Abstract
Si l’écriture épistolaire n’est pas une invention du XVIIIe siècle, ce procédé de communication interpersonnelle et intellectuelle, utilisé aussi bien dans la vie réelle que dans la fiction, connaît un nouvel essor au siècle des Lumières. L’étude des correspondances suppose par ailleurs que l’on s’intéresse à la notion de réseaux, car l’échange et la circulation des lettres induit des dynamiques de constitution de réseaux interpersonnels (épistolaires au premier chef, mais qui sont aussi des réseaux familiaux, commerciaux, politiques, diplomatiques, etc). De plus, avec le développement des humanités numériques, on assiste à un renouvellement des méthodes d’analyse qui apportent une dimension novatrice à l’étude de corpus de correspondances. Il s’agira donc, lors de ce congrès, d’aborder la question des réseaux de correspondances dans une perspective élargie, en étendant l’étude aux espaces ibériques et ibéro-américains, et dans une chronologie allant du XVIIIe au XXe siècles.
Si el siglo XVIII no inventó la escritura por cartas, bien es verdad que este mecanismo de comunicación interpersonal e intelectual, que se utiliza tanto en la vida real como en la escritura ficcional, alcanzó su apogeo durante la Ilustración. Dedicarse al análisis de correspondencias supone por otra parte interesarse por la noción de redes, ya que el intercambio y la circulación de cartas generan dinámicas de constituciones de redes interpersonales (epistolares por supuesto, pero también familiares, comerciales, políticas, diplomáticas, etc). Además, con el desarrollo de las Humanidades Digitales, se están renovando los métodos de análisis, los cuales aportan una dimensión innovadora al estudio de corpus epistolares. Se tratará pues de proponer, en el marco de este Congreso, un evento en torno a la cuestión de las redes epistolares en una perspectiva amplia, abriendo el marco geográfico al conjunto de los mundos ibéricos e iberoamericanos, en una cronología entre los siglos XVIII y XX.
Apesar de a escrita epistolar não ser uma invenção do século XVIII, este processo de comunicação interpessoal e intelectual, utilizado tanto na vida real como na ficção, conhece um novo impulso no século das Luzes. O estudo das correspondências pressupõe, de resto, um interesse pela noção de redes, pois a troca e circulação de cartas induzem dinâmicas de constituição de redes interpessoais (epistolares em primeiro lugar, mas também como redes familiares, comerciais, políticas, diplomáticas, etc.). Além disso, com o desenvolvimento das Humanidades Digitais, assiste-se a uma renovação dos métodos de análise que trazem uma dimensão inovadora ao estudo de corpus de correspondências. Aquando deste Congresso, trata-se-á de abordar a questão das redes de correspondência numa perspetiva alargada, estendendo o estudo aos espaços ibéricos e ibero-americanos, numa cronologia que começa no século XVIII para acabar no século XX.
Announcement
Le Centre d’Etudes Ibériques et Ibéro-Américaines (CEIIBA-EA7412. Université Toulouse Jean Jaurès. France) organise le Congrès International Réseaux épistolaires dans les mondes ibériques et ibéro-américains (XVIIIe-XIXe-XXe siècles) du 27 au 29 novembre 2024.
Argumentaire
Si l’écriture épistolaire n’est pas une invention du XVIIIe siècle, ce procédé de communication interpersonnelle et intellectuelle, utilisé aussi bien dans la vie réelle que dans la fiction, connaît un nouvel essor au siècle des Lumières. Inséparable du triomphe des sentiments révélé par la littérature, de la nécessité des individus à “rester en dialogue” avec leurs familles, amis, clients, etc. lors de déplacements, de voyages, de conflits ou encore de périodes d’exil, la lettre devient une composante essentielle du phénomène sociétaire qui participe au façonnement d’un monde en mutation et accompagne ainsi la transition vers l’ère contemporaine.
