L’école d’été « Soi-même comme la Terre » s’adresse aux enseignants, chercheurs, formateurs, praticiens, étudiants et à toute personne intéressée par les questions socio-écologiques, désireux de se familiariser avec des contenus théoriques et pratiques qui développent nos qualités d’attention et de considération envers le vivant et génèrent des actions favorisant un soin de soi, des autres (humains et autres qu’humains) et de la Terre.

13 au 20 juillet 2024 au Moulin des Baronnies (65130 Sarlabous, Hautes Pyrénées)

Présentation

L’école d’été Soi-même comme la Terre naît de la rencontre entre plusieurs enseignantschercheurs, enseignants et formateurs ayant la volonté de proposer des espaces de recherche et de formation pour renforcer notre connexion au vivant et notre engagement pour en prendre soin. Notre intention est de poursuivre une dynamique collective initiée depuis 2018 (colloque, séminaires de recherche, projet de recherche, publications, formations) au sein du Groupement d’Intérêt Scientifique Théories et pratiques du Care (GIS TEPCARE : https://tepcare.hypotheses.org) en proposant un ensemble d’ateliers théoriques et pratiques, regroupés sur une semaine, qui favorise l’émergence d’un nouveau regard sur nos manières d’habiter la Terre. Après une première école d’été au sein du Plateau de Millevaches (2023), une nouvelle école d’été est proposée dans les Baronnies (Hautes-Pyrénées) en 2024. 

L’école d’été s’adresse aux enseignants, chercheurs, formateurs, praticiens, étudiants et à toute personne intéressée par les questions socio-écologiques, désireux de se familiariser avec des contenus théoriques et pratiques qui développent nos qualités d’attention et de considération envers le vivant et génèrent des actions favorisant un soin de soi, des autres (humains et autres qu’humains) et de la Terre. Trois thèmes structurent l’école d’été 2024: apprendre, se relier, cocréer. 

Apprendre

Les apprentissages envisagés dans le cadre de cette école d’été de 7 jours « Soi-même comme la Terre » relèvent tout d’abord d’une approche complexe (Edgar Morin). Pour répondre aux enjeux socio-écologiques actuels, il nous semble en effet nécessaire de croiser et de féconder les savoirs et apports théoriques récents venant aussi bien des sciences de l’environnement (écologie, biologie, biophysique, climatologie, etc.) que des humanités environnementales (sciences de l’éducation et de la formation, anthropologie, géographie, philosophie, littérature, sciences politiques, etc.) ou directement de l’expérience vécue des acteurs en situation (savoirs situés, incorporés, sensibles, en 1ere personne). 

Cette approche complexe au niveau des savoirs partagés est complétée par une approche globale et expérientielle au niveau des apprentissages. Cela signifie que les apprentissages ne sont pas simplement intellectuels et réflexifs (dimension cognitive) mais impliquent également le corps et les sensations de la personne en formation (dimension sensorielle) ainsi que les sentiments et émotions (dimension affective) qui l’amènent à agir dans une certaine direction. 

Notre intention est de créer un espace de formation pour vivre et faire l’expérience, avec toutes les dimensions de notre être, des relations écosystémiques qui nous permettent d’habiter la Terre et prendre conscience de notre interdépendance au sein de milieux de vie donateurs. La prise de conscience de notre place au sein du vivant pourra constituer une base solide pour susciter une mise en capacité d’agir des participants qui s’actualisera dans des pratiques de soin du vivant ajustées aux contextes dans lesquels ils évoluent. 

Se relier

Les ateliers proposés sont centrés sur une approche sensible des milieux naturels et se déroulent pour la plupart en plein air afin de renforcer notre lien direct avec le vivant. Nous pensons en effet que la prise de conscience du lien essentiel et intime qui unit l’être humain au vivant est grandement facilitée par une expérience immersive en nature, déployée autour d’activités polysensorielles suivies d’une expression des ressentis vécus. 

L’école d’été entend également intensifier le lien au vivant en Soi, à l’aide notamment de pratiques d’attention et de verbalisation qui permettent à chacun de tourner le regard vers l’intérieur et d’accéder à une meilleure connaissance de son expérience comme des aspirations et des actes qu’il souhaite porter dans le monde actuel. Ce souci envers une écologie intérieure est aussi la base pour introduire les participants au concept de soi écologique (Arne Naess)-  c’est-à-dire un soi conscient de toutes les relations qui le constituent – et étendre progressivement les frontières de la considération et de la sollicitude dans un mouvement qui part de la sphère individuelle pour aller vers la sphère collective, sociétale et écosystémique. 

