AccueilManagement durable 2.0 des organisations « privées, publiques et collectivités territoriales » à l’heure de la COP 22

AccueilManagement durable 2.0 des organisations « privées, publiques et collectivités territoriales » à l’heure de la COP 22

Management durable 2.0 des organisations « privées, publiques et collectivités territoriales » à l’heure de la COP 22

Sustainable management of private and public organisations and territorial authorities 2.0 and the COP 22

Revue scientifique CREMA n°5

CREMA journal n°5

*  *  *

Publié le mercredi 03 février 2016

Résumé

Le défi que les organisations du secteur privé et/ou du secteur public sont appelé à relever est d'adopter de nouvelles stratégies, de nouvelles façons de s'organiser et de nouveaux comportements d’agir, en un mot, un management durable en action. Il s'agit aussi de promouvoir différentes voies du développement durable, en étant conscient de l'influence des facteurs internes et externes sur la manière dont les organisations conçoivent leur avenir et choisissent les moyens de le réaliser. Ce numéro sera l’assise fondamentale de traiter pourquoi et comment implémenter et déployer le Développement Durable décliné dans les entreprises privées, les organismes publics et les collectivités territoriales urbaines et rurales.

Annonce

Numéro 5 de la Revue Scientifique CREMA / Centre de Recherches en Economie et en Management Africain

Argumentaire

Le défi que les organisations du secteur privé et/ou du secteur public sont appelé à relever est d'adopter de nouvelles stratégies, de nouvelles façons de s'organiser et de nouveaux comportements d’agir, en un mot, un Management Durable en Action. Il s'agit aussi de promouvoir différentes voies du Développement Durable, en étant conscient de l'influence des facteurs internes et externes sur la manière dont les organisations conçoivent leur avenir et choisissent les moyens de le réaliser.

S’il est communément admis que les références au rapport Brundtland de 1987[1] (WCED 1987) définissent la politique nécessaire pour parvenir à un Développement Durable, il n’existe pas aujourd’hui de vision partagée et corporate sur la bonne façon de mesurer et d’intégrer les indicateurs de progrès du Développement Durable dans la sphère publique, privée et collectivités territoriales.

L’émergence de ce rapport sur le Management Durable 1.0, au cadre trop général, permet à tous types d'acteurs de s'en approprier le contenu et d'en proposer des interprétations libres et des modifications majeures de leurs pratiques managériales. Pour faire face à la pression environnementale, sociale, économique et réglementaire, les organisations doivent s’orienter aujourd’hui vers un Management Durable 2.0.

Pour la plupart, le business model du Management Durable est en train de se transformer. Nos grilles de lecture actuelles ne permettent plus d’appréhender les nouveaux questionnements, tout comme nos modes opératoires sont de moins en moins appropriés pour répondre aux défis qui émergent. Nous devons maintenant concevoir de nouvelles grilles de lecture conceptuelles pour lire et traduire les nouvelles réalités émergentes qui sont en ruptures dans toutes leurs dimensions.

Le Management Durable 2.0 traite des fonctions différentes au sein des organisations, des périmètres variés d'application du Développement Durable et des différents cadres théoriques et méthodologiques (théorie des parties prenantes, théorie néo-institutionnelle, théorie des ressources, théorie de l’environnement, théorie du Développement Durable, etc.).

Ainsi, si nous voulons comprendre ce qui est en train de se passer, voire savoir anticiper, ou à tout le moins participer à ces changements, nous devons nous appuyer sur des concepts nouveaux et/ou revisités afin de faire émerger des pratiques véritablement innovantes et porteuses du Management Durable en Action. Ce numéro sera l’assise fondamentale de traiter pourquoi et comment implémenter et déployer le Développement Durable décliné dans les entreprises privées, les organismes publics et les collectivités territoriales urbaines et rurales.

1. le Management Durable 2.0 dans la gestion des organisations privées : la gouvernance d'entreprise et ses implications en termes du Développement Durable, la Finance Responsable et la montée en puissance des fonds éthiques et des agences de notations.

