AccueilGenre et militantisme

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Publié le mardi 16 décembre 2003

Résumé

The aim is to analyse activism from the perspective of social relations of gender. So far, gender has been little explored in previous litterature on collective action and social movements.

Annonce

Colloque international " Genre et militantisme "

Les 26 et 27 novembre 2004

Organisation : Colloque international organisé par le CRAPUL (Centre de recherches sur l’action politique de l’Université de Lausanne) et le LIEGE (Laboratoire interuniversitaire en Etudes Genre, Université de Lausanne).

Le colloque se tiendra à l’Université de Lausanne.Responsables scientifiques

Responsables scientifiques : Olivier Fillieule (IEPI-Institut d’études politiques et internationales /CRAPUL et Paris I, CPRS-CNRS) et Patricia Roux (ISCM-Institut de sociologie des communications de masse /LIEGE)

Comité scientifique : Christine Bard (Université d’Angers), Christine Delphy (CNRS, NQF), Jules Falquet (Jussieu Paris 7, CSPRD, CREDAL) Philippe Gottraux (IEPI-Université de Lausanne), Sébastien Guex (IHES, Université de Lausanne), Danièle Kergoat (GEDISST-CNRS/IRESCO), Lilian Mathieu (CNRS-LASP Nanterre), Eric Neveu (IEP de Rennes-CRAPE), Cécile Péchu (IEPI-Université de Lausanne), Johanna Siméant (Université de Lille), Bernard Voutat (IEPI-Université de Lausanne).

Les propositions de communication (1 à 2 pages, intégrant problématique, terrain, méthodologie…) doivent être adressées par fichier électronique en doc attaché RTF à Olivier Fillieule (olivier.fillieule@iepi.unil.ch) et Patricia Roux (patricia.roux@iscm.unil.ch)

Calendrier :

Clôture des dépôts de proposition de communication : 31 mars 2004.

Sélection des propositions par le comité scientifique : 31 mai 2004

Envoi des communications écrites : 30 septembre 2004 (en vue d’une publication des actes du colloque)

Langues de travail : français et anglais.

Nota : les communications de doctorant× e× s sont fortement encouragées et feront l’objet dune attention particulière en matière de soutien financier.

Appel à communiquer

Ce colloque est né de la rencontre entre deux groupes de chercheur× e× s soucieux d’engager une réflexion commune à partir de leurs orientations propres de travail et de recherche, le CRAPUL (Centre de recherches sur l’action politique de l’Université de Lausanne), dont les membres se regroupent autour de l’étude de l’action collective, du militantisme et des mouvements sociaux, et le LIEGE (Laboratoire interuniversitaire en Etudes Genre, UNIL), réseau dont les activités d’information et d’échange en Suisse sont centrées sur les questions de genre et d’égalité des sexes. L’ambition, bien entendu, n’est pas de simplement juxtaposer des approches distinctes à propos d’un objet (ici le militantisme), mais de croiser les points de vue. Plus précisément, il s’agit d’engager un dialogue : mettre le militantisme à l’épreuve d’une perspective de genre, mais aussi, par effet de miroir, la construction du genre à l’épreuve du militantisme. Le genre étant conçu dans cette optique comme une organisation sociale qui divise l’humanité en deux groupes de sexe, leur assigne des fonctions différentes et hiérarchisées, institue l’hétérosexualité en norme dominante et légitime la domination masculine.

Dès lors, cet appel s’adresse à des contributions susceptibles de s’inscrire au croisement de ces problématiques et d’en éclairer la pertinence, voire le potentiel innovateur.

D’une part, il s’agit d’analyser le militantisme sous l’angle des rapports sociaux de sexe. La dimension du genre dans l’étude de cet objet (plus largement de l’action collective et des mouvements sociaux) apparaît peu explorée dans la littérature. Elle est même très souvent ignorée, sinon occultée : les mouvements sont appréhendés comme s’ils étaient " neutres ", c’est-à-dire indifférents aux rapports sociaux de sexe qui pourtant les structurent en partie. Or, cette dimension constitue un aspect décisif des pratiques militantes, puisqu’elle affecte les insertions militantes et leurs différentes modalités, les modèles de fonctionnement et d’organisation des mouvements, ainsi que le contenu (discours, revendications, programmes) des actions collectives.

D’autre part, s’imbrique dans ce premier questionnement une analyse de la contribution des pratiques militantes à la (re)production des rapports sociaux de sexe. L’interrogation porte ici sur la façon dont la domination masculine manifeste, avec plus ou moins de rigueur selon les lieux, son caractère transversal dans le monde social. Il s’agit en particulier de saisir les logiques par lesquelles les hiérarchies et inégalités produites par le système de genre imprègnent les actions collectives. De voir comment, en dépit peut-être de certaines apparences, ces logiques se déploient aussi dans des mouvements sociaux protestataires liés à des secteurs dominés dans la société. Et comment ces mouvements, qui peuvent être porteurs d’une critique sociale ou de revendications égalitaires, intègrent (ou non) la question du genre tant dans leurs pratiques que dans leurs discours. Deux axes de travail

Les questionnements évoqués plus haut peuvent se traduire dans deux axes de travail, certes distingués ici, mais étroitement liés l’un à l’autre.

Un premier axe

Premièrement, dans la construction genrée et l’activation des systèmes de disposition, lesquels contribuent à déterminer les formes de la socialisation, les assignations d’attentes de rôle, ainsi qu’à façonner les perceptions de la réalité et le rapport au politique.

Deuxièmement dans la constitution genrée et le fonctionnement des réseaux relationnels, sachant que ceux-ci jouent dans l’engagement le rôle d’instance de socialisation et de conversion, par la mise à disposition de cadres d’interprétation du monde, mais aussi de producteurs d’opportunités de mobilisation. Existe-t-il à ce niveau des spécificités du point de vue : 1/ de l’inscription dans différentes sphères de vie (monde professionnel, espaces familiaux et de sociabilité, etc.) ; 2/ de la distinction entre sphère publique et sphère privée, du temps perçu comme disponible, ce qui revient à poser la question de possibles conflits de rôle et d’éventuelles renégociations identitaires ; 3/ des rapports de pouvoir et de la spécificités de la domination dans l’organisation et le fonctionnement de ces réseaux relationnels. 4/ de l’économie des liens affectifs, enfin, autrement dit de la manière dont les relations amicales, amoureuses ou de haine contribuent à rapprocher ou séparer les individus dans le groupe militant ou en dehors du groupe ?

Troisièmement, observe-t-on une spécificité des rétributions (matérielles ou symboliques) attachées aux rôles et statuts militants en fonction du genre, étant entendu que les rétributions comportent également une dimension subjective et qu’elles peuvent être à la fois espérées avant l’engagement et poursuivies ensuite, mais aussi découvertes dans le cours de l’action, produites en quelque sorte par l’expérience militante ? L’on pourra notamment s’interroger ici sur la valorisation différenciée de telles ou telles espèces de rétributions et sur les modalités de reconversion des ressources acquises dans le militantisme (notamment dans la sphère des activités professionnelles) . L’on sera là aussi particulièrement attentif à la spécificité des identités endossées dans le cadre de l’action militante, sachant que certaines luttes dominées peuvent viser justement à la construction d’une identité positive et d’une visibilité sur la base d’une définition genrée de l’identité (mouvements féministes, homosexuels et lesbiens, etc).

Quatrièmement, en quoi l’observation fine du fonctionnement des collectifs militants, notamment du point de vue des pratiques (partage des tâches, hiérarchisation des statuts, compétences reconnuesou valorisées etc.) nous permet-elle d’avancer dans l’analyse des attentes que les organisations font peser sur les individus ? L’on se penchera ici tout particulièrement sur les effets que les groupements eux-mêmes ont sur les individus engagés (sélection, exclusion, transformation identitaires, etc.), à partir d’une réflexion sur les mécanismes par lesquels les collectifs produisent et reproduisent implicitement ou explicitement les rapports sociaux de sexe.

