AccueilLes écritures de l'économie aux époques médiévale et moderne

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Les écritures de l'économie aux époques médiévale et moderne

The Economy in writing: Medieval and Modern Economic records and their use

VIIe école d'été d'histoire économique

7th summer school of economic history

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Publié le jeudi 08 mars 2018

Résumé

La septième école d’été d’histoire économique, qui se réunira à Suse (Piémont, Italie) les 27, 28 et 29 août 2018, aura comme thème « Les écritures de l’économie aux époques médiévale et moderne : de l’enregistrement de l’activité à l’usage des documents ». La vie économique implique le recours à l’écriture et la maîtrise de compétences multiples, qui vont de la mise par écrit des titres de propriété aux différentes techniques permettant de mesurer la circulation des flux d’objets produits ou d’argent entre les parties. Les organisateurs, reprenant des thèmes désormais familiers aussi bien aux médiévistes qu’aux modernistes, désirent travailler sur la question des rationalités pratiques telles qu’elles se dévoilent à travers les opérations qui peuvent être énoncées à l’aide des verbes, écrire, compter, mesurer.

Annonce

Présentation

La septième école d’été d’histoire économique, qui se réunira à Suse (Piémont, Italie) les 27, 28 et 29 août 2018, aura comme thème « Les écritures de l’économie aux époques médiévale et moderne : de l’enregistrement de l’activité à l’usage des documents ». Cette thématique permettra de poursuivre et d’approfondir celles qui ont été développées les années précédentes (la valeur des choses, la pauvreté, les biens communs, les moyens de paiement, la qualité, l’organisation du travail)

Institutions partenaires

L’école d’été d’histoire économique rassemblera des chercheurs, des enseignants-chercheurs, des chercheurs postdoctoraux, et des doctorant.e.s de toutes nationalités. Les institutions partenaires sont l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’EPHE, l’Université de Toulouse 2 Jean Jaurès, les Archives Nationales (Paris) et le CNRS. Les laboratoires impliqués sont les suivants : LAMOP (UMR 8589, Paris 1/CNRS), SAPRAT (EA 4116 EPHE), FRAMESPA (UMR 5136, Toulouse 2/CNRS), IDHES (UMR 8533 Paris 1/CNRS). La manifestation reçoit également l’appui financier du LabEx HASTEC (Histoire et Anthropologie des Savoirs, des Techniques et des Croyances) et se déroulera sous le patronage de l’Association française d’histoire économique (AFHé).

Objectifs et nature de l’opération

La nature du thème implique, outre la mobilisation d’historiens médiévistes et modernistes, la présence de sociologues spécialisés dans l’étude de la vie économique et d’économistes. La méthode proposée est de faire présenter une série d’exposés par des spécialistes et de les mettre en débat. Le but poursuivi est d’approfondir nos connaissances et nos réflexions sur ces matières et de permettre à des doctorant.e.s ou à des postdoctorant.e.s de s’associer à ces travaux par une participation active. La partition des doctorant.e.s/postdoctorant.e.s prendra la forme d’exposés sur leurs propres travaux et de prises de paroles dans le débat suivant les interventions.

Thématique de la session 2018

La parution presque simultanée à la fin des années 1970 des travaux de J. Goody et de M. Clanchy sur l’écriture ainsi que les réflexions d’auteurs comme R. Chartier sur le fonctionnement de l’écriture comme outil de la réflexion et non pas simplement comme moyen de son expression a eu des incidences très profondes dans le champ de l’histoire économique. Ces ouvrages ont été l’occasion d’un renouvellement des recherches et d’une réorientation de ses méthodes plaçant au centre de la recherche la question des sources et de leur traitement.

