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L'enfant et ses proches. Dynamiques familiales en Afrique subsaharienne

Children and family dynamics in sub-Saharan Africa

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Publié le jeudi 28 avril 2016

Résumé

Le colloque abordera les dynamiques familiales autour de l'enfant en Afrique subsaharienne, autour de quatre axes : la complexité et la dynamique de l’environnement familial de l’enfant ; l’influence de l’environnement familial sur la situation et le devenir de l’enfant ; les cadres normatifs et les pratiques autour de la parentalité et de l’enfance ; les questions d’ordre méthodologique sur les stratégies de collecte ainsi que sur les potentialités et les limites des différentes sources de données.

The seminar will focus on the family dynamics around children in sub-Saharan Africa, including four axes: the complexity and the dynamics of children's family environment; the influence of family environment on children's situations and outcomes; normative frameworks and practices linked to parenting and childhood; methodological questions about data collection strategies  and about the strengths and shortcoming of the different data sources.

Annonce

Date de tenue du colloque

26, 27, 28 Octobre 2016

Argumentaire

Les relations familiales et l’espace de socialisation des enfants en Afrique sub-saharienne renvoient à des réalités complexes. Dans de nombreux pays de la région, il existe des formes d’organisation familiale qui assurent la prise en charge des enfants dans un réseau familial qui dépasse le couple parental. L’emprise de la parenté, la diversité des formes de vie conjugale, la croissance démographique rapide, ainsi que la mobilité fréquente des individus façonnent un univers relationnel dense, qui se recompose en permanence. Dans ces conditions, l’encadrement de l’enfant et les décisions le concernant ne sont pas seulement l’affaire de ses parents biologiques. Les enjeux autour de sa personne sont susceptibles de relever d’une diversité d’acteurs et de logiques plurielles.

Conjointement aux institutions familiales, de nouveaux acteurs se déploient autour de l’enfant et contribuent à une diversification des modèles de socialisation et de prise en charge des enfants. Ainsi, depuis la Convention internationale des droits de l’enfant (1989), les organismes internationaux mettent l’enfant au coeur de leurs programmes (« Éducation pour tous », « Objectifs du millénaire pour le développement », « Objectifs de développement durable »…). À l’échelle nationale et locale, les cadres juridiques, les structures scolaires (au sein desquelles les enfants passent de plus en plus de temps) et sanitaires sont d’autres lieux de production et de diffusion de références normatives relatives au statut de l’enfant et aux responsabilités parentales. Par les médias, ces différents modèles sont désormais relayés dans toutes les couches de la population. Plus que jamais, les individus sont confrontés à une pluralité de valeurs, de normes, et d’institutions qui affectent la sphère familiale, et en fonction desquelles ils vont organiser leurs pratiques.

Comment, aujourd’hui, se composent les dynamiques familiales autour de l'enfant en Afrique subsaharienne et comment évoluent-elles ?

Quatre principales lignes de questionnement sont proposées.

1) La première porte sur la complexité et la dynamique de l’environnement familial de l’enfant. Il s’agira de dépasser, autant que possible, une approche centrée sur le ménage ou les parents biologiques, pour prendre en compte la pluralité des espaces de prise en charge des enfants et des personnes qui les entourent. On s’intéressera à l’évolution de ces espaces de socialisation familiale, en termes de configuration et d’organisation interne, ainsi qu’aux facteurs qui orientent ou freinent leurs transformations.

Les contributions pourront notamment traiter les thématiques suivantes :

  • l’approche de l’environnement familial en croisant différents angles d’observation : logement, unité économique familiale, ménage, parenté…
  • la réalité multi-située de l’espace familial (pluri-résidences, plurilocalisation des membres de la famille, etc.), y compris les familles transnationales ;
  • la recomposition de l’entourage de l’enfant au cours du temps, dans une perspective longitudinale ;
  • l’influence des évolutions démographiques sur la taille et la composition du réseau de parenté des enfants ;
  • les changements structurels et les ajustements conjoncturels des configurations familiales, et les différenciations socio-économiques, géographiques et culturelles qui leur correspondent;
  • les configurations familiales émergentes ou atypiques.

