AccueilSociétés en mouvement, sociologie en changement

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Sociétés en mouvement, sociologie en changement

Societies in movement, sociology under mutation

XXe congrès de l'Association internationale des sociologues de langue française

20th conference of the Association internationale des sociologues de langue française

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Publié le mercredi 21 octobre 2015

Résumé

Le congrès de Montréal sera un congrès réflexif, avec pour centre la sociologie elle-même. En ouvrant la discussion sur ce que les changements profonds qui affectent les sociétés contemporaines font à la sociologie, il fera la part belle à « l’imagination sociologique » et invitera à se pencher sur la façon dont la sociologie peut, à nouveaux frais, comprendre le monde contemporain et contribuer à agir sur lui.

Annonce

Présentation

Dans quelques mois, du 4 au 8 juillet 2016, se tiendra à Montréal le XXe Congrès de l’AISLF, organisé en collaboration avec l’université de Montréal et l’université du Québec à Montréal. Le programme du lundi aura lieu sur le site de la première, celui des jours suivants sur les sites de la seconde. Les 1 500 congressistes, venus du monde entier, pourront bénéficier des remarquables équipements des deux institutions (grand amphithéâtre, salles de cours et de réunion, cafétéria, résidences universitaires, etc.) et jouir à la fois du superbe emplacement de l’université de Montréal sur le Mont Royal et de la totale immersion de l’université du Québec à Montréal au cœur du Quartier Latin.

Le Congrès de Montréal sera un congrès réflexif, avec pour centre la sociologie elle- même. En ouvrant la discussion sur ce que les changements profonds qui affectent les sociétés contemporaines font à la sociologie, il fera la part belle à « l’imagination sociologique » et invitera à se pencher sur la façon dont la sociologie peut, à nouveaux frais, comprendre le monde contemporain et contribuer à agir sur lui. Il proposera, à travers les différentes séances plénières, d’aborder cette thématique sous trois angles : l’émergence de nouveaux objets (« De nouveaux mondes à comprendre »), l’internationalisation des perspectives sociologiques (« Un regard à décentrer ») et le déplacement des frontières disciplinaires (« Des frontières à décloisonner »).

Une fois de plus, nous avons choisi une thématique suffisamment large et ouverte pour introduire à la fois transversalité et unité à l’intérieur du Congrès. Dans cet esprit et afin de faciliter les débats et les confrontations de perspectives, une place particulière sera accordée aux soixante-trois Comités de recherche et Groupes de travail de l’AISLF.

De nombreuses plages horaires leur seront dédiées ; des sessions transversales seront également organisées à l’initiative de certains d’entre eux afin de favoriser l’émergence de nouvelles questions porteuses à partir de leur dynamique propre. Le Congrès sera aussi porté par un souci constant de dialogue avec la Cité avec la tenue d’une session spéciale sur la recherche partenariale au Québec et l’organisation de « 5 à 7 » en prise avec des questions d’actualité.

Bien sûr, comme le veut la tradition de convivialité de l’AISLF, une large place sera faite en soirée aux manifestations festives et culturelles, en résonance cette fois-ci avec le Festival international de jazz de Montréal qui aura lieu au même moment.

Le Bureau de l’AISLF, l’université de Montréal et l’université du Québec à Montréal se réjouissent de vous accueillir à cette occasion.

  • Didier VRANCKEN, président de l’AISLF
  • Marc-Henry SOULET, vice-président de l’AISLF et président du Comité d’organisation
  • Jean-Marc  LAROUCHE  et Paul SABOURIN, membres du Bureau de l’AISLF et

vice-présidents du Comité d’organisation

Argumentaire

C’est au tournant du XIXe et du XXe siècles que s’est institutionnalisée, en Europe et aux États-Unis, une sociologie qui, malgré des programmes de recherche différents et parfois rivaux, se proposait d’offrir les clefs d’interprétation des sociétés nées de la modernité. Cette sociologie, en tant que sociologie générale, a non seulement balisé les fondements de la discipline, mais s’est également attachée à en cerner l’objet et à en codifier les modalités d’exercice. Elle a, ce faisant, circonscrit les grandes questions auxquelles elle se devait de répondre : les éléments fondamentaux de la vie sociale, la morphologie sociale, la hiérarchisation sociale et les classes sociales, le changement social, la socialisation, tout en les accompagnant d’un projet normatif de transformation du monde, qu’il soit de réforme sociale ou d’émancipation politique.

