HomeGestion des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins

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Gestion des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins

« Ngoa-Ekellé », revue du réseau d’études politiques et des relations internationales

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Published on Monday, July 31, 2023

Abstract

Ngoa-Ekelle, revue du Réseau d’études politiques et des relations internationales (université de Yaoundé 1) vous invite à soumettre vos articles portant sur l’histoire politique, les relations internationales, la sociologie politique, les études géopolitiques et géostratégiques. Ce numéro thématique porte sur les enjeux de la gestion coopérative des ressources et des espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins. Le Cameroun partage une longue frontière avec six États (Nigeria, Tchad, RCA, Congo, Gabon et Guinée Equatoriale).

Announcement

Coordination

  • Pre Virginie Wanyaka Bonguen, Université de Yaoundé I, FALSH, Département d’Histoire, Adresse : repri2022@gmail.com
  • Dr Cassimir Tchudjing, Université de Yaoundé I, FALSH, Département d’Histoire, Adresse : tchudjing@gmail.com

La revue

Ngoa-Ekelle, Revue du Réseau d’Etudes Politiques et des Relations Internationales (Université de Yaoundé 1) vous invite à soumettre vos articles portant sur l’histoire politique, les relations internationales, la sociologie politique, les études géopolitiques et géostratégiques. Elle est dotée d’un comité scientifique international, de lecture et de rédaction, avec des procédures d’évaluation en double aveugle. Les articles publiés en français ou en anglais doivent être des travaux de recherche, d’expérimentation à résultats originaux n’ayant pas été soumis à un autre éditeur. Après son numéro inaugural varia, le second numéro est thématique et porte sur : « Gestion des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins ».

NB : Les contributions portant sur l’expérience entre d’autres pays sont également acceptées.

Argumentaire

Appel à contributions pour le numéro 2 (spécial) sur le thème : « Gestion des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins ».

Ce numéro thématique porte sur les enjeux de la gestion coopérative des ressources et des espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins. Le Cameroun partage une longue frontière avec six Etats (Nigeria, Tchad, RCA, Congo, Gabon et Guinée Equatoriale). Sa zone transfrontalière est riche en ressources naturelles (eau, minerais, énergies fossiles, faune, forêts, pâturages…). Des activités socio-économiques transfrontalières (agriculture, élevage, pêche, chasse, transport, échanges de produits agro-sylvo-pastoraux, foires) sont organisées sur la base de cette frontière.

Les changements climatiques, la croissance démographique, l’appauvrissement des espaces agro-pastoraux, la dégradation des ressources fauniques, halieutiques et sylvicoles, l’occupation illégale des espaces protégés (parcs, réserves naturelles), l’exploitation énergétique et minière et l’accès limité à l’eau sont devenus des questions très préoccupantes pour le Cameroun et ses voisins. Ils constituent des enjeux importants pour le développement des zones transfrontalières et mettent en évidence les défis auxquels il convient de faire face dans l’immédiat pour minimiser les risques de conflits ou de concurrence déloyale pour l’accès aux ressources naturelles.

Les menaces sécuritaires (Boko Haram dans le septentrion, les coupeurs de route, les preneurs d’otages en mer et sur les frontières septentrionales ou orientales, la sécession anglophone, les crises centrafricaines, les incursions armées des rebelles centrafricains), l’afflux massif des vagues de réfugiés et les migrations clandestines viennent complexifier ce contexte déjà porteur de facteurs conflictogènes. Dans un tel contexte, il est important d’analyser la place qu’occupent les espaces transfrontaliers dans les relations entre le Cameroun et ses voisins.

Parmi les grands enjeux des espaces transfrontaliers, nous avons la gestion et le partage de ressources (eaux superficielles ou souterraines, hydrocarbures, forêts, pâturages, réserves et parcs, etc.) ou encore l’adoption de politiques communes en termes de transports transfrontaliers, de préservation de l’environnement et de la biodiversité. Ce numéro thématique de publication vise à contribuer à la prévention et à la gestion des conflits interétatiques autour des frontières camerounaises. Les propositions doivent donc s’intéresser aux enjeux et défis que pose l’imbrication entre frontières, ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins sous l’angle rétrospectif et prospectif. Pour ce faire, il est donc important de faire d’une part une étude rétrospective de la gestion coopérative des ressources, des infrastructures et des migrations transfrontalières entre le Cameroun et ses voisins en mobilisant une approche limologique (étude transdisciplinaire des frontières en utilisant les approches de géographie politique, d’histoire, de sociologie et de relations internationales) ou des border studies. Il s’agit d’autre part de dégager les perspectives d’une coopération transfrontalière qui favorise la paix, la stabilité, le partage équitable des ressources naturelles.