La rencontre proposée vise enfin à renforcer les liens entre les participants, de manière à vivre collectivement une expérience de solidarité active qui va à l’encontre des logiques de séparation, de fragmentation et de compétition qui ont conduit nos sociétés vers des crises socio-écologiques actuelles. Il s’agit ainsi d’explorer à l’échelle d’un collectif des manières de faire monde commun, aidé par des dispositifs d’intelligence collective et par une présence attentive à la singularité et la diversité de chacun. Au-delà des liens éprouvés au sein du collectif, notre projet a également pour intention de tisser des liens avec le territoire des Baronnies et les acteurs locaux qui s’engagent pour en prendre soin.  

Co-créer

L’école d’été constitue un lieu d’expérimentation pour co-créer de nouveaux récits qui échappent à la fois à l’histoire dominante du « on fait comme d’habitude » (faite d’indifférence, de déni voire de cynisme) mais aussi au récit émergent de l’ « effondrement effrayé », nourri par des sentiments d’impuissance, de désespoir et d’éco-anxiété. Les activités proposées s’inscrivent ainsi dans des manières d’apprendre régénératives (regenerative learning) qui visent à cultiver la gratitude, le courage, la compassion ou l’émerveillement tout en éveillant la conscience écologique des participants. En se basant sur notre expérience théorique et pratiques de chercheur-formateurs, nous avons en effet constaté qu’il est possible d’accueillir et de transformer les sentiments douloureux que nous pouvons éprouver face à l’état du monde pour nourrir la joie, l’espérance et l’engagement. 

Pour cela, nos propositions s’ancrent à la fois dans des apprentissages socio-émotionnels (permettant de mieux comprendre notre écologie intérieure et son lien avec l’écologie extérieure) mais aussi dans une pédagogie de la créativité. Susciter la créativité, à l’aide d’ateliers d’écriture ou de pratiques artistiques, est en effet un moyen puissant pour redonner une place à la pensée narrative, dont le propre est de retisser les morceaux parfois fragmentés de notre existence et lui donner une cohérence pleine de sens. La narration exerce ici une double fonction : si d’un côté elle permet l’ouverture au monde et à d’autres manières d’être vivant, amplifiant nos capacités perceptives, de l’autre elle nous aide à explorer notre intériorité et ainsi à renforcer nos forces vitales et notre engagement pour un soin des milieux de vie.   

Une communauté d’apprentissage et de recherche en émergence

Comme lieu de rencontre scientifique et espace de formation, l’école d’été entend permettre à la fois d’expérimenter directement différents dispositifs d’éducation et de formation capables de préserver l’habitabilité de la Terre et de partager des retours d’expérience sur ces dispositifs pour mieux en saisir les implications au niveau épistémologique, éthique ou politique. Des ateliers théoriques et pratiques sont ainsi présents à part égale au sein de cette école d’été pour faciliter les échanges réflexifs et renforcer l’émergence d’une communauté d’apprentissage et de recherche sur ces sujets. Par école d’été, nous entendons un format plus immersif qu’un colloque qui engage les participants à travailler de manière coopérative et incarnée à partir d’avancées récentes et significatives de la recherche et de l’expérience directe de dispositifs innovants d’éducation et de formation à la transition écologique. 

Le questionnement qui guide cette école d’été est le suivant : comment former à la transition écologique de manière à générer une nouvelle compréhension de notre interdépendance aux écosystèmes vivants et un engagement pour en prendre soin ?  

Inscription

Pour faire votre demande d’inscription, merci de remplir le formulaire d’inscription en ligne (en précisant l’intention qui vous amène à participer à cette école d’été).

Pour toute question, merci d’envoyer un mail à tepcare@gmail.com 

L’école d’été s’adresse aux enseignants, chercheurs, formateurs, praticiens, étudiants et à toute personne intéressée par les questions socio-écologiques, désireux de se familiariser avec des contenus théoriques et pratiques qui visent à développer nos qualités d’attention et de considération envers le vivant et à générer des actions favorisant un soin de soi, des autres (humains et non humains) et de la Terre. 

