AccueilIci par ailleurs : l'international en question

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Ici par ailleurs : l'international en question

Here via elsewhere: the "international" in question

5e rencontres doctorales en architecture et paysage

5th doctoral conferences in architecture and landscape

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Publié le mardi 15 janvier 2019

Résumé

Depuis 2010, les rencontres doctorales nationales en architecture et paysage sont organisées sous l’égide du ministère de la Culture – direction générale des Patrimoines – service de l’Architecture - bureau de la Recherche architecturale, urbaine et paysagère. Les 5èmes rencontres doctorales sont organisées et accueillies en 2019 par l’École nationale supérieure d’architecture de Lyon. Ces rencontres nationales offrent aux doctorant(e)s et jeunes docteurs l’occasion de communiquer et de partager le fruit de leurs recherches avec la communauté scientifique. La thématique de l’international sera en 2019 le ferment des échanges, à l’appui de trois formes distinctes : des communications orales qui se traduiront en un article scientifique, des posters et des ateliers thématiques transversaux.

Annonce

Argumentaire

Depuis 2010, les rencontres doctorales nationales en architecture et paysage sont organisées sous l’égide du ministère de la Culture – direction générale des Patrimoines – service de l’Architecture - bureau de la Recherche architecturale, urbaine et paysagère. Les 5èmes rencontres doctorales sont organisées et accueillies en 2019 par l’École nationale supérieure d’architecture de Lyon.

Ces rencontres nationales offrent aux doctorant(e)s et jeunes docteurs l’occasion de communiquer et de partager le fruit de leurs recherches avec la communauté scientifique. La thématique de l’international sera en 2019 le ferment des échanges, à l’appui de trois formes distinctes : des communications orales qui se traduiront en un article scientifique, des posters et des ateliers thématiques transversaux.

Toute thèse de doctorat se doit de faire l’état de l’art d’une problématique en mobilisant des ressources et la production de connaissances à l’échelle internationale, d’élargir sa bibliographie à d’autres langues. Que vous soyez étudiants étrangers ayant choisi le contexte français pour mener votre thèse ou étudiants français désireux de franchir les frontières, les mouvements d’aller et retour entre les pays et les différentes cultures scientifiques seront au coeur des débats. Savoir replacer ses travaux dans une perspective internationale est une condition de pertinence de l’espace de recherche que vous construisez. Qu’il soit d’ici ou d’ailleurs, votre objet de recherche peut directement questionner l’universalité d’un concept, la circulation de modèles de pensée ou s’intéresser plus spécifiquement à l’ancrage local d’une question spatiale qui singularise au contraire votre approche.

L’internationalisation croissante de la recherche concerne aussi le domaine de l’architecture et pose des questions spécifiques quant aux manières de concevoir et pratiquer la recherche, avec toutes les diversités propres aux champs qui construisent la discipline. L’internationalisation renvoie à la fois à des questions de standardisation, à des problématiques d’ouverture et de partage de données mais aussi à l’ouverture à d’autres contextes, d’autres manières de problématiser ou d’autres manières de faire de la recherche.

Les 5èmes Rencontres doctorales en architecture et paysage proposent d’explorer cette condition de l’ici et de l’ailleurs dans ses modalités concrètes tant elle exige de la réflexivité de la part du chercheur : qu’est-ce qu’objectiver un autre contexte ? Quid de la maîtrise d’autres langues ou de la pratique d’une langue tierce commune ? Quelles temporalités et spatialités choisir : combien de temps rester sur des terrains non familiers ? Comment s’y immerger ? Que faire de la rencontre d’autres cultures scientifiques ?

Les propositions attendues pour les communications ou les posters seront davantage des mises en perspective de votre projet de doctorat vis-à-vis de la thématique de l’international plutôt qu’une présentation stricto sensu de votre sujet ou de vos résultats.

