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The electoral process in Cameroon as a political dynamic: Actors and Factors

Le processus électoral au Cameroun comme dynamique politique: acteurs et facteurs

El proceso electoral en Camerún como dinámica política: actores y factores

Collective work

Ouvrage collectif

Trabajo colectivo

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Published on Thursday, July 04, 2024

Abstract

The electoral process in Cameroon is a complex political dynamic, characterized by challenges and controversies, but also by important issues in terms of legitimacy, legitimation and political legality and democracy. Objectifying this issue requires an in-depth analysis of electoral institutions (norms and organs), citizen participation, the challenges encountered and the political implications. The Cameroonian political-electoral process as a political dynamic therefore involves a multitude of factors and actors.

Announcement

Argumentaire

Une dynamique politique fait référence aux forces, aux processus et aux interactions qui façonnent le paysage politique d’un pays ou d’une région donnée. Cela englobe un large éventail de phénomènes et de facteurs, tels que les institutions politiques, les partis politiques, les mouvements sociaux, les idéologies politiques, les relations internationales, les tensions ethniques ou religieuses, les changements socio-économiques, etc. En d’autres termes, elle renvoie à l’ensemble des mouvements, des changements et des interactions qui animent la vie politique d’un pays, pouvant ainsi inclure des processus de prise de décision, des luttes de pouvoir, des négociations/transactions politiques, des mobilisations sociales, des manifestations populaires, des élections et des transitions politiques, entre autres. Comprendre la dynamique politique d’un pays est essentiel pour analyser son fonctionnement politique, identifier les enjeux clés, prédire les tendances futures et formuler des politiques efficaces. Cela nécessite une analyse approfondie des divers facteurs et acteurs qui influent sur la politique d’un pays, ainsi que des interactions complexes entre ces éléments.

Comprendre le processus électoral au Cameroun comme dynamique politique implique donc d’analyser les différentes forces et interactions qui façonnent les élections dans ce pays depuis le retour au multipartisme. Le processus électoral au Cameroun est une dynamique politique complexe, caractérisée par des défis et des controverses, mais aussi par des enjeux importants en termes de légitimité, de légitimation et de légalité politique et de démocratie. Objectiver cette problématique nécessite une analyse approfondie des institutions (normes et organes) électorales, de la participation des citoyens, des défis rencontrés et des implications politiques. Le processus politico-électoral camerounais en tant que dynamique politique emporte donc l’implication d’une multitude de facteurs et d’acteurs. Pour comprendre cette dynamique, l’examen de certains des principaux facteurs et acteurs qui influent sur le processus électoral dans ce pays est indispensable.

Les facteurs historiques

Les élections au Cameroun sont influencées par son passé colonial et post-colonial. L’héritage des structures politiques mises en place pendant la colonisation et les luttes pour l’indépendance ont façonné le paysage politique actuel. Les divisions ethniques et régionales héritées de cette époque continuent d’avoir un impact sur les élections, avec certaines régions soutenant traditionnellement certains partis ou candidats.

Institutions électorales

Les institutions chargées de superviser les élections, partant du ministère de l’Administration territoriale qui a été la première administration à gérer l’organisation des élections  ; en passant par l’Observatoire National des Elections (ONEL) entre 2000 et 2006. Jusqu’à l’avènement d’Elections Cameroon (ELECAM), qui sont les deux organes nés de la tripartite de 1991 (NKULU ATANGANA, 2021). Ces deux institutions ont joué et continuent de jouer un rôle crucial dans le processus électoral. La manière dont ces institutions sont organisées et fonctionnent peut affecter la crédibilité et la transparence des élections. L’indépendance réelle de ces organes par rapport au pouvoir politique en place est souvent un sujet de débat et peut influencer la confiance des citoyens dans le processus électoral.

Les partis politiques

Les partis politiques et leurs leaders sont des acteurs majeurs dans le processus électoral. Ils mobilisent les électeurs, présentent des candidats et défendent leurs programmes politiques. Au Cameroun, les partis politiques ont souvent des affiliations ethniques ou régionales, ce qui peut conduire à des compétitions électorales polarisées le long de ces lignes.

La société civile

Les organisations de la société civile jouent un rôle important en surveillant le processus électoral, en sensibilisant les citoyens aux enjeux électoraux et en défendant la transparence et l’intégrité des élections. Elles peuvent également agir comme médiateurs en cas de tensions pré-électorales ou post-électorales.