Cette sociologie à laquelle nous avons été formés et nourris, voit un peu plus d’un siècle plus tard son projet s’effriter progressivement et perdre en consistance et en légitimité tant les contextes sociaux ont changé. Globalisation culturelle, planétarisation des enjeux, notamment écologiques, hégémonie d’un capitalisme financier fort éloigné du capitalisme industriel familial, fragilisation de la capacité des États-Nation à peser sur les dynamiques nationales et internationales, épuisement de la modernité comme projet, développement de logiques particularistes ou localistes, virtualisation de la réalité sociale.

Force est de constater que les assises, les objets et les perspectives de la sociologie ne peuvent qu’être affectés par ces mutations profondes du contexte dans lequel elle peine à se déployer comme discipline et comme pratique.

Le monde scientifique a par ailleurs lui-même bien changé, particulièrement en sciences humaines et sociales où l’on a assisté à un mouvement rapide et brutal au cours de ces dernières années. À une forme d’organisation encore fortement humboldtienne structurée autour de disciplines et de savants travaillant seuls ou en très petits comités, succède une configuration mettant en avant le décloisonnement des perspectives et la constitution de laboratoires autour de thématiques fédératrices. Les grands organismes de subventionnement appellent désormais au croisement et à la mutualisation des approches sur des problématiques capables d’embrasser large. Ils encouragent les rassemblements institutionnels dépassant les attaches disciplinaires formelles, bousculant au passage les assises sur lesquelles les disciplines, dont la sociologie au premier chef, s’étaient constituées. De surcroît, à l’heure où se multiplient les appels d’offres internationaux et les invitations à la comparaison et à la compilation, la communauté scientifique ne peut plus se penser à l’intérieur des territoires nationaux subitement devenus trop étroits.

Et pourtant, le nombre de sociologues n’a jamais été aussi grand. Des sociologies, multiples et diversifiées, se pratiquent et se côtoient, marquant par là même le signe d’une reconnaissance certaine. Les développements, les usages et la nécessité de la sociologie, dans un cadre de plus en plus incertain, n’ont jamais paru aussi évidents. De nombreux acteurs ont été socialisés, quand ce n’est pas formés, à la sociologie. Ils en ont gardé les pratiques d’enquête et les concepts-clé, à telle enseigne que l’on peut désormais parler d’un savoir sociologique ordinaire. Celui-ci soulève de fortes attentes d’explication et institue ainsi des publics aussi attentifs que variés, comme en témoigne l’ample demande de recherche partenariale.

Prendre au sérieux ces constats, c’est choisir d’opter pour un Congrès réflexif, ayant pour centre la sociologie elle-même. Les congrès de l’AISLF, au moins récemment, ont toujours retenu comme objet central un thème spécifique – Québec, la mondialisation ; Tours, l’individu social ; Istanbul, la culture ; Rabat, l’incertain – en essayant de comprendre comment la sociologie pouvait s’en saisir. Le projet du congrès de Montréal est d’inverser le regard, sans vouloir bien sûr s’enfermer dans une perspective nombriliste. Il veut ouvrir la réflexion sur ce que les changements profonds au sein du monde contemporain font à la sociologie, en tant qu’institution scientifique et en tant que champ de savoirs. Loin de se tourner avec nostalgie vers un âge d’or mythifié, il s’agit de prendre acte de mutations sociétales lourdes et de réfléchir ensemble au présent et au futur de la sociologie. Il convient donc non seulement de comprendre comment celle-ci s’en trouve affectée dans son fonctionnement institutionnel mais aussi de saisir les inflexions qui se dessinent dans ses registres théoriques et pratiques. C’est ainsi la nature même du projet sociologique contemporain qu’il convient d’interroger, de ses conditions de possibilité à ses contenus théoriques en passant par les perspectives socio- politiques sur lesquelles il peut/entend reposer.