L’étude des correspondances suppose par ailleurs que l’on s’intéresse à la notion de réseaux, car l’échange et la circulation des lettres induit des dynamiques de constitution de réseaux interpersonnels (épistolaires au premier chef, mais qui sont aussi des réseaux familiaux, commerciaux, politiques, diplomatiques, etc). Cette analyse des réseaux est aujourd'hui très présente dans le champ des recherches en humanités et sciences sociales, le concept étant lui-même utilisé en histoire sociale et politique, en histoire économique ou encore en histoire culturelle.
De plus, avec le développement des humanités numériques, on assiste à un renouvellement des méthodes d’analyse qui apportent une dimension novatrice à l’étude de corpus de correspondances, permettant ainsi d’aborder sous un angle nouveau le fonctionnement des sociétés du passé et les dynamiques culturelles qui les sous-tendent.
Il s’agira donc, lors de ce Congrès, d’aborder la question des réseaux de correspondances dans une perspective élargie, en étendant l’étude aux espaces ibériques et ibéro-américains, et dans une chronologie allant du XVIIIe au XXe siècles.
Sont attendues des propositions de communications qui contribueront à apporter une meilleure connaissance de la thématique et qui pourront relever de champs très divers : Littérature ; Histoire ; Sociologie ; Linguistique, Sociolinguistique et Histoire de la langue ; Humanités Numériques ; étude de réseaux ; écriture féminine ; édition de corpus épistolaires ; etc.
Conditions de soumission
Les propositions devront être envoyées à l'adresse suivante : reseauxepistolaires.toulouse24@gmail.com
avant le 1er juillet 2024
Elles comprendront les indications suivantes : nom et prénom des communicant·es, institution d’appartenance, courrier électronique et téléphone portable, titre de la communication et résumé d’environ 300 mots.
Pourront également être soumises des propositions de panels comprenant au maximum 4 personnes.
Dans ce cas, une proposition commune devra être soumise comprenant un titre pour le panel et des indications sur chaque intervenant, sur le modèle des propositions individuelles.
L’acceptation des propositions sera transmise avant le 15 juillet.
La version finale des contributions sera remise le 31 mai 2025 au plus tard et soumise à une évaluation en double aveugle. Normes et extension des textes seront communiquées fin 2024.
Frais d'inscription
Communicants :
- 100 € avant le 26 octobre 2024 ;
- 135 € à partir du 27 octobre.
Etudiants : 90 €
Une réduction de 50% sera appliquée pour les membres de la Sociedad Española de Estudios del Siglo XVIII et ceux de l'Instituto Feijoo de Estudios del siglo XVIII.
Voir détail des frais sur la page Web du Congrès.
Coordinatrices
- Cécile Mary Trojani (Université Toulouse Jean Jaurès, CEIIBA)
- Emilie Cadez (Université Toulouse Jean Jaurès, CEIIBA)
Comité d’organisation
- Roxane Bellei
- Marc Gruac
- Mallorie Labrousse
- Zeinab Masquarenc
- Manuel Seco Lama
Comité scientifique
- Belén Almeida Cabrejas (Univ. de Alcalá)
- Joaquín Álvarez Barrientos (CSIC)
- Javier Antón Pelayo (Univ. Autónoma de Barcelona)
- Mónica Bolufer Peruga (Univ. de Valencia)
- Miguel Calderón Campos (Univ. de Granada)
- Marie-Noëlle Ciccia (Univ. Paul Valéry-Montpellier III)
- Nicolas De Ribas (Univ. d’Artois)
- Elena Díez del Corral Areta (Univ. de Lausanne)
- Fernando Durán López (Univ. de Cádiz)
- Andrés Enrique Arias (Univ. de las Islas Baleares)
- María Teresa García Godoy (Univ. de Granada)
- Federico Gerhardt (Univ. Nacional de la Plata)
- Carmen de la Guardia Herrero (Univ. Autónoma de Madrid)
- José María Imízcoz Beunza (Univ. del País Vasco-UPV/EHU)
- Marcela López Arellano (Univ. Autónoma de Aguascalientes)
- Marta López Izquierdo (Univ. Paris 8)
- Elena de Lorenzo Álvarez (Univ. de Oviedo)
- Maria Luísa Malato Borralho (Univ. do Porto)
- Marc Marti (Univ. Côte d’Azur)
- Concepción Martínez Pasamar (Univ. de Navarra)
- Severiano Rojo Hernández (Univ. d’Aix-Marseille)
- Pedro Rújula López (Univ. de Zaragoza)
- Cristina Tabernero Sala (Univ. de Navarra)
- Dolores Thion Soriano-Mollà (Univ. de Rennes 2)
El Centro de Estudios Ibéricos e Iberoamericanos (CEIIBA-EA7412. Universidad de Toulouse Jean Jaurès. Francia) convoca el Congreso Internacional Redes epistolares en los mundos ibéricos e iberoamericanos (siglos XVIII – XIX – XX) que tendrá lugar del 27 al 29 de noviembre de 2024.
