Published on Tuesday, May 20, 2025
Abstract
Nous sommes aujourd’hui confrontés à une situation géopolitique critique, marquée par des crises régionales persistantes, la recrudescence des conflits armés, la montée du terrorisme et la raréfaction des ressources naturelles. Ces tensions géopolitiques secouent quotidiennement le monde. L’objectif de ce congrès est non seulement de réfléchir et de débattre ensemble sur le potentiel et les limites d’une gestion responsable – de soi et de l’Autre (au sens large) –, mais aussi, et surtout, d’identifier ou d’inventer de nouveaux moyens d’actions concrètes pour co-construire une paix et un avenir durables.
Announcement
La gestion globale responsable au service de la paix et du développement durables Université Ibnou Zohr, Faculté des Sciences Juridiques, Économiques et Sociales, Agadir, Maroc / 9 et 10 avril 2026
Problématique
Nous sommes aujourd’hui confrontés à une situation géopolitique critique, marquée par des crises régionales persistantes, la recrudescence des conflits armés, la montée du terrorisme et la raréfaction des ressources naturelles. Ces tensions géopolitiques secouent quotidiennement le monde. Pendant que le Proche et le Moyen-Orient, les Grands Lacs, le Sahel et l’Europe de l’Est s’embrasent, les gouvernements de certains pays, tels que la Chine, les États-Unis et la Russie, s’arrogent le droit de redistribuer les cartes. La montée des terrorismes (jihadismes, nettoyages ethniques, génocides, dictatures, etc.) n’a d’égale que l’appétit des grandes puissances à vouloir dépasser les limites et redessiner les frontières des pays du monde. Les enjeux économiques, technologiques, écologiques, sanitaires et sociaux, devenus hyperboliques, ne cessent d’interroger les modèles politiques qui nous gouvernent au cœur de la mondialisation.
Incontestablement, la quête d’une paix et d’un développement durables est plus que jamais mise à l’épreuve. De nombreuses questions se posent : comment expliquer l’échec de la société moderne à atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) dix ans après leur formulation ? Comment parviendrons-nous à instaurer des sociétés pacifiques, inclusives, justes et respectueuses des droits humains proclamés par l’ONU en 2015 ? Comment mettre en place des institutions efficaces, responsables et qui œuvrent pour la réalisation des ODD ? Quelle est la responsabilité des citoyens, celle des leaders dans les domaines politique ou économique ? Quid des établissements d’enseignement ?
Ce congrès – qui se veut résolument international, interculturel et interdisciplinaire – est une initiative conjointe de la Chaire UNESCO pour l’Enseignement Supérieur, la Recherche et l’Innovation en Gestion Globale Responsable (Haute école spécialisée bernoise, Berne, Suisse ; Université Ibn Zohr, Agadir, Maroc ; Université Gaston Berger, Saint-Louis, Sénégal) et de la Chaire UNESCO pour la Culture de la Paix (Université Félix Houphouët-Boigny, Abidjan, Côte d’Ivoire) . Il est organisé en collaboration avec les Chaires UNESCO Formation de professionnel/-les du développement durable (Université Bordeaux Montaigne, Bordeaux, France) , Pratiques émergentes en technologies et communication pour le développement (Université Bordeaux Montaigne ) ainsi que Interculturalité, bonne gouvernance et développement durable (Université de Bucarest, Bucarest, Roumanie) .
Au cœur des réflexions qui nous conduisent à organiser cet événement, deux paradoxes majeurs s’imposent avec force. Le premier réside dans le recours à la violence armée – souvent sous couvert de rétablir ou préserver la paix – qui engendre en réalité destruction, fragmentation sociale et instabilité durable. Le second se manifeste dans notre quête effrénée de bien-être, poursuivie à travers une consommation et une production démesurées qui, paradoxalement, sapent les bases écologiques, sociales et psychologiques du bien-être lui-même – tout en alimentant, directement ou indirectement, de nombreux conflits. Face à ces contradictions, il devient urgent de repenser les fondements de notre coexistence. La paix et le développement durables ne peuvent advenir sans une prise de conscience profonde et un engagement responsable à tous les niveaux : à la fois individuels et collectifs.