Un second axe

L’analyse portera également sur d’autres structures et mobilisations politiques. Dans un contexte marqué par les luttes contre le sexisme et l’homophobie, l’on peut se demander dans quelle mesure elles tiennent compte de la problématique de genre dans leur fonctionnement d’une part, et, d’autre part, dans la construction de leur réflexion et de leurs causes. Ainsi, il s’agira en premier lieu de voir comment les groupes militants s’interrogent sur leur fonctionnement genré : inégale répartition de la parole, inégale considération des idées avancées, pouvoir de définition des enjeux jugés prioritaires, choix des formes d’action, etc. Dans quelle mesure ce fonctionnement est-il perçu comme problématique au sein des groupes militants, et s’il l’est, observe-t-on une remise en cause fondamentale de la structure inégalitaire des rapports sociaux qui se construisent à l’interne, ou au contraire des mécanismes d’évitement du conflit et de justification des inégalités qui conduisent le groupe à reproduire le système de genre ?

Enfin, dans quelle mesure la critique du patriarcat et de l’hétéronormativité fait-elle partie du processus de constitution des causes militantes ? Quelles sont les pressions externes et les rapports de force internes qui conduisent à développer des catégories d’analyse, des modes d’intervention et des revendications ouvrant la voie à une renégociation du genre, voire à sa mise en cause plus radicale ? Dans ce cadre d’analyse, il s’agira aussi de déterminer le niveau de priorité accordé à la critique du système de genre qui, quand elle n’est pas absente, semble demeurer le plus souvent un objectif secondaire ou annexe, laissé à la charge des féministes, voire des femmes. Ainsi, ce colloque s’interrogera à la fois sur la manière dont se construisent les questions de genre dans l’action militante (au sein des mouvements sociaux, des syndicats, des partis, des collectifs féministes, gays et lesbiens, des associations, etc.), sur l’appropriation et la transformation de ces questions, et sur les procédés d’exclusion qui les marginalisent.

International Conference " Gender and Activism "

26 and 27 November 2004

Organisation

The conference will take place at the University of Lausanne, Switzerland.

Scientific Co-ordinators

Scientific Committee

Please send conference abstracts

Deadlines :

Submission of abstracts : 31 March 2004

Selection of abstracts by the scientific committee : 31 May 2004

Submission of written conference papers : 30 September 2004 (for planned publication of conference proceedings)

Conference languages : French and English

Propositions from graduate students are particularly encouraged. Financial support will be provided.

Call for Papers

This conference is the collaborative outcome of two groups of researchers wishing to develop a joint analysis against the backdrop of their individual research orientations: CRAPUL (Research Centre on Political Action, University of Lausanne), which focuses on research on collective action, activism and social movements, and LIEGE (Cross-University Centre on Gender Studies, University of Lausanne), which is a Swiss information network on gender and gender equality issues. The aim is, of course, not simply to juxtapose different approaches to a research topic (activism) but to cross-fertilise perspectives. More precisely, the aim is to develop a dialogue: firstly, to examine political activism from a gender perspective; secondly, to examine the constitution of gender from the perspective of activism. Gender will be conceptualised as a social institution which divides humanity into the two sexes, attributes different and hierarchised functions to these, institutes heterosexuality as a dominant norm and legitimises male domination.

Against this backdrop, this Call for Papers will privilege propositions that focus on the combination of these research perspectives, and which highlight the relevancy and innovative potential of doing do.

The aim is to analyse activism from the perspective of social relations of gender. So far, gender has been little explored in previous litterature on collective action and social movements. It is often ignored, or hidden:

Relatedly, we also aim to analyse the role of activist practices in the (re-)production of social relations around gender. The focus is here on the ways in which male domination demonstrates its central importance in structuring the social world. In particular, attention will be given to the ways in which gender hierarchies and inequalities condition collective actions; to the ways in which they appear also within protest movements linked to subordinated areas of society; and finally to the ways in which these movements, which may incarnate social critique or egalitarian claims, incorporate gender issues within their practices as well as discourses.

Two Central ThemesThe research perspectives mentioned above will be organised around two main themes, that are independent but intertwined.

The first central theme

Firstly, the gendered construction and mobilisation of systems of disposition, which contribute to determine forms of socialisation, role expectations, and perceptions of reality and of politics.

Secondly, the gendered construction and modes of functioning of relationship networks, which act as instances of socialisation and conversion regarding activism, through the provision of frames of interpretation of the world, but also as producers of opportunities of mobilisation. At this level, can we observe any gender differences regarding: (1) various life-spheres (work, family, social life, etc.); (2) the distinction between public and private spheres; perceptions of time resources (raising issues of role conflicts and re-negotiations of identities); (3) relations of power and domination within the organisation and modes of functioning of these relational networks; (4) the economy of affection; in other words, the ways in which relations of friendship, love or hate contribute to divide or to bring together individuals within or outside of activist groups?

Thirdly, can we observe gender differences in (material or symbolic) rewards attached to activist roles and status, given that these rewards also include a subjective dimension and that they can both be expected before, pursued after, discovered during or produced by activist experiences? Issues can be raised concerning differentiated appreciation of certain types of rewards, and about the modes of conversion of resources acquired through activism (in particular in the work sphere). Particular attention will also be paid to the specificity of activist identities, given that anti-hegemonic struggles sometimes aim to produce positive identities and visibility based on a gendered definition of identity (feminist movements, homosexual and lesbian movements, etc.).

Fourthly, how does detailed observation of the modes of functioning of activist groups, especially of their practices (division of labour, status differences, recognition or evaluation of skills, etc.), contribute to the analysis of expectations from the organisations towards members? The particular focus will be here on the effects that the groups themselves have on activists (selection, exclusion, identity transformation, etc.), based on an examination of the mechanisms through which the groups implicitly or explicitly produce and reproduce gender relations.

The second central theme

Finally, to what extent are the critique of patriarchy and of heteronormativity part of the process of definition of activist causes? What are the external pressures and the internal relations of power which lead to develop categories of analysis, modes of intervention, and claims which open up the possibility of negotiations or of a more radical critique of gender relations? From this angle, the aim is to determine the level of priority given to the critique of the gender order. When not absent altogether, this seems most often to remain a secondary aim, left to feminists or women. The aim of this conference is thus to examine both the ways in which gender issues are constructed in the course of activism (within social movements, labour unions, parties, feminist, gay and lesbian groups, associations, etc.), the appropriation and transformation of these issues, and the mechanisms of exclusion through which they are marginalised.

focuses on the ways in which gender emerges as an issue in the context of activist thought and action. How do situations, behaviours, or social relations come to be identified as problematic from the point of view of gender? Feminist movements on the one hand, gays and lesbians on the other, formulate their activism by definition in these terms, putting gender forward in their problem-definitions. However, their respective definitions of the sex/gender system remain at times incomplete: the former at times hesitate to subscribe to gay demands, whereas the latter rarely put male domination at the centre of their concerns. In other words, the focus is here on the ways in which these movements identify and react to gender issues. In addition, attention will also be paid to other political structures and mobilisations. Within a context that is marked by struggles against sexism and homophobia, we can ask to what extent gender issues impact on their modes of functioning on the one hand, on the construction of their analyses on the other hand. From this angle, the aim will be to examine whether and how activist groups examine their own gendered modes of functioning: inequalities regarding verbal interventions, attention paid to ideas, the power of defining priorities, choice of forms of action, etc. To what extent are these problems perceived as problematic amongst activist groups? To what extent can we observe a fundamental questioning of gender inequalities regarding social relations within the group, and to what extent do we find on the contrary that conflicts are avoided and that the inequalities through which the group reproduces the system of gender are legitimised? concerns the specificity of activist trajectories across gender (membership issues, degree of activism and exit), in other words, regarding social relations around gender on the one hand, regarding heteronormativity on the other hand. The importance of gender will be explored in different areas:movements are treated as 'gender-neutral', in other words, as indifferent to the ways in which they are structured by gender relations. However, gender constitutes an important dimension of activist practices, since it affects activists' membership and membership modes, the ways in which movements are organised and function, as well as the content (discourses, claims, agendas) of collective action.(500 to 1000 words, outlining research questions, empirical data, methodology) as attached file in RTF-format to Olivier Fillieule (olivier.fillieule@iepi.unil.ch) and Patricia Roux (patricia.roux@iscm.unil.ch ): Christine Bard (Université d’Angers), Christine Delphy (CNRS, NQF), Jules Falquet (Jussieu Paris 7, CSPRD, CREDAL) Philippe Gottraux (IEPI-Université de Lausanne), Sébastien Guex (IHES, Université de Lausanne), Danièle Kergoat (GEDISST-CNRS/IRESCO), Lilian Mathieu (CNRS-LASP Nanterre), Eric Neveu (IEP de Rennes-CRAPE), Cécile Péchu (IEPI-Université de Lausanne), Johanna Siméant (Université de Lille), Bernard Voutat (IEPI-Université de Lausanne). : Olivier Fillieule (IEPI-Institut d’études politiques et internationales /CRAPUL and Paris I, CPRS-CNRS) and Patricia Roux (ISCM-Institut de sociologie des communications de masse /LIEGE): International conference organised by CRAPUL (Research Centre on Political Action, University of Lausanne) and LIEGE (Cross-University Centre on Gender Studies, University of Lausanne). vise à comprendre comment la question du genre émerge dans la réflexion et l’action militantes, c’est-à-dire par quels processus des situations, des comportements, des rapports sociaux sont identifiés comme problématiques du point de vue du genre. Les mouvements féministes d’un côté, gays et lesbiens de l’autre, construisent leurs causes, par définition, à partir de ce point de vue, et font un travail de mise en évidence du problème qui aboutit à la formulation de revendications intégrant le genre. Toutefois, leur critique respective du système de genre reste parfois partielle : les premiers ont par exemple quelque difficulté à s’associer aux revendications homosexuelles, tandis que les seconds ne font pas forcément de la domination masculine le cœur de leur analyse. Autrement dit, la façon dont ces mouvements identifient les problèmes de genre et y répondent est un domaine que ce second axe investiguera. entend aborder la question de la spécificité des trajectoires militantes (enrôlements, maintien des engagements et défection) en fonction du genre, autrement dit des rapports sociaux de sexe d’une part et de l’hétéronormativité de l’autre. L’on pourra s’interroger notamment sur le poids du genre dans plusieurs domaines :(1 à 2 pages, intégrant problématique, terrain, méthodologie…) doivent être adressées par fichier électronique en doc attaché RTF à Olivier Fillieule (olivier.fillieule@iepi.unil.ch) et Patricia Roux (patricia.roux@iscm.unil.ch ): Christine Bard (Université d’Angers), Christine Delphy (CNRS, NQF), Jules Falquet (Jussieu Paris 7, CSPRD, CREDAL) Philippe Gottraux (IEPI-Université de Lausanne), Sébastien Guex (IHES, Université de Lausanne), Danièle Kergoat (GEDISST-CNRS/IRESCO), Lilian Mathieu (CNRS-LASP Nanterre), Eric Neveu (IEP de Rennes-CRAPE), Cécile Péchu (IEPI-Université de Lausanne), Johanna Siméant (Université de Lille), Bernard Voutat (IEPI-Université de Lausanne). : Olivier Fillieule (IEPI-Institut d’études politiques et internationales /CRAPUL et Paris I, CPRS-CNRS) et Patricia Roux (ISCM-Institut de sociologie des communications de masse /LIEGE): Colloque international organisé par le CRAPUL (Centre de recherches sur l’action politique de l’Université de Lausanne) et le LIEGE (Laboratoire interuniversitaire en Etudes Genre, Université de Lausanne).

Catégories

Lieux

  • Lausanne, Confédération Suisse

Dates

  • mercredi 31 mars 2004

Mots-clés

  • militantisme, genre

Contacts

  • Oliver Fillieule
    courriel : olivier [dot] fillieule [at] iepi [dot] unil [dot] ch

Source de l'information

  • Olivier Fillieule
    courriel : olivier [dot] fillieule [at] unil [dot] ch

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Genre et militantisme », Appel à contribution, Calenda, Publié le mardi 16 décembre 2003, https://doi.org/10.58079/8tz

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