Dans les années 1960-1970 les auteurs des grandes thèses d’histoire économique ont mobilisé des sources diverses, des comptabilités et des listes de prix d’abord, mais aussi des cartulaires ou des censiers et se sont efforcés d’en tirer des séries statistiques à l’intérieur desquelles ils cherchaient des régularités afin de décrire des conjonctures et d’établir la chronologie de cycles. Ce travail a été mené à bien avec beaucoup de patience et souvent de talent : l’établissement et l’exploitation de séries statistiques par des auteurs comme C. de la Roncière ou, à un autre niveau, E. Labrousse et E. Le Roy Ladurie force l’admiration et les résultats auxquels ils sont parvenus, très robustes, sont toujours exploitables.

L’émergence d’une « anthropologie de l’écriture », le début de la réflexion sur les rationalités pratiques aux périodes médiévale et moderne a modifié les données du problème. Les nombres sont devenus moins intéressants que les conditions de leur élaboration, de leur inscription, de leur usage et de leur transmission.

S’intéresser aux rapports entre écriture et vie économique c’est d’abord s’affronter à une évidence, celle de l’abondance des sources chiffrées, la question principale devenant alors celle de la construction des nombres : que comptait-on, comment s’y prenait-on et pourquoi le faisait-on ? La réponse ne va pas de soi et contraint à plonger au cœur des pratiques culturelles, mais aussi au cœur des savoirs mobilisés par les agents médiévaux et modernes pour parvenir à organiser la production et l’échange alors même que les opérations auxquelles ils se livraient pouvaient être effroyablement complexes.

L’écriture comptable, par exemple, n’a pas que des usages de bilan : les résultats d’exploitation sont un point important, sans doute davantage pour nous que pour les acteurs, au moins ceux de l’époque médiévale. Elle permet d’avoir des effets matériels, en contribuant à la construction de nouvelles réalités. Un exemple classique est celui donné par A. Stella qui a montré que, dans la Florence du xive siècle, il ne pouvait pas exister de manufacture textile au sens où on l’a entendu depuis la Révolution industrielle, de sorte que le simple fait de prendre note de toutes les transactions, de les mettre en ordre et de les inscrire dans des registres comptables, permettait aux détenteurs de capitaux de construire des manufactures abstraites. Seuls les chiffres inscrivant les transferts de propriété et le passage des produits d’un atelier à un autre permettait de représenter la réalité. Ces manufactures immatérielles n’ont de réalité que dans les chiffres qui les décrivent et n’ont pas laissé de trace physique sur le territoire.

Le rôle de l’écriture dans la vie économique va très au-delà de simples compte-rendu permettant de décrire le réel. Elle permet de le penser et de le modifier, souvent de façon très intentionnelle, les jeux sur les chiffres permettant de construire de nouvelles réalités.

Le monde de la production à grande échelle ou du grand commerce est loin d’être le seul à être concerné par l’utilisation du chiffre. La vie agraire est évidemment concernée, et son bon fonctionnement implique aussi des compétences qui, au-delà du chiffre, impliquent une capacité à organiser le réel et à le penser de façon concrète. Les grands polyptyques carolingiens sont des exemples précoces d’un tel usage des nombres mis en rapport avec une réalité. Ce ne sont pas de simples inventaires permettant de décrire la situation à un moment donné, mais ce sont aussi des instruments de prise de contrôle de l’espace. Leur confection implique en effet une enquête et l’envoi d’agents qui interrogent dans chaque domaine. Elle n’est possible que parce que le questionnaire proposé ou imposé aux agents est normalisé et que les réponses permettent d’établir de véritables fiches proposant à l’utilisateur des renseignements homogénéisés. D’autre part, les administrateurs calculent des sommes dont la structure permet d’établir l’existence d’autres documents comptables que le polyptyque lui-même. Bref, le document qui a été sauvegardé et conservé doit être considéré comme l’instrument central d’une gestion dynamique et comme l’un des éléments de l’administration monastique. De telles remarques peuvent être faites et approfondies dès lors que l’on aborde la question des comptabilités manoriales anglaises dont il est évident qu’elles ont une fonction administrative, de construction d’outils de gouvernement autant qu’elles ont vocation à informer les autorités seigneuriales sur l’état des biens et des revenus de l’institution.