2) Le deuxième axe porte sur l’influence de l’environnement familial sur la situation et le devenir de l’enfant. Comment la configuration familiale et la place qu’y occupe l’enfant vont-elles jouer sur sa prise en charge et orienter sa trajectoire, par exemple en matière de scolarisation, de mise au travail, de migration ou d’accès aux soins ? Quels sont les ressorts des inégalités de traitement des enfants entre familles et au sein des familles ? Dans la production de ces inégalités, peut-on faire la part des choses entre ce qui relève des caractéristiques de la famille (ses ressources, sa composition..) et ce qui relève du statut et de la capacité d’action des adultes qui s’occupent de l’enfant ? Jusqu’à quel point les dynamiques de recomposition familiale (par exemple par la circulation des enfants, par les scissions familiales…) permettent-elles de prévenir ou d’amortir les inégalités entre enfants ?

L’environnement familial pourra être abordé de différents points de vue, selon les caractéristiques de l’unité familiale, selon la place qu’y occupe l’enfant (rang dans la fratrie, relation avec le chef de ménage…) ou encore selon les adultes présents à ses côtés (sa mère, son père, ses grands-parents, etc.). Les contributions pourront porter notamment sur :

  • la comparaison de la situation et du devenir de l’enfant en fonction de son environnement familial, dans différents domaines (santé, scolarisation, migration, participation aux activités économiques, etc.) ;
  • l’influence du statut et de l’entourage des adultes sur les comportements à l’égard de leurs propres enfants (par exemple est-ce que l’appartenance à une grande famille allonge le circuit de décision pour soigner ou scolariser un enfant ? Est-ce qu’elle augmente au contraire les capacités d’action grâce à un réseau social plus large ?), ainsi que la question de l’autonomie des mères sur la prise en charge des jeunes enfants.
  • la proximité et les différences de traitements et d’itinéraires entre enfants d’une même fratrie, ou d’un même ménage ;
  • l’influence des séparations conjugales et des migrations adultes sur la prise en charge des enfants.

3) Le troisième axe est consacré aux cadres normatifs et aux pratiques autour de la parentalité et de l’enfance. On s’intéressera à la diversification des systèmes de références (valeurs, normes, institutions) relatives à la sphère familiale, conjugale et parentale, et aux usages qu’en font les individus. Il s’agira de débattre ici de l’évolution des figures de la parentalité, qu’elles s’articulent à l’émergence de revendications nouvelles ou relèvent d’un bricolage composant avec les différents registres normatifs en présence. Cet axe pourra être développé de plusieurs façons :

  • l’évolution des rôles et pratiques maternels et paternels, en articulation avec les nouvelles formes de conjugalités urbaines (résidences dissociées, unions informelles…), avec l’augmentation des taux d’instruction et d’activité des femmes (conciliation vie familiale et vie professionnelle) ou encore avec les situations de précarité ;
  • la recomposition des rôles et des attributions parentales dans le contexte de sociétés rurales marquées par des migrations croissantes et la prise en charge d’enfants dont les parents sont absents (enfants nés hors union, orphelins, enfants de migrants, enfants confiés) ;
  • les usages que les individus font des codes et des normes relatifs à la parenté et la famille. Ces référentiels, qu’ils s’inscrivent dans la culture locale ou soient d’importation plus récente (code de la famille, standards internationaux, etc.), peuvent être abordés comme des réservoirs de ressources où les individus vont puiser pour construire et légitimer leurs actions, le cas échéant en détournant et en réinterprétant à leur profit certains éléments normatifs.

Des contributions portant sur l’appartenance, la circulation et les droits des enfants, ainsi que sur les usages et recomposition de la parenté (biologique, juridique, classificatoire, élective) de l’enfant et autour de l’enfant seront particulièrement bienvenues.

