HomePratiques artistiques et approches sensibles (PAAS) en didactique des langues-cultures : contextes & appropriations

Pratiques artistiques et approches sensibles (PAAS) en didactique des langues-cultures : contextes & appropriations

Colloque de l'association des chercheurs et enseignants didacticiens des langues étrangères (Acedle) 2025

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Published on Wednesday, July 17, 2024

Abstract

Les dernières décennies ont vu se développer, dans le domaine de la didactique des langues et des cultures, un foisonnement de démarches que nous regroupons sous l’expression « approches sensibles ». Par« approches sensibles » en didactique des langues-cultures (DLC), nous entendons les dispositifs et démarches qui mobilisent la sensibilité des apprenant·es en lien avec leur plurilinguisme et avec des pratiques artistiques ou d’expression créative qui permettent de le révéler. L’enjeu à notre sens porte moins sur les formes artistiques convoquées dans les démarches didactiques que sur leur articulation avec l’appropriation linguistique, langagière et culturelle qui pourrait résulter des mises en résonance entre l’expérience sensible et l’expérience plurilingue et pluriculturelle des sujets. C’est en tout cas un des partis-pris de ce colloque de choisir de s’intéresser aux expériences des personnes autant qu’aux formes et aux dispositifs qui sont censés les susciter. Ces démarches sont-elles une « nouvelle frontière » prometteuse, un éventuel « supplément d’âme, de dynamisme et de mise en relation » pour les dispositifs didactiques ?

Announcement

Présentation

Le colloque PAAS est organisé dans le cadre des manifestations scientifiques de l’Association des chercheurs et enseignants didacticiens des langues étrangères (Acedle). Les membres de l’association organisent des colloques et des journées d’études thématiques appelées NEQ (Notions en Questions, format inauguré par le CREDIF), ainsi que d’autres événements. Pour ne citer que les plus récents, la journée NEQ 2023 s’est tenue à Aix-en Provence, le Colloque « Didactique, plurilinguisme (s), mondialisation (s) » a eu lieu à Aveiro (Portugal) en 2022, la journée NEQ 2021 « Autonomie/autonomisation » à Nancy, le colloque DILAPLU 2019 s’est tenu à Grenoble. Le colloque PAAS s’inscrit dans la suite des évènements précédents pour explorer des approches, susciter des échanges et poursuivre des réflexions théoriques collectives..

Le colloque Acedle 2025 intitulé « PAAS : Pratiques artistiques et approches sensibles en didactique des langues-cultures - Contextes & appropriations » se tiendra à l'Université Toulouse Jean Jaurès, les 14, 15 et 16 mai 2025

Argumentaire

Les dernières décennies ont vu se développer, dans le domaine de la didactique des langues et des cultures, un foisonnement de démarches que nous regroupons sous l’expression « approches sensibles ». Par approches sensibles en Didactique des Langues-Cultures (DLC), nous entendons « les dispositifs et démarches qui mobilisent la sensibilité des apprenant·es en lien avec leur plurilinguisme et avec des pratiques artistiques ou d’expression créative qui permettent de le révéler. Ces approches mixent l’expérience esthétique et l’imaginaire, en collaboration ou non avec des artistes ou des acteurs externes au champ de l’éducation proprement dit. Elles sont sensibles au plurilinguisme des sujets et au multilinguisme sociétal et portent le projet, dans le champ éducatif, d’une société du multiple et du pluriel où chacun·e puisse trouver sa place » (Dompmartin-Normand, 2023 : 32).

