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Tourism and global circulations: new issues and approaches in research

Tourisme et circulations mondialisées : nouveaux enjeux et approches de recherche

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Published on Friday, April 12, 2019

Abstract

Le tourisme, en tant que « phénomène » de déplacement, participe pleinement à la circulation mondiale des personnes, des concepts, des objets, des imaginaires, des expériences, des normes et des modèles. À cause de sa magnitude de plus en plus importante, le tourisme peut être un objet de circulation (globale) particulièrement capable de nous faire réfléchir à la fois sur la formation de territorialités et de subjectivités. Nous l’appréhendons comme un fait social total et non comme un espace-temps déconnecté de la vie quotidienne des individus. Le tourisme met en jeu des relations qui doivent être analysées et comprises àtous les niveaux : individuel, local et global. Étudier le tourisme sous l’angle de la « circulation » en particulier signifie prendre en compte la diversité des mobilités contemporaines incluant des migrants temporaires et de longue durée, impliquant divers – et souvent nouveaux – intermédiaires du tourisme tout en étant fortement influencées par le développement des technologies numériques.

Announcement

Argumentaire

Le tourisme, en tant que « phénomène » de déplacement, participe pleinement à la circulation mondiale des personnes, des concepts, des objets, des imaginaires, des expériences, des normes et des modèles. « En effet, loin d’être un secteur socio-économique secondaire, le tourisme est un vecteur majeur de lamondialisation » (Chapuis & Boukhris, 2016), la mobilité et la circulation. « En 2013,l’Organisation Mondiale du Tourisme a annoncé pour la première fois avoir dépassé la barre symbolique d’un milliard d’arrivées de touristes internationaux »(Chapuis & Boukhris, 2016).A cause de sa magnitude de plus en plus importante,le tourisme peut être un objet de circulation (globale) particulièrement capable de nous faire réfléchir à la fois sur la formation de territorialités et de subjectivités. Nous l’appréhendons comme un fait social total et non comme un espace-temps déconnecté de la vie quotidienne des individus (Coëffé et al., 2007).Le tourisme met en jeu des relations qui doivent être analysées et comprises àtous les niveaux : individuel, local et global. Étudier le tourisme sous l’angle de la«circulation» en particulier signifie prendre en compte la diversité des mobilités contemporaines incluant des migrants temporaires et de longue durée, impliquant divers - et souvent nouveaux - intermédiaires du tourisme tout en étant fortement influencées par le développement des technologies numériques.

La 5ème édition des Rencontres Internationales des Jeunes Chercheurs en Tourisme de la Chaire UNESCO « Culture, tourisme, développement » a pour objectif de mettre en perspective la notion de « circulations touristiques » et d’en explorer les implications multiples et « multi-niveaux ». Il accueille donc des travaux derecherche susceptibles de mettre en lumière le développement de nouveauximaginaires de personnes, de lieux et de destinations, de plus en plus produits et consommés par des populations diverses à travers le monde.

AXE 1 : Tourisme et circulation des images et des imaginaires

Le concept d’imaginaires touristiques est analysé en détail par Gravari-Barbaset Graburn (2016) ainsi que par d’autres études récentes (Sanoussi, 2018; Gravari-Barbas, Graburn, 2016; Lu, Gravari-Barbas, Debelle, 2016; Piñeros, 2015; Cousin, 2014; Zhou, 2014; Gravari-Barbas, Graburn, 2012; Salazar, 2012; Chronis, 2012).Gravari-Barbas et Graburn, en particulier, ont souligné que « Les imaginaires deslieux, des destinations et des voyages sont produits et consommés par diversespopulations autour du globe, par l’intermédiaire du rôle croissant des médias etdes opportunités de voyage » (Gravari-Barbas and Graburn, 2016, p :12). Commel’observent Graburn et Gravari-Barbas (2016), le mot « imaginaire » couvre un largespectre de significations qui vont des clichés, des cultures, des rêves, des fantasmes, des fictions, des idées, des identités, des récits, des réifications, des stéréotypes aux symboles et aux récits. Salazar (2012, p. 865) a analysé la relation entremobilité et imaginaires, affirmant que « dans un marché mondial caractérisé pardes tendances qui changent rapidement, les produits et les emballages en ventevarient considérablement, mais les mécanismes de fabrication de l’image qui lessous-tendent partagent des stratégies et des scripts qui sont bien établis ». En effet, Regnault (2016) a ajouté que « l’imaginaire touristique a le pouvoir de résumerla complexité d’un lieu dans un ou plusieurs clichés ».Mais d’où viennent exactement ces imaginaires, comment et pourquoi circulent-ils à travers le monde ? Quel est leur impact sur les destinations touristiqueset la vie des populations ? L’analyse critique des imaginaires peut-elle nous aiderà déconstruire les stéréotypes et les clichés idéologiques, politiques et socioculturels ?