Argumentos
Si el siglo XVIII no inventó la escritura por cartas, bien es verdad que este mecanismo de comunicación interpersonal e intelectual, que se utiliza tanto en la vida real como en la escritura ficcional, alcanzó su apogeo durante la Ilustración. Inseparable del triunfo del sentimiento que revela la literatura, de la necesidad de los individuos de “dialogar” con sus familiares, amigos, clientes, etc. durante desplazamientos, viajes, conflictos o periodos de exilio, la carta puede convertirse también en un componente esencial del fenómeno societario que contribuye a vertebrar una sociedad cambiante y acompaña así la transición a la contemporaneidad.
Dedicarse al análisis de correspondencias supone por otra parte interesarse por la noción de redes, ya que el intercambio y la circulación de cartas generan dinámicas de constituciones de redes interpersonales (epistolares por supuesto, pero también familiares, comerciales, políticas, diplomáticas, etc). Hoy, el análisis de redes es un eje central en el campo de las investigaciones en Humanidades y Ciencias Sociales, siendo utilizado el concepto de redes tanto en historia social y política como en historia económica o en historia cultural.
Además, con el desarrollo de las Humanidades Digitales, se están renovando los métodos de análisis, los cuales aportan una dimensión innovadora al estudio de corpus epistolares y permiten abordar el funcionamiento de sociedades del pasado así como las dinámicas culturales subyacentes desde nuevas perspectivas.
Se tratará pues de proponer, en el marco de este Congreso, un evento en torno a la cuestión de las redes epistolares en una perspectiva amplia, abriendo el marco geográfico al conjunto de los mundos ibéricos e iberoamericanos, en una cronología entre los siglos XVIII y XX.
Se esperan propuestas de comunicación que puedan contribuir a un mejor conocimiento de la temática, en relación con áreas diversas, como, por ejemplo: Literatura ; Historia ; Sociología ; Lingüística, Sociolingüística e Historia de la lengua ; Humanidades Digitales ; estudio de redes ; escritura femenina ; edición de corpus ; etc.
Modalidades de proposiciones de ponencias
Las propuestas han de enviarse a la dirección: reseauxepistolaires.toulouse24@gmail.com
antes del 1 de julio de 2024
En ellas se indicarán los siguientes datos: apellidos y nombre del (de los) participante(s), institución a la que pertenece(n), correo electrónico y teléfono móvil, título de la comunicación y un resumen de hasta 300 palabras. Se pueden proponer también paneles de comunicaciones (4 comunicantes máximo).
En este caso, se debe redactar una propuesta común con el título del panel y los datos de cada comunicante, sobre el modelo de las propuestas individuales.
La aceptación de propuestas se comunicará antes del 15 de julio.
La versión final de las contribuciones, que será sometida a evaluación por pares, deberá ser enviada antes del 31 de mayo de 2025. Extensión y normas se indicarán a finales de 2024.