Objectifs
L’objectif de ce congrès est non seulement de réfléchir et de débattre ensemble sur le potentiel et les limites d’une gestion responsable – de soi et de l’Autre (au sens large) –, mais aussi, et surtout, d’identifier ou d’inventer de nouveaux moyens d’actions concrètes pour co-construire une paix et un avenir durables. Par exemple, comment faire société sans que le « Nous » des communautarismes sectaires n’annihile les possibilités et les principes du vivre ensemble, du faire humanité ? Ou quelles compétences et innovations sociales cultiver et développer afin de faire face à la dégradation des relations internationales en des modes de gestion exclusifs, dictatoriaux et totalitaires au lieu d’une cohabitation pacifique et d’un développement durable inclusif qui prennent en compte la diversité caractéristique de toutes les espèces et de tous les espaces ?
L’enseignement supérieur et la recherche scientifique ont un rôle essentiel à jouer dans l’élaboration de modèles de gestion innovants et responsables pour une paix et un développement durables. Ils sont également essentiels pour créer des programmes de formation innovants qui mèneront aux transformations sociales nécessaires à l’instauration de systèmes de gouvernance inclusive, éthique et solidaire, favorisant une coexistence pacifique et un développement durable pour les générations futures.
En somme, ce congrès ambitionne de :
- analyser les mutations contemporaines des conflits et des crises globales sous l’angle de la gestion responsable ;
- identifier les bonnes pratiques en matière de gouvernance éthique, de gestion responsable et d’éducation à la paix ;
- proposer des pistes d’action pour renforcer la coopération internationale et l’inclusion sociale, afin de promouvoir plus d’équité, d’égalité et de justice ;
- explorer le rôle des universités et de la recherche dans l’élaboration de stratégies de paix et de développement durable ;
- promouvoir un dialogue constructif entre chercheurs, décideurs, acteurs de la société civile et du secteur privé.
Axes de communication
- Axe 1. Gouvernances responsables pour une paix et un développement durables
La paix et le développement durables ne peuvent être atteints sans une prise de conscience collective et des engagements responsables, tant au niveau individuel que sociétal. Ils nécessitent une gestion globale qui intègre l’équilibre entre soi et l’Autre, la reconnaissance des besoins fondamentaux des individus et des groupes, des rapports sociaux inclusifs ainsi que la préservation des écosystèmes dans lesquels ils évoluent. Aujourd’hui, face à la montée des gouvernances autoritaires, à la fragmentation des sociétés et à l’effritement du multilatéralisme, une question essentielle se pose : la gestion globale responsable (GGR) pourrait-elle être une réponse aux défis contemporains ?
L’objectif de cet axe est d’explorer tant sur le plan théorique que pratique les conditions, les compétences et les innovations sociales nécessaires à l’émergence de modes de gouvernance inclusifs, éthiques et durables. Comment éviter que les communautarismes sectaires ne détruisent le vivre-ensemble ? Comment promouvoir des structures de gouvernance qui garantissent la diversité, l’inclusion et la coopération pacifique plutôt que la domination et l’exclusion ?
- Axe 2. Éducation, culture de la paix et citoyenneté responsable
Dans un monde où la montée des nationalismes, des régimes autoritaires et des conflits fragilise la coopération internationale, l’éducation et la recherche jouent un rôle clé dans la construction d’une paix et d’un développement durables. Loin d’être de simples outils de transmission du savoir, elles sont des leviers de transformation sociale qui permettent de développer une citoyenneté responsable, fondée sur le respect des droits humains, la diversité et l’inclusion.
Cependant, la gouvernance mondiale traverse une crise profonde : les institutions internationales peinent à garantir la paix, tandis que les discours de haine et les violences discriminatoires se multiplient. Dans ce contexte, comment repenser l’éducation pour qu’elle favorise une gouvernance éthique, inclusive et solidaire ? Comment l’enseignement supérieur et la recherche peuvent-ils contribuer à l’élaboration de modèles de gestion responsables et à la formation de leaders engagés dans la préservation du vivre-ensemble et du développement durable ?
- Axe 3. Défis globaux, sécurité humaine et développement durable
Le développement durable est intrinsèquement lié à la paix mondiale. Comme l’a souligné le Rapport Brundtland dans « Notre avenir à tous » en 1987, il est impossible de promouvoir un développement durable sans paix, tout comme il est impossible d’assurer une paix durable sans justice sociale et sans protection de l’environnement. Cependant, la montée des conflits armés, les crises climatiques et la compétition pour les ressources naturelles mettent en péril la réalisation des 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’Agenda 2030 des Nations Unies.
L’ODD 16, qui vise à « promouvoir l’avènement de sociétés pacifiques et inclusives », est particulièrement menacé par l’érosion des institutions démocratiques, la montée des discours de haine et l’impunité des crimes de guerre.