2. le Management Durable 2.0 comme outil de cohérence organisationnelle du secteur public : la place du Développement Durable au sein de la stratégie des organisations publiques, la Responsabilité Sociale des Organisations Publiques (RSOP) et ses enjeux à la fois environnementaux, sociaux, stratégiques, comportementaux, méthodologiques, organisationnels…etc.

3. le Management Durable 2.0 des collectivités territoriales comme un sous-jacent du bien être et de la performance de l’attractivité territoriale : une alternative opérationnelle au management territorial normatif, idéologiques ou instrumentalistes, qui se révèlent souvent inefficaces.

Une telle ambition conduit à revisiter les principes sous-jacents aux stratégies déployées au nom de la durabilité qui soulèvent, alors, un grand nombre d'incertitudes. C'est afin de mieux définir ces problématiques du Management Durable 2.0 que des ce numéro 5 de la Revue Scientifique CREMA / Centre de Recherches en Economie et en Management Africain a été implémenté. Des propositions visant à dépasser les approches trop souvent conceptuelles ont été privilégiées au profit de l'étude des pratiques de management durable en Action.

La Revue Scientifique CREMA invite les doctorants juniors et séniors et les chercheurs en Economie et en Gestion, à poser les fondamentaux d'un Management Durable au plan Corporate et singulièrement en Afrique. La diversité des points de vue, particulièrement stimulante, permet de dégager une vision prospective et durable.

Un numéro de référence pour souligner, comprendre et accompagner un Management Durable 2.0 inéluctable au niveau de l’Afrique :

  • Comprendre : les causes des problèmes, les concepts, la théorie et la décision prise dans le cadre d’un Management Durable 2.0 à l’épreuve de la COP 22.
  • Esquisser les enjeux : du Développement Durable 2.0 et de la Responsabilité Sociale et Environnementale des organisations publiques et privées.
  • Repérer : les principes lignes directrices, leviers de développement, Facteurs Clés de Succès (FCS), Facteurs Clés d’Echec (FCE) et variables d’action stratégiques adressables du Management Durable 2.0.
  • Et Agir : par l’efficacité économique, sociale, sociétale et environnementale en déployant des démarches proactives du Reporting de Performance triple Bottom-line.

Comité scientifique

  • Aboudrar, Lahoussine, Doyen, Faculté des ciences Juridiques, Economiques et Sociales (FSJES) Université Ibnou Zohr, Maroc
  • Abou  El Farah, Yahia, Directeur Général, Institut des Etudes Africaines à Rabat, Maroc
  • Álamo Henríquez, Daniel, Professeur, Instituto Tecnologico de Canarias, Espagne
  • Arib, Fatima, Professeur, Université Cadi Ayyad, Maroc
  • Benítez  del Rosario, Juan Manuel , Doyen, Feet, Université Las Palmas Gran Canaria, Espagne
  • Benlakouiri, Abderrahim, Professeur, Université Hassan II, Maroc
  • Bourdon, Isabelle, Professeur, Université Montpellier II, France
  • Boutti, Rachid, Directeur de publication  de la Revue CREMA  Président Chaire UNESCO, Ecole Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) Agadir  Universté Ibnou Zohr , Maroc
  • Carmelo , Javier León Conzalez, Directeur du Laboratoire Tides, Tides, Université Las Palmas Gran Canaria, Espagne
  • Degos, Jean Guy, Professeur, Université Bordeaux IV, France
  • Dib, Amazigh Fouad Riad, Professeur, Université Abou Bakr Belkaid de Tlemcen, Algérie
  • El Asmi, Lassaad, Professeur, Université de Carthage, Tunisie
  • Fekkak, Abdelatif, Professeur, Institut Supérieur de Commerce et d’Administration des Entreprises, Maroc
  • Harakat , Mohamed, Professeur, Université Mohammed V Souissi, Maroc
  • Ikched, Abdallah, Directeur Général, Bank Of Africa Groupe BMCE Bank, Madagascar
  • Kamdem, Emmanuel, Professeur, Université de Douala, Cameroun
  • Khelifa Bedhioufi, Samiha, Professeur, Université de Sousse, Tunisie
  • Louitri, Abdenbi, Professeur, Université Cadi Ayyad, Maroc
  • Mamboundou, Jean-Paul, Professeur, Institut National des Sciences de Gestion, Gabon
  • M’Rabet, Rachid, Professeur, Institut Supérieur de Commerce  et d’Administration des Entreprises , Maroc
  • Marzak, Mohamed, Professeur, Université Mohammed V- Agdal, Maroc
  • Ouakrim, Mohamed, Professeur, Université Ibnou Zohr, Maroc
  • Pereira, Dulce Maria, Professeur, Université fédérale d'Ouro Preto, Brésil
  • Rodhain, Florence, Professeur, Université Montpellier II, France
  • Sair, Aziz, Professeur, Université Ibnou Zohr, Maroc
  • Saucier, Gerard, Professeur, University of Oregon, USA
  • Schoenaers, Fréderic, Professeur, Université de Liège, Belgique
  • Seck, Matar Mour, Professeur, Université Alioune Diop de Bambey, Sénégal
  • Sougou, Omar, Professeur, Université Gaston Berger, Sénégal
  • Stoessel-Ritz, Josiane, Professeur, Université Haute Alsace , France
  • Wasylina, Ellen, Présidente, Observatory of the Black, Gulf and Mediterranean Seas, France 