Plusieurs événements scientifiques récents en France et ailleurs témoignent du développement des approches sensibles qui pensent l’enseignement des langues en lien avec des préoccupations sociétales et des pratiques artistiques. Pour exemples : Forum FLE 2021, Enseigner le FLE à travers les arts (Grenoble), le premier symposium du Réseau Plurilinguisme, arts, didactique et sociétés (PArDIS!), en juin 2022 à Marseille, la journée d’études Plurilinguismes, transculturalités et créativités : Dialogues autour de pratiques éducatives (qui s’est tenue en juin 2022 à Paris 8), ainsi que le numéro 2/2023 des Langues Modernes, qui titre « Enseigner par les arts de la scène » (Abdelkader, 2023). Le colloque LEEL « Lire et Écrire entre les langues » a eu lieu en juin 2023 à Aix en Provence. Le dernier congrès de l’ARIC s’est tenu à Laval en juin 2023 également et a fait une place aux propositions artistiques en particulier sous l’axe « Luttes artistiques et arts vivants contre le racisme anti-migrants ». Le colloque à venir en avril 2024 à Liège intitulé « [Retour] du Sujet et du Sens en Didactique des langues étrangères » et le colloque « Espaces sensibles : approches performatives pour une éducation inclusive de l’école à l’université », qui se tiendra du 5 au 7 juin 2024 à Aix-en-Provence témoignent également de la vitalité de la réflexion ainsi que d’autres initiatives.

Des projets de recherche et/ou d’intervention sont décrits et analysés en recherche sur différents terrains, dans les murs et hors les murs de la classe, dans des contextes variés pour des publics variés, en France y compris dans les régions ultramarines, et dans d’autres régions du monde. Des projets se focalisent sur le théâtre (Irubetagoyena, 2016 ; Nowak (drameducation) ; Abdelkader et Bazile 2013 ; Rollinat-Levasseur 2015) et différentes formes de travail de textes poétiques (Cosnier-Laffage, 2019 ; Fabulet et Vorger, 2021 ; Fontana (http://fofana.free.fr/wp/) ; Martin, 2002 ; Mouginot, 2018, 2020 ; Vorger, 2021, 2023). D’autres s’appuient sur l’écriture créative autobiographique ou expérientielle (Dompmartin, 2019, 2023 ; Mathis, 2016). La photographie et les arts visuels (dessins réflexifs, collages) sont mobilisés (Alvir, 2015 ; Fillol, Geneix-Rabaul & Dinvaut, 2018 ; Fillol, Razafimandimbimanana & Geneix-Rabault, 2019 ; Farmer et Prasad 2014 ; Razafimandimbimanana, 2022). La littérature dont la littérature pour la jeunesse et la création d’albums plurilingues sont en jeu (Bourhis et Deschoux, 2021 ; Gosselin-Lavoie, Maynard & Armand, 2021 ; Bouhris et Laroque 2021 ; Gobbé-Mévellec, 2019, 2021).

L’enjeu à notre sens porte moins sur les formes artistiques convoquées dans les démarches didactiques que sur leur articulation avec l’appropriation linguistique, langagière et culturelle qui pourrait résulter des mises en résonance entre l’expérience sensible et l’expérience plurilingue et pluriculturelle des sujets. C’est en tout cas un des partis-pris de ce colloque de choisir de s’intéresser aux expériences des personnes autant qu’aux formes et aux dispositifs qui sont censés les susciter.

Ces démarches sont-elles une « nouvelle frontière » prometteuse, un éventuel « supplément d’âme, de dynamisme et de mise en relation » pour les dispositifs didactiques comme nous le mentionnions en 2018 (Dompmartin et Thamin, 2018) ? Plus qu’un supplément d’âme, nous pensons qu’elles peuvent représenter un espace potentiel de transformationvoire un « espace de potentialisation » (Aden, 2012) en ce qu’elles proposent des passages par la réception sensible d’objets ou d’expériences artistiques, couplée à une logique du faire œuvre (Valery, 1957) en interaction et en relation, quand les processus comptent plus que les productions. Des chemins sont ainsi empruntés, non seulement pour enseigner/apprendre la/les langue(s), mais aussi pour inviter à revisiter le rapport des sujets aux objet langagiers à apprendre ou à enseigner. Il s’agit de s’approprier, en même temps que des habiletés linguistiques, des lieux et des manières d’être au monde plus libres et résonantes (Rosa, 2018), ou encore de faire l’expérience de l’altérité, y compris d’une altérité qui résiste, en raison de l’opacité de la langue, du malentendu, de la difficulté à dire, à se faire comprendre, à être compris.