Elles seront positionnées dans l’un des quatre axes thématiques suivants :

  1. Contextes
  2. Objets de recherche
  3. Langues et langages
  4. Méthodologies et postures

1. Contextes

La conduite d'une thèse de doctorat dans un contexte étranger et/ou international introduit un ensemble de questions d'ordre épistémologique et pratique notamment. Elles se posent autant aux étudiant(e)s français travaillant en dehors de la France qu’aux étudiant(e)s étrangers réalisant leur thèse en ou sur la France. Et elles sont probablement tout aussi variées que les contextes eux-mêmes, entre le travail dans/sur une grande agence internationale ou le travail au plus près du terrain. Des propositions interrogeant les dimensions épistémologique et/ou pratique sont attendues ici :

  • épistémologique : en quoi un contexte est-il international et/ou étranger par les questions de recherche qu'il présente, au-delà de sa situation géographique hors de France ? Et quels forme et/ou objet de recherche spécifique associe-t-on à l'usage du mot « contexte », vis-à-vis d'autres termes apparentés comme « terrain » ou « site » ? Comment interviennent les contextes/niveaux de développement, le parti pris ou non par la profession d'architecte et le rôle de la production de connaissances vis-à-vis de la société étudiée ?
  • pratique : dans le cas de recherches situées dans des contextes imposant des conditions de travail spécifiques (accessibilité géographique, risques en terme de sécurité, situation politique limitant l’accès à l'information, le contact avec la population, aux archives, etc.), en quoi ces situations impactent-elles le travail du doctorant et induisent-elles des formats de thèse singulier ?

2. Objets de recherche

Pour la recherche architecturale, urbaine et paysagère, les processus d’internationalisation en tant qu’objet de recherche peuvent faire l’objet de plusieurs approches :

  • dans le champ des théories et des doctrines : les publications, les formes, les idées circulent depuis longtemps au-delà des différentes frontières linguistiques et nationales. Dans le domaine de l'architecture, de la ville et du paysage, aux revendications d'internationalisation d'hier s'ajoute une nouvelle étape de mondialisation qui engage des thématiques renouvelées mais aussi de nouvelles échelles de référence. Cette expansion des domaines d'interventions et des échelles s'accompagne d'un mouvement de relocalisation, de constructions trans-locales, qui réactualisent alors les tensions entre universalisme et localisme. L'ancrage territorial des productions architecturales, urbaines et paysagères et des énoncés théoriques qui les précédent et les accompagnent se comprend alors à partir d'une géo-histoire plus complexe que certaines présentations pourront mettre en relief :
  • la globalisation des modes opératoires de la fabrique architecturale et urbaine, notamment dans des secteurs spécifiques (hôtellerie, tertiaire, tourisme, industrie, etc.) tend à homogénéiser certaines productions bâties, certains procédés techniques, certains espaces (tels que les entrées de villes, les zones commerciales, les zones aéroportuaires, etc.). Avec les opérateurs mondialisés (Béal et Rousseau, Lorrain), se déploient une financiarisation et une pensée néo-libérale de la ville qui se superposent à la diversité des contextes culturels et des traditions urbanistiques et constructives. Comment évoluent dans ce contexte les processus de prise de décision, comment s’adaptent les faiseurs (maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’oeuvre) de la ville, de nouveaux métiers émergent-ils ?
  • le projet architectural et urbain comme processus situé : l’ancrage du projet dans une culture urbaine, un contexte morphologique, des systèmes d’acteurs historicisés, un environnement légal, questionne la posture des concepteurs. Comment se forme alors le dialogue entre le global et le local dans les réflexions sur le projet ? Comment se forme aussi un dialogue entre modes de faire locaux, traditions séculaires d’une part et internationalisation des prix (Pritzker), références, des formations, des débats sur l’architecture et sur l’urbain, d’autre part ? Comment intégrer les enjeux environnementaux globaux (i.e. changement climatique), ou encore des questionnements sociaux et éthiques liés à l’acte constructif et aménageur, dans des contextes locaux où ils peuvent se poser de manière différenciée ?