Le rapport de la vie économique aux nombres, qui passe nécessairement par l’écrit, nous donne donc des informations nombreuses sur les dispositifs institutionnels permettant de contrôler et de gouverner. Les écritures de l’économie sont, de ce point de vue, des éléments importants de ce que Foucault appelait la pastorale et qui englobe aussi bien la recherche et l’organisation des informations sur tous les aspects de la vie que l’action sur la réalité institutionnelle et sociale.

Elles agissent à d’autres niveaux, beaucoup plus humbles mais non moins importants. Une des découvertes les plus stimulantes de ces dernières années a sans doute été la découverte de l’importance de comptabilités artisanales, quelles que soient leurs formes. La boutique a laissé des traces : l’activité quotidienne des agents économiques comprend aussi l’écriture. Des artisans de plus ou moins grande envergure ont ainsi écrit, conservé et transmis les écritures qui leur servaient quotidiennement à gérer leurs affaires et à traiter des faits les plus ordinaires : prêts et remboursements, achats de marchandises, fragments de correspondance, comptabilités partielles. Ces mémoriaux, que l’on pensait socialement marqués et réservés aux grands marchands ou aux grands seigneurs, sont en fait employés aussi par des agents de petite ou de très petite envergure mais dont l’activité, se déployant parfois sur plusieurs décennies et pouvant concerner des zones géographiques étendues, ne peut pas se passer d’écritures qui servent d’aide-mémoire et assurent une première mise en ordre des affaires, avant même la tenue d’un livre comptable structuré selon des règles précises. Il y a là toute une activité souvent très empirique mais dont l’étude et la compréhension sont devenus des sujets de première importance qui éclairent d’un jour nouveau le travail et la commercialisation des produits, tout comme ils permettent d’aborder la vie matérielle dans ses aspects concrets comme dans ses aspects abstraits. Cette compréhension implique le recours aux méthodes les plus strictes de l’érudition et fait appel à l’étude rigoureuse des conditions de production et d’utilisation des documents. Comment et pourquoi passe-t-on à l’écrit ? Que note-t-on et dans quel ordre ? L’étude des cahiers, de leur disposition, de leur préparation, celle, de même de leur ordre, l’histoire matérielle du manuscrit, de ses démontages et remontages deviennent alors des instruments essentiels d’une étude critique qui permet de ne pas considérer un registre comme une carrière de faits mais comme un texte qui donne des informations particulières même sur la vie économique, c’est-à-dire sur la production, les échanges et, éventuellement, la consommation.

La vie économique médiévale est faite de pratiques avec, jusqu’au xve siècle, assez peu de théories et peu de formalisation verbale sur ce qui est effectivement visé. La période moderne est de ce point de vue très différente dès lors que l’on se situe à un haut niveau d’organisation et de contrôle : les comptabilités à partie double sont théorisées depuis Pacioli, même si leur usage s’est construit empiriquement comme le montre l’existence d’ensembles complexes comme les Archives Datini du début du XVe siècle. Leur étude, comme l’a montré P. Gervais, ne doit pas être naïve. Il continue d’y avoir une pratique sans théorie, dont la transmission fait partie de ces savoirs tacites, non verbalisés, non conceptualisés, mais effectifs et efficaces. À l’époque moderne, la multiplication des manuels de comptabilité et la promulgation de prescriptions réglementaires ne parviennent pas à normaliser ces pratiques.

Il y a là un champ d’étude neuf et particulièrement intéressant et, surtout, très vivant et très actif qu’il y a intérêt à pouvoir approfondir avec les doctorant.e.s qui le mettent en œuvre comme avec les postdoctorant.e.s qui ont déjà montré leur dextérité en la matière.

