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L'informel

Márgenes journal, issue 11. Espace-Art-Société journal of the architecture of the Universe faculty

Revue Márgenes, n°11. Revue Espace-Art-Société de la faculté d’architecture de L’Univers

*  *  *

Published on Tuesday, March 27, 2012

Abstract

Appel à contributions pour le numéro 11 de la revue Márgenes. Revue Espace-Art-Société de la faculté d’architecture de L’Université de Valparaíso, Chili. La revue accepte des articles originaux écrits en Français et espagnol. Observer et comprendre cette informalité implique de considérer plusieurs dimensions : économique, politique, culturelle, urbaine (Jáuregui, 2008). Le dialogue entre architecture, sciences de l’espace et sciences humaines, tel qu’il est engagé par la revue Margénès, propose d’envisager ces interactions, mais aussi de s’interroger sur l’agir, dès lors que les acteurs de la fabrique de la ville se confrontent autour de la présence de l’informel dans l’espace et dans la société.

Announcement

Version française : INFORMEL

En Amérique Latine l’informalité constitue une caractéristique majeure de l’urbanisation (Agier, 2009). Elle désigne des pratiques le plus souvent liées à la construction et aux activités économiques, qui se déploient dans l’illégalité ou à la limite de la légalité. Toutefois les usages informels de l’espace urbain sont hétérogènes et se manifestent dans une grande variété de contextes, aux nords comme aux suds : usages quotidiens, appropriations courtes, marquages de l’espace, sociabilités hors des cadres établis, pratiques transgressives. A l’illégalité communément admise s’ajoutent dans les faits l’écart à la norme établie ou à la morale.

Observer et comprendre cette informalité implique de considérer plusieurs dimensions : économique, politique, culturelle, urbaine (Jáuregui, 2008). Le dialogue entre architecture, sciences de l’espace et sciences humaines, tel qu’il est engagé par la revue Márgenes, propose d’envisager ces interactions, mais aussi de s’interroger sur l’agir, dès lors que les acteurs de la fabrique de la ville se confrontent autour de la présence de l’informel dans l’espace et dans la société.

Les discours et les actes autour de l’informalité peuvent suivre un clivage binaire, entre condamnation rapide et empathie systématique, toutefois les faits montrent des arrangements compliqués, chargés de paradoxes, de compromis précaires et mouvants, de contradictions.

Ce numéro pourrait être l’occasion d’envisager ces rapports entre l’analyse et l’action, entre les problématiques récurrentes et celles qui émergent des situations nouvelles. Trois pistes de réflexion sont proposées : autour de l’évolution de la notion d’informalité, autour de la place de l’informel dans la fabrique de l’espace, autour enfin de la portée heuristique de cette notion dans la réflexion sur la ville et plus généralement les espaces vécus.

  Cette grille de proposition, c’est le moins que l’on puisse faire ici, n’a pas pour but de donner une « forme » définitive à l’organisation future du numéro, qui prendra volontiers en compte toute proposition reposant sur une approche originale et argumentée de la question.

Les formes de l’informel

Il semble y avoir une contradiction dans le terme même d’ « informel », qui stigmatise une absence de forme, alors même que ses manifestations matérielles et concrètes constituent ce par quoi l’informel et montré, désigné et reconnu dans les sociétés. Quelle forme ou formalité refuse-t-on à l’informel, dans les discours communs, politiques, médiatiques ?

Cette question peut aussi s’appliquer au champ scientifique : comment considérer les multiples désignations de l’informel (Monnet, 2010), et quels approches, outils ou termes nouveaux sont proposés, et à inventer ?

Dans les faits, quels nouveaux usages viennent aujourd’hui grossir les rangs de l’informalité désignée ? Quels nouveaux terrains se manifestent – et sont susceptibles de faire évoluer les manières de faire la ville et les manières de l’analyser ? Comment envisager la comparaison entre ces terrains ? Entre Amérique Latine et Europe, mais aussi dans le reste du monde ?

Problème ou solution ?

