InicioL’autopoïétique et les enjeux du discours artistique contemporain
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Publicado el viernes 04 de julio de 2025

Resumen

Le colloque vise à explorer l’autopoïétique comme une approche artistique et esthétique qui met en forme le soi en tant que matière plastique. Dans l’art contemporain, l’œuvre n’est plus une simple représentation du monde extérieur, mais devient le manifeste d’une expression intime et singulière, dont la valeur réside dans l’originalité de l’acte créatif. L’autopoïétique permet à l’artiste de construire une position subjective face au monde et est considérée comme une voie heuristique pour repenser la créativité contemporaine, explorant l’individualité comme un territoire fertile d’invention et de critique face aux pratiques artistiques actuelles.

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Argumentaire

Les pratiques artistiques, notamment dans leur expression contemporaine, ont connu des transformations profondes tant dans leurs modes de production que de réception. L’œuvre ne se présente plus comme une simple représentation visuelle du monde extérieur ni comme une reformulation esthétique d’une réalité objectivée. Elle tend désormais, dans nombre d’expression actuelles, à se constituer comme le manifeste d’une expression intime, témoignant d’un parcours singulier dont la valeur intellectuelle est déterminée par l’originalité et la singularité de l’acte créatif. C’est dans cette dynamique que s’inscrit l’auto- poïétique, envisagée comme une approche artistique et esthétique fondée sur une mise en forme de soi en tant que matière plastique. Elle engage l’artiste dans une interaction vivante avec une diversité de thématiques – le corps, la mémoire, le cosmos, le temps – autant de problématiques susceptibles d’être enrichies par la subjectivité assumée de l’artiste et par la pluralité des modalités expressives.

L’artiste contemporain, en ce sens, réélabore une relation particulière à son œuvre, par laquelle il construit une position subjective vis-à-vis du monde qui l’entoure. Si l’autopoïétique accompagne les reconfigurations du discours artistique et critique à l’ère postmoderne, elle soulève également des interrogations essentielles quant à la nature intellectuelle de l’œuvre et aux processus perceptifs qui y sont liés. Partant de ces constats, cette recherche se propose d’aborder l’autopoïétique comme une voie heuristique permettant de repenser les transformations contemporaines du concept de créativité. Elle vise à explorer les dimensions expressives de l’individualité en tant que territoire fertile d’invention, et comme socle d’une posture critique face aux pratiques artistiques actuelles.

Il ne fait aucun doute que la créativité artistique et intellectuelle s’inscrit aujourd’hui dans un mouvement de reconfiguration continue, à l’image des mutations rapides du monde contemporain. L’expression artistique, dès lors, ne peut-être pensée en dehors des dynamiques d’interaction de convergence et de transformation générées au sein même du tissu existentiel. Comprendre ces expériences, qui placent l’existence de l’être au cœur de la démarche créative, implique une reconnaissance lucide de la subjectivité de l’artiste, laquelle s’exprime dans sa capacité à interroger les fondements de l’acte de création et à opérer un glissement de la matérialité vers une quête de sens.

L’initiative de Paul Valéry constitue un repère décisif pour éclairer la pensée contemporaine autour de l’autopoïétique. Son appel à considérer la dimension mentale de la création artistique ouvre la voie à une conception renouvelée de l’œuvre, non plus comme simple résultat, mais comme processus réflexif permettant une relecture du soi et une croissance intérieure articulée aux logiques du changement mondial. Valéry défend, à cet égard, une philosophie résolument subjective du geste artistique, qui valorise l’implication personnelle de l’artiste au sein du processus de création. Il appelle à dépasser les démarches traditionnelles, souvent superficielles, pour s’orienter vers une tout autre expérience artistique. Ainsi, Valéry s’oriente vers le parcours de l’autopoïétique qui s’actualise à travers les intersections matérielles et sensorielles que l’artiste mobilise, et qu’il transforme en matière de pensée et de forme, afin de repenser à cette individualité en s’appuyant sur les thèses d’Aristote, qui explorent l’essence de la création, et qui procurent d’autres alternatives dans le processus poïétique, à la recherche de la beauté.