Les médias

Les médias jouent un rôle crucial dans la couverture des élections et dans la formation de l’opinion publique. Leur indépendance et leur impartialité sont essentielles pour assurer une information équilibrée et transparente sur les candidats et les enjeux électoraux.

Le processus électoral au Cameroun apparait donc comme travaillé par une multitude de facteurs et acteurs. Comprendre ces facteurs et les interactions entre ces différents acteurs est essentiel pour analyser la dynamique politique des élections dans le pays.

Axes de rédaction

Les propositions pourraient toucher les axes ci-dessous :

Axe 1 : Socio-anthropologie politique

Une analyse du processus électoral au Cameroun comme dynamique politique du point de vue de la socio-anthropologie politique serait extrêmement pertinente. Voici quelques pistes d’analyse envisageables à creuser par les différents contributeurs :

  1. Le vote mythe ou réalité : Le vote Cameroun, qui a un fondement constitutionnel, demeure un rituel politique ambivalent au Cameroun. Sur environ 30 millions d’habitants que compte le Pays, le collège électoral représente seulement le 1/5. Est-ce à dire que le vote aurait perdu ses fonctions de désignation et de légitimation des dirigeants  ? Qu’est-ce qui peut justifier la désaffection des Camerounais vis-à-vis du processus électoral  ?
  2. Les élections sans choix.
  3. Les partis politiques acteurs ou spectateurs du processus électoral :
  4. L’Électeur camerounais est-il rationnel ou irrationnel  ? : l’analyse consistera ici à questionner les motifs et les motivations du choix des électeurs dans un processus électoral. Il faut souligner que La théorie des choix publics émerge aux États-Unis. Elle conçoit le monde politique comme un marché, avec une offre et une demande, où les électeurs choisissent rationnellement leurs dirigeants. Elle est inaugurée par Anthony Downsen 1957 dans An Economic Theory of Democracy. Sa théorie repose sur trois axiomes : les comportements sont rationnels au regard d’une rationalité procédurale  ; le comportement est orienté autour d’une rationalité économique  ; le comportement individuel est utilitariste. L’électeur est ainsi supposé calculateur. Il va opérer des calculs avant de voter : il faut que le coût d’opportunité d’aller voter soit faible, que les gains estimés soient les plus importants possibles.
  5. Genre et élections : l’on a tendance à déterminer le sexe de la politique comme relevant du genre masculin. Dès lors la femme est appelée à briser le plafond de verre qui se dresse devant elle. Le rapport au monde politique de la femme au Cameroun au premier plan est encore dans l’ordre de l’exception or le temps du «  cens caché  » est dévolu.
  6. Le rôle des Chefs traditionnels dans le processus électoral : une analyse du positionnement des chefs traditionnels dans le processus électoral serait également intéressante. La participation politique des chefs traditionnels est toujours questionnée. Doivent-ils rester neutres ou alors afficher ostentatoirement leur appartenance à un parti politique.
  7. Les variables de la participation et de l’abstention : la montée de l’abstention dans les sociétés démocratiques a conduit la sociologie du vote à se pencher sur les raisons de la participation au vote, qui était jusque-là tenue pour normale. Le fondateur de l’analyse de l’abstention est Daniel Gaxie. Dans son ouvrage Le Cens caché, Gaxie remarque un phénomène d’auto-exclusion de certains électeurs potentiels. Cette auto-exclusion est due au sentiment d’une faible compétence politique, lui-même corrélé à la détention de capitaux culturels (dont la forme la plus objectivée est le diplôme). Les femmes s’abstiennent ainsi plus dans la France des années 1960 que les hommes, les travailleurs précaires que les employés stables. La spécialisation et la complexification croissante des affaires de la cité, et le degré d’intensité du travail de mobilisation des électeurs lors des campagnes (couverture des médias, argent dépensé, nombre de meetings, etc.), ont une influence désincitatrice sur les classes populaires.
  8. Analyse Socio-historique de l’acte du vote : L’étude de la construction historique de la citoyenneté a pris la forme de la sociologie de l’acte de vote. Cette analyse se propose d’étudier le vote sous l’angle des dispositifs qui le rendent possible. Urnes, isoloirs, bulletins sont autant de technologies du vote qui nous renseignent sur sa mise en forme politique.
  9. Ethnicité, primordialismes et processus électoral : il s’agit ici d’appréhender les mécanismes de protection des comportements particularistes, voire d’imposition du vote communautaire au point de relativiser le sens de la communauté politique.
  10. Mobilisation et socialisation électorale : entre autre aspect qui peut être abordé ici, il s’agira de dresser quelques monographies de ces hommes et femmes qui ont joué un rôle clé dans le processus électoral au Cameroun. On peut citer : Paul Biya, Dakolé Daissala, Puis Njawé, Lapiro de Mbanga, Gilbert Andzé Tsoungui, etc.
  11. La communication et le marketing politiques.
  12. La communication électorale.
  13. Géographie électorale.
  14. La campagne électorale.
  15. Les variables du vote en contexte camerounais.
  16. La contestation électorale.
  17. Jeunesse et politique.