4) Enfin les questions d’ordre méthodologique auront une place à part entière dans le colloque, autour de deux principales questions :

  • les stratégies de collecte à développer pour analyser l’environnement familial, ainsi que les dynamiques relationnelles autour de l’enfant. Sont sollicitées des propositions consacrées à des dispositifs de collecte originaux, à l’élaboration d’outils ou de questions susceptibles d’être intégrés à des enquêtes classiques, aux apports et limites d’approches qui abordent la famille au-delà du ménage et des relations parents/enfants, à des méthodologies longitudinales pour saisir la dynamique de l’environnement familial de l’enfant.
  • les potentialités et les limites des différentes sources de données (enquêtes, recensements, suivis de population). Cette question pourra être traitée de différents points de vue, notamment en termes de validité des comparaisons internationales, d’adéquation de la notion de ménage à la réalité familiale, de qualité des déclarations sur les relations de parenté et sur la survie des parents ou encore de l’impact des catégories de collecte (« enfant en ménage monoparental », « enfant ne résidant pas avec ses parents »…) sur la production des indicateurs internationaux de pauvreté ou de vulnérabilité. Les propositions qui abordent la réalité familiale en croisant différentes sources de données sont particulièrement bienvenues.

Les communications devront nécessairement porter à la fois sur l’enfant et sur son environnement familial. L’enfance est abordée comme la période allant de la naissance à la préadolescence (jusqu’à 12 ou 15 ans). Les auteur·e·s sont encouragé·e·s à intégrer une perspective de genre dans leur proposition.

L’appel à communications est ouvert aux différentes disciplines des sciences sociales, à des recherches empiriques ainsi qu’à des interventions développant des pistes théoriques. Les travaux à dimension quantitative occuperont une place centrale dans le séminaire. Sont attendues des communications qui mobilisent des données statistiques classiques (enquêtes, recensements), y compris dans une perspective de comparaisons internationales, et des systèmes d’observation moins classiques (enquêtes spécifiques, suivis de population, etc.). Les travaux fondés sur des approches qualitatives et les approches mixtes sont également bienvenus.

Soumissions

Les propositions de communication sont à soumettre, par courriel,

au plus tard le 31 mai 2016,

sous la forme d’un résumé court (200 mots) et d’un résumé long (2 à 4 pages) précisant la problématique, les données, la ou les méthodes et les résultats attendus. Les auteur·e·s seront informé·e·s mi-juin des résultats de la sélection. La communication écrite sera à transmettre pour le 12 octobre 2016.

Les langues de travail seront l’anglais et le français.

Les participant·e·s sont invité·e·s à trouver par eux-mêmes le financement de leur séjour. À titre exceptionnel, une prise en charge pourra être sollicitée auprès du Comité d’organisation. Celle-ci ne pourra cependant être accordée que dans un petit nombre de cas, en priorité à des intervenant·e·s venant d’Afrique.

Comité scientifique

  • Valérie Delaunay (IRD/LPED, France),
  • Bilampoa Gnoumou Thiombiano (ISSP, Burkina Faso),
  • Véronique Hertrich (Ined, France),
  • Sangeetha Madhavan (Univ. Maryland, États-Unis),
  • Olivia Samuel (UVSQ/Printemps, France),
  • Ann Whitehead (Univ. Sussex, Grande-Bretagne).

Comité d’organisation

  • Aurélien Dasré (UPOND/GTM-CRESPPA),
  • Pascaline Feuillet (Ined),
  • Cécile Leguy (Paris 3/Lacito),
  • Marie Lesclingand (UNS/URMIS),
  • Emma Lherm (Ined),
  • Bruno Masquelier (UCL/Demo),
  • Marc Pilon (IRD/Ceped),
  • Catherine Rollet (UVSQ/Printemps).