Cette présentation très générale de la thématique – les défis épistémologiques, théoriques et scientifiques de la sociologie au XXIe siècle imposés par les mutations profondes du contexte sociétal – sera déclinée en plusieurs temps forts qui rythmeront le congrès de Montréal dans un souci d’équilibre entre continuité quotidienne de la thématique générale et dynamique propre aux Comités de recherche et aux Groupes de travail avec leurs plages horaires spécifiques. Dans cet esprit et afin de faciliter les échanges, une place particulière sera accordée à ces derniers, avec notamment l’organisation de sessions transversales, afin de favoriser l’émergence de nouvelles questions porteuses au sein de la discipline. Pour son XXe congrès, l’AISLF a choisi de privilégier les débats et les confrontations de perspectives dans un souci constant de dialogue avec la Cité, sans oublier de faire une large place aux manifestations festives et culturelles en résonance avec le Festival international de jazz de Montréal qui aura lieu au même moment.

Bref cela va jazzer en socio en juillet 2016.

Trois axes thématiques seront proposés pour les grandes conférences.

De nouveaux mondes à comprendre

Les mutations sociétales ne sont pas uniquement des transformations de structure ; elles se traduisent également par l’affirmation de nouveaux registres symboliques et par l’émergence de nouvelles attentions au monde. Le développement des connaissances, dans d’autres champs scientifiques, et la reconfiguration des sphères morales y participent pour beaucoup. La sociologie, mais pas seulement elle, se voit confrontée à l’émergence de « nouveaux nouveaux mondes », pour reprendre l’expression de Georges Balandier, à tout le moins de nouveaux territoires, aussi difficiles à appréhender que les émotions, le virtuel ou les gènes, aussi encombrants que les choses et les animaux, et s’affronte à de nouvelles interrogations nées de la nécessité de les prendre en compte dans son champ d’analyse.

Un regard à décentrer

Le cadre même du projet sociologique a basculé. Hier, des sociologies, fortement adossées à l’État-Nation, s’institutionnalisaient ; aujourd’hui les logiques du nationalisme méthodologique sont fortement discutées, parce que jugées peu à même de saisir des phénomènes émergents comme les diasporias ou la globalisation culturelle, parce qu’enfermées dans des appartenances institutionnelles contextualisées et prisonnières d’informations, statistiques notamment, particularistes. Ainsi le transnationalisme s’impose-t-il comme une nouvelle perspective de recherche sociologique. Ce décentrement du regard sociologique se double par ailleurs d’une critique devant l’aveuglement socio-centrique ayant accompagné son développement tout au long du XXe siècle et nous amène à nous inscrire aujourd’hui dans les traces d’un débat autour d’une désoccidentalisation de la sociologie.

Des frontières à décloisonner

En même temps, les frontières disciplinaires se déplacent. Héritage de l’histoire, les disciplines recomposent leurs relations et leurs contributions respectives autour de nouveaux objets ou de nouvelles problématiques – le naturalisme social, qui a donné lieu à des débats animés dans la revue SociologieS, concrétise bien ces enjeux de déplacement et de recomposition disciplinaires. Le plus important n’est probablement pas tant de pointer ces jeux aux frontières que de saisir en quoi et comment les savoirs des autres disciplines ainsi que leurs transformations internes contraignent et dynamisent nos manières sociologiques de penser le monde social.