Axe 2 : Politiques publiques

Le lien entre vote et politique paraît à première vue évident. Après tout, la théorie classique de la représentation fait de l’électorat, à travers son vote, le juge rétrospectif du bilan des gouvernements, donc des politiques qu’ils ont menées. Des concepts qui traitent de l’influence des politiques publiques sur le vote ont très tôt été forgés dans l’analyse des comportements électoraux…

  1. Administration électorale
  2. La construction des faits électoraux au Cameroun
  3. L’action publique électorale
  4. Institutions et processus électoral

Axe 3 : Relations internationales et études stratégiques

Depuis sa reconnaissance juridique internationale, le Cameroun a connu une certaine expérience électorale qui en fait sa spécificité, tout en nourrissant une dynamique politique. Il est à rappeler que l’élection s’oppose au tirage au sort du fait que celle-ci est solidaire du principe représentatif. Didier Mineur note si bien qu’«  élire  », dans le langage classique, est synonyme de «  choisir  ». C’est dire que l’élection est un acte d’autonomie, qui est au fondement du projet démocratique moderne. La Charte des Nations unies présente généralement tous les États du monde recensés en son sein comme étant tous «  égaux  ». De quelle égalité s’agirait-il lorsqu’on sait qu’elle est unicolore sur la scène internationale, notamment en matière d’accompagnement électoral  ? L’avènement de l’État «  importé  » ou «  sur mesure  » et «  donc prêt-à-porter  », en Afrique, a laissé libre cours aux rapports de sujétion entre les anciennes puissances coloniales et les pays africains ayant connu l’expérience coloniale, avec champ libre la consécration de la «  démocratie à adjectifs  » . Le Cameroun n’est pas en marge de ce schéma qui semble entretenir une certaine extraversion complice (néo-colonisation) et involontaire ou conjoncturelle (vent de l’Est). Le processus électoral, davantage depuis le retour démocratique, est le moment d’appréciation de la vitalité et de la dynamique politique  ; avec la mise en scène des acteurs et facteurs internationaux dans sa légitimation et donc celle des élus. Ces acteurs sont d’autant plus indispensables dans un contexte prédisposant à la violence post-électorale et des risques de désagrégation du contrat social.

Une analyse du processus électoral au Cameroun comme dynamique politique du point de vue des Relations internationales et des études stratégiques serait extrêmement pertinente. Voici quelques pistes d’analyse envisageables à creuser par les différents contributeurs :