Depuis une vingtaine d’années les travaux sur l’informel ont dépassé le partage qui pouvait s’établir entre une vision négative (les perdants sans ressources) et une vision positive ou culturaliste (un champ des possibles et d’invention libre) pour considérer des modalités de co-production fondées sur les négociations et les compromis, dans des rapports de forces certes contraints mais pas complètement fermés (Berri-Chikhaoui et Deboulet, 2000). Les mouvements de régularisation des quartiers informels au Proche-Orient, en Amérique Latine ou en Afrique illustrent bien ces dynamiques.

Pourtant, sur le terrain, l’informel se présente encore souvent comme un problème ou comme une solution, selon les acteurs impliqués.

Dans les conflits d’usages ou d’aménagement autour des quartiers clandestins, un art de vivre urbain populaire est fréquemment mis en avant, pour dénoncer un écart ou un déséquilibre entre des cultures locales et des manières de faire la ville implantées par les autorités locales. Si ce déséquilibre évoque un résultat « plutôt baroque et non dénué de charme» (Paquot, 2006), il sert aussi à dénoncer de manière explicite l’échec des politiques publiques en matière d’égalité socio-spatiale. Sur le plan matériel, l’informalité en s’écartant des règles établies, instaure une série de nouveaux codes de construction du paysage, des économies, des esthétiques, des modes de vies (Tardin Coelho, 2007), et crée une réalité qui inclut des zones grises, ou la formalité admet l’informalité et vice-versa. Au-delà des positions tranchées et des tactiques engagées, les usagers de l’informel construisent des arrangements pragmatiques avec les autorités, entre la défense de leurs compétences propres et de prés carrés discrets, et des luttes plus ouvertes pour les équipements ou la justice sociale qui les amènent à entrer progressivement dans des processus d’institutionnalisation plus formalisés.

Pour les décideurs ou les gestionnaires également la posture peut varier. Quand l’informel est vu comme un problème, les réponses se déploient sur un gradient allant des mesures de condamnation et d’éradication aux politiques publiques d’aide sociale et de lutte contre la pauvreté. Mais il peut arriver que les autorités voient quelque avantage dans la présence de l’informel, lorsque la planification et la construction légales ne peuvent suivre des rythmes d’urbanisation très rapides, ou quand le secteur des activités informelles joue, dans ses multiples dimensions, un rôle d’amortisseur de tensions sociales, économiques, psychologiques.

Ce deuxième axe de réflexion pourrait envisager ces déterminants et contradictions de la présence de l’informel dans les espaces sociaux, et les solutions et compromis pratiques qui s’établissent dans les faits.

Un révélateur

  La réflexion peut se prolonger dans deux directions complémentaires. Peut-on s’inspirer des processus de l’informalité dans l’évolution des outils d’aménagement ? Et dans quelle mesure l’analyse des processus de l’informel peut-elle dépasser la dimension spatiale pour atteindre des généralisations plus globales à l’échelle des sociétés ?

Au niveau de l’action, la prise en compte des logiques de l’informel dans la fabrique de la ville peut-elle permettre d’inverser le sens général d’importation des outils et théories de l’aménagement des nords vers les suds ? Sous quelles conditions et modalités les pratiques fortement formalisées et institutionnalisées pourraient-elle converser ou être influencées par les manières de faire non-institutionnalisées, spontanées ? Plusieurs pistes peuvent être lancées, de façon non exhaustive : auto-construction, financements hors du cycle du crédit, programmation des formes et des usages, règlement des pratiques, construction de la décision, processus de légitimation ou au contraire discrétion nécessaire de certains processus.

S’il s’agit de sortir d’une vision binaire de l’informel sans pour autant s’abandonner à une posture consensuelle, la problématique des engagements permet de faire le lien entre action et recherche : au nom de quoi soutient-on ou condamne-t-on l’informel ? La question n’est pas simple : quand l’informel permet de réguler un certain nombre de tensions urbaines, sociales et économiques, il constitue au moins autant un élément de conservation d’un ordre social que de sa transformation. Par ailleurs l’analyse même de l’informel peut être mise en cause : qui regarde qui, qui produit des analyses sur qui et avec quelles légitimités ? L’expertise urbaine peut servir à justifier des politiques de déplacements, d’éradication : comment sont utilisés nos travaux ? C’est la question du sens du regard qui peut être ici posée.