AXE 2 : Circulation des objets touristiques, entre tradition et invention

La mondialisation et l’avènement du tourisme de masse ont permis l’intensification des circulations dont celles des objets touristiques. Née avec Kopytoff (1986),la biographie culturelle des objets a encouragé de nouvelles productions scientifiques axée sur les circulations des objets touristiques (McCannell, 1973, 1976 ;Appadurai, 1986 ; RB Phillips et CB. Steiner, 1999; Bonnot, 2002, 2014; Brombergeret Chevallier, 1999; Gell, 1998 Nash, 1996 ; Michaud, 2001, Cousin, 2003; Condevaux,2009, 2010; Cousin and Bertrand, 2010) notamment par le biais de différents systèmes de valeur (Krauskopff, 2016).5RIJCT 2019Cet axe a pour objectif de revenir sur les différents processus de fabrication desobjets touristiques, de leur encrage et appropriation identitaires - parfois différents voire nouveaux - ainsi que les diverses formes de mise en valeur qui lesaccompagnent tout au long de leur existence et en fonction de leurs lieux deprésence. L’étude s’intéresse également au caractère complexe de la valeur quiest attribuée aux objets et la multiplicité des significations sociales qu’ils peuventporter : usage, échange, économique (Appadurai, 1986). En effet, selon le mêmeauteur, beaucoup de types d’objets peuvent atteindre « l’état de marchandise »(commodity situation) à différents moments de leur vie sociale ; la demande etla consommation serait alors un aspect de la politique économique des sociétés(Baudrillart, 1972). Ainsi, du point de vue de la sociologie et de l’anthropologie,des concepts tels que l’authenticité des objets sont abordés. Graburn (1979, 1983)distingue entre l’art fonctionnel ou traditionnel, l’art commercial et les souvenirsparfois inventés et hybrides qui peuvent brouiller l’imagination. Ces derniers peuvent toutefois avoir des impacts négatifs sur la communauté locale et l’histoire dulieu comme c’est le cas du masque dogon, analysé par Doquet (2002). Toutefois,de nos jours à l’ère du tourisme postmoderne, les touristes ne recherchent plusseulement l’authenticité, mais plutôt les expériences. Dans quelle mesure les «objets » contribuent-ils encore à l’expérience, à la satisfaction, à la mémoire ou à lavolonté de revenir des touristes ? Comment les nouvelles modalités touristiquesaffectent-elles la manière dont les objets touristiques sont conçus, produits etvendus?

AXE 3 : Tourisme et circulation des modèles urbains

Les « modèles urbains » abordés par cet axe font écho « à un ensemble d’objets,de politiques, de doctrines urbanistiques, de « bonnes pratiques » ou de labelspartageant une caractéristique commune : celle de servir de référence à l’imitation ou à la reproduction dans un contexte autre que celui de sa productioninitiale » (Peyroux & Sanjuan, 2016). Plusieurs lieux touristiques sont imprégnés deces nouveaux modèles urbains. À Paris, par exemple, ville à l’âme cosmopolite, iln’est pas rare de trouver des restaurants marocains logés dans des structures auxcaractéristiques de riad, avec petit patio arboré, zellij et moucharabieh. Reprenantle modèle architectural du riad, les restaurants marocains offrent la possibilité desavourer des plats marocains dans un cadre marocain traditionnel sans avoir àquitter sa propre ville de résidence, en l’occurrence Paris. Il en va de même pourcertains hôtels ou chambres d’hôtes qui s’inspirent des caractéristiques architecturales trouvées « ailleurs ». Comme suggéré par Ashworth & Page (2011), « biensûr, les développeurs et les investisseurs répliquent le succès afin de minimiserles risques, mais contradictoirement, le succès dépend de l’exploitation et de lapromotion du caractère unique des lieux » (p. 4) plutôt que de son homogénéisation (e.g. McNeill, 1999, Ritzer, 1996).Comment le tourisme permet-il la circulation de modèles urbains, architecturaux ou politiques ? Et quel impact l’hybridation des modèles a-t-elle sur l’identitéd’un territoire?

