Página inicialIci, « la voix des eaux ne tarit pas… » Philippe Jaccottet, Ninfa

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Ici, « la voix des eaux ne tarit pas… » Philippe Jaccottet, Ninfa

Here, "the voice of waters never dries up" Philippe Jaccottet, Ninfa

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Publicado sexta, 14 de março de 2014

Resumo

Avec l'arrivée du printemps, la bibliothèque célèbre la poésie ! Après le feu, l'air et la terre, c'est l'eau qui est fêtée cette année, avec la manifestation culturelle « Ici, la voix des eaux ne tarit pas… » (Philippe Jaccottet) qui se déroulera du 12 mars au 25 avril 2014. Vous pourrez découvrir deux expositions : « Il faut sauver le lac de St-Chamand » proposée par des étudiants de l’école supérieure d’art d’Avignon autour d’un plan d’eau menacé et « Eau spéculaire » et « Ombre » deux créations d’Henri Olivier. Vous pourrez assister à des conférences, des rencontres poétiques, des projections cinématographiques, des concerts, de la danse contemporaine et vous pourrez découvrir des sélections d'ouvrages, d'articles de presse et de films.

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Programme

Dans le cadre de la manifestation culturelle Ici, la voix des eaux ne tarit pas… (Philippe Jaccottet) qui se déroulera du 12 mars au 25 avril 2014, la bibliothèque vous propose un cycle de conférences :

Jeudi 13 mars 2014, 14h00 – Salle de recherche Sciences

  • Le ‘’flo-flotant’’ séjour : l’eau dans La Sepmaine de Du Bartas (1578-1581), par Jean-Claude TERNAUX, Professeur en littérature du XVIème siècle, Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse.

Du Bartas réécrit La Genèse en poète : il donne à voir un monde fait de « correspondances ». Mais il est aussi poète encyclopédique. Évoquant l’eau, il fait part des connaissances de son temps.

Mercredi 19 mars 2014, 14h00 – Vidéothèque

  • Ophélie à la Morgue, par Bruno BERTHERAT, Maître de conférences en histoire contemporaine, Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse.

Dans les représentations de la mort, le thème d’Ophélie apparaît comme une variation singulière, profondément liée à l’élément aquatique. C’est cette voix de l’eau que fait entendre le récit d’une auteure britannique publié en 1855 à propos de sa visite de la Morgue à Paris quelques années plus tôt.

Jeudi 27 mars 2014, 14h00 – Salle de recherche Sciences

  • Sirène, baleine et ibis : une présence marine discrète dans le Bestiaire moral de Gubbio par Sylvain TROUSSELARD, Maître de conférences en langues et littératures romanes, spécialiste de la poésie comique et de la littérature italiennes du Moyen-Âge, Université Jean Monnet, Saint-Etienne.

Le Bestiaire moral de Gubbio présente dans chacun des 64 sonnets un animal dans ses caractéristiques physiologiques ou comportementales pour intégrer, dans un second temps, ces éléments dans un discours proprement religieux et lié à la vie du Christ et à la Bible. Dans le projet didactique et moral du poète anonyme se superposent plusieurs traditions, classique tout d’abord, mais aussi encyclopédique et, surtout, la grande tradition chrétienne des bestiaires issue du Physiologus. Nous aborderons ces caractéristiques à travers le thème de l’eau et des animaux.

Mercredi 2 avril 2014, 14h00 – Vidéothèque

  • Le ciel des peintres et des poètes à toute vapeur par Anne-Élisabeth HALPERN, Maître de conférences en littérature française moderne, Université de Reims Champagne Ardenne, directrice littéraire des éditions L’improviste.

Jusqu’à la fin du XVIIIème siècle, les nuages sont en peinture de simples éléments du décor, des nuages de convention ou symboliques. La peinture et la poésie modernes ont un goût prononcé pour l’indéfini et le mouvement perpétuel des phénomènes visibles. L’eau suspendue dans le ciel leur fournit un répertoire infini de formes, sous l’espèce des nuages, brumes et vapeurs que les peintres et les poètes de la modernité ont poursuivi du pinceau ou du stylo.