Le XXe congrès de l’AISLF souhaite ainsi inviter ses participants à se pencher sur ce que la sociologie invente, méthodologiquement ou conceptuellement, pour répondre à ces transformations. Comment faire de la sociologie aujourd’hui ? Avec quels concepts penser ces nouveaux contextes ? Quels appareillages théoriques et méthodologiques développer pour relever le nouveau défi du « savoir pour prévoir », sans oublier bien sûr les positionnements éthiques et les choix épistémologiques ? Le congrès de Montréal veut faire la part belle à « l’imagination sociologique » et ouvrir des voies heuristiques afin d’accroître la réflexivité sociale pour saisir la société qui « s’en vient ». Il souhaite se pencher sur la façon dont la sociologie peut, à nouveaux frais, comprendre le monde contemporain pour agir sur lui et constituer une nouvelle « invitation » pour les générations de sociologues à venir.

Conditions de soumission

Les propositions de communication doivent répondre à la thématique générale du Congrès et aux appels à communications rédigés par les Comités de recherche, les Groupes de travail et les responsables des sessions ad hoc, ou plus généralement à leurs domaines de recherche. Chaque proposition doit être adressée à deux groupes distincts, en premier et second choix, dans lesquels la proposition pourrait s'inscrire.

Les propositions doivent être soumises uniquement en ligne, dans votre espace personnel.

Chaque congressiste peut déposer une ou deux propositions maximum.

Les propositions doivent être déposées avant le 15 janvier 2016.

Procédure d'évaluation

Les propositions sont évaluées par les responsables des CR, GT ou SA. En cas d'acceptation par le groupe indiqué en premier choix, l'acceptation est transmise par courriel à l'auteur·e principal·e uniquement.

En cas de refus, la proposition est présentée au groupe mentionné en second choix, qui peut l'accepter selon les mêmes règles.

En cas de second refus, la procédure prévoit un arbitrage de l'AISLF avant réponse définitive.

http://congres2016.aislf.org/pages/cp21.php

Pré-programme

Lundi 4 juillet

Université de Montréal

  • 9h30 - 10h30 : Ouverture

10h30 - 12h | Plénière | La sociologie en perspective

  • Marcel FOURNIER, université de Montréal
  • Jules DUCHASTEL, université du Québec à Montréal

12h - Lunch de bienvenue

14h - 16h | Plénière | Nouveaux contextes, nouveaux savoirs

  • Eva ILLOUZ, université hébraïque de Jérusalem
  • Margaret MARUANI, CNRS, université Paris Descartes
  • Marguerite MENDELL, université Concordia, Montréal

16h - Pause

16h30 - 18h | Plénière | Sociologues dans la cité : pratiques québécoises 

Session organisée par l‘Acsalf, l‘UdM et l‘Uqàm

  • Jean-Marc FONTAN, université du Québec à Montréal
  • Stéphanie GAUDET, université d’Ottawa
  • Nathalie LEWIS, université du Québec à Rimouski
  • Deena WHITE, université de Montréal

Mardi 5 juillet

Université  du Québec à Montréal

  • 8h Accueil
  • 8h30 - 10h30 : Sessions 1 CR - GT - Ad hoc
  • 10h30 - Pause

11h-12h30 | Plénière | De nouveaux mondes à comprendre

  • Antonio CASILLI, Telecom Paris Tech
  • Vinciane DESPRET, université de Liège

12h30 - Repas

  • 14h - 17h Sessions 2 CR - GT - Ad hoc
  • 17h - Pause
  • 17h30 - 19h (en parallèle) La sociologie au défi de l’actualité

Session transversale 1 Que font les non-humains aux sciences sociales ?