Dans le prolongement de la poétique aristotélicienne, et à la lumière des contributions majeures de penseurs tels que Paul Valéry et René Passeron, la compréhension de l’œuvre artistique a connu une évolution significative. Chaque expérience créative se trouve ainsi investie de ses propres causes intellectuelles, philosophiques et culturelles, faisant de la poïétique un processus central dans la dynamique de création. Cette dernière répond aux incitations artistiques et esthétiques tout en opérant un dépassement de l’ordinaire et des normes dominantes, dans une quête de renouvellement expressif.

Par conséquent, la création artistique s’inscrit dans un parcours en parfaite résonance avec la subjectivité poïétique, où l’esprit et la pensée s’unissent pour s’approprier l’œuvre dans les méandres d’un flux émotionnel et affectif complexe. Cette immersion dans l’univers sensible de la création s’exprime à travers des démarches expressives, engageant l’artiste dans une aventure intérieure, telle que la qualifiait Valéry en affirmant que « l’homme est une aventure ». De cette manière, la création subjective peut être envisagée comme une extension narrative des émotions sensorielles de l’artiste. Elle ne se donne plus pour finalité la représentation fidèle du réel ni sa reformulation, mais s’oriente vers l’expression d’idées, la mise en forme de significations dont l’originalité repose sur les structures cognitives propres à chaque processus de création. L’artiste ne cherche plus à traduire un monde extérieur, mais à construire un univers symbolique à partir de sa propre intériorité.

Dans ce contexte orienté vers une pluralité d’approches articulant présence esthétique et densité intellectuelle, le processus créatif s’affirme comme la synthèse dynamique de l’interaction entre subjectivité et objectivité. Il mobilise un ensemble complexe de savoirs, d’idées, de compétences sensorielles et de gestes artistiques que l’artiste met en œuvre pour façonner la matière et les matériaux, les élevant à la condition d’œuvre. Ainsi, interroger la spécificité de l’expérience artistique revient à situer un parcours singulier, enraciné dans la subjectivité de l’artiste, par lequel se déploient les dimensions de l’invisible, du caché et de l’intime. Ces contenus latents se concrétisent peu à peu, devenant perceptibles et interprétables, dans un espace mental en constante interaction avec les réalités contemporaines, s’accrochant à des structures créatives subjectives qui aspirent à éveiller la pensée et à extraire le nouveau.

Dans cette dynamique, l’expérience personnelle de l’artiste ne demeure pas confinée à l’introspection : elle s’ouvre à l’altérité, à travers ses multiples formes de représentations participatives. L’œuvre ainsi conçue suit la trace du récepteur, en s’inscrivant dans un processus dialogique où la création devient à la fois intime et partageable. L’objectif est dès lors de remonter les dynamiques constitutives du parcours artistique, depuis ses prémices – nourries par des fondements sensoriels et intellectuels – jusqu’à ses aboutissements, parfois situés au-delà du réel tangible. La réalité propre à l’artiste est en effet d’une nature expansible : elle évolue au fil de l’acte créatif en fonction des suggestions, oppositions ou hybridations suscitées par le regard du récepteur. Ce dernier devient, à son tour, partie prenante du processus, instaurant une tension féconde entre le manifeste et le latent, entre ce qui se donne à voir et ce qui demeure voilé.

Cependant, bien que l’autopoïétique constitue un levier essentiel dans l’élaboration d’un discours créatif affranchi des conventions et des limitations formelles, elle peut – dans certaines occurrences – s’enliser dans une subjectivité excessive. Cette dérive, bien que porteuse d’une richesse expressive, peut rendre l’œuvre hermétique, voire inaccessible à la compréhension ou à l’adhésion du public. À cet égard, il convient de rappeler les réflexions du philosophe Alain, qui interroge avec acuité les rapports entre l’artiste et l’artisan. Dans ses écrits, Alain opère une distinction fondatrice : là où l’artisan maîtrise un savoir-faire technique, l’artiste engage une vision intérieure, sensorielle et signifiante. L’acte artistique, selon lui, ne se limite pas à l’exécution habile d’un geste, mais relève d’une expression animée par une perception sensible du monde, destinée à rencontrer, en retour, la sensibilité réceptive du spectateur.