Le nombre de participants est limité à 25 personnes afin d’assurer une qualité de relations au sein de la communauté apprenante regroupant participants et intervenants (35 pers. en tout).  

Frais de participation, hébergement et repas

Les frais de participation comprennent la formation, les repas (végétariens, assurés par un restaurateur local), les petits déjeuners ainsi que l’hébergement. Pour l’hébergement, le Moulin des Baronnies offre des espaces pour camper ou installer son van/camion/camping-car et nous avons réservé des gîtes collectifs proches du site. Les frais de participation varient donc selon l’option d’hébergement choisi :  

• hébergement dans une chambre individuelle dans un gîte collectif (situé proche du Moulin des

Baronnies, entre 3 et 9 Km, possibilité de navette) : 550 euros (5 places disponibles)

• hébergement dans une chambre partagée dans un gîte collectif (situé proche du Moulin des Baronnies, entre 3 et 9 Km, possibilité de navette) : 450 euros (10 places disponibles)
• hébergement en tente ou en camion/van/camping-car (sur place, Moulin des Baronnies) : 400 euros - Tarif solidaire : 700 euros (hébergement au choix parmi les 3 propositions précédentes) : ce tarif permet de soutenir la participation d’étudiants ayant des revenus modestes. 

Pour les étudiants ne bénéficiant pas d’une prise en charge et qui souhaitent être aidés financièrement pour participer à cette école d’été, merci de nous contacter directement par mail (tepcare@gmail.com) afin que nous puissions convenir ensemble d’un tarif réduit (dépendant des demandes de subvention encore en cours.

Partenaires académiques

GIS TEPCARE, Unité ReSO - Université Paul-Valéry Montpellier, LIRDEF - Université de Montpellier, Sorbonne Université, CRESEM - Université de Perpignan, IRD – UMR SENS, Institut Agro Montpellier. 

Autres partenaires

(collectivités territoriales, associations) : Communauté de communes du Plateau de Lannemezan. Association Euromédia Communications

Programme

Samedi 13 juillet

A partir de 14h Accueil des participants

Dîner : 19h-20h

20h Ouverture de l’école thématique 

Présentation de l’école thématique : intention, programme, orientation

Dimanche 14 juillet

7h30-8h Pratiques d’attention et d’éveil des sens  

Petit déjeuner 8h-9h

9h30-12h30 Atelier Théorique : « Pédagogies de la Transition »

• Angela Biancofiore, Professeure en études italiennes, co-responsable des enseignements en Humanités écologiques, Université Paul-Valéry Montpellier, Unité de recherche ReSO, GIS TEPCARE.
• Deborah Nourrit, Maître de conférences en STAPS, Université de Montpellier, UMR EUROMOV, GIS TEPCARE  
• Natacha Krins, Maître de conférences en chimie, Sorbonne Université (Paris), porteuse du projet ‘Le Temps du Care’ avec le bureau SCF-IdF, Responsable de la mission Développement Durable pour créer un « Espace Care Étudiant » à Sorbonne Université autour des enjeux environnementaux

Pause repas 12h30-14h

Repos ou activités libres 14h-15h30

15h30-18h30 Panel 1 : Présentation des participants (projets de recherche, trajectoire professionnelle, raisons d’être)

Pause repas 19h-20h

A partir de 20h Soirée : propositions libres 

Lundi 15 juillet 

7h30-8h Pratiques d’attention et d’éveil des sens

Petit déjeuner 8h-9h

9h30-12h30 Panel 2 : Présentation des participants (projets de recherche, trajectoire professionnelle, raisons d’être)

Pause repas 12h30-14h

Repos ou activités libres 14h-15h30

15h30-18h30 Atelier pratique : écologie sensible (en demi-groupes)

• Balade sensible et poétique : Roland Gérard, Formateur, poète, co-fondateur du « réseau École et Nature » (REN) et du Collectif Français pour l’Éducation à l’Environnement vers un Développement Durable (CFEEDD)
• Atelier d’éco-phénoménologie : Aurélie Javelle, Ingénieur de recherche en anthropologie de l’environnement à l’institut Agro de l’UMR INNOVATION et associé à l’UMR SENS.  Montpellier, membre permanent de Balade sensible et poétique (par Roland Gérard)