Normes de publication de la Revue Scientifique CREMA

Multidisciplinaire, holistique conforme au projet de connaissances originel des Sciences de Gestion (explicatif mais aussi prescriptif), la Revue Scientifique Internationale « Peer Review » CREMA est la principale publication « Peer Review » francophone africaine dans le domaine des Sciences Économiques et de Gestion.

CREMA est domiciliée au Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique (CNRST)/Institut Marocain de l’information Scientifique et Technique (IMIST) et prochainnement dans la Plateforme Thomson Reuters Web of Science.

Son objectif est de permettre aux praticiens et aux chercheurs de communiquer, d'échanger et de soumettre à la critique leurs réflexions et leurs recherches empiriques au plan macro-économique, méso-économique et micro-économique (sur l'entreprise et les disciplines de gestion), mais aussi de s'adresser à un large public d’économistes et de managers désireux de se tenir au courant de l'évolution des sciences et des techniques.

Pour la Revue Scientifique Internationale « Peer Review » CREMA, le management concerne tous les secteurs des économies africaines, aussi bien le privé que le public, les grandes que les petites entreprises, le secteur marchand ou le secteur de l'économie sociale, les organisations. Plus encore, ce raisonnement d’économiste et de gestionnaire s'applique aussi bien aux disciplines directement des Sciences de Gestion qu'aux aspects économiques sociaux et environnementaux.

Modalités d'envoi des propositions

Date limite d'envoi des manuscrits des contributions est

le 31 Mars 2016 

Directeur de publication : Dr & Pr Rachid BOUTTI

Président de la Chaire UNESCO Développement Durable

Courriel : r.boutti@uiz.ac.ma

Manuscrit de la contribution

Les articles scientifiques doivent être soumis par internet à l’adresse suivante : r.boutti@uiz.ac.ma

Le texte sera dactylographié à raison de 25 lignes par page et en 1,15 d’interligne. Il ne devra pas dépasser 30 pages. Les pages seront numérotées en bas à droite. La Revue Scientifique CREMA / Centre de Recherches en Economie et en Management Africainaccepte les contributions en français ou en anglais. La première page comportera le titre et/ou le sous-titre de l’article, les initiales des prénoms, les noms des auteurs, l’indication et l’adresse complète de l’organisme (Centre de Recherches, Laboratoires, Equipe de Recherches, Chaires, Universités, etc.) ainsi que l’adresse internet de l’auteur à qui seront envoyés les épreuves à corriger, les tirés à part et toute correspondance. Cinq mots-clés maximum en français et en anglais, seront suggérés par les auteurs. Le texte de l’article commencera en page deux par un bref résumé ne dépassant pas 10 lignes.