Une telle approche exige de l’artiste une posture résolument innovante, le poussant à dépasser les frontières traditionnelles des formes artistiques, lesquelles peuvent, dans leur élaboration technique, tendre vers les productions artisanales. Dans ce cadre, Alain qualifie l’art d’« expérience humaine », insistant sur la nécessité pour l’artiste d’atteindre un état de conscience de soi favorable à la persistance de l’acte créatif. Loin d’une reproduction mécanique, l’œuvre d’art devient ainsi le fruit d’une vigilance intérieure, d’un engagement continu de l’artiste avec son propre monde sensible. Dans cette perspective, l’autopoïétique offre au designer un terrain propice à l’invention de formes singulières, affranchies de tout modèle prédéfini, bien que demeurant soumises aux impératifs de la technique. Cette dialectique entre liberté créative et contraintes techniques invite à reconsidérer le rôle de la subjectivité dans les processus de conception. Loin d’être un obstacle, la subjectivité du designer devient une condition essentielle de l’émergence du sens dans l’œuvre, réactualisant les théories autopoïétiques appliquées au champ du design.

Par ailleurs, dans certaines pratiques, le recours à l’autopoïèse peut reposer sur le hasard et l’imprévu comme moteurs de singularité et catalyseurs de la construction formelle. Ces éléments aléatoires influencent profondément le processus créatif, en le modulant selon la vision propre de l’artiste et la richesse de son expérience intime. Détaché de toute vérité absolue, cet imprévu tire sa légitimité de sa capacité à traduire l’instant vécu, à incarner l’émotion ressentie, et à faire émerger une réalité inédite, engendrée par l’événement fortuit. Ce surgissement se double d’un ancrage dans le vécu de l’artiste, qui, à travers son prisme personnel, parvient à faire écho à des problématiques collectives, à des expériences partagées, nourrissant ainsi un dialogue élargi sur les fonctions de l’art dans l’expression des identités personnelles et leur résonance au sein d’un universel partagé.

De ce fait, l’autopoïétique, en mettant en relation pensée et pratique, théorie et application, inaugure une méthode inductive singulière qui participe à l’élaboration de la narration de l’œuvre, de sa temporalité, et de sa mémoire processuelle. Cette approche donne lieu à un réseau sémantique riche, dans lequel l’expérience artistique se déploie à travers ses dimensions géographiques, temporelles, émotionnelles et symboliques. Les émotions du soi, ses interactions, ses prémonitions et ses zones d’ombre imprègnent la création, rendant manifeste une spontanéité qui donne forme aux interrogations sur l’acte et ses répercussions.

Ces répercussions, à leur tour, suscitent de nouvelles questions, se situant entre ce qui est perçu et ce qui relève de la vision intérieure, dans un va-et-vient constant entre réalité et intériorité. Il en résulte une présence artistique qui s’épanouit selon les spécificités du contexte créatif, chargé de tensions et d’interrogations, et qui explore les réalités spirituelles et intellectuelles réveillées par l’artiste, arrachées à l’oubli et à l’abandon. Ces réalités sont ensuite réinvesties, enrichies de concepts inédits, et inscrites dans un discours à la fois contemporain, intellectuel et sensible. Ce passage de l’oubli à la réactivation s’accomplit dans un élan traversant la conscience de la singularité du geste artistique, la justesse du parcours de création et la qualité du lien établi avec l’autre. Ce lien repose sur un langage singulier, sur une méthode qui conjugue l’approche émotionnelle et artistique, affirmant ainsi la valeur de l’œuvre comme vecteur de communication profonde entre les mondes intimes du créateur et du récepteur.