3. Langues et langages

Pour la recherche architecturale, urbaine et paysagère, les ouvertures internationalespermettent de se nourrir de l'écart des cultures, de construire des trajets qui mènent les doctorant(e)s en dehors de leurs langues et cultures d'origine. Ces déplacements comme les espaces de traduction instaurés, et ce bien au-delà des efforts de langue, sont autant de jeux d'appropriation au sein d'une diversité élargie de pratiques et de théories : ces trajets opérant autant depuis la France que vers la France.

Les écarts entre cultures de recherche : il est attendu de témoigner, à partir de cet horizon international de la recherche architecturale urbaine et paysagère, des enrichissements (mais aussi des difficultés) liés à la rencontre d'autres manières de faire, de penser de construire, de théoriser, d'observer, d'assembler, de débattre. Ces gestes de décentrement, d'immersion, de traduction, de reformulation, engagent un ensemble d'activités intellectuelles particulièrement actives au sein du travail de recherche qu'il sera être utile de mettre en évidence :

  • une approche spécifique : celle de la recherche par le projet, ou research by design, pourra mettre utilement en évidence ces écarts de définitions et de représentations. Les cultures anglo-saxonnes notamment ont mises en oeuvre depuis une bonne dizaine d’années des pratiques de recherches "by design". À voir la difficulté d'appropriation de telles pratiques par d’autres cultures, on comprend qu'il ne s'agit pas uniquement d'une question de vocabulaire, mais bien plus profondément, d'enjeux d'appropriations culturelles qui mettent en mouvement les performances et les résistances de chaque situation professionnelle nationale. Il sera utile de recevoir des témoignages et réflexions quant à la migration comme de la résistance au déplacement de certains concepts ou méthodes.
  • autour de grammaires et de vocabulaires, mais aussi de langages différents : ici se joue sans doute la question du bilinguisme des doctorats, et de la manière dont peut se fabriquer un milieu de recherche transnational, ouvert à de nouveaux énoncées de connaissances, soucieux de ne pas se dissoudre dans un monolinguisme anglophone, mais au contraire de saisir la richesse des pluralités linguistiques. Pour ce qui est de l'architecture, la recherche se fonde aussi sur des langages graphiques, cartographiques, schématiques, plastiques, qui constituent peut-être des vecteurs de porosités privilégiées entre les univers linguistiques que les sphères écrites et parlées ont tendance, de fait, à rendre plus étanches. Certaines présentations pourront alors mettre en évidence cette malléabilité du langage architectural à se défaire de certaines contraintes du langage.

4. Méthodologies et postures

La rencontre d’autres cultures scientifiques s’applique tout particulièrement au tropisme français, à considérer combien l’ouverture à l’international se révèle essentielle dès lors que l’on entend mener des investigations à visée critique − méthodes, approches, problématisations −, qu’il s’agisse d’enjeux architecturaux, historiques et patrimoniaux, urbains ou environnementaux. En outre, la mise en perspective des législations et des réglementations peut se révéler des plus éclairantes pour appréhender les phénomènes d’acculturation, de transfert et de résistance notamment pour tout ce qui recouvre les cultures liées au projet architectural et les contextes de production ; l’étude des cultures techniques nationales n’étant certainement pas à négliger non plus. Un tel postulat permet de forger des outils opératoires dans le dessein d’analyser les relations entre les centres de production et les périphéries ainsi que les modes de diffusion. Cet éclairage s’impose dans les investigations contemporaines soucieuses d’appréhender les globalisations des cultures architecturale et urbaine et leurs conséquences.

De nombreuses disciplines ont connu d’importants débats et parfois des controverses sur les conséquences méthodologiques de cette condition. On peut songer aux sciences politiques, à l’histoire, à l’anthropologie ou à la géographie : penser par cas, par comparaison, de manière croisée, de manière multi-située… Ces différentes options ne valent pas en soi mais relativement à des problématiques qui peuvent traquer l’état du rapport entre local et global, entre le spécifique et le générique (des travaux sur la circulation des modèles et doctrines par exemple). Ces termes mêmes sont-ils du reste encore appropriés ? Le décentrement du regard n’est jamais chose évidente et sa pratique comporte des conséquences directes quant à la portée de certaines notions cardinales, notamment pour ce qui concerne les disciplines de l’espace.