La gestion coopérative des ressources et des espaces transfrontaliers est a déjà retenu l’attention de plusieurs chercheurs, notamment les historiens, les géographes, les anthropologues, les sociologues, les politologues, les juristes, etc. le plan bilatéral et multilatéral entre le Cameroun et ses voisins. La répartition des ressources échappe aux tracés des frontières étatiques ; leur exploitation nécessite donc une entente entre voisins d’abord pour assurer la paix et la sécurité. C’est dans cette perspective que Mirko Herberg, Représentant résident de la Friedrich-Ebert-Stiftung Cameroun et Afrique centrale, écrit : « Au risque de conflits, l’exploitation ou l’utilisation d’une ressource transfrontalière doit être réglementée, partagée ou même cogérée, réduisant par la suite la souveraineté d’un Etat » (Préface in Ntuda Ebodé J. V., 2011, p. 9). En outre, la gestion coopérative vise à assurer le développement durable et la protection de l’environnement (Brachet C. et Valensuela D., 2012 ; Fournier A., Sinsin B. et Mensah G. A. 2007 ; Ngono G., 2014).   

Nous exhortons les contributions à montrer en quoi les frontières internationales ont conditionné ou limité l’usage et le partage de ressources entre le Cameroun et ses voisins, parfois sous fond de conflit. Sur ce, elles doivent questionner la place occupée par la gestion des frontières, des ressources et des espaces transfrontaliers dans les relations entre le Cameroun et ses voisins, les divers moyens mobilisés pour leur gestion coopérative, les acteurs impliqués dans le temps et l’espace.  

  • Quels sont les facteurs ou enjeux qui déterminent la coopération en matière de gestion des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins ?
  • Quels sont les instruments (mécanismes) de sécurité et de collaboration autour de l’accès et de la gestion des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins dans les cadres bilatéral et multilatéral ?
  • Quels sont les objectifs visés par les acteurs étatiques et non étatiques dans la gestion coopérative des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins ?

Axes

Les contributions pourront aborder ces enjeux à partir des axes ci-dessous :

  • Axe 1 : L’état limologique entre le Cameroun et ses voisins : délimitation, évolution, conflits, aspects naturels et socio-économiques des frontières entre le Cameroun et ses voisins.
  • Axe 2 : L’influence des crises politiques et des changements environnementaux sur les populations, les ressources et les espaces transfrontaliers.
  • Axe 3 : La gestion des ressources fauniques et sylvicoles (braconnage, parcs et réserves, forêts…) ;
  • Axe 4 : La gestion des ressources halieutiques (eaux des fleuves et lacs, mers) ;
  • Axe 5 : La gestion des ressources du sous-sol (exploitation des richesses minières et énergétiques) ;
  • Axe 6 : La gestion des infrastructures transfrontalières (marchés, ponts, tunnels, pipelines…) ;
  • Axe 7 : La gestion des mouvements transfrontaliers de populations (transhumance, réfugiés politiques, migrants économiques, coupeurs de routes, trafiquants, voyageurs…).

Modalités de contribution

Calendrier

  • Appel à contribution : 31 Juillet 2023
  • Date limite de soumission des articles complets : 30 Septembre 2023 à minuit

  • Retour aux auteurs après instruction : 31 Octobre 2023.
  • Retour des articles corrigés à la Revue : 30 Novembre 2023.
  • Parution : Décembre 2023.

Contact :

Email : repri2022@gmail.com  / Tél : (+237) 696 48 80 16 pour l’envoi des articles et pour toutes les informations utiles.

Frais

  • Instruction : 15.000 F CFA au dépôt de l’article
  • Publication : 35.000 F CFA au dépôt de la version numérisée de l’article corrigé.

Cette somme donne droit à un tiré-à-part.