Jeudi 3 avril 2014, 18h00 – Vidéothèque

  • L’eau qui jaillit de la terre : une histoire de quelques heures à quelques millénaires par Yves TRAVI, Professeur en hydrogéologie, Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse.

Les sources, les puits et forages artésiens, les geysers, sont autant de manifestations visibles de la présence sous la surface du sol d’une eau qui circule dans les strates plus ou moins profondes de l’écorce terrestre. La vision populaire de cette présence souterraine, fortement marquée par les mythes et légendes qui imaginent, par exemple, des fleuves et des grands lacs, est souvent très éloignée de la réalité.
A partir de la notion d’âge de l’eau souterraine, on tente d’illustrer son histoire plus ou moins longue ou complexe à partir de sites remarquables.

Mardi 8 avril 2014, 18h00 – Salle de recherche Sciences

Survivance du lac de Saint-Chamand

Table ronde sur le projet du lac de Saint-Chamand : une expérience et un projet interdisciplinaire réunissant artistes, restaurateurs et scientifiques pour faire revivre un plan d’eau avignonnais

  • Thierry DUTOIT, Directeur de recherche au CNRS, UMR Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie, équipe Ingénierie de la restauration des patrimoines naturel et culturel
  • Cyril JARTON, Écrivain-plasticien et critique d’art, enseignant à l’École Supérieure d’Art d’Avignon
  • Marc MAIRE, Conservateur-restaurateur d’oeuvres polychromes d’art et du patrimoine, enseignant à l’École Supérieure d’Art d’Avignon
  • Catherine VIEILLESCAZES, Professeur de Chimie, Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse, UMR Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie, équipe Ingénierie de la restauration des patrimoines naturel et culturel
  • Philippe VIEILLESCAZES, Enseignant, Chambre de Métiers de Vaucluse

Les cinq intervenants, membres du comité de pilotage du Projet interdisciplinaire pour la survivance du lac de Saint-Chamand exposeront les modalités et les enjeux de l’action qu’ils mènent depuis 2012 et qui doit aboutir à la remise d’une proposition d’aménagement et de restauration du site à la mairie d’Avignon fin 2014.

Mardi 15 avril 2014, 15h30 – Vidéothèque

  • Corto Maltese, de la marine à l’aquarelle par Cédric PEROLINI, Enseignant et chargé de cours, Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse.

« Je suis l’océan Pacifique et je suis le plus grand. » Dès La Ballade de la mer salée, premier opus du cycle de Corto Maltese, le narrateur se définit par sa nature aquatique. Ce sera le début d’une odyssée qui mènera le marin d’Hugo Pratt sur toutes les mers du globe, de lagunes en lagons, d’îles réelles en îles rêvées. Et c’est tout naturellement que l’auteur de
bandes dessinées en viendra, pour représenter son héros, à la technique de l’aquarelle. Ne disait-il pas qu’il était surtout vénitien en ceci qu’il faisait « confiance à l’eau » ?

Locais

  • 74, rue Louis Pasteur
    Avinhão, França (84)

Datas

  • quinta, 13 de março de 2014
  • quarta, 19 de março de 2014
  • quinta, 27 de março de 2014
  • quarta, 02 de abril de 2014
  • quinta, 03 de abril de 2014
  • terça, 08 de abril de 2014
  • terça, 15 de abril de 2014

Palavras-chave

  • eau, sources, éléments, bibliothèque

Contactos

  • Béatrice Beaufre
    courriel : beatrice [dot] beaufre [at] univ-avignon [dot] fr

Fonte da informação

  • Béatrice Beaufre
    courriel : beatrice [dot] beaufre [at] univ-avignon [dot] fr

Licença

CC0-1.0 Este anúncio é licenciado sob os termos Creative Commons CC0 1.0 Universal.

Para citar este anúncio

« Ici, « la voix des eaux ne tarit pas… » Philippe Jaccottet, Ninfa », Ciclo de conferências, Calenda, Publicado sexta, 14 de março de 2014, https://doi.org/10.58079/psf

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