Inscripción
Comunicantes:
- 100 € antes del 26 de octubre de 2024
- 135 € a partir del 27 de octubre
Estudiantes con comunicación: 90 €
Los miembros de la Sociedad Española de Estudios del Siglo XVIII y del Instituto Feijoo de Estudios del siglo XVIII se benefician de una cuota de inscripción reducida del 50%.
Véase el detalle de las cuotas en la página web del Congreso
Coordinadoras
- Cécile Mary Trojani (Université Toulouse Jean Jaurès, CEIIBA)
- Emilie Cadez (Université Toulouse Jean Jaurès, CEIIBA)
Comité organizador
- Roxane Bellei
- Marc Gruac
- Mallorie Labrousse
- Zeinab Masquarenc
- Manuel Seco Lama
Comité científico
- Belén Almeida Cabrejas (Univ. de Alcalá)
- Joaquín Álvarez Barrientos (CSIC)
- Javier Antón Pelayo (Univ. Autónoma de Barcelona)
- Mónica Bolufer Peruga (Univ. de Valencia)
- Miguel Calderón Campos (Univ. de Granada)
- Marie-Noëlle Ciccia (Univ. Paul Valéry-Montpellier III)
- Nicolas De Ribas (Univ. d’Artois)
- Elena Díez del Corral Areta (Univ. de Lausanne)
- Fernando Durán López (Univ. de Cádiz)
- Andrés Enrique Arias (Univ. de las Islas Baleares)
- María Teresa García Godoy (Univ. de Granada)
- Federico Gerhardt (Univ. Nacional de la Plata)
- Carmen de la Guardia Herrero (Univ. Autónoma de Madrid)
- José María Imízcoz Beunza (Univ. del País Vasco-UPV/EHU)
- Marcela López Arellano (Univ. Autónoma de Aguascalientes)
- Marta López Izquierdo (Univ. Paris 8)
- Elena de Lorenzo Álvarez (Univ. de Oviedo)
- Maria Luísa Malato Borralho (Univ. do Porto)
- Marc Marti (Univ. Côte d’Azur)
- Concepción Martínez Pasamar (Univ. de Navarra)
- Severiano Rojo Hernández (Univ. d’Aix-Marseille)
- Pedro Rújula López (Univ. de Zaragoza)
- Cristina Tabernero Sala (Univ. de Navarra)
- Dolores Thion Soriano-Mollà (Univ. de Rennes 2)
O Centro de Estudos Ibéricos e Ibero-Americanos (CEIIBA-EA7412. Universidade de Toulouse Jean Jaurès. França) organiza de 27 a 29 de novembro de 2024 o Congresso Internacional Redes Epistolares nos Mundos Ibéricos e Ibero-Americanos (séculos XVIII-XIX-XX)
Apresentação
Apesar de a escrita epistolar não ser uma invenção do século XVIII, este processo de comunicação interpessoal e intelectual, utilizado tanto na vida real como na ficção, conhece um novo impulso no século das Luzes. Inseparável do triunfo dos sentimentos revelados pela literatura, da necessidade dos indivíduos de "manter um diálogo" com suas famílias, amigos, clientes, etc., durante deslocações, viagens, conflitos ou mesmo períodos de exílio, a carta torna-se um componente essencial do fenômeno social que participa na formação de um mundo em mutação e acompanha assim a transição para a era contemporânea. O estudo das correspondências pressupõe, de resto, um interesse pela noção de redes, pois a troca e circulação de cartas induzem dinâmicas de constituição de redes interpessoais (epistolares em primeiro lugar, mas também como redes familiares, comerciais, políticas, diplomáticas, etc.). Esta análise das redes está hoje muito presente no campo das investigações em Humanidades e Ciências Sociais, sendo o conceito utilizado na história social e política, na história económica ou ainda na história cultural. Além disso, com o desenvolvimento das Humanidades Digitais, assiste-se a uma renovação dos métodos de análise que trazem uma dimensão inovadora ao estudo de corpus de correspondências, permitindo assim abordar o funcionamento das sociedades do passado e as dinâmicas culturais que as sustentam sob uma nova perspectiva.