Elle peut être liée à la thématique du droit à la ville :Jordi Borja nous signale que la ville « est état de droit et droit à la transgression » (Borja, 2003). La présence ou la résilience de l’informel pourraient être liées à ce droit à la transgression, à ce droit à la coexistence des pratiques, des économies et des habitats informels.

Enfin, sur le plan analytique, on pourra interroger la portée des autorégulations opérées par les usages informels de l’espace : dans quelle mesure les « soupapes » de la ville nous permettent d’approcher des soupapes plus globales de la vie sociale ? Dans quelle mesure les usages interdits sont-ils un mode d’objectivation (parmi d’autres) des tensions propres au processus de socialisation des individus et des groupes sociaux ?

Participation

  • Franck Dorso, sociologue, Institut d’Urbanisme de Paris.
  • Lautaro Ojeda, architecte Universidad de Valparaíso, éditeur revue Margenes.

Les propositions de texte peuvent être envoyées – en espagnol ou en français  à :revistamargenes@uv.cl

jusqu’au 6 aout 2012

Elles seront examinées par deux lecteurs du comité de lecture. Les auteurs des propositions seront contactés en septembre pour notifier l’acceptation de l’article Les conseils aux auteurs sont indiqués ci-après.  

http://revistamargenes.weebly.com/poliacuteticas-editoriales.html

Références bibliographiques:

  • Agier, M.(2010). Esquisses d'une anthropologie ville. Louvain-la-Neuve : Academia-Bruylant.
  • Berry-Chikhaoui I., et Deboulet A. (sous la direction de), (2000).Les compétences des citadins dans le monde arabe, Karthala, Paris.
  • Borja, J.(2003). La ciudad conquistada. Barcelona: Alianza ensayo. Jáuregui, J.M. (2008).Post-It City, CiutatsOcasionals. Barcelona: CCCB i Direcció de Comunicació de la Diputació de Barcelona.
  • Monnet J. (2010). « Dissociation et imbrication du formel et de l'informel : une matrice coloniale américaine ».Espaces et sociétés, 2010/3, n° 143, p. 13-29.
  • Paquot, T. (2006). Terre urbaine, cinq défis pour le devenir urbain de la planète. Paris : Éditions La Découverte.
  • Tardin Coelho, R. H. (2007). "Los paisajes de la ciudad oculta". Dans Nogué, J.(Ed), La construcción social delpaisaje (pp.197-216). Madrid: Editorial biblioteca nueva.

versión en español: INFORMAL

En América Latina la informalidad constituye una de las principales características de la urbanización (Agier, 2009). Generalmente apunta a prácticas vinculadas a la construcción y a las actividades económicas, que se despliegan en la ilegalidad o al límite de la legalidad. No obstante los usos informales del espacio urbano son heterogéneos y se manifiestan en una gran variedad de contextos, tanto al norte como al sur: usos cotidianos, apropiaciones efímeras, marcas espaciales, sociabilizaciones fuera de los cuadros establecidos, prácticas transgresivas. A esta ilegalidad comúnmente admitida se añaden otros hechos que difieren de la norma establecida o a la moral.

Observar y comprender esta informalidad implica considerar varias dimensiones: económicas, políticas, culturales, urbanas (Jáuregui, 2008). El diálogo entre arquitectura, ciencias del espacio, ciencias humanas y arte, tal como se lo ha propuesto la revista Márgenes, propone observar estas interacciones, y también preguntarse sobre el actuar, a partir del momento que los protagonistas de la fabricación de la ciudad se enfrentan a la presencia de lo informal en el espacio y en la sociedad.

Los discursos y los actos en torno a la informalidad pueden seguir una separación binaria, que oscila entre una rápida condena y una sistemática empatía, no obstante los hechos muestran complejos acuerdos, cargados de paradojas, de compromisos precarios, móviles, fugaces y contradictorios.

Este número podría ser la ocasión de prever estas relaciones entre el análisis y la acción, entre la problemática recurrente y las que surgen de las nuevas situaciones. Se proponen tres ejes de reflexión: en torno a la evolución del concepto de informalidad, en torno al lugar de lo informal en la fábrica del espacio, y finalmente acerca del alcance heurístico de este concepto en la reflexión sobre la ciudad y los espacios vividos.

Estos campos propuestos, son lo menos que podemos proponer, y no tiene por objeto dar el “forma” definitiva a la organización futura del número, que aceptará propuestas basadas en enfoques originales y bien fundados sobre la cuestión.

