Dans son huitième numéro, « Journal of Science and Knowledge Horizons » (JSKP), affilié à l’Université Amar Telidji de Laghouat, propose des démarches distinctives pour étudier diverses thématiques des sciences humaines, parmi lesquelles les études juridiques, religieuses, linguistiques, littéraires et philosophiques.

Argumentaire

A l’heure actuelle, la pensée du chercheur comme l’enseignant des milieux universitaires, tous deux se dirigeaient vers un savoir multidisciplinaire et la notion d’interdisciplinarité , étant donné les exigences des apprenants (étudiants –es ) en matière d’apprendre un savoir-faire soumis à l’épreuve du contexte et les différents usages qui déterminent à la fois les deux processus , conjointement liés : processus de compréhension et processus d’acquisition. La problématique du jour et notre souci principal est de savoir comment l’apprenant le fait et le conçoit pour organiser les idées nouvellement reçues pour une futur action –réinvestissement (réemploi selon les cas) et compréhension (complète & ou partielle) des situations proposées et de la consigne par acuité. Chevallard et Houssaye étaient, bien évidemment, les précurseurs de cette idée didactiquement établies dont nous retenons deux sens de cette conjoncture qui conditionne ces rapports et les met en rapport l’un avec l’autre afin qu’il y ait une situation d’enseignement faisant naitre une situation d’apprentissage à partir d’une entité baptise « savoir-faire ». Les contributions qui sont à attendre doivent montrer l’efficacité de cette double (action ) maîtrise étant inscrite dans la discipline à enseigner et l’interdisciplinarité comme moteur –levier d’un enrichissement du savoir à dispenser- d’où l’idée de la conception d’une situation d’apprentissage et la multiples aspects et facteurs qui permettent, bien entendu, le transfert des connaissances se présentant didactiquement comme des réponses palpables à des formes d’évaluations futures mises en place par l’enseignant lui-même . Comment distinguer la part de « compréhension » et la part de « acquisition »chez l’apprenant sensé en être l’usager ? Les modalités et formes d’évaluations sont-elles le reflet exact de ces deux processus ? – faut-il parler des stratégies qui les régissent auprès de l’enseignant ou de l’apprenant ? Comment les définir dans un sens didactique et dans un sens pédagogique ?

Eu beaucoup d’égards, le transfert des connaissances ne peut véritablement que marquer un contact avec la matière à enseigner et avec l’apprenant censé l’avoir à l’appui des stratégies employées-déployées en guis de trouver un ordre didactique à partir duquel se définir encore la pratique enseignante et les commodités pédagogico-didactiques. La chronologie didactique a-t-elle réellement pris en compte dans son portefeuille notionnelle et actionnelle ces différentes modalités qui sous-tendent la compréhension (écrite-orale) et éventuellement l’acquisition comme marque tangible de l’action enseignante dans son sens le plus didactique ?  Comment le prouver et l’interpréter ?

Modalités de soumission

• Noms des auteurs potentiels ainsi que leur affiliation institutionnelle plus ORCID obligatoire
• Titre du rapport
• Un résumé pouvant aller jusqu’à vingt lignes 200 mots
• 09 mots-clés

L’envoi se fait via la plateforme ASJP. Vous devez créer un compte : https://www.asjp.cerist.dz/en/login

Choisissez le Journal of Science and Knowledge Horizons: https://www.asjp.cerist.dz/en/PresentationRevue/834

Date limite de soumission des propositions d’articles : 30 avril 2024

Version en ligne : 30 juin 2024

Pour plus d’informations, contactez par email  rspc@lagh-univ.dz

La revue est indexée sur ERIH PLUS et scilit.

Évaluation

Les rédacteurs de la section spéciale sélectionneront ensuite les propositions, superviseront le processus d’examen par les pairs en double aveugle et fourniront à la revue des manuscrits prêts à être typés (format docx).