Contact : Dr Jean Chrysostome BILOBE AYISSI, Tél : (+237) 658 366 376 (Orange Money) et (+237) 677 385 113 (Mobile Money) pour les modalités de paiement des frais.

Normes de rédaction

Les contributions proposées seront soumises à un processus de relecture par les pairs en double aveugle. Elles doivent respecter les normes de publication ci-dessous.

  • Le texte doit être écrit en Times New Roman, en français ou en anglais avec un résumé et cinq (5) mots-clés au maximum en français, un abstract et des key words en anglais. Sa longueur totale de l’article est comprise entre 10 et 15 pages.
  • Le titre de l’article est en corps 14, majuscule et centré avec un espace de 12 pts après le titre (format > paragraphe > espace après : 12 pts).
  • Les noms (TCHUDJING) et prénoms () des auteurs doivent apparaître en corps 12, et centrés sous le titre de l’article.
  • Les coordonnées des auteurs (appartenance, adresses professionnelle, téléphonique et électronique) sont en corps 10 italique et centrés.
  • Le résumé ou l’abstract (200 à 250 mots) et les mots-clés (maxi 5) sont composés en corps 10, en minuscule et justifiés.
  • L’ensemble du texte est en corps 12, minuscule, interligne simple, avec un alinéa de première ligne de 5 mm et justifié (Format > paragraphe > retrait > 1ère ligne > positif > 0,5 cm). Un espace de 6 pts est défini après chaque paragraphe (format > paragraphe > espace après : 6 pts). Les marges (haut, bas, gauche et droite) sont de 2,5 cm.
  • Les titres (des parties) sont alignés à gauche, sans alinéa et en numérotation décimale :
  1. Titre de niveau 1 (12 pts avant, 6 pts après)

1.2. Titre de niveau 2 (12 pts avant, 6 pts après)

1.2.1. Titre de niveau 3 (6 pts avant, 6 pts après), etc.

  • Les figures et les tableaux doivent être incorporés au texte. Les figures et illustrations sont numérotées de 1 à n à l’intérieur de l’article, les tableaux également de façon chronologique, de I à n. Le titre de la figure ou du tableau en gras est composé en corps 10 avec un espace de 6 pts après. La source en corps 10, avec un espace de 0, est placé en dessous de l’illustration.
  • La bibliographie est en Times New Roman, corps 12, minuscule, interligne simple avec un espace de 6 pts après. Elle doit respecter les normes couramment admises dans les revues internationales et indiquer le nom de tous les auteurs.

Les archives : cote, titre du dossier ou du document d’archives, date de signature.

Les sources orales : Les mettre dans un tableau par ordre alphabétique.

Exemple :

Noms et prénoms

Age

Fonction

Lieu et jour de l’entretien

 

 

 

 

 

Les ouvrages, : Nom de l’auteur, initiale des prénoms, Titre du document en italique, lieu d’édition, éditeur, Année, et nombre de pages en caractère normal. Exemple : Laslett, P., Family Life and Illicit Love in Earlier Generations. Essays in Historical Sociology, Cambridge/London/New York, Cambridge University Press, 1977, 270 p.

Article de revue : Nom de l’auteur, initiale des prénoms, Titre de l’article entre guillemets, Titre de la revue en italique, Volume/N° revue, pages. Exemple : Joshi H., Lynch, K., Mougin R., Rendall, M., « Fécondité, calendrier des naissances et milieu social en France et en Grande-Bretagne : politiques sociales et polarisation socioprofessionnelle », Population, 2002, 57(3), pp. 485-518.

Article d’ouvrage collectif : Nom de l’auteur et initiale des prénoms de l’auteur de l’article, Titre de l’article entre guillemets, Nom de l’auteur et initiale des prénoms de l’auteur de l’ouvrage, Titre du document en italique, lieu d’édition, éditeur, année, et bornes paginales.

Mémoires ou Thèses : Nom de l’auteur, initiale des prénoms, Titre du mémoire ou de la thèse entre guillemets, Spécifier Mémoire, Master, Dess, DEA, Thèse de Doctorat 3ème cycle, Nouveau Régime, d’Etat ou Ph.D en Histoire, Science Politique, Sociologie, etc., Université d’attache, année de dépôt du travail, nombre de pages.

