Ce colloque international abordera les pratiques (auto)biographiques dans une perspective historique en marquant l’héritage de l’École de Chicago eu égard notamment aux pratiques québécoises, permettant de tracer un portrait de la grande diversité des pratiques actuelles et émergentes, étayant une posture critique eu égard à ces pratiques et au processus de théorisation qui les accompagne.

Présentation

Ce colloque international abordera les pratiques (auto)biographiques dans une perspective historique en :

• marquant l’héritage de l’École de Chicago eu égard notamment aux pratiques québécoises,
• permettant de tracer un portrait de la grande diversité des pratiques actuelles et émergentes
• étayant une posture critique eu égard à ces pratiques et au processus de théorisation qui les accompagne.

Les approches (auto)biographiques 

• posent la question du sujet, de l’acteur social (agentivité), confronté à des enjeux identitaires, des enjeux de reconnaissance ainsi que des collectifs auxquels ce sujet-acteur appartient
• permettent en outre d’éclairer une grande diversité de domaines de la vie sociale et, du coup, les transformations radicales du monde actuel

Modalités de soumission des propositions

• 1er octobre 2019 – Date limite pour transmettre une proposition de contribution au colloque

• 1er novembre 2019 – Décisions du comité scientifique relativement aux propositions
• 1er janvier 2020 – Date limite d’inscription des participant.e.s pour l’enregistrement de la contribution dans le programme du colloque

Les contributions peuvent prendre diverses formes :

• Atelier d’exploration (75 minutes) permet de présenter une pratique originale en la faisant expérimenter à un groupe de participant.e.s. La présentation de principes théoriques y est minimale, l’atelier étant plutôt axé sur le vécu du dispositif et sur les discussions en découlant.
• Communication (20 minutes, sans compter la période de questions)
• Symposium (120 minutes) regroupe 4 communications autour d’une thématique ou d’un domaine déterminé.

Le symposium comporte

1. une introduction (revue de question) effectuée par la personne qui coordonne le symposium (10 minutes),
2. 4 communications qui relèvent du thème du symposium et
3. un temps pour les questions et la discussion (30 minutes)

La proposition d'atelier d'exploration comportera : un titre le type de propositionpour chaque animateur.trice : prénom, nom, fonction, appartenance institutionnelle, adresse courriel le nombre maximum de participant.e.s, le cas échéant un résumé de 500 mots au maximum comportant de manière clairement repérable des indications relatives 

1. au contexte,
2. aux objectifs de l’atelier,
3. à la problématique,
4. au cadre théorique, 
5. aux questions de méthodes,
6. aux retombées anticipées

La proposition de communication comportera : un titre le type de proposition pour chaque auteur.e : prénom, nom, fonction, appartenance institutionnelle, adresse courriel 5 mots-clés un résumé de 500 mots au maximum comportant de manière clairement repérable des indications relatives

1. au contexte,
2. à la problématique,
3. au cadre théorique,
4. aux questions de méthodes (approche, techniques de cueillette de données, d’analyse, etc., articulation recherche/formation/intervention),
5. aux effets/retombées/résultats

La proposition de symposium comportera : un titre le type de propositionle prénom, nom, fonction, appartenance institutionnelle et adresse courriel de la personne coordonatrice le nom des auteurs 5 mots-clés un texte décrivant clairement la thématique et l’objectif du symposium (500 mots maximum) et un résumé de chaque communication (selon le format demandé pour les propositions de communication) Texte complet de l'appel à contribution

Les propositions de contribution doivent être déposées en format doc, docx ou odt et respecter le style suivant : Times New Roman 12simple interlignejustification à gauche et à droitemarges de 2,5 cm

Faites parvenir vos propositions à : contribution2020@histoiresdevie.ca

Marie-Claude Bernard, professeure, Département d’études sur l’enseignement et l’apprentissage, Faculté des sciences de l’éducation, Université Laval et membre du Centre de recherche et d'intervention sur la réussite scolaire (CRIRES)

Comité de sélection

• Annie Gusew, professeure, École de travail social, UQAM
• Muriel Molinié, professeure, EA 2288 DILTEC, Co-Resp. Axe : LittératieS, Plurilinguisme, Interculturel (LPI). Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Département de Didactique du Français Langue Etrangère (DFLE)
• Hervé Breton, président de l’Association internationale des histoires de vie en formation (ASIHVIF) et maître de conférence, Université François-Rabelais de Tours, France
• Geneviève Tschopp Rywalski, professeure associée, responsable du Groupe de recherche Accompagnement-Formation, Écriture réflexive (GRAFER), Haute École Pédagogique du canton de Vaud, Suisse et membre du CA d’ASIHVIF
• Maria da Conceição Passeggi, professeure, Écoles doctorales en Science de l’Éducation, Université de la ville de Sao Paulo et Université fédérale du nord du Rio Grande, Brésil
• Jeanne-Marie Rugira, présidente du CA du Réseau québécois pour la pratique des histoires de vie (RQPHV) et professeure au département de psychosociologie et travail social à l'Université du Québec à Rimouski (UQAR)