En général, les recherches sont arbitrées par des experts du même domaine d’études (spécialisation), soigneusement sélectionnés par le comité scientifique de la revue. Les principales étapes du processus d’arbitrage sont les suivantes :

• Soumission de recherche : La recherche est soumise par le chercheur à la revue scientifique via son site Web, et la recherche est soumise selon les termes de la revue et conformément aux instructions de la revue.
• Examen initial : La recherche est évaluée par le comité scientifique de la revue pour s’assurer qu’elle est conforme aux standards de la revue et qu’elle peut être publiée. Certains articles sont rejetés s’ils ne répondent pas aux critères requis.
• Distribution de la recherche aux experts : Après l’examen initial, la recherche est distribuée aux évaluateurs (experts dans le même domaine de recherche) qui l’évalueront.
• La recherche est généralement distribuée à au moins deux experts.
• Arbitrage externe : la recherche est évaluée par des examinateurs externes pour vérifier sa validité, sa qualité et sa pertinence par rapport au domaine spécifique de publication.
• Les évaluateurs externes peuvent fournir des commentaires et des réactions sur la recherche, l’analyse, l’évaluation et l’opinion.
• La recherche est évaluée sur plusieurs critères tels que la méthodologie utilisée, l’analyse statistique, la validité des conclusions, la mesure dans laquelle les preuves à l’appui de la recherche sont présentées et d’autres critères scientifiques liés au domaine de recherche.
• Arbitrage interne : Après réception des rapports des évaluateurs externes, la recherche est évaluée par le comité scientifique de la revue et la décision finale est prise quant à son acceptation ou son rejet. Le comité scientifique peut demander des mises à jour ou des modifications de la recherche avant qu’elle ne soit acceptée pour publication.
• Notification de la décision : Le chercheur est informé de la décision finale concernant l’acceptation ou le rejet de la recherche, ou la demande de mises à jour ou de modifications. Si la recherche est acceptée, le chercheur sera informé des détails de la publication de la recherche dans la revue.

Comité scientifique

• Abbas Hafsi Professeur Faculté des Lettres, Sciences Islamiques et Civilisation Algérie
• Nacib Nadjib ; Université du mouloud mamméri ; Faculté de Technologie et des Sciences politiques, Tizi Ouzou, Algérie
• Ounis Guergah ; directeur des études supérieures et professeur de théologie musulmane. France
• Sandrine Aragon ; Langue et culture françaises à Sorbonne Université ; France
• Dr Muhammad Ali Nasir Leeds Université Business School Royaume-Uni
• professeur Ahmed Jaballah ; Doyen de l’Institut Européen des Sciences Humaines de Paris Doyen de l’IESH de Paris. France
• Professeur Dr. Muhammad Abdul Rahman Yunus ; Université arabe autrichienne des sciences et technologies d’Autriche
• Muhammad Abdul Bari MBE, DL, FRSA relation de 3e niveau Docteur honoris causa en éducation à l’Université d’East London Royaume-Uni
• Professeur Dr Ahmed Mohamed Shaer ; École d’ingénierie et d’environnement bâti d’Edimbourg.Université de Marburg, Allemagne.

Reading Committee

• Dr Farooq Hassan, professeur, Département des sciences humaines. Études islamiques/comportement éthique, Université NED, Karachi-Pakistan
• Dr Rami Ibrahim Al-Banna; Nevsehir. Université d’études islamiques, Turquie

Références

• Chevallard, Y. (1991). « La transposition didactique : du savoir savant au savoir enseigné ». La Pensée Sauvage.
• Houssaye, J. (1988). « Les pédagogies de l’apprentissage ». ESF éditeur.
• Sur le thème de l’évaluation, la compréhension, et l’acquisition :
• Perrenoud, P. (1998). « La formation des enseignants entre théorie et pratique ». ESF éditeur.
• Astolfi, J. P., & de Vecchi, G. (1998). « Adaptation scolaire et scolarisation des élèves handicapés ». Armand Colin.
• Rey, B. (2000). « Les compétences transversales en question ». Education permanente.
• Sur la didactique et la pédagogie :
• Mialaret, G. (1997). « Théories de l’éducation : notions et courants fondamentaux ». Hachette éducation.
• Altet, M. (2001). « Les pédagogies nouvelles ». Que sais-je ? PUF.