La revue en ligne et en libre accès Amplitude du droit lance un appel à contributions pour la publication de son numéro 5. Portée par l’Institut de l’Ouest : Droit et Europe (IODE, UMR CNRS 6262/Université de Rennes), cette revue se veut un espace de liberté, ouvert à la pluralité et à la fantaisie.

Argumentaire

Portée par l’Institut de l’Ouest : Droit et Europe (IODE, UMR CNRS 6262/Université de Rennes), la revue annuelle Amplitude du droit se veut un espace de liberté, ouvert à la pluralité et à la fantaisie (lire le projet éditorial). Cette revue en libre accès est intégrée à Pergola, pépinière de revues interrégionale Bretagne-Pays de la Loire (portée par la Maison des sciences de l’homme en Bretagne, MSHB), et elle est dotée d’un comité scientifique.

Toutes les branches du droit et toutes les thématiques sont les bienvenues ; aucune n’a vocation à être privilégiée. De même, l’interdisciplinarité (sociologie, science politique, philosophie…) et les sujets de droit international ou à dimension internationale ont toute leur place au sein d’Amplitude du droit. A noter que, faute de vivier d’évaluateur·rice·s, la revue ne publie pas de sujets concernant exclusivement les droits étrangers.

Amplitude du droit se veut un lieu ouvert également pour ce qui est du traitement scientifique des objets de recherche. Elle n’entend pas imposer un format unique ni des contraintes telles que la brièveté. Au contraire, la revue a vocation à publier des travaux de qualité, individuels comme collectifs, en leur permettant le pas de côté qui les libère de ces contraintes. Même si les consignes éditoriales – incontournables pour une cohérence d’ensemble – doivent être respectées, il s’agit bien in fine d’offrir aux auteur·rice·s de ne suivre que les contraintes qui les stimulent.

Contributions attendues

La revue Amplitude du droit se propose de publier en libre accès trois types de contributions :

• des dossiers thématiques, qui peuvent regrouper, sous la direction d’un coordinateur, de quatre à huit contributions,
• des articles varia,
• des synthèses de recherches collectives achevées (projets Mission Droit et Justice, ANR…).

Modalités de soumission

Toutes les contributions soumises doivent être des textes originaux non publiés ailleurs. Les auteur·rice·s s’engagent à ne pas soumettre leur contribution à une autre revue pendant le processus de soumission et d’évaluation par la revue Amplitude du droit. Les contributions doivent être adressées dans un format respectant les consignes aux auteur·rice·s et elles sont limitées à 80 000 signes (bibliographie, notes et espaces compris).

Les dossiers thématiques doivent être accompagnés d’une introduction substantielle. Le coordinateur du dossier thématique est invité à préciser lors de la soumission le contexte de ce dernier (actes de colloque, résultats d’un projet de recherche…).

Modalités d’évaluation

Amplitude du droit s’engage sur un processus d’évaluation visant à garantir tant la qualité que l’intégrité scientifiques. Après anonymisation, les contributions sont évaluées dans le cadre d’un processus en double aveugle par des spécialistes désignés par le comité de rédaction de la revue. Une réponse est apportée aux auteur·rice·s dans un délai de six mois après la réunion du comité de rédaction qui se tient dans les jours suivant la date limite de soumission.

Modalités d’envoi

Les contributions sont à envoyer  l’adresse suivante : amplitude-iode@univ-rennes.fr

entre le 15 octobre 2024 et 15 janvier 2025

Comité scientifique

• Véronique Champeil-Desplats, professeure de droit public à l’Université Paris Nanterre
• Pascale Deumier, professeure de droit privé à l’Université Jean Moulin Lyon III
• Rafael Encinas de Munagorri, professeur de droit privé à l’Université de Nantes
• Mauricio Garcia Villegas, juriste et sociologue, professeur à l’Université nationale de Colombie (Bogota)
• Laetitia Guerlain, professeure d’histoire du droit à l’Université de Bordeaux et membre junior de l’Institut universitaire de France (IUF)
• Christine Guillain, professeure de droit pénal à l’Université Saint-Louis - Bruxelles (Belgique) et responsable du Groupe de recherche en matière pénale et criminelle (GREPEC)
• Assata Kone-Silue, docteure en droit et enseignante-chercheuse à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan (Côte d’Ivoire), membre du Conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire
• David Le Breton, professeur de sociologie à l’Université de Strasbourg, membre de l’Institut universitaire de France (IUF) et de l’Institut des études avancées de Strasbourg (USIAS)
• Olivier Leclerc, directeur de recherche CNRS
• Anthony Mergey, professeur d’histoire du droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas
• Jean-Marc Sorel, professeur de droit public à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne
• Pierre-Yves Verkindt, professeur de droit émérite de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne