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Anthrozoological relationships: new approaches and doctoral-postdoctoral researchers

Les relations anthropozoologiques : nouvelles approches et jeunes chercheurs

A socio-anthropological overview of human-animal relationships

Panorama d’une socio-anthropologie des relations humain/animal. Troisième édition

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Published on Friday, June 17, 2011

Abstract

La troisième édition des journées d'étude « les relations anthropozoologiques : nouvelles approches et jeunes chercheurs. Panorama d’une socio-anthropologie des relations humain/animal » sont l’occasion d’une rencontre entre doctorants et jeunes chercheurs travaillant en sciences humaines et sociales autour de la thématique des relations homme / animal.

Announcement

Journées d’étude : Les relations anthropozoologiques : nouvelles approches et jeunes chercheurs. Panorama d’une socio-anthropologie des relations humain/animal. Troisième édition.

Organisation :

  • Chloé Mondémé (Ecole Normale Supérieure/Laboratoire ICAR – Lyon)
  • Emmanuel Gouabault (Université de Genève)
  • Jérôme Michalon (Centre Max Weber / Université Jean Monnet – St Etienne)

Dates et lieu : 30 juin et 1er Juillet 2011, École Nationale Supérieure (ENS) de Lyon. Les journées se tiendront dans l'AMPHI H du site Jacques MONOD, 46 allée d'Italie, entre la Place des Pavillons et la Halle Tony Garnier. (Plan d'accès : http://www.ens-lyon.eu/07197280/0/fiche___pagelibre/&RH=ENS-LYON-FR)

PRESENTATION DES JOURNEES

Le 18 juin 2009, se tenait à l’Université de St Etienne la journée d’étude «anthropozoologiques: nouvelles approches et jeunes chercheurs», créant ainsi l’occasion d’une rencontre entre doctorants et jeunes chercheurs travaillant en sciences humaines et sociales autour de la thématique des relations homme/animal.

A l’origine de cette journée, se trouvait la volonté de faire naitre un réseau de jeunes chercheurs intéressés par un objet a priori proche (les relations anthropolozoologiques), tout du moins sur un plan thématique, mais suffisamment complexe pour impliquer diverses approches disciplinaires et méthodologiques – et ainsi nourrir un dialogue fécond.

Outre cette volonté fondatrice, il s’agissait par là-même de contribuer à brosser un état des lieux de l’extrême diversité des terrains, des méthodes, et des outils conceptuels mobilisés pour rendre compte des types de relation qui unissent l’homme et l’animal – ou plutôt les hommes et les animaux avec lesquels ils vivent, travaillent, (inter)agissent. C'est donc dans une perspective résolument socio-anthropologique que cet objet se devait d'être abordé, en mettant l'accent sur la multiplicité des approches et des cadres théoriques, eux-mêmes témoignant de la complexité de ces relations, et de la nécessité de proposer des conceptions innovantes pour les saisir et en rendre compte.

L’Association loi 1901 I.P.R.A.Z. (Imaginaires et Pratiques Anthropo-Zoologiques) a donc vu le jour afin de pouvoir continuer à organiser des journées de ce type, à échéance régulière, pour pérenniser l’impulsion amorcée à l’occasion de cette première rencontre.

Le projet s’est poursuivi avec la tenue d’une nouvelle journée et demi de travail à l’université de Genève en Mai 2010, regroupant pour cette seconde édition un public plus étoffé. C’est donc tout naturellement qu’IPRAZ et le réseau de jeunes chercheurs qu’elle constitue, organise une troisième rencontre.

Pour cette édition lyonnaise, il s’agira à nouveau de présenter des travaux de jeunes chercheurs (ou apprentis chercheurs) prenant pour objet les relations humains/animaux dans des contextes contemporains et occidentaux. Il sera question de montrer en quoi cet objet émergeant impose des bricolages méthodologiques, des transgressions disciplinaires et invite à la créativité. Sans se livrer à un exercice de socio-analyse, les participants auront à cœur de présenter, à partir de travaux récents, comment l’idée d’investiguer cette thématique marginale leur est venue et comment ils ont construit leur propre approche en conjuguant avec les contraintes académiques et disciplinaires.

PROGRAMMME

Chaque présentation dure 20mn. Les auditeurs disposent après chaque présentation de 20mn pour discuter.

Jeudi 30/06/2011       (Accueil des participants : 10 h)

10h10-10h30 Introduction : Chloé Mondémé, Jérôme Michalon, Emmanuel Gouabault

10h30-11h10 Les gorilles de l’Est (Gorilla beringei), acteurs de l’histoire des jardins zoologiques (Congo belge, 1908-1960)
Violette Pouillard (discutante: Sarah Gamaire)

11h10-11h50 L'animal de compagnie du XXIe siècle: entre réalité et virtualité
Sébastien Goubault (discutante: Sarah Gamaire)

12h00-14hPause repas

14h-14h40 Le véganisme une nouvelle manière de penser la relation homme/animal
Marianne Celka (discutant: Antoine Doré)

14h40-15h20 Traitement thérapeutique de la peur chronique des chiens chez les enfants: ethnographie d’interactions particulières
Bénédicte de Villers (discutant: Antoine Doré)

15h20-15h40 Pause café

15h40-16h20 Les hommes face aux ravageurs des prairies: de la catégorisation d’une espèce à la catégorisation des relations
Shantala Morlans (Discutante : Catherine Rémy)

16h20-17h Collaboration fluctuante dans une ferme wallonne de sélection porcine en race Piétrain
Sébastien Stas (discutante: Catherine Rémy)

Vendredi 01/07/2011     (Accueil des participants : 9 h 30)

9h40-10h20 Langage et communication
Nadège Lechevrel (discutante: Marion Vicart)

10h20-10h40 Pause café

10h40-11h20 Maîtres et chiens dans l’espace public urbain : méthodes d’observation
Elodie Pari-Perrin (discutant: Marion Vicart)

11h20-12h30 Discussion finale avec Dominique Guillo

RESUMES DES COMMUNICATIONS

Les gorilles de l’Est (Gorilla beringei), acteurs de l'histoire des jardins zoologiques (Congo belge, 1908-1960)
Violette POUILLARD, Doctorante en histoire, Université Libre de Bruxelles
Cette proposition de communication s’insère dans le cadre d’une thèse portant sur l’histoire des jardins zoologiques d’Europe occidentale et sur le rapport de ces institutions à la faune sauvage du XIXe siècle à nos jours.
Il s’agira ici de mettre l’accent sur un des aspects de cette recherche, qui vise à inclure dans cette histoire liant les hommes et les bêtes, les animaux “en eux-mêmes”, alors que ceux-ci ont été abordés par de nombreux historiens des jardins zoologiques davantage comme éléments du décor ou comme objets inertes des politiques menées par les zoos qu’en tant que sujets cependant qu’ils subissent les actes des gestionnaires, y réagissent, y répondent et de ce fait agissent sur eux en retour.
L’exercice, centré sur le Gorille – et plus exactement sur une des deux espèces de gorilles, Gorilla beringei – visera à essayer de déterminer comment les anthropoïdes concernés ont vécu les politiques mises en place par les jardins zoologiques et à montrer comment leurs réactions ont marqué les pratiques des gestionnaires.
Cette communication, qui prendra pour exemple les captures de gorilles de l’Est au Congo belge (1908-1960), abordera dans une première partie la méthodologie utilisée et les sources mobilisées pour étudier l’histoire de ces anthropoïdes eux-mêmes et de leurs relations avec les hommes et mettra en évidence dans une seconde partie les premiers résultats de cette recherche en cours.

L'animal de compagnie du XXIe siècle: entre réalité et virtualité
Sébastien GOUBAULT, Doctorant en histoire, Université Jean Moulin—Lyon III
 Le 7 octobre 2005, une date décisive dans l'histoire des chiens. Un jeu vidéo rapidement devenu un phénomène massif réparti en plusieurs sociétés et cultures fait son apparition. Après l'engouement de sa terre natale et ensuite des États-Unis, les Nintendogs arrivèrent en France. Les craquants et mignons petits chiens Nintendogs étaient enfin disponibles à la vente et prêts à poser leurs pattes sur nos écrans. Impossible dès lors de résister à la frimousse et l'aboiement des chiens virtuels de la firme japonaise Nintendo: Nintendogs venait d'amener la virtualité aux chiens. Le 25 mars 2011 débarque en France  la nouvelle console de Nintendo en 3D et avec elle, vous l'avez compris, la toute nouvelle version de Nintendogs (avec cette fois-ci, la présence de chiens mais aussi de chats en 3 dimensions). Le 7 octobre 2005 a sacré la virtualité des chiens et depuis, celle de nombreux autres animaux tels chats, chevaux, lapins, hamsters, dauphins etc. Nintendogs fut un nouveau point de départ, une porte qui a ouvert de manière irréversible le chemin de la virtualité aux animaux de compagnie. Une porte ouverte qui nous permet d'entrevoir et d'analyser ce nouvel itinéraire. Pour ce, l'exposé se composera d'une présentation du sujet (thématique, méthode, positionnement), d'une mise en scène/expérimentation et des projets en cours. 

Le véganisme une nouvelle manière de penser la relation homme/animal
Marianne CELKA, Doctorante en sociologie, Université  Paul Valéry—Montpellier
En guise d’introduction je dois avouer cette sympathie persistante pour les animaux, enfin certains animaux, les grands singes notamment. Sauf que, très tôt j’ai développé une allergie asthmatiphorme  aux poils et plumes. Peut-être est-ce pour cela qu’en fin de compte je me suis tournée vers l’étude des hommes. Mais en master II lorsque l’objet/sujet s’impose à nous, chercheur, il y a eu un retour, subrepticement, de l’animal. En effet, l’intérêt que je porte à comprendre ce qui peut différencier l’homme de l’animal (et les thèses quelles qu’elles soient ne m’ont jamais vraiment convaincue), est devenu le point de départ de ce que seront mes recherches de doctorat. Ma problématique, alors, a été la suivante, comment peut-on comprendre sociologiquement parlant, la différence entre l’homme et l’animal, ici et maintenant, c’est-à-dire aujourd’hui en Occident? Cet exposé me permettra de faire un rapide retour en arrière et de me repencher sur, tout d’abord la constitution de l’objet par quelques transgressions disciplinaires (bien obligée de porter mon attention sur l’éthologie, l’ethnozoologie, l’histoire et la paléoanthropologie…), ensuite sur ce bricolage méthodologique nécessaire tant il est peu académique que d’étudier les relations de l’homme et de l’animal, enfin, sur les débuts de mon terrain qui ne s’est pas réalisé sans mal.

  1. Objet et transgression : les apports pluridisciplinaires
  2. Bricolage méthodologique et théorique : la forme sociale pure du propre de l’Homme
  3. Terrain : Libération animale, antispécisme et veganisme

J’aimerais pour conclure, aborder le point final de mes recherches, c’est-à-dire le mode de vie vegan et voir plus loin que le terrain, envisager la dimension millénariste  de ce phénomène et qui le conforte dans notre contemporanéité perplexe quant à son destin.

Traitement thérapeutique de la peur chronique des chiens chez les enfants: ethnographie d’interactions particulières
Bénédicte DE VILLERS, Docteure en philosophie − Doctorante en anthropologie, Université de Liège
Au cours de cette intervention, je propose d’examiner ce que la peur sévère et chronique des chiens vécue par certains enfants donne à voir d’original à propos de l’organisation des interactions entre enfants et chiens de compagnie. Certainement que la peur fournit des indications sur la façon dont enfants et chiens peuvent «-s’entendre».  Elle porte l’attention sur les manifestations d’un agencement sensoriel singulier; la peur permet aussi de comprendre, à rebours, ce qu’on attend habituellement de la part des chiens et des enfants dans la gestion de leurs relations. A partir de là, je voudrais explorer un matériel ethnographique récolté au cours de séances individuelles de traitement thérapeutique de la peur des chiens. La question à traiter est dès lors de savoir comment ce matériel renseigne sur des dimensions techniques et symboliques inhérentes aux interactions entre enfants et chiens familiers.

Les hommes face aux ravageurs des prairies: de la catégorisation d’une espèce à la catégorisation des relations
Shantala MORLANS, Doctorante en anthropologie − Ingénieure d’étude, VetagroSup - Clermont-Ferrand
Depuis quelques années, les invasifs des cultures interrogent de plus en plus d’anthropologues. Objets hybrides, symptômes de l’utopie agricole productiviste, ils offrent de nouveaux outils d’appréhension des modalités définissant le rapport nature/culture, grâce à leur capacité dévastatrice de l’ordre conçu par l’homme.
C’est la raison qui, depuis 2008, nous motive à analyser les représentations que divers gestionnaires des territoires agricoles (éleveurs, techniciens du conseil agricole, institutions liées au monde agricole, associations de chasse et d’écologistes ainsi qu’élus locaux) projettent sur un ravageur des prairies: le campagnol terrestre. Grâce à l’analyse des négociations concernant sa gestion, nous avons pu accéder aux référents mobilisés par chaque groupe d’acteurs pour construire sa catégorisation, ainsi qu’aux différents ordres de pensées convoqués pour penser l’autre: l’espèce invasive et les autres gestionnaires de l’espace.
Notre objet d’étude prend dès lors la forme d’un objet frontière, à travers lequel se définit un mode de gestion non seulement du territoire mais aussi des altérités qui le compose. Cependant, en parallèle, la difficulté de contact entre ces modes propulse l’anthropologue en charge de les analyser dans le rôle du médiateur, tâche qui entraîne nécessairement de nombreux questionnements épistémiques.

Collaboration fluctuante dans une ferme wallonne de sélection porcine en race Piétrain
Sébastien STAS, MASTER II en anthropologie, Université de Liège
La problématique est centrée autour d’une relation entre des cochons (de race Piétrain) et des sélectionneurs (type particulier d’éleveurs, métier ayant disparu en France). On a d’abord considéré ces cochons comme des objets (des produits) au service des autres, mais voyant rapidement qu’ils étaient aussi sujets, l’optique a changé. On a voulu montrer qu’il existait une collaboration entre les deux protagonistes. Mais résumer cette relation au quotidien sans considérer une vue d’ensemble du secteur porc (national mais aussi international) ne permettait pas de rendre exhaustive la réalité. Il a fallu donc opérer une sorte de dézoom, ajouter une dimension supplémentaire, afin d’appréhender tout la complexité de ce qui unissait (et désunissait) nos collaborateurs.
La ferme familiale constitua le terrain de réflexion qui a permis de concevoir la réponse au questionnement originel. Survint alors un premier écueil : avoir un pied dedans et aussi avoir le nez dans le guidon n’engendre-t-il pas un problème au niveau de la neutralité axiologique à cause du manque de décentrement ?
Une solution a été avancée par Jocelyne Porcher : rédiger ce qu’on a appelé un carnet de bord (noter impressions, faits, gestes du quotidien) mais aussi le recourt à un support audiovisuel (se filmer au travail). J’expliquerai comment un savoir réflexif s'est peu à peu construit autour du quotidien d'une telle ferme au cœur de la relation à l'animal. En tenant compte des contraintes du contexte extérieur à la ferme, on a rendu compte du fait que la collaboration évoluait.

Langage et communication
Nadège LECHEVREL, Docteure en sciences du langage, Institut Marcel Mauss– EHESS—Paris
Quelles méthodologies et théories linguistiques contribuent aujourd'hui à renouveler l'étude de communication et humaine? Depuis les travaux désormais très connus de von Frisch, Lorenz ou Köhler sur la communication animale, et l’intérêt qu’ils ont suscité chez de nombreux linguistes, où en sommes-nous et quel type de collaboration envisager entre éthologie, sciences cognitives sciences du langage?

Maîtres et chiens dans l’espace public urbain : méthodes d’observation
Elodie PARI-PERRIN, Doctorante en éthologie, Museum d’Histoire Naturelle—Paris, Mission « Urbaine » Grand Lyon
Depuis plusieurs milliers d’années, les chiens vivent dans l’environnement de l’homme et partagent son quotidien. Dans nos sociétés occidentales, ils ont accompagné les humains lors de leur déplacement vers les villes où ils ont actuellement pour la majorité un statut de compagnon. En ville, les espaces publics sont les lieux les plus visités par les maîtres et leurs chiens en dehors de leurs domaines privés. Cette recherche part donc du constat qu’il existe peu de connaissances concernant l’investissement de ces espaces par les maîtres et leurs chiens. Le but de cette présente étude est donc de caractériser les situations communes et quotidiennes que vivent les propriétaires de chiens et leurs compagnons à travers plusieurs questionnements: Qui sont les maîtres et leurs chiens? Quand investissent-ils l’espace public? Comment le font-ils? Qu’y font-ils? Afin de répondre à ces questions, deux méthodes d’observation (spécifique à l’éthologie) ont été développées en fonction du type de terrains (7 terrains d’observation: une rue, un parc, une place, un boulevard, une esplanade, une place avec espace vert et des berges), cela afin de s’adapter aux contraintes imposées par chacun des terrains. A partir de ces méthodologies issues de l’éthologie, il serait intéressant de se demander comment les méthodes ou les concepts utilisés en sciences humaines et sociales pourraient apporter à un tel sujet et de quelle manière?

Liste des participants (Intervenants et discutants)

  • Bénédicte DE VILLERS. Docteure en philosophie - Doctorante en anthropologie - Université de Liège
  • Marianne CELKA. Doctorante en sociologie - Université  Paul Valéry - Montpellier
  • Antoine DORE. Doctorant en sciences Politiques - Cemagref Grenoble – Institut d’Études Politiques – Paris
  • Sarah GAMAIRE. Master 2 ethnologie - Université Paris Ouest-Nanterre-La Défense - Paris
  • Emmanuel GOUABAULT. Docteur en sociologie - Département de sociologie - Université de Genève
  • Sébastien GOUBAULT. Doctorant en histoire - Université Jean Moulin - Lyon III
  • Dominique GUILLO. Directeur de recherche en sociologie - GEMASS - Paris
  • Nadège LECHEVREL. Docteure en sciences du langage - Institut Marcel Mauss– EHESS—Paris
  • Jérôme MICHALON. Doctorant en sociologie et anthropologie - Centre Max Weber - Université de Saint Etienne
  • Chloé MONDEME. Doctorante en sciences du langage - ICAR (Interactions, Corpus, Apprentissage, Représentations) ENS de Lyon
  • Shantala MORLANS. Doctorante en anthropologie - Ingénieure d’étude - VetagroSup - Clermont-Ferrand
  • Violette POUILLARD. Doctorante en histoire, Université Libre de Bruxelles
  • Catherine REMY. Docteure en sociologie - Chargée de recherche au Centre de Sociologie de l’Innovation - Paris
  • Sébastien STAS. MASTER II en anthropologie - Université de Liège
  • Marion VICART. Docteure en sociologie – E.H.E.S.S./G.S.P.M – Paris
  • Elodie PARI-PERRIN. Doctorante en éthologie - Museum d’Histoire Naturelle—Paris - Mission «é Urbaine» Grand Lyon

PARTENAIRES

Le comité d’organisation tient à remercier chaleureusement toutes les personnes et institutions qui ont rendu cette manifestation possible :

  • Boris Albrecht pour la Fondation Adrienne & Pierre Sommer (www.fondation-apsommer.org)
  • Djill Hadjadj pour le Chien Magazine (www.lechien.ch)
  • Joëlle Le Marec et Ludivine Raimondo au titre du Cluster «et Représentations de la Science, de la Technologie et de leurs Usages» - de la Région Rhône-Alpes (http://erstu.ens-lyon.fr/)
  • Geneviève Bernardin pour la Mission Animalité Urbaine du Grand Lyon (www.grandlyon.com)
  • Béatrice Korc pour le Service Sciences et Société de l’Université de Lyon (www.universite-lyon.fr/science-societe)

Places

  • 46 allées d'Italie (ENS, site Monod, Métro Debourg)
    Lyon, France

Date(s)

  • Thursday, June 30, 2011
  • Friday, July 01, 2011

Keywords

  • relation humain-animaux, pratiques, représentations, sociologie, anthropologie, contemporain, Europe

Contact(s)

  • Chloé Mondémé
    courriel : chloe [dot] mondeme [at] gmail [dot] com

Information source

  • Emmanuel Gouabault
    courriel : emmanuel [dot] gouabault [at] unige [dot] ch

License

CC0-1.0 This announcement is licensed under the terms of Creative Commons CC0 1.0 Universal.

To cite this announcement

« Anthrozoological relationships: new approaches and doctoral-postdoctoral researchers », Study days, Calenda, Published on Friday, June 17, 2011, https://doi.org/10.58079/io7

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