En tout état de cause, il s’agit à travers ces démarches didactiques ouvertes d’opérer un déplacement de focale, en «envisage[ant] le langage et les langues prioritairement comme poïesis, c’est-à-dire comme expérience nécessairement créative du monde », ce qui « bouleverse les priorités de la didactique, en orientant ses questionnements vers la réception et la compréhension […] plutôt que vers la production ; vers la relation qui peut s’y nouer plutôt que vers l’efficacité des dispositifs à mettre en place ; vers une appréhension culturelle et historiale de l’humain […] » (Huver et Lorilleux, 2018).

La notion d’appropriation (Castellotti, 2017) est ici pivot en ce qu’elle subsume les notions d’acquisition et d’apprentissage, en ce qu’elle donne à l’apprenant une position incarnée de personne qui vit et expérience en langue(s). Elle invite à contextualiser les apprentissages en rendant incontournables les aspects sociolinguistiques des situations et les rapports aux langues afférents. La notion d’empouvoirement émerge, ainsi que, entre autres, celles d’inclusion, d’émancipation, d’agentivité, d’instabilisation, de transformation, d’altération, mettant sur le devant de la scène les enjeux psychologiques, sociologiques, sociolinguistiques, philosophiques, politiques, esthétiques de l’appropriation de la/des langues pour les sujets. Dans un monde complexe, marqué par les mobilités et les reconfigurations identitaires multiples, par des confrontations à l’altérité parfois rugueuses, chacun peut réfléchir sa place, cette dernière notion étant intrinsèquement liée à la capacité de relation et de réflexivité. Toutes ces notions s’emboîtent-elles ? En quoi sont-elles mobilisables ensemble pour affiner les contours d’un paradigme de la DDLC revisité ? Comment s’articulent-elles aux contextes d’enseignement, d’apprentissage et de recherche ? Qu’apportent les arts et ces approches par le sensible pour l’appropriation linguistico-langagière ? Comment la notion d’empouvoirement, celle d’émancipation et celle d’autonomisation se répondent-elles ? Quels sont les enjeux mis en avant ou déplacés par ces approches ? Avec quelles tendances sontelles mises en tension dans chaque contexte ? Tensions et complémentarités sont à interroger, avec par exemple les approches communicationnelles ou actionnelles, ou plus globalement les approches par projets, ou les approches basées sur des médiations et supports technologiques, ou d’autres approches mobilisant des cadres théoriques divers (neurosciences, approches empiriques et qualitatives…). Ce colloque sera l’occasion de prendre du recul et de faire le point sur les arrière-plans théoriques et les circulations épistémologiques concernés, avec un questionnement multiple. En quoi ces démarches renouvellent-elles ou interrogent-elles (ou non) nos manières de concevoir l’enseignement et la recherche en didactique des langues ? Convergent-elles ou se différencient-elles en fonction des contextes et de leur grande diversité ? En contexte ultramarin par exemple, en contexte de revitalisation linguistique ou de dissymétrie sociopolitique des langues en présence (diglossie/glottophagie), comment s’élabore une ethnodidactique appuyée sur ce type de démarches? Comment permettent-elles l’expression de rapports aux langues, dans les situations de diversité linguistique intense, avec le poids de l’histoire et de la domination de certains récits sur d’autres, notamment en situation post-coloniale ?

En formation des enseignants, peut-on espérer que les approches sensibles, notamment par les arts, permettraient de mieux éclairer les contenus de sociolinguistique et de didactique dans une perspective réflexive et critique, indispensable aux enseignants de langues aujourd’hui ? En formation linguistique avec des personnes en mobilité contrainte (exilés, réfugiés, migrants), quelle valeur ajoutée ces approches peuvent-elles représenter ? Quels problèmes peuvent-elles poser ? Si transformation il y a, comment se donne-t-elle à voir ? Comment est-elle donnée à comprendre et est-elle comprise ?

Comment par ailleurs la collaboration et la relation entre les différents acteurs impliqués dans les démarches (artistes, enseignants, apprenants) se construit-elle, notamment autour des enjeux d’apprentissage ?