C’est pourquoi nous envisageons une école d’été comportant 6 sessions de leçons, entrecoupées d’études de cas présentées par les doctorant.e.s et postdoctorant.e.s :

1. Historiographie (médiévale et moderne)

2. Le point de vue des économistes et des sociologues

3. Pratiques marchandes et artisanales : les écrits de la boutique et celui de l’atelier

4. Présentation de 4 fonds d’archives : le fonds Datini (ASPrato), le fonds de la Biccherna (ASSienne), le fonds Turgot (AN) et le minutier central des notaires de Paris (AN)

5. L’organisation de la production : les outils de gestion

6. Prélèvement et fiscalité : les actes de la collecte

Modalités d’inscription pour les doctorant.e.s/postdoctorant.e.s

Des places sont disponibles pour les jeunes chercheurs – doctorant.e.s ou post-doctorant.e.s – en histoire économique médiévale et moderne, en économie ou en sociologie. Les langues de travail étant l’anglais et le français, les candidat.e.s devront avoir une connaissance minimale des deux langues (l’expression orale se fera dans la langue de son choix).

Il sera demandé aux candidat.e.s une communication orale de 15 min. en rapport avec le sujet des journées. Cette communication se fera à partir de la présentation d’un fonds d’archives ou d’une source d’histoire économique qui a été au cœur de leur recherche.

L’organisation prendra en charge l’intégralité du séjour sur place. Les frais de déplacement (aller-retour) sont remboursés jusqu’à 200 euros.

Le nombre des places étant limité, les candidatures seront examinées par un comité de sélection composé des organisateurs scientifiques des journées.

Le dossier (en anglais ou en français) comprendra

  • Un curriculum vitae détaillé
  • Une présentation (2 pages minimum) du sujet de doctorat, des sources utilisées et de la communication orale envisagée. 

Les candidatures sont à envoyer avant le 15 mai 2018

(réponse avant le 26 mai)

à Emmanuel Huertas (Univ. Toulouse 2) : emmanuel.huertas@univ-tlse2.fr

Responsables scientifiques

  • Michela Barbot (CNRS, Idhes, ENS Cachan)
  • Patrice Baubeau (Univ. Paris Nanterre, Idhes)
  • Marc Bompaire (EPHE, Saprat)
  • Julie Claustre (Univ. Paris 1, Lamop)
  • Anne Conchon (Univ. Paris 1, Idhes)
  • Laurent Feller (Univ. Paris 1, Lamop)
  • Agnès Gramain (Univ. Lorraine, Beta)
  • Emmanuel Huertas (Univ. Toulouse 2/CNRS, Framespa)
  • Rosine Lheureux (Archives Nationales – Paris)

Liste des participants

  • Isabelle Aristide (Archives Nationales - Paris)
  • Michela Barbot (CNRS, Idhes ENS Cachan)
  • Patrice Baubeau (Univ. Paris-Nanterre, Idhes)
  • Marc Bompaire (EPHE, Saprat)
  • Ghislain Brunel (Archives Nationales - Paris)
  • Julie Claustre (Univ. Paris 1, Lamop)
  • Albane Cogné (Univ. Tours, Cethis)
  • Anne Conchon (Univ. Paris 1, Idhes)
  • Natacha Coquery (Lyon 2, Larhra)
  • Harmony Dewez (Univ. Poitiers, Cescm)
  • Laurent Feller (Univ. Paris 1, Lamop)
  • Andrea Giorgi (Univ. Trente)
  • Agnès Gramain (Univ. Lorraine, Beta)
  • Jérôme Hayez (CNRS, Lamop)
  • Emmanuel Huertas (Univ. Toulouse 2/CNRS, Framespa)
  • Pauline Lemaigre-Gaffier (Univ. Versailles-Saint-Quentin, Dypac)
  • Rosine Lheureux (Archives Nationales - Paris)
  • Marie-Françoise Limon-Bonnet (Archives Nationales - Paris)
  • Nicolas Praquin (Paris-Sud, Ritm)
  • Roland Viader (CNRS, Framespa)
  • Florence Weber (ENS Paris, Centre Maurice Halbwachs)

Organisation des journées

(arrivée des participants : dimanche 26 août dans l’après-midi)