  • Frédéric LAUGRAND, université Laval
  • Sophie HOUDART, CNRS, Nanterre
  • Dominique GUILLO, Centre Jacques Berque, Rabat

Session transversale 2 Savoirs savants et savoirs d’action dans le champ des politiques publiques

  • Anja DECLERQ, Katholieke Universiteit Leuven
  • Nathalie BURNAY, université catholique de Louvain
  • Yves VAILLANCOURT, université du Québec à Montréal 

Mercredi 6 juillet

  • 8h30 - 10h30 Sessions 3 CR - GT - Ad hoc
  • 10h30 - Pause

11h-12h30 | Plénière | Décentrer le regard

  • Mamadou DIOUF, université Columbia, New York
  • Renato ORTIZ, université d’État de Campinas, Saõ Paulo

12h30 - Repas

  • 14h - 17h Sessions 4 CR - GT - Ad hoc
  • 17h - Pause

17h30 - 19h (en parallèle) La sociologie au défi de l’actualité

Session transversale 3 Genre, sexualité et vieillissement. Défis pour la sociologie

  • Michel BOZON, Institut national d’études démographiques, Paris
  • Cornelia HUMMEL, université de Genève
  • Jean-Yves LE TALEC, université Toulouse Jean Jaurès
  • Laurence TAIN, université Lyon 2

Session transversale 4 La sociologie urbaine au prisme des (im)mobilités

  • Julie-Anne BOUDREAU, INRS, Montréal
  • Annick GERMAIN, INRS, Montréal
  • Vincent KAUFMANN, École polytechnique fédérale de Lausanne

Session jeunes chercheur·e·s La « glocalisation » des sciences humaines, un enjeu pour la formation des jeunes chercheur.e.s ? 

  • Émilie TREMBLAY, université du Québec à Montréal
  • Jean-Pierre OLIVIER DE SARDAN, Lasdel, Niamey

Jeudi 7 juillet

  • 8h30 - 10h30 Sessions 5 CR - GT - Ad hoc
  • 10h30 - Pause

11h-12h30 | Plénière | Décloisonner la sociologie

  • Michel GROSSETTI, université Toulouse Jean Jaurès
  • Laurence KAUFMANN, université de Lausanne12h30 - Repas

14h - 17h Sessions 6 CR - GT - Ad hoc

17h - Pause

17h30 - 20h Assemblée générale de l’AISLF

Vendredi 8 juillet

9h-11h | Plénière | Changer la sociologie ?

  • Nathalie HEINICH, CNRS, Paris
  • Maristella SVAMPA, université nationale de la Plata, Mar del Plata
  • Gérard DUHAIME, université Laval, Québec11h - Pause

11h30 - 13h Carte blanche Cérémonie de clôture

13h - Repas

14h30 - 19h Sessions complémentaires CR - GT - Ad hoc

Comités de recherche

  • CR01 : Identité, espace et politique
  • CR02 : Sociologie urbaine : villes, sociétés et action publique
  • CR03 : Études socio-juridiques et sociologie du droit
  • CR04 : Sociologie des rapports sociaux de sexe
  • CR05 : Sociologie de la complexité : relations et systèmes
  • CR06 : Parcours de vie et vieillissement CR07 : Éducation, formation, socialisation CR08 : Sociologie de la famille
  • CR09 : L’imaginaire dans l’expérience collective
  • CR10 : Les temps sociaux
  • CR11 : Histoire de la sociologie CR12 : Religions et sociétés CR13 : Sociologie de la santé
  • CR14 : Sociologie de la connaissance
  • CR15 : Sociologie du travail
  • CR16 : Sociologie professionnelle
  • CR17 : Sociologie et anthropologie de l’alimentation
  • CR18 : Sociologie de l’Art et de la Culture
  • CR19 : Sociologie clinique
  • CR20 : Comparaisons internationales
  • CR21 : Transactions sociales
  • CR22 : Entreprise et société
  • CR23 : Sociologie de l’environnement
  • CR24 : Petites sociétés et construction du savoir
  • CR25 : Sociologie des relations professionnelles et du syndicalisme
  • CR26 : Croyances / cognition CR27 : Sociologie économique CR28 : Sociologie de la jeunesse
  • CR29 : Sociologie de la science et de l’innovation technologique
  • CR30 : Inégalités, identités et liens sociaux
  • CR31 : Sociologie de l’enfance
  • CR32 : Savoirs, métiers, identités professionnelles
  • CR33 : Sociologie de la communication CR34 : Intervention et politiques sociales CR35 : Sociologie du sport
  • CR36 : Ethnicité, migrations et citoyenneté CR37 : Afriques en mutation