Il sera attendu des contributions sur des expériences se reconnaissant dans les approches sensibles sur des terrains variés : classes d’accueil pour élèves allophones nouvellement arrivés, classes ordinaires du primaire ou du secondaire accueillant ces élèves et les autres, étudiants internationaux dont étudiants exilés, classes bilingues, immersives ou pas, autres contextes de la maternelle à l’université, formation linguistique pour adultes migrants… En cas de pré- sentation d’une recherche de terrain, il est attendu que la situation et les visées des dispositifs soient explicités, ainsi que la démarche de recherche adoptée et une interprétation de leur mise en œuvre.

Des propositions non empiriques (i.e. notionnelles ou épistémologiques, par exemple) sont également encouragées. Plusieurs axes sont retenus :

1. au plan des interventions auprès d’apprenants de langue(s) dans l’espace scolaire et extrascolaire ;

2. au plan de la formation des enseignants ;

3. au plan épistémologique avec un questionnement ouvert sur des notions clés comme “expérience”, “réflexivité”, “langue”, “culture”, “plurilinguisme” et les théorisations qui sous-tendent les recherches effectuées, doublé d’une réflexion sur les méthodologies de recherches, dont la recherche-action-création.

4. Varia : les colloques Acedle sont conçus comme des lieux de débat et de rencontre, où toutes les sensibilités peuvent trouver un lieu d’expression et de confrontation, où les chercheurs peuvent échanger sur leurs travaux en cours à la lumière des avancées dans des secteurs proches. Aucune thématique n’est a priori écartée.

Conditions de soumission

Formats proposés

  1. Symposium : 1h30 (échanges inclus, minimum trois intervenants)

Pour les démarches scientifiques, ce format pourra être privilégié par des équipes impliquées dans un projet commun et souhaitant en exposer le contexte, la problématique, la mise en œuvre et les analyses. Dans ce cas, un seul résumé de 800 mots maximum sera attendu avec une bibliographie commune de 10 titres maximum (non incluse dans le comptage). La proposition mentionnera le titre, jusqu’à 5 mots-clés, l’axe thématique dans lequel s’inscrit le symposium. Puis les noms des intervenants, leurs affiliations respectives (université et/ou lieu d’exercice, laboratoire si chercheur·es), leurs courriels. Leurs interventions à voix croisées seront maintenues dans une durée de 60 minutes afin de laisser place aux échanges.

Des symposiums plus classiques, avec 3 interventions de 20 minutes successives, pourront être proposés, avec un fil directeur exposé clairement en introduction. La proposition mentionnera un titre générique et un résumé de fil directeur (100 mots environ) montrant la cohérence de l’ensemble, jusqu’à 5 mots-clés, l’axe thématique dans lequel s’inscrit le symposium. Puis les noms des intervenants, leurs affiliations respectives, leurs courriels, les titres des trois interventions et leur résumé de 300 mots chacun (avec une bibliographie de 10 entrées non incluse dans le comptage). Les interventions seront maintenues dans une durée de 60 minutes afin de laisser place aux échanges.

  1. Atelier : 1h30 (échanges inclus)

Place aux recherches-actions-créations ou projets divers (artistes, chercheurs, praticiens…).

Les ateliers seront de nature interactive avec les participants au colloque. Les informations suivantes feront partie de la proposition : le titre, les noms des intervenants, leurs affiliations respectives (université et/ou lieu d’exercice, laboratoire si chercheur·es), leurs courriels. Puis un résumé des objectifs de l’atelier, de la méthodologie, des contenus. Le résumé doit comporter un maximum de 800 mots (avec bibliographie jusqu’à 10 références, non incluse dans le comptage) et jusqu’à 5 mots-clés.

  1. Communications : 20 mn (+ 10 mn réservées aux échanges)

La proposition comprendra le titre de la communication, l’axe thématique dans lequel elle s’inscrit, le nom du/des intervenants, leurs affiliations respectives (université et/ou lieu d’exercice, laboratoire si chercheurs), leurs courriels. Puis un résumé de 500 mots maximum avec bibliographie de 10 références maximum (non incluse dans le comptage) et jusqu’à 5 mots-clés.