Les changements climatiques représentent aujourd’hui un facteur aggravant des conflits à l’échelle mondiale. La raréfaction des ressources naturelles (eau, terres arables, énergies fossiles) exacerbe les tensions entre communautés et États, comme le montrent les conflits pour l’eau au Moyen-Orient ou en Afrique subsaharienne. Les catastrophes naturelles, les sécheresses et les déplacements massifs de populations créent des situations de crise humanitaire, propices à l’émergence de nouveaux conflits armés. Le changement climatique contribue ainsi à renforcer les inégalités socio-économiques et les rivalités entre États, menaçant directement la stabilité internationale.
- Axe 4. Géopolitique, conflits et nouvelles formes de guerre
Depuis la fin de la guerre froide, l’humanité espérait que les grands conflits armés appartiendraient au passé, consacrant ainsi une ère de paix et de prospérité globale. Pourtant, la prophétie du général Le Borgne, qui avait annoncé en 1990 que « la guerre est morte », ne s’est pas réalisée. Au contraire, 35 ans plus tard, nous assistons à une résurgence inquiétante des conflits armés, des tensions géopolitiques et des crises multiformes à l’échelle mondiale. En effet, C. P. David et O. Schmitt (2020) constatent un recul de la sécurité, de la stabilité et du multilatéralisme. S’il est vrai que les grandes puissances ne se livrent plus directement, depuis la fin de la guerre froide, aux guerres totales, il est aussi vrai qu’elles s’engagent, par procuration ou par substitut, dans différentes guerres et conflits partout dans le monde.
Loin de s’éteindre, la guerre a évolué et prend de nouvelles formes : conflits armés internationaux, guerres civiles, terrorisme, cyberattaques, militarisation des technologies et instrumentalisation de l’information. Ces transformations sont amplifiées par des enjeux économiques et écologiques qui exacerbent les tensions autour des ressources naturelles et des équilibres géopolitiques. Parallèlement, les discriminations et les discours de haine se répandent, alimentés par les nouvelles technologies et l’utilisation abusive des médias numériques. Cette situation révèle une mutation profonde des relations internationales et des menaces qui pèsent sur la paix et le développement durables. Elle pose également la question de l’implication des parties prenantes dans la prévention des conflits et la gestion des sorties de crise (par exemple, concernant la Résolution 1325 et d’autres stratégies de médiation inclusives).
- Axe 5. Intelligence artificielle et réseaux sociaux
L’essor des technologies numériques et de l’intelligence artificielle constitue une lame à double tranchant pour la paix mondiale. D’un côté, les réseaux sociaux et les plateformes numériques permettent de mobiliser l’opinion publique contre les injustices et les violations des droits humains, comme en témoignent les mouvements #BlackLivesMatter ou #FreePalestine ou #MeToo.. D’un autre côté, ces mêmes technologies sont utilisées à des fins de propagande, de désinformation et de surveillance massive, alimentant ainsi la polarisation sociale et les violences.
La cyberguerre, les drones militaires et l’intelligence artificielle participent à une nouvelle forme de guerre asymétrique, où les attaques ne se limitent plus aux champs de bataille, mais visent aussi les infrastructures critiques et les sociétés civiles. Cette évolution pose des défis éthiques majeurs en matière de respect du droit international humanitaire et de protection des populations civiles.
Les contributions issues de différentes disciplines des sciences humaines et sociales, des sciences politiques, économiques et environnementales, ainsi que les approches transversales et innovantes, au carrefour de la théorie et de la pratique, sont particulièrement encouragées pour tous les 5 axes.
Modalités de soumission
Format des résumés attendus :
Les propositions de communication doivent être soumises jusqu’au 15 juin 2025, sous forme d’un résumé en français ou anglais ou arabe. Dans ces propositions, il vous est demandé de :
- indiquer le titre de la proposition ;
- indiquer le nom, le prénom, l’institution de rattachement et le ou les courriels (e-mail) ;
- situer le résumé sous un axe thématique précis ;
- écrire un résumé de 3 500 signes maximum, espaces et bibliographie compris, avec 5 mots-clés et un titre ;
- présenter la problématique en rapport avec le titre annoncé, ainsi que l’ancrage théorique et conceptuel dans lequel vous vous situez ;
- présenter le corpus (dans le cas d’une étude empirique : terrain d’études ; corpus linguistique, littéraire, étude de cas, etc.) et la méthodologie adoptée (collecte et analyse) ou les principales idées directrices et leur articulation (dans le cas d’une contribution de fond) ;
- conclure sur les principales étapes de la contribution ;
- mettre, après le résumé, une liste de 5 mots-clés maximum ;
- clore par une courte bibliographie indicative ;
- les papiers doivent être rédigés en français ou en anglais et ne devront pas avoir fait – ou faire – l’objet d’un autre colloque ou d’une autre publication.