Journée 1 : lundi 27 août

Matin                                               

8 h 15 : Accueil des participants

8 h 30 : Session 1 – L’historiographie médiévale et moderne

  • Laurent Feller (Paris 1, Lamop)
  • Anne Conchon (Paris 1, Idhes)

9 h 30 : discussion

10 h 00 : pause

10 h 30 : Session 2 – Le point de vue des économistes et des sociologues

  • Nicolas Praquin (Paris-Sud, Ritm)
  • Florence Weber (ENS Paris, Centre Maurice Halbwachs)

11 h 30 : discussion

12 h 00 : repas

Après-midi

14 h 00 : Session 3 – Pratiques marchandes et artisanales : les écrits de la boutique et de l’atelier

  • Julie Claustre (Paris 1, Lamop)
  • Natacha Coquery (Lyon 2, Larhra)

15 h 00 : discussion

15 h 30 : pause

16 h 00 : Session 4 – Doctorant.e.s / postdoctorant.e.s

 

  • coord. Emmanuel Huertas (Univ. Toulouse 2/CNRS, Framespa)

17 h 30 : discussion

18 h 00 : fin des travaux de la journée

Journée 2 : mardi 28 août

Matin 

8 h 30 :Session 5 – Deux grands fonds d’archives d’époque médiévale

 

  • Jérôme Hayez (CNRS, Lamop) : le fonds Datini (Archivio di Stato di Prato)
  • Andrea Giorgi (Univ. Trente) : le fonds de la Biccherna (Archivio di Stato di Siena)

9 h 30 : discussion

10 h 00 : pause

10 h 30 : Session 6 – Deux grands fonds d’archives d’époque moderne

  • Isabelle Aristide (Archives Nationales - Paris) : le fonds Turgot (AN)
  • Marie-Françoise Limon-Bonnet (Archives Nationales - Paris) : le minutier central des notaires de Paris (AN)

11 h 30 : discussion

12 h 00 : repas

Après-midi : Excursion en val de Suse

  • Visite coord. Andrea Zonato, archiviste (Centro Culturale Diocesano di Susa)

Journée 3 : mercredi 29 août

Matin

8 h 30 :Session 7 – L’organisation de la production : les outils de gestion

  • Ghislain Brunel (Archives Nationales - Paris)
  • Pauline Lemaigre-Gaffier (Univ. Versailles-Saint-Quentin, Dypac)

9 h 30 : discussion

10 h 00 : pause

10 h 30 : Session 8 : doctorant.e.s / postdoctorant.e.s

  • coord. Patrice Baubeau (Univ. Paris-Nanterre, Idhes)

12 h 00 : discussion

12 h 30 : repas

Après-midi

14 h 00 : Session 9 – Prélèvement et fiscalité : les actes de la collecte

  • Harmony Dewez (Univ. Poitiers, Cescm)
  • Albane Cogné (Univ. Tours, Cethis)

15 h 00 : discussion

15 h 30 : pause

16 h 00 : Session 10 – doctorant.e.s / postdoctorant.e.s

  • coord. Michela Barbot (CNRS, Idhes)

17 h 30 : discussion

18 h 00 : Table-ronde conclusive

18 h 30 : fin des travaux de la 7e école d’été

(nuit d’hébergement prise en charge si départ le jeudi 30 août )

Lieux

  • Archivio diocesano Susa - 16, Piazza San Gusto
    Suse, Italie (10059)

Dates

  • mardi 15 mai 2018

Fichiers attachés

Mots-clés

  • histoire, archive, document

Contacts

  • Emmanuel Huertas
    courriel : emmanuel [dot] huertas [at] univ-tlse2 [dot] fr

URLS de référence

Source de l'information

  • Emmanuel Huertas
    courriel : emmanuel [dot] huertas [at] univ-tlse2 [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Les écritures de l'économie aux époques médiévale et moderne », École thématique, Calenda, Publié le jeudi 08 mars 2018, https://doi.org/10.58079/zra

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