Il est recommandé mais non obligatoire que ce résumé soit fourni dans les deux langues de la la Revue Scientifique CREMA / Centre de Recherches en Economie et en Management Africain, le français et l’anglais. A défaut l’auteur devra accepter la traduction effectuée par la rédaction.

Les sous-titres de même valeur seront signalés d’une façon identique.

La soumission doit obligatoirement comporter les éléments suivants :

  • Un fichier WORD de la contribution précisant les noms, fonctions et coordonnées des auteurs (email et adresse postale) ;
  • Le fichier de la contribution doit respecter les exigences suivantes :

- Marge du document : Haut 3,6 cm, Gauche 3cm, Bas 2,2 cm, Droite 3 cm

- Orientation du document : portrait

- Le document doit être : justifié, interligne 1,15 cm

- Un résumé en français et en anglais maximum 10 lignes

- Cinq mots clés maximum en français et en anglais

- Style de police : CMR 10 (corps du texte) et CMR 12 (titres)

Lien de téléchargement : http://fr.ffonts.net/jsMath-cmr10.font.download

Les contributions doivent être originales n’ayant fait l’objet de publication antérieure. Tant qu’une contribution soumise à la Revue CREMA est en cours de révision, les auteurs s’engagent à ne pas le soumettre à une autre revue.

Les articles ne doivent pas dépasser une trentaine de pages, y compris tableaux, figures, bibliographie et annexes.

Bibliographie de la contribution

Les références bibliographiques seront classées par ordre alphabétique, chaque référence doit avoir été citée dans le texte. La bibliographie doit commencer sur une page séparée intitulée Bibliographie. Les références seront classées par ordre alphabétique à partir du nom du premier auteur (en cas d’auteurs multiples) ou de l’éditeur ou du nom du périodique s’il n’y a aucune indication de nom d’auteur ou d’éditeur. Plusieurs références d’un même auteur seront classées par ordre chronologique de publication. Plusieurs références d’un même auteur publiées la même année seront identifiées par des lettres minuscules (a, b, etc.) après l’année. Les noms d’auteurs sont répétés pour chaque entrée. Les références bibliographiques doivent apparaître dans le texte en mettent entre parenthèses les noms d’auteurs suivis des années de publication.

Exemple : « Les recherches sur le sujet (Boutti, 2014) permettent d’affirmer... ».

Le numéro de la page doit être précisé dans le cas d’une citation pour permettre de la situer précisément. De même lorsque le propos d’un auteur est résumé ou paraphrasé le(s) numéro(s) de pages doivent être fournis. Les numéros de pages suivent la date de publication et sont séparés d’elle par deux points. Exemple : Boutti a écrit que la Responsablité Sociale des Entreprises marocaines (RSE) « qui s’est imposée comme un concept global intégrant les aspects économiques, sociaux et écologiques » (2010 : 23).

Si les travaux ont été réalisés par deux auteurs, les deux auteurs doivent être cités chaque fois dans le texte. Si les travaux émanent de plus de deux auteurs, la première fois que la référence apparaît tous les auteurs doivent être cités ; les citations suivantes des mêmes travaux ne comprendront que le nom du premier auteur suivi de « et al. » et de l’année. Toutefois lorsque le nombre des coauteurs est supérieur à cinq, seul le nom du premier d’entre eux est cité suivi de « et al. ».

Concernant les ouvrages figurant en bibliographie il convient d’adopter la présentation suivante : noms de l’auteur ou de l’éditeur suivi des initiales du (ou des) prénom(s). Année. Titre du livre (en italique et en gras). Ville dans laquelle le livre a été publié, pays : nom de la maison d’édition.

Exemples :

Boutti, R. 2015. Contrôle de Gestion des Entreprises du MASI : Méthodes et Méta-Modèles de Pilotage de la Performance. Centre National pour la Recherche Scientifique et Techniques (CNRST), 449 pges.