- Veuillez utiliser le modèle suggéré pour votre soumission.
Les membres du comité scientifique peuvent envoyer une proposition qui sera évaluée, elle aussi, en double aveugle.
Les propositions seront soumises à une double évaluation en aveugle. Veuillez adresser vos textes à Monsieur Abderrahim Oiskhine, à l’adresse suivante : abderrahim.oiskhine@uit.ac.ma,
avant le 15 juin 2025.
Frais de participation : DH 500.— (EUR 50.--).
Calendrier
- Lancement de l’appel à communications : 2 mai 2025
- Dernier délai de réception des résumés en français ou en anglais : 15 juin 2025
- Réponse du comité scientifique : 4 septembre 2025
- Envoi du texte / première version : 4 décembre 2025
- Retour aux auteurs : 4 février 2026
- Renvoi du texte révisé par les auteurs (si nécessaire) : 10 mars 2026
- Tenue du colloque : 9 et 10 avril 2026 (un résumé exhaustif sera demandé avant la tenue du colloque)
- Publication prévue : septembre 2026
Comité scientifique
- ABENTAK Malika (Maroc) STALDER Pia (Suisse) – MEITE Méké (Côte d’Ivoire)
- ABRIANE Ahmed (Maroc)
- BOUAZIZ Si Mohamed (Maroc)
- BOUCHAREB Redouane (Maroc)
- COULIBALY Nanga Désiré (Côte d’Ivoire)
- DAMOME Etienne (France)
- DASCĂLU Ileana (Roumanie)
- DJADEU Colette (Cameroun)
- DRIOUCH Aziz (Maroc)
- ELOUIDANI Abdelkbir (Maroc)
- HOFMANN Elisabeth (France)
- KOUKKOUS Abellatif (Maroc)
- KUNZ Nathan (Suisse)
- NOUHOU Bouba (France)
- OUAKRIM Mohamed (Maroc)
- PALIOT Elisabeth (Suisse)
- SAIR Aziz (Maroc)
- ȘERBAN Oana (Roumanie)
- SERRANO Omar (Suisse)
- SOUSSI Houssine (Maroc)
- SY Kalidou (Sénégal)
- TOURÉ Amidou (Côte d’Ivoire)
- YOKOLI Amani Charles (Côte d’Ivoire)
- ZARI Hicham (Maroc)
Comité de lecture
- ABENTAK Malika & STALDER Pia & MEITE Méké
- COULIBALY Nanga Désiré
- DJADAU Colette
- SY Kalidou
- TOURE Amidou
- YOKOLI Amani Charles
Comité d’organisation
- AABID Jamal
- ABENTAK Malika
- AIT NASSER Malika
- AGNAOUI Fatima ZAHRA
- ALHYANE Latifa
- ALAOUI Sakina Ouarda
- ATLASSI Mustapha
- BOUAZIZ SI Mohamed
- COULIBALY Nanga Désiré
- DATSI Mustapha
- DRIOUCH Aziz
- HAITI Fatima Zahra
- IDABBOU Hasna
- KOUKKOUS Abdellatif
- MAALEMI Tarik
- MADI Ahmed
- OISKHINE Abderrahim
- SAIR Aziz
- STALDER Pia
Bibliographie Indicative
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Subjects
- Economics (Main category)
- Society > Economics > Management
Places
- B.P 8658 Cité Dakhla Agadir, Agadir, Maroc
Agadir, Kingdom of Morocco (80000)
Date(s)
- Sunday, June 15, 2025
Attached files
Keywords
- gestion globale, gestion responsable, développement durable, paix
Contact(s)
- Hasna IDABBOU
courriel : hasna [dot] idabbou [at] edu [dot] uiz [dot] ac [dot] ma
Information source
- abderrahim oiskhine
courriel : abderrahim [dot] oiskhine [at] uit [dot] ac [dot] ma
License
This announcement is licensed under the terms of Creative Commons CC0 1.0 Universal.
To cite this announcement
« La gestion globale responsable au service de la paix et du développement durables », Call for papers, Calenda, Published on Tuesday, May 20, 2025, https://doi.org/10.58079/13ydn