Axes de recherche

  • L’écriture autobiographique et l’autobiographie comme modalité de création poïétique.
  • L’expérience subjective dans les méthodologies conceptuelles et interprétatives contemporaines.
  • La narration de l’approche artistique : fondements théoriques et critiques.
  • L’interactivité du soi et de l’altérité : articulations théoriques et pratiques.
  • Les enjeux théoriques et pratiques de l’autopoïétique à l’ère des mutations numériques.
  • La question de la singularité dans la genèse de l’œuvre.
  • L’imprévisible et les problématiques de la réception comme moteurs de création dans l’autopoïétique.
  • L’autopoïétique dans le design : une approche singulière de la création.
  • L’autopoïétique et l’interdisciplinarité dans l’art

Modalités de soumission

Cet appel à contribution est ouvert aux chercheurs (doctorants et docteurs), aux enseignants-chercheurs et aux professionnels dans les différents domaines des beaux-arts, de design, de l’art visuel et des humanités. Les propositions de participation à ce colloque devront s’inscrire dans les axes du colloque. Toutefois, chaque participant est invité à déposer un résumé de sa communication 300 mots (rédigé en arabe ou en français)

En plus de

  • Son nom et prénom,
  • Son titre académique ou catégorie (artiste, designer, critique d’art, chercheur, enseignant, professionnel, doctorant, docteur …)
  • Son affiliation/organisme de rattachement (si disponible).
  • Une brève biographie de 100 mots.
  • L’axe de l’intervention.
  • Un titre et cinq mots clés.
  • Une courte bibliographie.

Respecter les normes suivantes : Police 12, Times New Roman, interligne simple (1,5). Les résumés doivent nous parvenir sous la forme d’un fichier Word et PDF attaché à un courrier électronique et seront envoyés à l’adresse mail :

adresse mail colloque : colloque.autopoietique@gmail.com,

avant le 20 Juillet 2025

Soumission des contributions

Les propositions, inédites et jamais éditées ou présentées auparavant dans d’autres rencontres, devront parvenir aux organisateurs du colloque au plus tard le 28 Juillet 2025.Chaque proposition sera doublement évaluée de façon anonyme, à l’effet de vérifier son adéquation avec la thématique annoncée. Les auteurs des contributions retenues seront informés d’ici le 25 Aout 2025.

Modalités de présentation

La durée de chaque communication orale est de 20 minutes. Les interventions doivent être en français ou en arabe.

Inscriptions et frais

Cet appel à contribution est ouvert aux chercheurs (doctorants et docteurs), aux enseignants-chercheurs, aux artistes et aux professionnels dans les différents domaines des beaux-arts, de l’art visuel et des humanités. Les propositions de participation à ce colloque devront s’inscrire dans les axes du colloque.

Le colloque est ouvert à tous les artistes, chercheurs, enseignants, étudiants, et professionnels spécialistes d’arts visuels, de design, de critique d’art, de théorie de l’art et des humanités. Il est gratuit pour tous et aucuns frais de participation ne sont exigés.

*Les frais de transport et d’hébergement sont à la charge des participants.

Calendrier prévisionnel

  • Lancement de l’appel à contributions : Juin 2025
  • La date limite d’envoi des résumés : 30 Juillet 2025
  • Avis aux auteurs des propositions : 30 Aout 2025
  • Date limite de remise des articles : 30 Septembre 2025
  • Expertise en double aveugle : 15 Octobre 2025
  • Sortie de l’ouvrage : Le jour de colloque courant Novembre 2025