Las formas del informal

Aparentemente existiría una contradicción en el término mismo de “informal”, que estigmatiza una ausencia de forma, siendo que sus manifestaciones materiales y concretas constituyen el por qué lo informal es expuesto, designado y reconocido en las sociedades. ¿Qué forma o formalidad, los discursos comunes, políticos, y mediáticos, reprochan a lo informal?

Esta cuestión puede también aplicarse al campo científico: ¿cómo considerar las múltiples designaciones de lo informal? (Monnet, 2010), y ¿qué enfoques, herramientas o nuevos términos, se proponen e inventan? ¿En los hechos, qué nuevos usos vienen a hoy incrementar las manifestaciones informales? ¿Qué nuevos estudios de terrenos se realizan - y pueden hacer evolucionar las maneras de hacer la ciudad y las maneras de analizarla? ¿Cómo prever la comparación entre estos terrenos? ¿Entre América Latina y Europa, y también en el resto del mundo?

¿Problema o solución?

Desde hace veinte años los trabajos sobre el informal superaron la división que podía establecerse entre una visión negativa (los perdedores sin recursos) y una visión positiva o culturalista (un campo de los posibles y de invenciones libres) para considerar modalidades de coproducción basadas en las negociaciones y los compromisos, en relaciones de fuerzas ciertamente obligadas pero no completamente cerradas (Berri-Chikhaoui y Deboulet, 2000). Los movimientos de regularización de los barrios informales en el medio-Oriente, América Latina o África ilustran bien esta dinámica.

Sin embargo, en terreno, lo informal aún se presenta como un problema o como una solución, dependiendo de los protagonistas implicados.

En los conflictos de usos o adaptación en torno a los barrios clandestinos, es frecuente la valoración y distinción de un arte popular de vivir urbano, que denuncia una divergencia o un desequilibrio entre culturas locales y formas de hacer la ciudad por parte de las autoridades locales. Si este desequilibrio tiene un resultado “más bien barroco y no privado de encanto” (Paquot, 2006), sirve también para denunciar de manera explícita el fracaso de las políticas públicas en materia de igualdad socio espacial. A nivel material, la informalidad al apartarse de las normas establecidas, instaura una serie de nuevos códigos de construcción del paisaje, economías, estéticas, y de modos de vidas (Tardin Coelho, 2007), creando una realidad que incluye zonas grises, donde la formalidad admite la informalidad y viceversa. Más allá de las posiciones establecidas y las estrategias empleadas, los usuarios de lo informal construyen acuerdos pragmáticos con las autoridades, entre la defensa de sus propias competencias, y luchas más abiertas por equipamientos públicos o de justicia social que los conlleva a enmarcarse paulatinamente en procesos de institucionalización más formalizadas.

Para las autoridades o los gestores, la postura también puede variar. Cuando lo informal se ve como un problema, las respuestas se despliegan en una gradiente que va desde medidas de condena y erradicación a políticas públicas de ayuda social y lucha contra la pobreza. Pero puede suceder que las autoridades vean alguna ventaja en la presencia de lo informal, cuando la planificación y la construcción legal no pueden establecer rápidos ritmos de urbanización, o cuando el sector de las actividades informales desempeña, en sus múltiples dimensiones, un papel de amortización de las tensiones sociales, económicas y psicológicas. Este segundo eje de reflexión podría prever las determinantes y contradicciones de la presencia de lo informal en los espacios sociales, y sus soluciones y compromisos establecidos en la práctica.

Un revelador

La reflexión puede ampliarse en dos direcciones complementarias. ¿Pueden los procesos informales ser la inspiración para herramientas de planificación? ¿Y en qué medida el análisis de los procesos informales puede superar la dimensión espacial local para alcanzar generalizaciones más globales a la escala de las sociedades?

¿En términos prácticos, las consideraciones de las lógicas de lo informal con respecto a la fábrica de la ciudad, podría permitir invertir el sentido norte-sur de importación de herramientas y teorías de planificación? ¿Bajo qué condiciones y modalidades las prácticas muy formalizadas e institucionalizadas podrían dialogar o ser influidas por las formas de hacer no institucionalizadas y/o espontáneas? De manera no exhaustiva, varias pistas pueden establecerse: autoconstrucción, financiamientos fuera del sistema crediticio, programación de las formas y usos, orden de las prácticas, construcción de la decisión, proceso de legitimación o al contrario una necesaria discreción en otros procesos.