Pause repas 19h-20h

20h-21h30: Soirée : Atelier « Danser son écologie intérieure »

• Michael Jasmin, Docteur en archéologie, enseignant en humanités écologiques, chercheur en danse, facilitateur de « Travail qui relie ».  
• Manon Sala, Doctorante en sociologie et sciences de l’éducation (Unité ReSO, Université Paul-Valéry et École doctorale FIRE – Université Paris Cité, Learning Planet Institute), Créatrice du podcast « Nouvelle Conscience »

Mardi 16 juillet

7h30-8h Pratiques d’attention et d’éveil des sens  

Petit déjeuner 8h-9h

9h30-12h30 Atelier pratique « Faire commun » (Jeu de rôle)

• Jean-Christophe Castella, géographe et agronome, directeur de recherche à l’IRD, UMR SENS. 

Pause repas 12h30-14h

• Repos ou activités libres 14h-15h30
• 15h30-18h30 Panel d’acteurs locaux « Faire commun » (en cours d’élaboration) Résumé : En résonance avec l’atelier du matin, un panel d’acteurs locaux est invité à partager autour des enjeux socio-écologiques concernant les communs.  
• Avec un temps de débat mouvant (animé par Roland Gérard)

Pause repas 19h-20h

A partir de 20h30: Soirée : cercle de partage intermédiaire

Mercredi 17 juillet

Matinée libre (Petit déjeuner à partir de 8h)

Repas 12h30-14h

• Après-midi: Randonnée dans les Baronnies avec un guide local, accompagnateur en moyenne montagne (optionnel)

Repas 19h-20h

A partir de 20h Soirée thématique : Ecocritique et cinéma 

• Projection du film « La hija de la Laguna » (La fille de la lagune) de Ernesto Cabellos suivi d’un échange avec les participants.  
• La projection-débat du film sera présentée à travers une perspective écocritique par Marie-Pierre Ramouche, Maître de conférences en études hispaniques, Université de Perpignan Via Domitia, Unité de recherche CRESEM, GIS TEPCARE. 

Jeudi 18 juillet

7h30-8h Pratiques d’attention et d’éveil des sens

Petit déjeuner 8h-9h

9h30-12h30 Atelier théorique 2 : « Soi écologique, reliance et changement de cap » 

• Clément Barniaudy, Maître de conférences en Géographie, Université de Montpellier (Faculté d’Éducation), Unité de recherche LIRDEF, GIS TEPCARE
• Manon Sala, Doctorante en sociologie et sciences de l’éducation (Unité ReSO, Université Paul-Valéry et École doctorale FIRE – Université Paris Cité, Learning Planet Institute), Créatrice du podcast « Nouvelle Conscience »

Pause repas 12h30-14h

Repos ou activités libres 14h-15h

15h-19h Atelier pratique : « Conseil de tous les êtres »

• Michael Jasmin, Docteur en archéologie, enseignant en humanités écologiques, chercheur en danse, facilitateur de « Travail qui relie ».  
• Yoan Svejcar, chercheur-praticien en écopsychologie, co-fondateur de l’AFECOP (Association française d’écopsychologie)

Pause repas 19h-20h 

A partir de 20h30: Soirée : propositions libres

Vendredi 19  juillet

7h30-8h Pratiques d’attention et d’éveil des sens 

Petit déjeuner 8h-9h

9h30-12h20 Atelier pratique : « Marche du Temps Profond »

• Yoan Svejcar, chercheur-praticien en écopsychologie, co-fondateur de l’AFECOP (Association française d’écopsychologie)
• Michael Jasmin, Docteur en archéologie, enseignant en humanités écologiques, chercheur en danse, facilitateur en « Travail qui relie ».  

