AccueilTransformation digitale et performance des organisations

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Transformation digitale et performance des organisations

La transformation digitale et la bonne gouvernance

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Publié le mercredi 01 mars 2023

Résumé

La bonne gouvernance à l’ère de la transformation digitale constitue un signal fort d’un bon climat d’affaires en direction d’une multitude d’acteurs économiques et sociaux. Ce signal qui constitue le prélude à un environnement propice aux affaires, consolide la confiance entre les différents partenaires économiques et encourage les pratiques au sein des organisations. La bonne gouvernance favorise par conséquent les conditions idoines pour la création de valeur pour l’ensemble des partenaires organisationnels. Cette manifestation scientifique sera l’occasion d’échanges d’idées, de partage d’expériences et de coordination de recherches entre les professionnels et les académiciens de différents domaines d’activités du secteur public et privé. 

Annonce

L’École Supérieure de Technologie d’Agadir de l’Université Ibn Zohr, Maroc, organise  la 1ère édition du colloque International « Transformation digitale et Performance des organisations » sous le thème : « Transformation digitale et bonne gouvernance », à Agadir les 07-08 Juillet 2023.

Argumentaire

La bonne gouvernance à l’ère de la transformation digitale constitue un signal fort d’un bon climat d’affaires en direction d’une multitude d’acteurs économiques et sociaux. Ce signal qui constitue le prélude à un environnement propice aux affaires, consolide la confiance entre les différents partenaires économiques et encourage les pratiques au sein des organisations. La bonne gouvernance favorise par conséquent les conditions idoines pour la création de valeur pour l’ensemble des partenaires organisationnels.

Engagé dans la voie d’une bonne gouvernance que prévoit le nouveau modèle de développement entré en vigueur depuis 2021, le Maroc a lancé plusieurs réformes. A cet égard, la digitalisation se présente comme le point focal de l’ensemble des réformes entreprises et se veut le catalyseur d’un progrès structurel tant qu’en matière de simplification et de qualité du service rendu à l’usager qu’au niveau de la performance des entités publiques et privées.

Pour accélérer l’adhésion de tous les acteurs économiques et sociaux aux réformes inscrites dans le sillage de la bonne gouvernance et de la digitalisation, le Maroc a promulgué le 28 septembre 2020 la Loi N° 54.19. Ce cadre légal portant sur la charte des services publics et qui institue le cadre général de la gouvernance des services publics, s’est appuyé sur la digitalisation pour instaurer un service de qualité, accessible et transparent au profit des usagers.

Dans l’objectif d’assurer la célérité des réformes apportées par la loi N°54.19, le Maroc adopte la Loi N° 55.19, relative à la simplification des procédures et des formalités administratives. Entrée en vigueur le 28 septembre 2020, cette législation s’inspire des principes fondateurs de la bonne gouvernance et de la gestion moderne tels qu’ils sont proclamés par des organismes internationaux comme la Banque Mondiale (BM), l’Union Européenne (UE) et l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE). Cette législature qui est mise en application parallèlement à la loi N°54.19, insiste sur la nécessité  de mettre la transformation digitale au cœur de toutes les réformes afin d’instaurer un climat de confiance entre les organisations et ses usagers.

Il faut souligner qu’avant même la mise en œuvre d’une législation pour la célérité de la digitalisation des organisations publiques au Maroc, ce pays bénéficiait déjà d’un contexte propice pour la réussite de ce processus de réformes. En effet, l’OCDE classe le Maroc et la Tunisie en tête des pays de l’Afrique du nord où les entreprises disposent d’un site internet doté d’un large potentiel en termes de marketing et de développement de la clientèle. L’OCDE rapporte par ailleurs un taux moyen de 57 % d’entreprises disposant d’un site Internet dans cette zone géographique. Toutefois, ce sont les grandes et les moyennes entreprises qui exploitent mieux la digitalisation avec respectivement 80% et 67% d’entités qui possèdent un site internet contre seulement 47 % pour les petites entreprises. Par ailleurs, si une majeure partie de grandes et de moyennes entreprises ont un site Internet à leur actif, ce dernier n’est pas mis à jour dans la plupart de ces entités et demeure en conséquence peu efficace par rapport à d’autres pays.