Boutti, R. & El Amri, A. 2015. Finance Carbone : Stratégies & Structures. Editions Universitaires Européennes (EUE), 180 pages.

Les revues sont présentées ainsi : noms de l’auteur (ou des auteurs), initiales. Année. Titre de l’article. Nom de la Revue, numéro de volume (numéro de la publication) : numéros des pages. Le numéro de la publication n’est nécessaire que si chaque nouvelle publication d’un même volume commence à la page 1 ; lorsque la pagination est suivie d’un numéro au numéro suivant dans le cadre d’un même volume, l’indication du numéro de publication n’est pas nécessaire.

Exemples :

Boutti, R. 2014. Proximité sociale et environnementale et tangibilité opérationnelle versus RSE : Cas des entreprises marocaines. Revue Scientifique Internationale CREMA/ Centre de Recherches en Economie et Management Africain, vol. 1, N° 2014 : 5-55. 

Boutti, R & El Mosaid, F. 2012. Relationship between Corporate Social Responsibility and Financial Performance in Islamic Banking. Research Journal of Finance and Accounting, vol. 3, N° 10 : 93-103.

Si un article issu d’un périodique n’a pas d’auteur, le nom du périodique suffit, à la fois dans le

texte et dans la bibliographie.

Dans le texte :

Parmi les avancées, on compte l’extension de la prestation compensatoire sans limite d’âge (Le

Monde Initiative, 2004).

Dans la bibliographie :

Le Monde Initiative. 2004. Handicap, quelques avancées. Juillet-Août : 3.

Les chapitres de livres se présentent ainsi : noms des auteurs, initiales. Année. Titre du chapitre (en minuscule sauf pour la première lettre). In suivi des initiales puis du nom de l’éditeur (Ed.), titre du livre (en gras et en italique) : numéro de pages. Ville dans laquelle le livre a été publié, pays : nom de la maison d’édition.

Exemple :

Boutti, R. 2015. Le Développement Durable versus Responsabilité Sociale et Environnementale : cas de l’industrie hôtelière de Las Palmas Gran Canaria et de la Région Souss Massa Draâ. In Sociedad Estalal para la Gestion de la Innovacion y las Tecnologias Turistas (Eds), Foro Internacional de Emprendimiento e investigacion en Turismo : 156-166. Madrid : Conecturatl.

Les papiers non publiés, thèses, communications, doivent suivre la présentation suivante :

Exemples :

Hereng, H. 2003. Réseaux d’observation sociale. Caractérisation et performance. Thèse non publiée de doctorat de gestion, Université des sciences sociales, Toulouse.

Boutti, R. 2014. Promesses et réalités de l’Intelligence Énergétique : cap sur l’Efficacité Énergétique (EE) et les Green IT. Article de communication présenté au 82ème Congrès de l’Association Francophone pour le Savoir (ACFAS), Université Concordia, Montréal, Canada.


[1] Publié par la Commission Mondiale pour l’Environnement et le Développement (CMED). Commission Mondiale pour l’Environnement et le Développement (CMED), Notre avenir en commun, 1987.

Lieux

  • Boite Postale 932 - Agadir Principal
    Agadir, Maroc (80 000)

Dates

  • jeudi 31 mars 2016

Fichiers attachés

Mots-clés

  • management durable, développement durable, management durable 2.0, privé, publique, collectivité territoriale, cop 22

Contacts

  • Rachid Boutii
    courriel : r [dot] boutti [at] uiz [dot] ac [dot] ma

URLS de référence

Source de l'information

  • Rachid Boutii
    courriel : r [dot] boutti [at] uiz [dot] ac [dot] ma

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Management durable 2.0 des organisations « privées, publiques et collectivités territoriales » à l’heure de la COP 22 », Appel à contribution, Calenda, Publié le mercredi 03 février 2016, https://doi.org/10.58079/uam

Archiver cette annonce

  • Google Agenda
  • iCal
Rechercher dans OpenEdition Search

Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search