  1. L’influence des acteurs internationaux : cette perspective pourrait examiner comment les acteurs internationaux, tels que les grandes puissances, les organisations régionales et les institutions internationales, influencent le processus électoral au Cameroun. Cela pourrait inclure l’analyse des soutiens financiers, logistiques, l’expertise diplomatique et médiatique fournie par ces acteurs aux différents candidats ou partis politiques, ainsi que leur rôle dans la surveillance des élections, à travers les missions d’observation électorale et autres dispositifs connexes, et la promotion de la démocratie faisant pression pour des élections libres et équitables.
  2. La Diplomatie électorale : Une analyse des relations internationales pourrait également se concentrer sur la diplomatie électorale, c’est-à-dire les interactions entre les gouvernements étrangers et les autorités camerounaises pendant le processus électoral. Cela pourrait inclure l’examen des déclarations publiques, des déclarations officielles et des actions diplomatiques prises par les États étrangers pour influencer le déroulement des élections au Cameroun.
  3. La diaspora/les diasporas : Les Camerounais vivant à l’étranger représentent également un acteur important dans le processus électoral. Ils peuvent influencer les résultats des élections par leur soutien financier aux candidats, leur participation aux campagnes électorales et leur vote lors des scrutins.
  4. Géopolitique régionale et sous-régionale : Une analyse des relations internationales pourrait également prendre en compte les dynamiques géopolitiques électorales, régionales et leur impact sur le processus électoral au Cameroun. Cela pourrait inclure l’examen des rivalités géopolitiques entre les États voisins, les tensions régionales et les conflits transfrontaliers, et la manière dont ces facteurs influent sur la stabilité politique et la sécurité du Cameroun.
  5. Sécurité et stabilité : Enfin, une analyse des études stratégiques pourrait se concentrer sur les questions de sécurité et de stabilité pendant le processus électoral au Cameroun. Cela pourrait inclure l’examen des menaces sécuritaires (conflits armés, terrorisme, troubles civils à l’ordre public, etc.), ainsi que les stratégies déployées par le gouvernement et les acteurs internationaux pour garantir la sécurité et la stabilité pendant les élections.
  6. L’armée et les forces de maintien de l’ordre : une analyse du positionnement des forces de défense et de sécurité camerounaise dans le processus électoral serait également intéressante.
  7. Processus électoral et violence politique.
  8. Légitimation politique des partenaires internationaux.
  9. Assistance multilatérale du processus électoral au Cameroun.

Axe 4 : Économie politique des élections

L’impact de l’économie sur les choix électoraux varie dans le temps ainsi que dans l’espace. La modélisation de cette variation pose de réels défis, et de nombreux efforts ont été consacrés, avec l’emploi de techniques sophistiquées, pour tenter d’expliquer cette instabilité de la relation entre l’économie et les élections d’un pays à l’autre, et d’une élection à l’autre dans un même pays. L’économie, en tant que facteur, appartient à la catégorie générale des enjeux susceptibles d’influencer les électeurs. À l’intérieur de cette catégorie, l’économie présente, par rapport aux autres enjeux, la caractéristique d’être la question qui influence de la manière la plus fréquente et la plus systématique les électeurs. Les enjeux et les chefs changent d’une élection à l’autre, alors que les partis et les orientations idéologiques restent. Enfin, certaines études électorales montrent généralement que le résultat de l’élection varie de quelques points en raison de la situation économique. Le résultat d’un nombre appréciable d’élections dépend donc de l’état de la conjoncture économique au moment de l’appel aux urnes.

  1. Financement des élections.
  2. Financement des partis politiques.
  3. Financement du monitoring électoral.
  4. Etc.

Axe 4 : Droit électoral

L’on ne saurait parler du processus électoral au Cameroun et faire fi du droit électoral qui l’entoure. Un droit électoral camerounais qui a connu une évolution au gré du temps et des contingences de l’environnement sociopolitique camerounais (NKULU ATANGANA, 2021, p. 52). Les contributeurs qui s’intéresseront à cet axe aborderont les thématiques suivantes :

  1. Le droit électoral international : ici, il s’agira d’aborder les aspects comme le cadre juridique international, sous-régional, régional ainsi que l’ensemble des instruments juridiques régissant les élections auxquels le Cameroun à librement consenti. Il s’agira aussi d’aborder le cadre juridique qui encadre les aspects liés au monitoring des élections qu’il soit interne ou international.
  2. Le contentieux préélectoral.
  3. Le contentieux post-électoral.

Conditions de soumission

Les textes acceptés en français ou anglais sont sélectionnés par le comité scientifique et de lecture en raison de leur originalité, et de leur rigueur scientifique.

Les propositions (300 mots) sont à faire parvenir simultanément par mail aux adresses suivantes :

  • Dr Sylvain Charles AMOUGOU MVENG amougoumveng@gmail.com 
  • Dr Rodrigue janvier ASSAKO MBITA assakorodriguejanvier@gmail.com /assakombita13723@yahoo.com
  • Dr Jean-Pierre Loïc NKULU ATANGANA nkuluatangana@univ-bertoua.cm
  • Dr Jean-Claude EDJO’O NDONGO jcedjoondongo@yahoo.com

avant le 20 juillet 2024.