  • Notes de bas de page

Comment citer un ouvrage en note de bas de pages : Initiale du prénom, noms de l’auteur, titre en italique, lieu d’édition, maison d’édition, année, nombre de pages. Exemple : D. Abwa., Cameroun, Histoire d’un nationalisme : 1884-1961, Yaoundé, Editions Clé, 2010, p. 16.

Comment citer un article en note de bas de pages :  Initiale du prénom, noms de l’auteur, titre entre guillemets, Revue en italique, lieu d’édition, maison d’édition, Vol, année, nombre de pages. Exemple : H. Joshi, K. Lynch, R. Mougin et M. Rendall, « Fécondité, calendrier des naissances et milieu social en France et en Grande-Bretagne : politiques sociales et polarisation socioprofessionnelle », Population, 2002, 57(3), p. 492.

Comment citer un informateur en note de bas de pages : Noms de l’informateur, initiale des prénoms, âge, fonction, lieu et date de l’entretien.

Locutions étrangères : les mettre en italique.

Le Op cit est proscrit, le remplacer par le short title ou encore titre en abrégé. Exemple : H. Joshi, K. Lynch, R. Mougin et M. Rendall, « Fécondité », p. 492.

Lorsque vous avez cité un auteur précédemment, au lieu du Op cit mettre simplement : Abwa., Cameroun, Histoire…p.10.

Comité scientifique 

  • Prof. Thierno Mouctar Bah, Université Cheikh Anta Diop/ Sénégal
  • Prof. Anthony Asiwaju, Université de Lagos/Nigeria
  • Prof. Daniel Abwa, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Profe. Scholastique Dianzinga, Université Mariem Ngouabi/ Congo Brazzaville
  • Prof. Samuel Efoua Mbozo’o, Université de Yaoundé I/ Cameroun
  • Prof. Victor Julius Ngoh, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Prof. Robert Kpwang Kpwang, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Prof. Simon-Pierre Mbra’a Ekanza, Université Félix Houphouët Boigny/ Côte d’Ivoire
  • Prof. Jean-François Owaye, Université Omar Bongo/Gabon
  • Prof. Jean Koufan Menkéné, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Prof. Willy Bantenga Moussa, Université de Ouagadougou/ Burkina Faso
  • Profe. Ecaterina Lung, Université de Buccarest/ Roumanie
  • Prof. Abdel Kader Lifalili, Université d’Ottawa/ Canada
  • Prof. Koffi Nutefé Tsigbé, Université de Lomé/ Togo
  • Profe. Virginie Wanyaka Bonguen O, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Prof. Célestin Christian Tsala Tsala, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Prof. Armand Leka Essomba, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Prof.Marc Bolak Funteh Université de Bamenda/Cameroun
  • Prof. Cyriaque Esseba Université de Yaoundé II/Cameroun
  • Prof. Willybroad Dze Ngwa, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Prof. Faustin Magelan Kenne, Université de Yaoundé I/Cameroun

Comité de lecture

  • Joel Meyolo, (Maître de Conférences), Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Cyrille Bekono, (Maître de Conférences), Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Drissa Kone, (Maître de Conférences), Université Houphoüet Boigny/ Côte d’Ivoire
  • Georges Kum, (Maître de Conférences), Université de Yaoundé I ;
  • Joseph Nfi Lon (Maître de Conférences) University of Bamenda/Cameroun
  • Japhet Anafak Lemofak, (Maître de Conférences), Université de Yaoundé I 
  • Raphael Batenguené (Maître de Conférences), Université de Douala/Cameroun
  • Lang Michael (Maître de Conférences), Université de Bamenda/Cameroun
  • Jérémie Diyé, Université de Maroua/Cameroun
  • Mme. Edith Mireille Tegna, Université de Ngaoundéré/Cameroun
  • François Wassouni, Université de Maroua/Cameroun