Calendrier 2018-2020

  • 17 décembre 2018 : lancement de l’appel à communications et à posters
  • 4 février 2019 : date limite de soumission des propositions de communication et poster (modèle de fiche et consignes ci-dessous)
  • À partir du 8 mars 2019 : annonce des communications et posters retenus
  • 10 mai 2019 : remise des articles de 30 000 signes (espaces compris) pour les préactes (consignes aux auteurs ci-dessous)
  • 13 juillet 2019 : date limite d’inscription aux Rencontres doctorales 2019
  • 11 septembre 2019 (fin d’après-midi) : conférence d’ouverture
  • 12 et 13 septembre 2019 : communications, posters et ateliers
  • Fin septembre : sélection des articles pour la publication / demande de corrections aux auteurs
  • Fin novembre 2019 : remise des articles définitifs pour publication en 2020 aux Éditions du Patrimoine (collection Recherche & Architecture)

Fiche type d’envoi des propositions de communication

Nom et prénom :

Titre de la proposition :

Positionnement dans l’un des axes thématiques : 1, 2, 3 ou 4

Résumé de la proposition : 3000 signes maximum (espaces compris, sans la

bibliographie)

Bibliographie : 5 références maximum, selon les normes en vigueur

CV court : 1000 signes maximum (espaces compris)

Titre de la thèse :

Direction et/ou codirection :

École Doctorale :

Équipe d’accueil, établissement de rattachement :

Cotutelle autres pays :

Date de première inscription :

Nombre d’inscriptions :

Si la thèse est déjà soutenue, préciser la date de soutenance :

Consignes aux auteurs pour la rédaction de l’article (pré-actes après sélection)

Nom et prénom :

Titre de la proposition (français/anglais) :

Résumé : 500 signes maximum, espaces compris (français/anglais)

Mots clés (français/anglais) : 5 maximum

Article : 30 000 signes (espace compris), hors bibliographie, au choix : français ou

anglais

Bibliographie

Adresse d’envoi des propositions de communication, posters et futurs articles :

rencontres-doctorales2019@liste.archi.fr

Consignes aux auteurs pour proposer un poster

L’appel à communication orale est complété par un appel à communication par poster.

L’exposition de posters est une occasion supplémentaire offerte aux doctorant(e)s et aux jeunes docteurs pour présenter leurs travaux en cours ou récemment finalisés.

Les problématiques de recherche des posters doivent s’inscrire en cohérence avec les thématiques des 5èmes Rencontres doctorales en architecture et paysage 2019. Ces propositions feront aussi l’objet d’une évaluation par le conseil scientifique des 5èmes Rencontres. Une notification d’acceptation, de demande de précisions ou de modifications, ou de refus, sera adressée à tous les auteurs de propositions d’un poster.

Les posters devront comporter un titre explicite, la présentation du cadre de l’étude, la formulation de(s) question(s) de recherche(s) et/ou des hypothèses, les références/sources/cadre théorique, les méthodologies, les apports/résultats/conclusions.

Le poster, de format A0 orienté de façon verticale, mentionnera :

nom, prénom et e-mail du/de la doctorant(e), école doctorale et équipe d’accueil, ainsi que le nom du directeur ou de la directrice de thèse. Une attention particulière sera portée à la qualité des documents graphiques et à l’équilibre entre texte et iconographie.

Le projet de poster sera adressé au format PDF (5 Mo maximum à cette étape) à :

rencontres-doctorales2019@liste.archi.fr

L’impression en haute définition des posters retenus sera prise en charge par l’organisation des 5èmes Rencontres doctorales.