Les articles publiés respecteront les normes éditoriales suivantes :

Chaque proposition d’article doit débuter, juste après l’intitulé de la contribution qui doit être en français et en anglais, par une brève notice biographique précisant l’identité du (des) auteur(s) : Noms et prénoms, titre ou grade universitaire ou profession pour les praticiens non universitaires, l’affiliation institutionnelle.

Chaque auteur devra préciser :

  • L’échelle de son analyse (micro, meso, macro ou méga)
  • Son positionnement sous-disciplinaire 
  • L’objet de son étude

La taille des articles Volume : 15 à 20 pages  ; interligne 1.5, police 12 pour le corps du texte et les courtes citations  ; police 11 pour les longues citations, Times New Roman, les références des citations doivent être incorporées dans le texte. Exemple : (Guy Rocher, 1968, p. 29), pas de référence en foot-notes à l’exception de quelques commentaires.

Calendrier

  • Date limite d’envoi des résumés : lundi 20 juillet 2024

  • Retour vers les auteurs pour annoncer l’acceptation de leur proposition : lundi 29 juillet 2024
  • Date limite pour l’envoi des textes pour expertise : lundi 30 septembre 2024
  • Envoi aux auteurs des commentaires des relecteurs : lundi 28 octobre 2024
  • Date limite d’envoi des textes définitifs : lundi 25 novembre 2024
  • Parution du livre : janvier 2025

Responsables scientifiques de l'ouvrage

  • Pr OWONA NGUINI Eric Mathias
  • Dr AMOUGOU MVENG Sylvain Charles

Secrétariat Permanent/Comité de rédaction

  • Dr EDJO’O NDONGO Jean-Claude (Chargé de Cours), Université d’Ebolowa.
  • Dr NKULU ATANGANA Jean-Pierre Loïc (Assistant), Université de Bertoua.
  • Dr ASSAKO MBITA Rodrigue Janvier. Chercheur Universitaire.
  • Dr BILONGO Dominique Armand. Chercheur Sénior à la Fondation Paul Ango Ela de Yaoundé.
  • M. NENGNO POMOGNE Amstrong, Étudiant Chercheur à la FSJP d’Ebolowa.

Comité scientifique

  • Professeur OWONA NGUINI Mathias Éric, Professeur Titulaire en Science Politique, Université de Yaoundé II.
  • Professeur NTUDA EBODE Joseph Vincent, Professeur Titulaire en Science Politique, Université de Yaoundé II.
  • Professeur MOUICHE Ibrahim, Professeur Titulaire en Science Politique, Université de Yaoundé II.
  • Professeur ONANA Janvier, Agrégé de Science Politique, Professeur Titulaire, Université de Douala.
  • Professeur ONDOUA Alain Franklin, Agrégé de Droit Public, Professeur Titulaire, Université de Yaoundé II.
  • Professeur ZAMBO ZAMBO Dominique, Agrégé de Droit, Professeur Titulaire, Université d’Ebolowa.
  • Professeure MACHIKOU Nadine, Agrégée de Science Politique, Professeur Titulaire, Université de Yaoundé II.
  • Professeur TCHINGAKONG YANOU Moïse, Agrégé de Science Politique, Professeur Titulaire, Université de Yaoundé II.
  • Professeur NGONO Louis Martin, Agrégé de Science Politique, Maître de Conférences, Université de Yaoundé II.
  • Professeur NENKAM Chamberlain, Historien, Maître de Conférences en Histoire, Université de Yaoundé I.
  • Professeur ALAWADI ZELAO, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Dschang.
  • Professeur NOPOUDEM Jules Ambroise, Historien, Maître de Conférences en Histoire, Ecole Normale Supérieure de Yaoundé-Université de Yaoundé I.
  • Professeur BILOUNGA Stève Thierry, Professeur Titulaire de Droit Public, Université d’Ebolowa.
  • Professeur AKONO EVANG Serge Paulin, Maître de Conférences en Science Politique, Université de Douala.
  • Professeur EWODO MBELE Marc Luciani, Maître de Conférences en Science Politique, Université d’Ebolowa.
  • Professeur AKONO ONGBA Sedena, Agrégé de Droit Public, Maître de Conférences, Université de Yaoundé II.
  • Professeur ONAMBELE MBIDA Max Zachée Sinclair, Maître de Conférences en Science Politique, Université de Yaoundé II/IRIC.
  • Professeur OWONO ZAMBO Nathanaël Noël, Maître de Conférences en Philosophie, Université de Yaoundé I.
  • Professeur EBELE ONANA Désiré, Maître de Conférences en Science Politique, Université d’Ebolowa.
  • Professeur BOKALLI Emile Sedar, Maître de Conférences en Science Politique, Université d’Ebolowa.
  • Professeur NOPOUDEM Jules Ambroise, Maître de Conférences en Histoire, Université de Yaoundé I.
  • Professeur ZANGA ONGBWA Paul Dominique, Maître de Conférences en Science de Gestion, Université d’Ebolowa.
  • Professeur MFONKA Abdoulaye, Maître de Conférences en Science Politique, Université de Yaoundé II.
  • Professeur TSALA Yves, Maître de Conférences en Droit Public, Université d’Ebolowa.
  • Professeur YEBEGA NDJANA, Nicolas Junior Maître de Conférences en Science, Université de Bertoua.
  • Pr Fred Jérémie MEDOU NGOA, Maître de Conférences en Science Université de Douala.