Comité de rédaction

  • Dr. David Keming, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Dr. Rose Gisèle Ndo’o, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Dr. Cassimir Tchudjing, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Dr. Romuald Francis Mvo’o, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Dr. Daniel Nebeu, Université de Yaoundé I/Cameroun 
  • Dr. Jean Chrysostome Bilobé Ayissi, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Dr. Alvine Assembe Ndi, Université de Douala/Cameroun
  • Dr. Alphonse Zozime Tamekamta, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Dr. Willy Didié Foga Konefon, Université de Douala/Cameroun
  • Dr.Youssouf Laplage Moumbagna, Université de Bertoua/Cameroun
  • Dr. Chu Eric Kangha, Université de Buéa/Cameroun
  • Dr. Bertrand Iguigui, Université de Douala/Cameroun
  • Dr. André Bienvenu Mfo, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Dr. Delmas Tsafack, Université de Yaoundé II/Cameroun
  • Dr. Mbang Mbang Kingué, Université de Yaoundé I/Cameroun
  • Bibliographie indicative
  • Bernard A. et Brachet C., Bilan des expériences d’organismes de bassins transfrontaliers en Afrique. Bonnes pratiques et recommandations, Office International de l’Eau (OIE), version finale, 2 – Avril 2014, 105 p.
  • Brachet C. et Valensuela D. (éds), Manuel sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les bassins des fleuves, des lacs et des aquifères transfrontaliers, Réseau International des Organismes de Bassin (RIOB) et le Partenariat mondial de l’eau (GWP), 2012, 124 p.
  • CORAF / WECARD, Transhumance transfrontalière et conflits liés à l’utilisation des ressources naturelles en Afrique de l’Ouest, CORAF / WECARD, Dakar, 2015, 94 p.
  • Dahou K., Coopération transfrontalière : vers un dialogue euro-africain, Secrétariat du Club du Sahel et de l’Afrique de l'Ouest, mars 2004, 57 p.
  • Enda Diapol, Les dynamiques transfrontalières en Afrique de l’Ouest, CRDI Karthala et Enda Diapol, 2007, 224 p.
  • Fay J. M., Le développement du système trinational de Conservation : une perspective depuis dix ans, 1997, WCS.
  • Fournier A., Sinsin B. et Mensah G. A. (éds), Quelles aires protégées pour l’Afrique de l’Ouest ? Conservation de la biodiversité et développement, IRD Éditions, Institut de Recherche pour le Développement, collection Colloques et séminaires Paris, 2007, 76 p.
  • Mfewou A., Tchekote H. et Lemouogue J., « Frontières et dynamiques socio-spatiales en Afrique : une analyse à partir des frontières sud-camerounaises », European Scientific Journal, February 2018 edition, Vol.14, No.5, pp. 285-298. 
  • Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (France), Guide de la coopération décentralisée transfrontalière, Juillet 2010, 90 p.
  • Mongbet A., « Mobilités, dynamiques frontalières et intégration sous-régionale en zone CEMAC : le cas des commerçants de Kyé-Ossi ». Thèse de Doctorat en Géographie. Université de Poitiers, 2019, p. 455.
  • Ngono G., Rapport de l’évaluation finale du projet « conservation de la biodiversité transfrontalière dans l’interzone Cameroun, Congo et Gabon », UNOPS et TRIDOM, version finale, Octobre 2014, 87 p.
  • Ntuda Ebodé J. V. (s.d.), La gestion coopérative des ressources transfrontalières en Afrique centrale : quelques leçons pour l’intégration régionale, Friedrich Ebert Stiftung, Yaoundé, 2011, 181 p.
  • Roe D., Nelson F. et Sandbrook C. (eds.), Gestion communautaire des ressources naturelles en Afrique – Impacts, expériences et orientations futures. Série Ressources Naturelles no. 18, Institut International pour l’Environnement et le Développement, Londres, Royaume-Uni., 2009, 241 p.
  • Sambo A., La gestion du lac Tchad entre les pays riverains : situation, acteurs, enjeux et conflits, LHB : Hydroscience Journal 2023, Vol. 109, 2023, 6 p., https://doi.org/10.1080/27678490.2023.2183152

Date(s)

  • Saturday, September 30, 2023

Keywords

  • Cameroun, coopération, ressource, migration, espace transfrontalier

Contact(s)

  • Virginie Wanyaka Bonguen
    courriel : repri2022 [at] gmail [dot] com

Information source

  • Cassimir TCHUDJING
    courriel : tchudjing [at] gmail [dot] com

License

CC0-1.0 This announcement is licensed under the terms of Creative Commons CC0 1.0 Universal.

To cite this announcement

« Gestion des ressources et espaces transfrontaliers entre le Cameroun et ses voisins », Call for papers, Calenda, Published on Monday, July 31, 2023, https://doi.org/10.58079/1bnh

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