  1. De plus, nous souhaitons accueillir des performances artistiques ou conférences performées en lien avec la/ les langues. Les projets qui pourraient se reconnaître dans cette catégorie sont invités à contacter les organisatrices. Nous explorons les possibilités de financement pour les artistes qui y seraient impliqués. Une exposition serait notamment bienvenue.

Modalités de dépot

Les propositions seront soumises en format PDF via le Site Sciencesconf du colloque en deux versions, une complète et une anonymisée.

Les fichiers seront nommés ainsi : NOM_symp/atelier/comm_PAAS25

Langues de communication: français, anglais, espagnol, portugais…

Les interventions pourront être plurilingues, moyennant des modes de communication travaillés facilitant l’intercompréhension.

Calendrier

  • Février 2024 : Appel à contributions
  • 10 septembre 2024 : Date limite de réception des propositions de contribution

  • Entre 1er et 15 décembre 2024 : Réponses aux propositions
  • 1er février 2025 : Ouverture des inscriptions (première période)
  • À partir du 1er avril 2025 : Inscriptions (deuxième période)
  • Avril 2025 : Publication du programme
  • 14-15-16 mai 2025 : Colloque à l’Université Toulouse Jean Jaurès

Frais d'inscription

Adhérent Acedle (faire sa démarche d'adhésion sur le site acedle.org avant le colloque)

  • Enseignants, chercheurs, formateurs, etc.
    • €95 (1er février - 30 mars 2025)
    • €110 (1er avril 2025 – 2 mai 2025)
  • Étudiants, doctorants, post-doctorants
    • €35 (1er février - 30 mars 2025)
    • €50 (1er avril 2025 – 2 mai 2025)

Non-adhérent Acedle (pour l’année 2024

  • Enseignants, chercheurs, formateurs, etc.
    • €110 (1er février - 30 mars 2025)
    • €140 (1er avril 2025 – 2 mai 2025)
  • Étudiants, doctorants, post-doctorants
    • €65 (1er avril 2025 – 2 mai 2025)
    • €80 (1er février - 30 mars 2025)
  • Comité d’organisation : gratuité
  • Administration de l'Acedle : gratuité
  • Membres du Comité Scientifique (si adhérents de l'Acedle) : gratuité

Comité d'organisation

  • Christophe Beaufils (UT2J, CLLE)
  • Fanny Berlou (UT2J, CLLE)
  • Tracy Bloor (INSPE de Franche-Comté, CRIT)
  • Myriam Bras (UT2J, CLLE)
  • Anne-Sophie Calinon (UFC, CRIT)
  • Alexa Craïs (UT2J, CREG)
  • Léa Courtaud (Tours, Dynadiv)
  • Chantal Dompmartin (UT2J, CLLE)
  • Ann-Birte Krüger (INSPE de Franche-Comté, CRIT)
  • Charlotte Lamy de la Chapelle (UT2J, CLLE)
  • Emmanuelle Martin (UT2J, INSPE TOP)
  • Olivier Mouginot (UFC, CRIT)
  • Euriell Gobbé Mévellec (UT2J, LLA-Créatis)
  • Dimitra Tzatzou (UGA, LIDILEM)
  • Manuel Pérez (UT2J, INSPE TOP)
  • Nathalie Thamin (UFC, CRIT)