Se trata de salir de una visión binaria de lo informal, sin abandonar una postura consensual, donde la problemática de los compromisos permitirían hacer un vínculo entre acción e investigación: ¿en nombre de qué se sostiene o se condena lo informal? La cuestión no es simple: cuando lo informal permite controlar una serie de tensiones urbanas, sociales y económicas, constituye un elemento de conservación tanto de carácter social como de transformación. Por otra parte el mismo análisis de lo informal puede cuestionarse: ¿quién observa quien, quién produce un análisis sobre quiénes y con qué legitimidades? El peritaje urbano puede servir para justificar políticas de desplazamientos, de erradicación: ¿cómo se utilizan nuestros trabajos? Por lo cual, Cuestionable es el sentido de la mirada científica con respecto a lo informal.

Puede vincularse al tema del derecho a la ciudad: Jordi Borja nos indica que la ciudad “es Estado de Derecho y derecho a la transgresión” (Borja, 2003). La presencia o la resistencia de lo informal podrían vincularse con este derecho a la transgresión, a este derecho a la coexistencia de las prácticas, de las economías y hábitats informales.

Finalmente, a nivel analítico, podría cuestionarse el alcance de las autorregulaciones operadas por los usos informales del espacio: ¿en qué medida las “válvulas” de la ciudad nos permiten acercar válvulas más globales de la vida social? ¿En qué medida los usos prohibidos son modos de objetivar (entre tantos) tensiones propias a los procesos de sociabilización de individuos y grupos sociales?

Participación

  • Franck Dorso, sociólogo, Instituto de Urbanismo de Paris.
  • Lautaro Ojeda, arquitecto, Universidad de Valparaíso, editor revista Márgenes.

Los artículos deben ser enviado en español o francés a: revistamargenes@uv.cl

hasta el 6 de agosto 2012

Los artículos serán examinados por el sistema doble ciego por los miembros de comité científico de la revista. Los autores serán notificados en el mes de septiembre a propósito de la aceptación de su artículo.

Se adjuntan policitas editoriales. http://revistamargenes.weebly.com/poliacuteticas-editoriales.html

COMITÉ CIENTÍFICO/ COMITÉ SCIENTIFIQUE

  • Daniel Le Couédic, Université de Bretagne Occidentale
  • Frédérique Ducharme, Université de Bretagne Sud
  • Franck Dorso, Institut d’Urbanisme de Paris
  • Laurent Devisme, ENSA Nantes
  • Guy Mercier, Université Laval
  • Lucie K. Morisset, Université du Québec à Montréal
  • Richard Klein, Ecole Nationale Supérieure d'Architecture et de Paysage de Lille.
  • Arlette Gautier, Université de Bretagne Occidentale
  • Daniel Pinson, Université Paul Cézanne Aix-Marseille 3
  • Héctor Dupuy, Universidad de La Plata Argentina
  • Claudia Lira Latuz, Pontificia Universidad Católica de Chile
  • Hernán Salas Quintanal, Universidad Nacional Autónoma de México
  • Francisca Márquez Belloni, Universidad Alberto Hurtado

Places

  • Valparaíso (2340000, Chili), Avenida Gran Bretaña 570 (Playa Ancha)

Date(s)

  • Monday, August 06, 2012

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Keywords

  • informel, Amérique latine, informalité, urbanisation, culture urbaine, revue Márgenes

Contact(s)

  • Lautaro Ojeda
    courriel : lautaro [dot] ojeda [at] uv [dot] cl
  • Lautaro Ojeda
    courriel : lautaro [dot] ojeda [at] uv [dot] cl

Reference Urls

Information source

  • Lautaro Ojeda
    courriel : lautaro [dot] ojeda [at] uv [dot] cl

License

CC0-1.0 This announcement is licensed under the terms of Creative Commons CC0 1.0 Universal.

To cite this announcement

« The informal », Call for papers, Calenda, Published on Tuesday, March 27, 2012, https://doi.org/10.58079/klg

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