Plusieurs recherches scientifiques soutiennent le pouvoir réformateur insaturé par la transformation digitale au sein des économies où elle est lancée. Au niveau macroéconomique, des études confirment la capacité des nouvelles technologies comme l’Internet, l'Intelligence Artificielle et le Big Data à réduire les coûts de transaction sociale, à améliorer la prévision des risques, à promouvoir l'innovation et à améliorer sensiblement la productivité des facteurs de production dans son ensemble (Huang et al., Chen et al., 2019 ; Li et al., 2020). Au niveau microéconomique, la généralisation de la finance numérique qui constitue la fertilisation croisée entre la digitalisation et la finance, encourage la consommation, promeut l’investissement et assure l’allocation optimale des ressources. Les retombées positives de la digitalisation au niveau microéconomique se prolongent au niveau macroéconomique pour soutenir la  croissance économique du pays (Huang & Huang, 2018; Zhang et al., 2020).

Parallèlement à son rôle catalyseur de la création de valeur et de tremplin de la croissance économique d’un pays, la digitalisation constitue un facteur consolidant la confiance entre les acteurs économiques d’une part et entre ces derniers et les composantes de la société civile d’autre part. Certes, la digitalisation met en place des procédures pour la transparence des échanges entre les gouvernants et les gouvernés à travers l’utilisation des technologies digitales. Elle favorise, par ailleurs, la consécration du principe de la séparation des pouvoirs dans un Etat par le biais de l’automatisation. Celle-ci assure la transparence des activités des organes issus des différentes sphères de pouvoir, limite les situations de conflit d’intérêt susceptibles de les opposer et favorise leurs interactions fructueuses (Chettab, 2008, p. 7). La digitalisation jouera donc un rôle crucial dans l’assainissement du cadre macroéconomique du pays.

L’amélioration de la transparence des activités effectuées par les organes de l’Etat et des relations entre les pouvoirs qui s’y déploient contribue aussi à la réduction des risques de conflits sociaux dans un pays. En effet, la transparence que la digitalisation permet de promouvoir grâce, entre autres, aux sites d’internet et aux plateformes de service et de commerce électronique, facilite et renforce la communication non seulement entre les organisations publiques et privées, mais également entre ces dernières et les citoyens (OCDE, 2023). En améliorant la communication entre les usagers des services publics et privés, la digitalisation assure une bonne administration des affaires des citoyens en facilitant, par exemple, l’informatisation de services vitaux comme la santé, l’éducation, la justice mais également des services essentiels pour l’amélioration du niveau de vie des citoyens comme l’emploi. Les technologies digitales assurent par conséquent une meilleure relation entre l’État, les organisations publiques et privées et le citoyen.

Si la digitalisation instaure les conditions propices pour un contexte de paix social entre les citoyens et les différents organes dans un Etat, elle établit aussi les modalités de prévention et de gestion des conflits d’intérêt entre les parties prenantes d’une organisation.

La transformation digitale permet, en effet, de promouvoir la gouvernance d’entreprise dans ses portées actionnariale, partenariale, cognitive et participative. Sur le plan de la gouvernance actionnariale, la digitalisation réduit les conflits d’intérêt entre les actionnaires, représentés dans l’organe de gouvernance par des administrateurs indépendants et les dirigeants, du fait qu’elle assure la transparence de l’information comptable et financière au profit des actionnaires et limite les risques d’opportunisme des managers et des actionnaires dominants.

Par ailleurs, la digitalisation des activités de l’entreprise autorise ses parties prenantes de contribuer au mieux à sa gestion et d’assurer une répartition équitable de la valeur créée. La digitalisation instaure donc l’un des principes de la gouvernance partenariale à savoir la limitation des conflits d’intérêt entre toutes les parties prenantes de l’entreprise. Elle joue aussi un rôle notable dans la gouvernance cognitive et participative où ces parties prenantes, représentées dans l’organe de gouvernance, sont appelées à contribuer à la prise de décision en menant une réflexion sur les meilleures perspectives d’innovation (Charreaux, 2015).