Aquando deste Congresso, trata-se-á de abordar a questão das redes de correspondência numa perspetiva alargada, estendendo o estudo aos espaços ibéricos e ibero-americanos, numa cronologia que começa no século XVIII para acabar no século XX.
Esperam-se propostas de comunicações que contribuam para uma melhor compreensão da temática e que possam abranger campos muito diversos: Literatura ; História ; Sociologia ; Linguística, Sociolinguística e História da língua ; Humanidades digitais ; estudo de redes ; escrita femenina ; edição de corpus epistolares ; etc.
Envio das propostas
As propostas devem ser enviadas para o seguinte endereço: reseauxepistolaires.toulouse24@gmail.com
até 1 de julho de 2024
Devem incluir as seguintes informações: nome e apelido do(s) comunicante(s), instituição de afiliação, endereço de e-mail e número de telemóvel, título da comunicação e um resumo de aproximadamente 300 palavras.
Podem também ser submetidas propostas de painéis, com um máximo de 4 pessoas.
Neste caso, deve ser enviada uma proposta conjunta que inclua um título para o painel e informações sobre cada participante, seguindo o modelo das propostas individuais.
A aceitação das propostas será comunicada antes do dia 15 de julho de 2024.
A versão final das contribuições, que será sujeita a dupla revisão cega por pares, será enviada antes do dia 31 de maio de 2025. As indicações sobre a extensão dos textos e as normas de apresentação dos mesmos serão divulgadas nos final de 2024
Taxas de inscrição
Participantes com comunicação: 100 € pagamento antes do dia 26 de outubro de 2024, 135 € pagamento a partir do dia 27 de outubro de 2024. Alunos universitários com comunicação: 90 €. Redução de 50 % do valor da inscrição para os membros da Sociedad Española de Estudios del Siglo XVIII e do Instituto Feijoo de Estudios del Siglo XVIII. Mais pormenores quanto aos custos na
página Web dedicada ao Congresso.
Coordenadoras
- Cécile Mary Trojani (Université Toulouse Jean Jaurès, CEIIBA)
- Emilie Cadez (Université Toulouse Jean Jaurès, CEIIBA)
Comité de organização
- Roxane Bellei
- Marc Gruac
- Mallorie Labrousse
- Zeinab Masquarenc
- Manuel Seco Lama
Comité científico
- Belén Almeida Cabrejas (Univ. de Alcalá)
- Joaquín Álvarez Barrientos (CSIC)
- Javier Antón Pelayo (Univ. Autónoma de Barcelona)
- Mónica Bolufer Peruga (Univ. de Valencia)
- Miguel Calderón Campos (Univ. de Granada)
- Marie-Noëlle Ciccia (Univ. Paul Valéry-Montpellier III)
- Nicolas De Ribas (Univ. d’Artois)
- Elena Díez del Corral Areta (Univ. de Lausanne)
- Fernando Durán López (Univ. de Cádiz)
- Andrés Enrique Arias (Univ. de las Islas Baleares)
- María Teresa García Godoy (Univ. de Granada)
- Federico Gerhardt (Univ. Nacional de la Plata)
- Carmen de la Guardia Herrero (Univ. Autónoma de Madrid)
- José María Imízcoz Beunza (Univ. del País Vasco-UPV/EHU)
- Marcela López Arellano (Univ. Autónoma de Aguascalientes)
- Marta López Izquierdo (Univ. Paris 8)
- Elena de Lorenzo Álvarez (Univ. de Oviedo)
- Maria Luísa Malato Borralho (Univ. do Porto)
- Marc Marti (Univ. Côte d’Azur)
- Concepción Martínez Pasamar (Univ. de Navarra)
- Severiano Rojo Hernández (Univ. d’Aix-Marseille)
- Pedro Rújula López (Univ. de Zaragoza)
- Cristina Tabernero Sala (Univ. de Navarra)
- Dolores Thion Soriano-Mollà (Univ. de Rennes 2)