Pause repas 12h30-14h

Repos ou activités libres 14h-15h

15h-17h Atelier d’Econarration 

• Angela Biancofiore, Professeure en études italiennes, co-responsable des enseignements en Humanités écologiques, Université Paul-Valéry Montpellier, Unité de recherche ReSO, GIS TEPCARE.
• Clément Barniaudy, Maître de conférences en Géographie, Université de Montpellier (Faculté d’Éducation), Unité de recherche LIRDEF, GIS TEPCARE

17h-19h Cercle de clôture (reconnaître ce qui a été vécu, penser son engagement vers une éthique en action)

Pause repas 19h-20h

A partir de 20h30: Soirée : célébrer ensemble (scène ouverte)

Samedi 20  juillet

Petit déjeuner 8h-9h

Journée ouverte au public (optionnel) : 

Ateliers pratiques et théoriques, tables rondes, soirée concert, en lien avec les acteurs locaux et les dynamiques territoriales en cours dans le territoire des Baronnies  Programme de cette journée en cours d’élaboration 

Comité d’organisation de l’école d’été

• Clément Barniaudy, Maître de conférences en Géographie, Université de Montpellier (Faculté d’Éducation), Unité de recherche LIRDEF, chercheur associé UMR SENS, GIS TEPCARE. 
• Angela Biancofiore, Professeure en études italiennes, co-responsable des enseignements en Humanités écologiques, Université Paul-Valéry Montpellier, Unité de recherche ReSO, GIS TEPCARE.
• Jean-Christophe Castella, géographe et agronome, directeur de recherche à l’IRD, UMR SENS. 
• Roland Gérard, Formateur, poète, co-fondateur du « réseau École et Nature » (REN) et du Collectif Français pour l’Éducation à l’Environnement vers un Développement Durable (CFEEDD)
• Michael Jasmin, Docteur en archéologie, enseignant en humanités écologiques, chercheur en danse, facilitateur en « Travail qui relie ».  
• Aurélie Javelle, Ingénieur de recherche en anthropologie de l’environnement à l’institut Agro de Montpellier, membre permanent de l’UMR INNOVATION et associé à l’UMR SENS.
• Natacha Krins, Maître de conférences en chimie, Sorbonne Université (Paris), porteuse du projet ‘Le Temps du Care’ avec le bureau SCF-IdF, Responsable de la mission Développement Durable pour créer un « Espace Care Étudiant » à Sorbonne Université autour des enjeux environnementaux 
• Déborah Nourrit, Maître de conférences en STAPS, Université de Montpellier, UMR EUROMOV, GIS TEPCARE. 
• Marie-Pierre Ramouche, Maître de conférences en études hispaniques, Université de Perpignan Via Domitia, Unité de recherche CRESEM, GIS TEPCARE. 
• Manon Sala, Doctorante en sociologie et sciences de l’éducation (Unité ReSO, Université Paul-Valéry et École doctorale FIRE – Université Paris Cité, Learning Planet Institute), Créatrice du podcast « Nouvelle Conscience »
• Yoan Svejcar, chercheur-praticien en écopsychologie, co-fondateur de l’AFECOP (Association française d’écopsychologie) 

Comité scientifique

• Clément Barniaudy, Maître de conférences en Géographie, Université de Montpellier (Faculté d’Éducation), Unité de recherche LIRDEF, chercheur associé UMR SENS, GIS TEPCARE. 
• Angela Biancofiore, Professeure en études italiennes, co-responsable des enseignements en Humanités écologiques, Université Paul-Valéry Montpellier, Unité de recherche ReSO, GIS TEPCARE.
• Cloé Brami, Médecin-oncologue, docteur en psychologie, formatrice (école de Médecine Mû), GIS TEPCARE. 
• Jean-Christophe Castella, géographe et agronome, directeur de recherche à l’IRD, UMR SENS. 
• Aurélie Javelle, Ingénieur de recherche en anthropologie de l’environnement à l’institut Agro de Montpellier, membre permanent de l’UMR INNOVATION et associé à l’UMR SENS.
• Natacha Krins, Maître de conférences en chimie, Sorbonne Université (Paris), porteuse du projet ‘Le Temps du Care’ avec le bureau SCF-IdF, Responsable de la mission Développement Durable pour créer un « Espace Care Étudiant » à Sorbonne Université autour des enjeux environnementaux 
• Déborah Nourrit, Maître de conférences en STAPS, Université de Montpellier, UMR EUROMOV, GIS TEPCARE. 
• Magali Ollagnier-Beldame, Chargé de recherche CNRS en sciences cognitives, ENS de Lyon, ICAR. 
• Santiago Ospina Garcia, Maître de conférences en études hispaniques, UR ReSO, UPVM. 
• Marie-Pierre Ramouche, Maître de conférences en études hispaniques, Université de Perpignan Via Domitia, Unité de recherche CRESEM, GIS TEPCARE.