Comité de lecture

  • Dr EDJO’O NDONGO Jean-Claude (Chargé de Cours), Université d’Ebolowa.
  • Dr MBEGUELE Paul Amour Destin (Maître-Assistant CAMES), Université de Maroua.
  • Dr BIWONI AYISSI Jean Pierre (Chargé de Cours), Université d’Ebolowa.
  • Dr EDOUARD YOGO Epiphane (Chargé de Cours), Université de Yaoundé II.
  • Dr AWA NOA Luc (Chargé de Cours), Université de Yaoundé II.
  • Dr NKENGUE Landry Yannick (Chargé de Cours), Université de Bertoua.
  • Dr ALIMA TOLO Marie Micheline (Assistante), Université de Yaoundé II.
  • Dr NKULU ATANGANA Jean-Pierre Loïc (Assistant), Université de Bertoua.
  • Dr TATSADONG TAFFEMPA Jean-Marius (Chargé de Cours), Université d’Ebolowa.
  • Dr MGBA NDJIE Marc Stéphane (Chargé de Cours), Université d’Ebolowa.
  • Dr GOUDEM LAMENE Bertholot (Chargé de Cours), Université de Yaoundé II.
  • Dr MESSI MBALLA Ange (Assistant), Université d’Ebolowa.
  • Dr NKA Pierre Legrand.

Bibliographie indicative

Ouvrages

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NKULU ATANGANA, Jean-Pierre Loïc, (2015), Le monitoring des élections présidentielles au Cameroun depuis 1992 À 2011, Mémoire de DEA en Science Politique, Université de Douala, 136 pages.

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AMOUGOU MVENG, Sylvain Charles, (2019), Chefferie traditionnelle au Cameroun au cœur du jeu de l’échange politique : une anthropologie de ses montages et de ses usages, Thèse de Doctorat en Science Politique, Université de Yaoundé 2, 334 pages.

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NKULU ATANGANA, Jean-Pierre Loïc, (2021), LE MONITORING DES ÉLECTIONS EN AFRIQUE : Une sociologie de la contribution des missions d’observation électorale dans la promotion de la démocratie au Cameroun, Thèse de Doctorat en Science Politique, Université de Douala, 654 pages.

ZAMBO BELINGA, Joseph Marie, (2005), Les élections au Cameroun, contribution à l’explication du vote dans les localités «  acquises  » au Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) et au Social Democratic Front (SDF), Thèse de Doctorat en Sociologie, Université de Yaoundé I.


Date(s)

  • Saturday, July 20, 2024

Keywords

  • processus électoral, Cameroun, dynamique politique, acteurs, facteurs

Contact(s)

  • Jean-Pierre Nkulu Atangana
    courriel : nkuluatangana [at] univ-bertoua [dot] cm
  • Rodrigue Janvier Assako Mbita
    courriel : assakorodriguejanvier [at] gmail [dot] com
  • Jean-Claude Edjo'o Ndongo
    courriel : jcedjoondongo [at] yahoo [dot] com

Information source

  • Sylvain Charles Amougou Mveng
    courriel : amougoumveng [at] gmail [dot] com

License

CC0-1.0 This announcement is licensed under the terms of Creative Commons CC0 1.0 Universal.

To cite this announcement

« The electoral process in Cameroon as a political dynamic: Actors and Factors », Call for papers, Calenda, Published on Thursday, July 04, 2024, https://doi.org/10.58079/11xmi

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