Contact : dype-coord@listes.ined.fr – http://slam.site.ined.fr/fr/DyPE/colloque/

Date of the event

26, 27, 28 October2016

Argument

Family relationships and the socialization of children in sub-Saharan Africa are highly complex. In many countries of the region, children are cared for via a family network which extends beyond the parental couple. They grow up in a universe of densely interwoven and constantly changing relationships shaped by family ties, diverse forms of conjugal life, rapid population growth and high levels of individual mobility. As a consequence, the care of children and the decisions concerning them are not the sole responsibility of their biological parents. A wide range of people, applying different rationales, are likely to be involved in their upbringing.

Alongside family institutions, new stakeholders are taking an interest in children's lives and contributing to a diversification of models for the socialization and care of children. For example, since the Convention on the Rights of the Child (1989), international bodies have placed children at the centre of their programmes (Education for all, Millennium Development Goals, Sustainable Development Goals, etc.). At local and national levels, normative references relative to the status of children and the responsibilities of parents are also produced and disseminated via legal frameworks, health and educational structures. These various models are communicated by the media to all sections of the population. More than ever before, individuals are confronted by a multitude of values, norms and institutions affecting the family sphere and shaping the way in which their practices are organized.

In sub-Saharan Africa today, what is the place of children in family dynamics and how is it changing?

Four major themes will be explored.

1) The first concerns the complexity and the dynamics of children's family environment. The aim will be to go beyond an approach centred on the household or the biological parents to consider the multiple contexts and the many players involved in a child's upbringing. These contexts of family socialization will be examined in terms of their internal structure and organization, and in terms of the factors which reshape them or, on the contrary, slow down their evolution.

Contributions on the following topics will be welcome:

  • analysis of the family environment from different angles of observation: housing, family economic unit, household, kin network, etc.;
  • Geographical dispersal of the family unit (multiple residences, family members living in more than one location, etc.) including transnational families;
  • Changes in children's family environment over time, in a longitudinal perspective;
  • Impact of demographic changes on the size and composition of children's kin networks;
  • Structural changes and temporary adjustments in family configurations, and the corresponding socioeconomic, geographical and cultural differentiations;
  • Emerging or atypical family configurations.

2) The second theme concerns the influence of family environment on children's situations and outcomes. How does the family configuration and children's place within it affect their care and their life trajectories, in terms of school enrolment, labour force entry, migration or access to healthcare, for example? What are the factors behind the inequalities of child treatment between families and within families? In the production of these inequalities, can we distinguish between factors linked to the family characteristics (income, composition, etc.) and those linked to the status and agency of the adults who care for the children? To what extent do the dynamics of family recomposition (through child circulation, family division, etc.) offer a means to prevent or limit inequalities between children?

The family environment can be addressed from different angles, depending on the characteristics of the family unit, the place occupied by the children (birth order, relationship to household head, etc.) or the type of adults around them (mother, father, grandparents, etc.). Contributions on the following topics will be welcome:

  • Comparison of the situations and outcomes of children in different family environments, from various angles (health, schooling, migration, child labour, etc.);
  • Influence of the parents' status and of their entourage on their behaviour towards their own children (for example, does belonging to a large family lengthen the decision-making process for taking children to see a doctor or enrolling them in school? Or, conversely, does it increase capacity for action thanks to a larger social network?), and the question of mothers' degree of independence in caring for young children;
  • Similarities and differences of treatment and outcomes among siblings or among children in the same household;
  • Influence of conjugal separation and adult migration on child care.

3) The third theme concerns normative frameworks and practices linked to parenting and childhood. This theme focuses on the diversification of reference systems (values, norms, institutions) relative to the family, conjugal and parental spheres, and the way they are interpreted at the individual level. The aim is to discuss changes in the figures of parenthood, either in response to the emergence of new demands or as an ad hoc combination of the various existing normative frameworks. This theme can be developed in a number of ways:

  • Changes in paternal and maternal roles and practices, and their link to new forms of urban conjugality (non-cohabiting unions, informal unions, etc.), to the increase in female educational enrolment and labour force participation (work-family balance) or to situations of economic insecurity;
  • The recomposition of parental roles and attributions in rural societies marked by increasing migration, and care of children whose parents are absent (children born outside marriage, orphans, migrants' children, fostered children);
  • Individual interpretation of codes and norms relative to parenting and family. These codes and norms, whether rooted in local culture or imported more recently (family code, international standards, etc.) can be seen as reservoirs of resources that individuals can draw upon to construct and legitimize their actions, sometimes by misappropriating and reinterpreting certain normative components to their own advantage;
  • Contributions focusing on child custody, circulation and rights, and on the customs of kinship and their recomposition (biological, legal, classificatory, elective) will be especially welcome.
  • Last, methodological questions will also be addressed at the meeting, via two main topics:
  • Development of data collection strategies for analysing the family environment and the dynamics of relationships between children and family members. We will welcome papers that present original data collection methods, or tools or questions that can be incorporated into standard surveys, that discuss the advantages and drawbacks of approaches that look at the family beyond the household or the parent-child relationship, or that present longitudinal methodologies to capture the dynamics of children's family environment.

4) The strengths and shortcoming of the different data sources (surveys, censuses, demographic surveillance systems). This question can be addressed from different viewpoints, notably in terms of the validity of international comparisons, the notion of the household and its usefulness in describing family realities, the quality of self-reported information on kin relationships or parents' vital status, or the impact of data collection categories ("child in lone-parent household", "child not living with parents", etc.) on the production of international indicators of poverty or vulnerability. Papers that address family realities by cross-matching different data sources will be especially welcome.

Papers must cover both children and their family environment. Childhood is defined as the period from birth to pre-adolescence (up to 12-15 years). Authors are encouraged to include a gender perspective in their proposed paper.

The call for papers is open to different disciplines of the social sciences, to empirical research and studies developing a more theoretical approach. The quantitative dimension will occupy a central position at the seminar. We welcome papers that make use of standard statistical data (surveys, censuses), including for international comparison, or based on more atypical observation systems (specific surveys, Health and Demographic surveillance Systems, etc.), as well as research based on qualitative or combined approaches.

Submissions

Proposals should be submitted by e-mail

before 31 May 2016 at the latest,

in the form of a short abstract (200 words) and a long abstract (2-4 pages) detailing the research question, the data, the method and the expected results. Authors will be informed in mid-June if their paper has been selected. Written papers must be submitted by 12 October 2016.
The working languages will be English and French.

Participants are invited to find their own funding to cover travel and living expenses. In certain exceptional cases, the Organizing Committee may agree to cover these expenses. However, there are only sufficient funds to cover a small number of participants, and priority will be given to speakers coming from Africa.

Scientific committee

  • Valérie Delaunay (IRD/LPED, France),
  • Bilampoa Gnoumou Thiombiano (ISSP, Burkina Faso),
  • Véronique Hertrich (Ined, France),
  • Sangeetha Madhavan (Univ. Maryland, United States),
  • Olivia Samuel (UVSQ/Printemps, France),
  • Ann Whitehead (Univ. Sussex, Great Britain).

Organizing committee

  • Aurélien Dasré (UPOND/GTM-CRESPPA),
  • Pascaline Feuillet (Ined),
  • Cécile Leguy (Paris 3/Lacito),
  • Marie Lesclingand (UNS/URMIS), Emma Lherm (Ined),
  • Bruno Masquelier (UCL/Demo),
  • Marc Pilon (IRD/Ceped), Catherine Rollet (UVSQ/Printemps).

Contact : dype-coord@listes.ined.fr – http://slam.site.ined.fr/en/DyPE/seminar/

Lieux

  • INED 133 Boulevard Davout
    Paris, France (75)

Dates

  • mardi 31 mai 2016

Mots-clés

  • enfance, famille, afrique sub-saharienne

URLS de référence

Source de l'information

  • Olivia Samuel
    courriel : olivia [dot] samuel [at] uvsq [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« L'enfant et ses proches. Dynamiques familiales en Afrique subsaharienne », Appel à contribution, Calenda, Publié le jeudi 28 avril 2016, https://doi.org/10.58079/uzd

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