Comité scientifique

Responsables scientifiques ou membres référents des 10 réseaux scientifiques thématiques (RST) habilités par le ministère de la Culture :

Réseau AMBIANCES (ENSA Grenoble) :

  • Damien MASSON, MCF en géographie, Université de Cergy-Pontoise (membre de l’UMR AAU, équipe CRESSON, ENSA Grenoble)
  • Andrea URLBERGER, MCF HDR en ATR, ENSA Toulouse (membre du LRA, ENSA Toulouse)

Réseau ARCHES (ENSA Strasbourg) :

  • Denis BRUNEAU, PR HDR en STA, ENSAP Bordeaux (directeur du GRECCAU, ENSAP Bordeaux)
  • Emmanuel DUFRASNE, MCF STA, ENSA Strasbourg (membre d’AMUP, ENSA Strasbourg)

Réseau APC (ENSA Lyon) :

  • Philippe DUFIEUX, PR HDR en HCA, ENSA Lyon (membre de l’UMR EVS, équipe LAURE, ENSA Lyon)

Réseau Centre SUD (ENSA Paris-Val de Seine) :

  • Agnès DEBOULET, PR HDR en SHS, Université de Paris 8 (membre de l’UMR LAVUE, équipe AUS, Université de Paris 8)

Réseau ERPS (ENSA Saint-Etienne) :

  • Xavier GUILLOT, PR HDR en VT, ENSAP Bordeaux (membre de l’UMR PASSAGES, ENSAP Bordeaux)

Réseau JAPARCHI (ENSA Paris-Val de Seine) :

  • Sylvie BROSSEAU, professeur, Université de Waseda (membre associée de l’UMR LAVUE, équipe AUS, Université de Paris 8)

Réseau LIEU (ENSA Paris-La Villette) :

  • Laurent DEVISME, PR HDR en SHS, ENSA Nantes (membre de l’UMR AAU, équipe CRENAU, ENSA Nantes)

Réseau MAP (ENSA Paris-Belleville) :

  • Nathalie Lancret, DR CNRS, HDR, ENSA Paris-Belleville (membre de l’UMR AUSSER, équipe IPRAUS, ENSA Paris-Belleville)

Réseau PHILAU (ENSA Clermont-Ferrand) :

  • Xavier BONNAUD, PR HDR en TPCAU, ENSA Paris-La Villette (directeur du GERPHAU, ENSA Paris-La Villette)

Réseau RAMAU (ENSA Paris-La Villette) :

  • Véronique BIAU, AUE HDR, ENSA Paris-La Villette (membre de l’UMR LAVUE, équipe LET, Paris-La Villette)

Comité d'organisation

Ministère de la Culture (direction générale des Patrimoines, service de l’Architecture)

  • Stéphanie CELLE, SDESRA
  • Muriel LÉNA, SDESRA-BRAUP
  • Corinne TIRY-ONO, SDESRA-BRAUP
  • Valérie WATHIER, SDESRA-BRAUP

ENSA Lyon

  • Luc BOUSQUET, direction recherche et partenariats
  • Benjamin CHAVARDES, MCF associé en TPCAU
  • Caroline LACAN, assistante direction recherche et partenariats
  • Cécile REGNAULT, MCF en STA
  • Nadine ROUDIL, PR HDR en SHSA

Pour en savoir plus :

Présentation des Rencontres doctorales en architecture et paysage

Présentation de l’École nationale supérieure d’architecture de Lyon

Présentation des RST

Présentation de la collection Recherche & architecture, Editions du Patrimoine

Lieux

  • 3 rue Maurice Audin BP170 69512 Vaulx-en-Velin cedex
    Vaulx-en-Velin, France (69)

Dates

  • lundi 04 février 2019

Fichiers attachés

Mots-clés

  • architecture ; urbanisme ; paysage ; international

Contacts

  • direction générale des Patrimoines, service de l'Architecture Ministère de la Culture
    courriel : rencontres-doctorales2019 [at] liste [dot] archi [dot] fr

Source de l'information

  • direction générale des Patrimoines, service de l'Architecture Ministère de la Culture
    courriel : rencontres-doctorales2019 [at] liste [dot] archi [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Ici par ailleurs : l'international en question », Appel à contribution, Calenda, Publié le mardi 15 janvier 2019, https://doi.org/10.58079/11q3

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