick (Faculté de Théologie Évangélique de Bangui)
  • Rev. Dr. KUATE DJILO Hervé (Université Protestante d'Afrique Centrale)
  • Très Rvde Dr. DJESSOU Brigitte (Université Protestante d'Afrique centrale)
  • Rvde Dr. FIFAME Fidèle (Université Protestante d’Afrique de l’Ouest)
  • Mr LELE Vincent de Paul (Editeur à Edition CLE (Centre de Littérature Évangélique Yaoundé ))
  • Mme TCHOUMBA Félicité (Littéraire à Edition CLE (centre de Littérature Évangélique Yaoundé

Bibliographie indicative

  • BARD Édouard, L'homme et le climat : une liaison dangereuse, Gallimard, Paris, 2005.
  • BATCHELOR Peter, La Terre en partage, pour un développement à la mesure de l’homme, SCAR, Bruxelles, 1983.
  • BAUDIN Frédéric, D’un jardin à l’autre, CEM, Aix-en-Provence, 2006.
  • BEAUCHAMP André, Pour une sagesse de l’environnement, Novalis, Québec, 1991.
  • BEAUCHAMP André, Introduction à l’éthique de l’environnement, Éd. Paulines et Médiaspaul, Paris, 1993.
  • BEAUMONT Émilie et FRANCO Cathy, Les catastrophes naturelles, Dayan, Paris, 2014.
  • BOOKLESS Dave, Dieu, l’écologie et moi, Je sème, Saint-Prex, 2014.
  • BOUTTIER-GUERIVE Gaëlle et THOUVENOT Thierry, Planète attitude junior : pour protéger la nature et les animaux, Seuil, Paris, 2007.
  • BREUILLY Elizabeth, Christianity and Ecology, Cassell, London, 1992.
  • , Seuil, Paris, 1994.
  • DENHEZ Frédéric, Atlas de la menace climatique : le réchauffement de l'atmosphère, enjeu numéro un de notre siècle, Autrement, Paris, 2005.
  • DOUMA Jochem, Bible et écologie, Kerygma, Aix-en-Provence, 1991.
  • DUBOS René, Les Dieux de l’écologie, Fayard, Paris, 1973.
  • DUBOS René et Barbara, Nous n’avons qu’une terre, J’ai lu, Paris, 1972.
  • FARINELLI Bernard, J'agis pour demain : de la réflexion citoyenne à l'action quotidienne, Rustica, Paris, 2017.
  • FRANZONI Jean-Baptiste, La Terre appartient à Dieu, Le Centurion, Paris, 1973.
  • GMÜNDER Reto et NGUEUGAM Marie-Philomène, L’évangile en action : justice, paix et sauvegarde de la création dans l’Ouest Cameroun, Collection Foi et Action, CIPCRE, Douala, 2002.
  • HELFMAN, Au secours de la nature, France Empire, Paris, 1965.
  • HUMBERT Jean, Création évolution : faut-il trancher ?, Sator Opinions, s.l., 1989.
  • KOUASSI GANGA André, L’homme et la terre : droit foncier coutumier et droit de propriété en Afrique occidentale : l’homme d’outre-mer, Berger-Levrault, Paris, 1966.
  • LEVÊQUE Christian et SCIAMA Yves, Développement durable : avenirs incertains, Dunod, Paris, 2005.
  • MACKAY Richard, Atlas des espèces en danger (trad. de l'anglais par Brigitte FRANÇOIS), Autrement, Paris, 2002.
  • MERMET Laurent, Stratégies pour la gestion de l’environnement : la nature comme jeu de la société, L’Harmattan, Paris, 1992.
  • METTLER René, La nature du plus près au plus loin,  Gallimard jeunesse, Paris, 2004.
  • MOLTMANN Jürgen, Dieu dans la création : traité écologique de la création, Cerf, Paris, 1988.
  • MOUIREN Trophine, La création, Fayard, Paris, 1961.
  • PANAFIEU (de) Jean-Baptiste, L'environnement, Gallimard jeunesse, Paris, 2009.
  • POLLOCK Steve, L'écologie : une science pour l'environnement, Gallimard, Paris, 1994.
  • PRADES Jose et al., Gestion de l’environnement : éthique et société, Fides, Québec, 1992.
  • RENNER Michael, Combat pour la suivie : dégradation de l’environnement, affrontement social : le nouvel âge de l’insécurité, WW Norton et Compagny, New York, 1996.
  • SAOÛT Yves, Dialogue avec la terre : L’être humain et la terre dans la Bible, Éd. L’Atelier/ Éd. Ouvrières, Paris, 1994.
  • SCHÄFER-GUIGNIER Otto, Et demain la terre : Christianisme et écologie, Labor et Fides, Genève, 1990.
  • SCHAEFFER Francis A., La pollution et la mort de l’homme : un point de vue chrétien sur l’écologie, Ligue pour la lecture de la Bible, Guebwiller, 1974.
  • SIEGER DERR Thomas, Écologie et libération humaine, Labor et Fides, Genève, 1974.
  • SOMERVILLE Janet et RYAN William, Sur la sauvegarde de la maison commune : Outil de dialogue pour Laudato si’, LA CECC, Ottawa, 2016.
  • WITT (de) Calvin B. (dir.), L’environnement et le chrétien, La Clairière, Québec, 1995.
  • WOODWARD John, Les changements climatiques, Gallimard jeunesse, Paris, 2008.

Notes

[1] A.Wenin, « Humanité et animalité. Réflexions à partir des traditions bibliques » in Lumen vitae,  Vol XXXXXVII, 1999, P.247.

[2] Patrice NSOUAMI, La sauvegarde de la création : Défi du conseil œcuménique des églises et jalons pour une catéchèse écologique de l’Eglise Evangélique du Congo, Thèse de doctorat, FTPY, Yaoundé, 2004.

[3] Marcel Ngirinshuti, Église et écologie en contexte africain : Difficultés et orientations pratiques en milieu protestant- le cas du Cameroun, Edilivre, Pars, 2018.

[4] Hervé Djilo Kuate,   « Élaboration d’un programme de formation pour la sauvegarde de la création et la sécurité alimentaire dans les Églises protestantes du Cameroun à partir de Laudato si’ » in Cahiers Internationaux de Théologie Pratique – CITP Publication scientifique en ligne, consulté le 23 11 2022.

[5] http://www.ired.org/modules/infodoc/files/french/doc_f1042.pdf consulté le 02 décembre 2022  à 07h30.

[6] Yves Saoût, Dialogue avec la terre : L’être humain et la terre dans la Bible, Atelier/ouvrières, Paris, 1994, P.132.

Catégories


Dates

  • samedi 25 février 2023

Mots-clés

  • église, africaine, écologie, environnement , engagement

Contacts

  • Clément Hervé Kuate Djilo
    courriel : hervedjilo [at] yahoo [dot] fr
  • Nicodème Alagbada
    courriel : alanicode [at] yahoo [dot] fr
  • Vincent de Paul Lélé
    courriel : vincentdplele [at] gmail [dot] com
  • Félicité Tchoumba
    courriel : tchoumbafefe [at] yahoo [dot] fr

URLS de référence

Source de l'information

  • Clément Hervé Kuate Djilo
    courriel : hervedjilo [at] yahoo [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Églises africaines et engagements écologiques », Appel à contribution, Calenda, Publié le lundi 02 janvier 2023, https://doi.org/10.58079/1a96

Archiver cette annonce

  • Google Agenda
  • iCal
Rechercher dans OpenEdition Search

Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search