Comité scientifique

  • Mohamed Essghaier Gaied, Professeur. Université de Sousse - Institut Supérieur des Beaux-Arts de Sousse
  • Fetah Ben Ameur, Professeur. Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Hatem Abid, Professeur. Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Hafedh Djedidi, professeur émérite, Université de Sousse - Institut Supérieur des Beaux-Arts de Sousse
  • Faten chouba skhiri, Professeure, Université de Sousse - Institut Supérieur des Beaux-arts de Sousse
  • Olfa Youssef, Professeure, Université de Sousse - Institut Supérieur des Beaux-arts de Sousse
  • Kamel Kechaw, Professeur, Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Moufida Ghodhbane, Professeure, Université de Carthage- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Nabeul
  • Amine Hadj Taieb, Professeur, Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Myriam Gargouri, Maitre de conférences, Université de Sfax, Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Wahid Away, Maitre de conférences, Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Mohamed Elhadi Dahmen, Maitre de conférences, Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Wahid Lajmi, Maitre de conférences. Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Yosra Zaghden, Maitre de conférences, Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Salam Allah THABET, Maitre de conférences, Université de Sousse, Institut Supérieur des Beaux-arts de Sousse
  • Anis Ben Salem, Maitre de conférences, Université de Sfax, Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Mohamed Sami Bchir, Maitre de conférences, Université de Sousse - Institut Supérieur des Beaux-arts de Sousse
  • Khalil Gouia, Maitre de conférences, Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax.
  • Nizar Trichili, Maitre de conférences, Université de Sfax- Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax
  • Wissem Gallala, Maitre de conférences, Université de Sousse - Institut Supérieur des Beaux-arts de Sousse

Comité d’organisation

  • Abdelkarim Kraiem, Maître assistant - Université de Sousse
  • Amel Maaloul, Maître assistante - Université de Sfax
  • Samia Elechi, Maître assistante - Université de Sousse
  • Imen Kotti, Maître assistante - Université de Sfax
  • Sonia May, Maître assistante - Université de Sfax
  • Nour Kammoun, Maître assistante - Université de Sfax
  • Sabra Ben Fradj, Maître assistante - Université Kairouan
  • Safwene Aloulou, Maître assistant - Université de Sfax
  • Rafik ksontini, Maître assistant - Université de Sfax
  • Ridha El Ghali – Enseignant permanant - Université de Sfax
  • Manel Abdelkafi Enseignante permanante - Université de Sfax
  • Lobna Kharrat, Enseignante permanante - Université de Sfax
  • Imen Maaloul, Maître Assistante contractuelle - Université de Sfax
  • Inés Aoun, Maître Assistante contractuelle - Université de Sfax
  • Imen Ouadhén, Maître Assistante contractuelle - Université de Sfax
  • Narjess Rourou, Maître Assistante contractuelle - Université de Sfax

Coordination générale

  • Fatma Dammak, Maître assistante - Université de Sfax
  • Lassaad Ben Alaya, Maître assistant - Université de Sousse

Informations importantes

Pour toute question et information complémentaires (y compris la version en langue arabe de l’argumentaire), vous pouvez utiliser la même adresse e-mail que pour l’envoi des propositions.

NB : Les articles complets devront être mis en page selon la feuille de style qui accompagnera la réponse du comité scientifique.

NB : Les propositions non envoyées dans les délais ou non présentées conformément aux instructions fournies ne seront pas prises en compte.

Les propositions qui ne respecteront pas les échéances et les recommandations ne pourront malheureusement pas être prises en compte.

Lugares

  • Amphi 1 - Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sfax, 34 Avenue 5 Août 3002 Sfax, Tunisie
    Sfax, Túnez (3000)

Formato del evento

Evento en presencial


Fecha(s)

  • domingo 20 de julio de 2025

Palabras claves

  • autopoïétique, expérience personnelle, pratique artistique, écriture sur soi

Contactos

  • Rafik Ksontini
    courriel : rafik [dot] kossentini [at] isams [dot] usf [dot] tn

URLs de referencia

Fuente de la información

  • Rafik Ksontini
    courriel : rafik [dot] kossentini [at] isams [dot] usf [dot] tn

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Para citar este anuncio

Rafik Ksontini, « L’autopoïétique et les enjeux du discours artistique contemporain », Convocatoria de ponencias, Calenda, Publicado el viernes 04 de julio de 2025, https://doi.org/10.58079/14a39

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