Si la digitalisation instaure les principes de la bonne gouvernance dans l’entreprise privée à travers la gestion des conflits d’intérêts entre ses parties prenantes et leur implication à la prise de décision, elle concrétise ses principes dans l’entreprise publique à travers une culture de reddition des comptes, des valeurs de transparence, de communication publique et d’un climat de confiance entre ses parties prenantes. Ceci  permet d’améliorer la viabilité de l’organisme, sa performance et sa qualité du service et en fin, de contribuer au développement d’un tissu économique compétitif.

La digitalisation serait donc un gage de gouvernances démocratique, économique et administrative qui assurent la promptitude de la transition de l’économie traditionnelle vers l’économie numérique.

Conscients de l’importance de la transformation digitale aussi bien dans la bonne gouvernance que dans la création de valeur et le développement économique, plusieurs pays ont mis en œuvre des stratégies et des programmes en vue d’accélérer leur transition de l’économie traditionnelle à l’économie digitale. Cependant, les différentes réformes lancées dans ce sillage par les pays de l’Afrique en général et par le Maroc en particulier restent limitées pour assurer les prérequis d’une transformation digitale transversale. Au Maroc par exemple, persiste non seulement la faible couverture géographique en termes d’infrastructures d’Internet haut débit, mais encore l’inadéquation du cadre législatif et réglementaire régissant l’utilisation des applications dédiées à la digitalisation comme le télétravail et l’enseignement à distance, le manque d’acteurs technologiques locaux et la faible production d’un contenu digital.

C’est dans ce cadre que ce colloque international pluridisciplinaire s’inscrit pour offrir un espace de débat, de discussions scientifiques et de partage d’expériences autour des problématiques liées à la Transformation digitale dans ses interactions avec la bonne gouvernance et la performance.

Nous pouvons ainsi proposer des axes suivants :

Axes du colloque

  • Axe 1: Transformation digitale, innovation et gouvernance
  • Axe 2: TIC, gouvernance participative et développement durable
  • Axe 3: Economie digitale et croissance économique
  • Axe 4: Bonne gouvernance, développement territorial et bien-être social
  • Axe 5: Cadre législatif de gouvernance, politiques publiques et modèle de développement
  • Axe 6: Contrôle de gestion, système d’information et pilotage de performance     
  • Axe 7: Transformation digitale et pilotage de changement
  • Axe 8: Intelligence artificielle, comptabilité et finance
  • Axe 9: Communication et bonne gouvernance

 La liste des axes n’est pas exhaustive et reste ouverte, par le comité d’organisation, pour toute proposition de communication enrichissant le thème du colloque.

Dates importantes

  • 10 Février 2023 : Publication de l’appel à communications ;
  • 10 Avril 2023 : Date limite d’envoi des résumés des communications;

  • 25 Avril 2023  : Date de notification d’acceptation du projet de communication ;
  • 15 Mai 2023      : Date limite pour l’envoi de la version provisoire de la communication ;
  • 02 Juin 2023 : Date limite pour l’envoi de la version définitive des communications ;
  • 7-8 Juillet 2023 : Tenue du colloque.

Instructions aux auteurs

Langue de communications : Les textes soumis peuvent être en anglais ou en français.

Pour les résumés de communication

Ils doivent être présentés en une page et devront contenir :

  • Le titre
  • Nom(s) de/des auteur(s), établissement ou organisme d’attache, adresse électronique et numéro de téléphone ;
  • Le résumé en français et en anglais (problématique, la méthodologie et les résultats provisoires) ;
  • Six mots clés.