Comité scientifique 

  • Aden Joëlle (UPEC)
  • Alazard Charlotte (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Allouache Ferroudja (Université Paris 8)
  • Audras Isabelle (Université du Mans )
  • Auger Nathalie (Université Montpellier 3)
  • de Araújo e Sá Maria Helena (Université d’Aveiro)
  • Baroni Raphaël (Université de Lausanne)
  • Behra Severine (Université Lorraine)
  • Bemporad Chiara (HEP Lausanne, LPIC)
  • Berlou Fanny (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Blanc Nathalie (Université Lyon)
  • Blanchet Philippe (Université Rennes 2)
  • Blondeau Nicole (Université Paris 8)
  • Bloor Tracy (INSPE de Franche-Comté)
  • Bourhis Véronique (Université Cergy)
  • Boutevin Christine (Université Montpellier )
  • Bras Myriam (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Calinon Anne-Sophie (Université de Franche-Comté)
  • Castellotti Véronique (Université de Tours)
  • Courtaud Léa (Université de Tours)
  • Cros Isabelle (Université Aix-Marseille)
  • Deschoux Carole-Anne (HEP Vaud, Lausanne)
  • Duvin-Parmentier Bénédicte (Uni. Toulouse Jean Jaurès)
  • Eschenauer Sandrine (Université Aix-Marseille)
  • Faneca Rosa (Université d’Aveiro)
  • Fillol Véronique (Université Nouvelle Calédonie)
  • Galligani Stéphanie (Université Grenoble Alpes)
  • Garcia Debanc Claudine (Université Toulouse)
  • Godard Anne (Université Sorbonne Nouvelle)
  • Gosselin Lavoie Catherine (Université de Montréal)
  • Greaves Sarah (Université Aix-Marseille)
  • Huver Emmanuelle (Université de Tours)
  • Kervyn Bernadette (INSPÉ de Bordeaux, Laces)
  • Krüger Ann-Birte (INSPÉ de Franche-Comté)
  • Lafont-Terranova Jacqueline (Université Orléans)
  • Lamarre Patricia (Université de Montréal)
  • Larrivé Véronique (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Le Goff François (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Leclère Malory (Université Sorbonne Nouvelle)
  • Leconte Amélie (Université Aix-Marseille)
  • Lorilleux Joanna (Université Tours)
  • Lory Marie-Paule (Université de Toronto Mississauga)
  • Macaire Dominique (Université de Lorraine)
  • Maillard Nadja (Université d’Angers)
  • Mary Latisha (Université de Strasbourg INSPÉ)
  • Melo Pfeifer Silvia (Université de Hambourg)
  • Meunier Deborah (Université de Liège)
  • Miguel Addisu Véronique (INSPE Rouen)
  • Moïse Claudine (Université Grenoble Alpes)
  • Molinié Muriel (Université Sorbonne)
  • Moore Danièle (Université S.Fraser, Vancouver)
  • Mouginot Olivier (Université de Franche-Comté)
  • Muller Catherine (Université Grenoble Alpes)
  • Munier Saskia (Université Grenoble Alpes)
  • Nishiyama Noriyuki (Université de Kyoto)
  • Ouedraogo Wendingoudi Emile (UGA, LIDILEM)
  • Oyama Mayo (Université Métropolitaine Osaka)
  • Petitjean AMarie (Université Cergy)
  • Potapushkina Marie (UPEC)
  • Potolia Anthippi (Université Paris 8)
  • Putsche Julia (Université de Strasbourg)
  • Razafimandimbimanana Elatiana (Uni. Nouvelle Calédonie)
  • Sauvaire Marion (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Simon Diana-lee (Université Grenoble Alpes)
  • Stosic Dejan (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Suchet Myriam (Université Sorbonne Nouvelle)
  • Theophanous Olga (Université Toulouse Jean Jaurès)
  • Woerly Donatienne (Université Sorbonne Nouvelle)

Places

  • Université Toulouse Jean Jaurès - INSPE de Toulouse
    Toulouse, France (31)

Event attendance modalities

Full on-site event


Date(s)

  • Tuesday, September 10, 2024

Keywords

  • didactique des langues-cultures, langue de scolarisation, plurilinguisme, bilinguisme, approches plurielles, éveil aux langues, didactique intégrée des langues, approche interculturelle, intercompréhension, comparaison des langues, élèves allophones

Contact(s)

  • Alexa Crais
    courriel : alexa [dot] crais [at] univ-tlse2 [dot] fr

Information source

  • Alexa Crais
    courriel : alexa [dot] crais [at] univ-tlse2 [dot] fr

License

CC0-1.0 This announcement is licensed under the terms of Creative Commons CC0 1.0 Universal.

To cite this announcement

« Pratiques artistiques et approches sensibles (PAAS) en didactique des langues-cultures : contextes & appropriations », Call for papers, Calenda, Published on Wednesday, July 17, 2024, https://doi.org/10.58079/1211n

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