Groupes de travail

  • GT01 : Corps, sciences, techniques et sociétés
  • GT02 : Transmissions et mobilités
  • GT03 : Chine
  • GT04 : Sociétés arabes en mouvement
  • GT05 : Forces armées et société
  • GT06 : Gouvernance des territoires, patrimoine, culture et autochtonie
  • GT07 : Sociologie des sexualités
  • GT08 : Déviance et criminologie
  • GT09 : Biotechnologies et destin de l’humain
  • GT10 : Laïcité et citoyenneté
  • GT11 : Sociologie des violences scolaires
  • GT12 : Récits, fiction, culture et société
  • GT13 : Société globale, cosmopolitisme et droits humains
  • GT14 : Institutions du patrimoine
  • GT15 : Analyse qualitative interdisciplinaire
  • GT16 : Sociologie du langage
  • GT17 : Sociologie de la gestion
  • GT18 : Devenir et être sociologue - ReSoDoc
  • GT19 : Pragmatisme
  • GT20 : Études animales
  • GT21 : Socio-anthropologie politique
  • GT23 : Mobilités spatiales et fluidités sociales
  • GT24 : Sociologie des institutions
  • GT25 : Sociologie de l’oralité et de l’art du conte
  • GT26 : Technologies de communication et réseaux familiaux
  • GT27 : Sociologie de la philanthropie

Sessions ad hoc

  • SA01 : Ambivalence de l’État social
  • SA02 : Complexités discursives
  • SA03 : Frontières mouvantes entre les savoirs
  • SA04 : Altérités, crises et reconfigurations en Afrique
  • SA05 : Migrations, mondialisation

Les sessions ad hoc sont organisées le temps du Congrès et proposent un appel à communications sur un thème d’actualité ou émergent.

Inscriptions et tarifs

Les inscriptions comme les propositions de communication se font exclusivement en ligne sur le site du Congrès. Le tarif des inscriptions est modulé selon la période de paiement, le statut et le lieu de résidence des congressistes.

  • avant le 15 mars 2016 s’inscrire au tarif préférentiel
  • avant le 30 avril 2016 s’inscrire au Congrès

Informations pratiques

Le XXe congrès de l’AISLF est organisé du 4 au 8 juillet 2016 à Montréal, la grande métropole québécoise du Canada. Les conférences, les sessions scientifiques et les rencontres avec le public se dérouleront sur le campus de deux institutions académiques, l’université de Montréal et l’université du Québec à Montréal. Les congressistes y recevront le meilleur accueil, au cœur de la Ville, et pourront bénéficier de nombreux services (wifi,   cafétérias, librairie, espaces de repos…). Les participant·e·s seront plongé·e·s dans l’ambiance unique du très renommé Festival international de jazz de Montréal (du 30 juin au 9 juillet 2016, www.montrealjazzfest.com) et pourront également participer aux manifestations culturelles et festives associées au Congrès : le lunch d’accueil offert pour l’ouverture du Congrès à l’université de Montréal (lundi 4 juillet), une soirée Ça jazze en socio à la Cinémathèque québécoise (mardi 5 juillet), le dîner offert par l’AISLF au Centre des sciences de Montréal, sur le vieux port (mercredi 6 juillet) et La nuit sociologique, au Centre des arts technologiques ( jeudi 7 juillet). Tous les détails du programme scientifique et culturel du Congrès seront communiqués sur le site internet congres2016.aislf.org. Des chambres et des appartements universitaires seront mis à la disposition des congressistes à des tarifs avantageux.

Les informations pratiques sur le déroulement du Congrès et le séjour à Montréal seront disponibles sur le site du Congrès (congres2016.aislf.org). Sur place, le programme sera accessible en ligne (connection wifi) et toutes les salles seront équipées de vidéoprojecteurs.