Les textes complets

  • La première page doit comporter : le titre de l'article, le/les nom (s) de l'auteur, sa fonction, ses coordonnées complètes, le résumé (400 à 500 mots maximum) qui doit être remis en français et en anglais et cinq mots-clés (en français et en anglais) ;
  • Le texte de l’article commencera en page 2 en respectant ce qui suit :
  • Titres: Times New Roman, Gras, 14 points, numérotés (1 ; 2 ; 3…)
  • Corps de texte : Interligne 1,5, Times New Roman, 12 points
  • Sous-titres : en caractère gras et numérotés (1.1 ; 1.2 ; 2.1 ; …)
  • Numérotation des pages en bas de pages (au centre)
  • Marges : 2,5 cm de chaque côté
  • En-tête et pied-de-page : 1,1 cm
  • Les tableaux et figures sont intégrés dans le texte, numérotés (Tableau n° ou Figure n°) et présentés chacun avec un titre et une source.
  • Les références bibliographiques à la fin de l'article selon le style APA.
  • Les éventuelles annexes

Modalités de soumission

Les résumés et les papiers complets devront être envoyés, sous format Word, impérativement à l'adresse électronique : tdbg2023@uiz.ac.ma

avant le 10 avril 2023.

Pour proposer une communication, veuillez remplir le formulaire suivant avant le 25 Mars  2023

Publication

Les propositions de communication seront soumises à une évaluation anonyme par les membres du comité scientifique du TDBG2023.

Les meilleures contributions feront l’objet de publication dans un ouvrage collectif.

Les meilleurs articles seront proposés pour publication à des revues scientifiques indexées.

Comité d’honneur

  • BENDOU Abdelaziz, Président de l’université Ibn Zohr
  • M.MEDIOUNI Mohamed, Directeur de l’Ecole Supérieure de Technologie d’Agadir.

Membres du Comité Scientifique

  • Pr. FRANSCISCO Gil, Université Algarve, Portugal
  • Pr. LÓPEZ FRÍAS, Claudia, Université Complutense de Madrid, Espagne
  • Pr. WIELAND Oxana, University of Minnesota Crookston, USA
  • Pr. ACHABA Allal, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ADASKOU Mohamed, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ECALLE François, université Paris I- France
  • Pr. Nikghadam Hojjati Sanaz, Institut UNINOVA, Lisbonne, Portugal
  • Pr. ANGADE Khadija, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ABOUSSI Laila, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. AMRHAR Aicha, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. FALCÃO ALVES, Paulo, Université d'Algarve, Portugal
  • Pr. AMROUCH Mustapha, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. AMAJID Ghizlane, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. AKRICH Said, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ABERIANE Ahmed, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BENZAOUAGH Mimoun, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BARI Imane, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BARAKAT Ouafae, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BENBIHI Lahcen, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BENGRICH Mustapha, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BETTAH Mounia, Université Mohammed V, Rabat, Maroc
  • Pr. BOUZIT Ali, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BOUMESKA Mustapha, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BEZZARI Samira, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ETTAHIR Aziz, Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique, Rabat, Maroc
  • Pr. ELJAOUHARI Elhassane, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL HIJAZI Moubarak, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL MOUTAOUKIL Abdelkader, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL MEZOUARY Ali, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL AMRANI EL HASSANI Afafe, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL ANSARY Youness, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL OUIDANI Abdelkbir, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL BETTIOUI Rachid, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL KHATTAB Younes, Université Hassan II, Casablanca, Maroc
  • Pr. EL MESKINE Lahsen, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL MAOUHAL Mokhtar, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ERRAMI Lahoucine, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EZ-ZARZARI Zakaria, Université Ibn Tofail, Kénitra, Maroc
  • Pr. FADILI Mly Hachem, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. HABOUB Rachid, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. HARAKAT Mohamed, Université Mohammed V, Rabat
  • Pr. HENCHIRI Jamel Eddine, Université de GABES, Tunisie
  • Pr. HIDANE Abdelkhalil, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. JAAD Mustapha, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. LAOUFI Adil, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. MAZOUL Abdenbi, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. MEYER Vincent, Université Nice Sophia Antipolis, France
  • Pr. MEKKAOUI Soumia,  Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. NACER IDRISSI Abdelfettah, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. OUIA Aziz, Université Hassan II, Casablanca, Maroc
  • Pr. OUMLIL Rachid, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. OUBDI Lahcen, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. OUHADI Said, Université Qadi Ayad, Marrakech, Maroc
  • Pr. OUABOUCH Lahoucine, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. RACHIDI Lahoussine, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. SOUAF Malika, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. TATANE Khalid, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. TACHEFINE Youssef, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. TATOUTI Rachid, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. TOURABI Amina, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. YOUSSOUFI Noura, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ZOUBIR Faiçal, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc

Comité d’Organisation

  • Pr. MEDIOUNI Mohamed, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL IHSSINI Hossine, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. EL BETTIOUI Rachid, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. HIDANE Abdelkhalil, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ZOUBIR Faiçal, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BENZAOUAGH Mimoun, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. FRANSCISCO Gil, Université Algarve, Portugal
  • Pr. YOUSSOUFI Noura, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ANGADE Khadija, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ACHABA Allal, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. ERRAMI Lahoucine, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. JEBLI Ali, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. TATANE Khalid, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Pr. BENLAAYOUNI Abdelkarim, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc

 Doctorants et Post-Doctorants

  • EL KHATTABI Abdelmalek, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • BEN DAHHANE Anouar, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • BAKRIM Abdellah, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • MIRDASSE Samir, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • AZIKI Abdellatif, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • GOUMGHAR Said, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Mme DAHR Laila, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Mme ABKERI Nadia, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Mme BOUROUAHA Hanane, Université Ibn Tofail, Kénitra, Maroc
  • BELLA Boubaker, université de Lille, France
  • IMIHI Mohammed, Université Hassan I, Settat, Maroc
  • ABDELKHALIK Hicham, Université Ibn Tofail, Kénitra, Maroc
  • Mme AMALKI Asmaa, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • Ben Lhocine Brahime, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc
  • NAJI Abdelkrim, Université Mohammed 1er, Oujda, Maroc
  • BAHA Mohamed, Université Mohamed 1er, Oujda, Maroc
  • EL-HADY Samir, Université Hassan 1er, Settat, Maroc
  • YACOUBI Laarbi, Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc

Comité de Coordination et pilotage

  • Pr. EL BETTIOUI Rachid, Université Ibn Zohr, Agadir
  • Pr. HIDANE Abdelkhalil, Université Ibn Zohr, Agadir

Contacts

Rachid EL BETTIOUI, e-mail : rbettioui98@gmail.com Téléphone : +212 667 882 247

Abdelkhalil HIDANE, E-mail : hidane@uiz.ac.ma Téléphone : +212 661 183 173

Ecole Supérieure de Technologie d’Agadir, Université Ibn Zohr

Site Web

Frais d’inscription

Ces frais couvrent la documentation, la participation aux activités du colloque, l’accès aux différentes sessions et ateliers du colloque, des pauses-café et des déjeuners.

  • Doctorants 400,00 Dhs (40 € )
  • Enseignants 600,00 Dhs (60 €)
  • Professionnels 800,00 Dhs (80 €)

Lieu du Colloque

Ecole Superieure de Technologie AGADIR

Adresse : BP : S33 – Agadir Ville : Agadir

Code Postale : 80150,  Téléphone : 0528232583, Fax : 0528227824

Lieux

  • Salle de conférence - BP : S33 – Agadir Ville
    Agadir, Maroc (70000)

Format de l'événement

Événement hybride sur site et en ligne


Dates

  • lundi 10 avril 2023

Mots-clés

  • transformation digitale, gouvernance, performance, finance, contrôle de gestion, comptabilité, innovation

Contacts

  • Abdelkhalil Hidane
    courriel : hidane [at] uiz [dot] ac [dot] ma
  • RACHID EL BETTIOUI
    courriel : r [dot] elbettioui [at] uiz [dot] ac [dot] ma

URLS de référence

Source de l'information

  • RACHID EL BETTIOUI
    courriel : r [dot] elbettioui [at] uiz [dot] ac [dot] ma

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Transformation digitale et performance des organisations », Appel à contribution, Calenda, Publié le mercredi 01 mars 2023, https://doi.org/10.58079/1aog

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