Comité scientifique

le Bureau de l’AISLF élu pour le mandat 2012-2016

  • Président : Didier VRANCKEN, université de Liège, Belgique.
  • Vice-Président : Marc-Henry SOULET, université de Fribourg, Suisse.
  • Secrétaire général : Imed MELLITI, Institut supérieur des sciences humaines de Tunis, Tunisie. Secrétaire générale adjointe : Odile SAINT RAYMOND, université Toulouse Jean Jaurès, France. Trésorier : Nicolas GOLOVTCHENKO, université Toulouse Jean Jaurès, France.

Membres du Bureau

  • Rahma BOURQIA, université Mohamed V Agdal, Rabat, Maroc ;
  • Christiana CONSTANTOPOULOU, université Panteion, Athènes, Grèce ;
  • Marina D’AMATO, université de Rome 3, Italie ;
  • Alice DELERUE ALVIM DE MATOS, université de Minho, Braga, Portugal ;
  • Lise DEMAILLY, université de Lille 1, France ;
  • Jean-Louis GENARD, Université libre de Bruxelles, Belgique ;
  • Svetla KOLEVA, académie bulgare des Sciences, Sofia, Bulgarie ;
  • Jean-Marc LAROUCHE, université du Québec à Montréal, Canada ;
  • Monique LEGRAND, université de Nancy 2, France ;
  • Jean RUFFIER, université Jean Moulin Lyon 3, France ;
  • Paul SABOURIN, université de Montréal, Canada ;
  • Abdessatar SAHBANI, université de Tunis, Tunisie ;
  • Régine TCHICAYA OBOA, université Marien Ngouabi, Brazzaville, République du Congo.

Présidentes et Présidents d’honneur de l’AISLF

  • Georges BALANDIER, EHESS, Paris, France ;
  • Marcel BOLLE DE BAL, Université libre de Bruxelles, Belgique ;
  • Monique HIRSCHHORN, université Paris Descartes, France ;
  • Christian LALIVE D’ÉPINAY, université de Genève, Suisse ;
  • Daniel MERCURE, université Laval, Québec, Canada ;
  • André PETITAT, université de Lausanne, Suisse ;
  • Edward TIRYAKIAN, Duke University, Durham, États-Unis ;
  • Liliane VOYÉ, université de Louvain-la-Neuve, Belgique.

Secrétaire générale adjointe émérite

  • Christiane RONDI, université Toulouse Jean Jaurès, France.

Comité exécutif du Congrès

  • Président : Marc-Henry SOULET, vice-président de l’AISLF, université de Fribourg, Suisse.
  • Vice-présidents : Jean-Marc LAROUCHE, université du Québec à Montréal, et Paul SABOURIN, université de Montréal, Canada.
  • Secrétaire générale : Odile SAINT RAYMOND, université Toulouse Jean Jaurès, France.

Comité local d’organisation

  • René AUDET, Pierre DORAY, Shirley ROY, Magali UHL, université du Québec à Montréal.
  • Christopher MCALL, Stéphane MOULIN, Sara TEITELBAUM, université de Montréal.

Catégories

Lieux

  • Université de Montréal, 2900 Boulevard Edouard-Montpetit | Université du Québec à Montréal, 405 Rue Sainte-Catherine Est
    Montréal, Canada (QC H3T 1J4 | QC H2L 2C4)

Dates

  • vendredi 15 janvier 2016

Mots-clés

  • francophonie, changement, défi, actualité, décloisonnement, non humain, sexualité, vieillissement, mobilité, globalisation

Contacts

  • Odile Saint Raymond
    courriel : odile [dot] saint-raymond [at] univ-tlse2 [dot] fr

Source de l'information

  • Odile Saint Raymond
    courriel : odile [dot] saint-raymond [at] univ-tlse2 [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Sociétés en mouvement, sociologie en changement », Appel à contribution, Calenda, Publié le mercredi 21 octobre 2015, https://doi.org/10.58079/ta9

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