AXE 4 : Tourisme, trafic et “traces numériques” : le potentiel et les défis des médias numériques pour remodeler et étudier les expériences touristiques

L’avènement d’Internet et des réseaux sociaux changent les nombreuses façonsdont les informations sur les voyages et leurs expériences sont diffusées (Munar& Jacobsen, 2013 ; Tussyadiah & Fesenmaier, 2009). Dans le contexte touristique,les consommateurs utilisent les réseaux sociaux pour un large éventail de scénarios ; partager leurs expériences de voyage, interagir et se connecter avec d’autres personnes de différentes destinations et acheter des produits et services liésau voyage (Buhalis & Law, 2008 ; Neuhofer et al., 2012 ; Munar & Jacobsen, 2014;Zeng & Gerritsen, 2014 ; Gohil, 2015 ; Eleftherios Varkaris & Neuhofer, 2017). Lestechnologies numériques ont généré de nouvelles modalités de circulation despersonnes, des concepts et des imaginaires. Les technologies de l’information etde la communication (TIC) peuvent être considérées comme un outil permettantde ‘circuler’ entre deux types de voyages : les voyages imaginaires et les voyagesvirtuels (Urry, 2000), contribuant à remodeler profondément l’expérience touristique tout en jouant un rôle majeur dans toutes ses étapes (Lo, McKercher, Lo,Cheung, and Law, 2011).Par ailleurs, les technologies numériques sont devenues de plus en plus un moyen d’identifier les circulations (liées au tourisme), via leurs traces numériques. Àcet égard, les “sciences humaines numériques” sont liées aux nouveaux modes dedéveloppement de la recherche - au carrefour des sciences sociales et humaineset des nouveaux moyens technologiques, avec des applications importantesdans le domaine touristique. Les données des réseaux sociaux (Flickr, Panoramio,Instagram, Tripadvisor, AirBnB, Hotel.com) ont été analysées selon une approcheexploratoire et, dans d’autres cas, étudiées en relation avec des questions plusspécifiques ; pour suivre les pratiques touristiques (par exemple, un commentairecomme indicateur de visite) ou pour étudier les émotions liées aux expériencestouristiques (notamment à l’analyse de sentiments).Cet axe vise donc à explorer à la fois les questions méthodologiques et éthiquesliées à ces nouvelles approches de recherche et le changement de paradigmeglobal du tourisme induit par les technologies numériques (e.g. Buhalis & Law,2008). Comment les technologies numériques remodèlent-elles l’industrie desimaginaires et des voyages et amplifient-elles les expériences touristiques ?Quelles méthodes utiliser pour étudier de manière significative et (éventuellement) représentative, les énormes quantités de données produites en permanence dans le monde numérique ? Que révèlent les traces numériques d’unpoint de vue sociétal et épistémologique ? Enfin et surtout, quelles sont les implications éthiques et politiques de la production et de l’utilisation de ces données ?

AXE 5 : Tourisme et circulation des normes : quels impacts surles sites du patrimoine mondial de l’Unesco

Récemment, la relation entre le tourisme et les sites du patrimoine mondial a faitl’objet d’une littérature et de recherches croissantes (Bourdeau, Gravari-Barbas,Robinson, 2017; Anatole-Gabriele, 2016; Bourdeau, Gravari-Barbas, Robinson, 2015;Gfeller, 2015; Bourdeau, Gravari-Barbas, Robinson, 2012; Gravari-Barbas, Jacquot,2013; Labadi, 2013). Afin d’attirer les touristes internationaux, de nombreux paysdoublent d’efforts pour développer des sites de voyage mettant en valeur leurscaractéristiques distinctives. Dans cette stratégie, les sites touristiques qui sontinscrits au patrimoine mondial du l’UNESCO sont traités comme des piliers dansla promotion de l’industrie touristique et peuvent être considérés comme un outil pour attirer davantage de touristes internationaux (Arezki, Cherif, and Piotrowski ,2009; Yang, Lin, and Han,2010; Yang & Lin,2011), de sorte que ces attractionstouristiques peuvent créer des emplois et faire gagner des devises étrangères,servant ainsi de moteur majeur à la croissance dans de nombreux pays (Wager,1995 ; Herbert, 2001). D’un autre côté, les visites augmentent la menace de dommages à l’intégrité environnementale et culturelle des patrimoines mondiaux enraison du nombre excessif de touristes (Leask and Fyall, 2006; Huang Tsaur, andYang, 2012).Gravari-Barbas, Cominelli, Condevaux, Jacquot et Conti (2018) soulignent que «l’enthousiasme pour l’inscription au patrimoine mondial reflète la fierté que cettereconnaissance peut apporter et l’espoir de pouvoir récolter les bénéfices conférés par le label : plus grande couverture médiatique, le prestige acquis grâce auxassociations avec l’UNESCO et les autres biens prestigieux déjà inscrits, l’espoirdu développement économique et local via le développement futur du tourismeinternational ». En effet, il est évident que ce label est lié au tourisme. Gravari-Barbas, Bordeau et Robinson (2015, p.2) soulignent la relation entre la mobilité et lessites du patrimoine mondial parce que « les voyagistes conçoivent leurs itinéraires pour inclure les sites du patrimoine mondial comme “points forts“ et il existe des opérateurs spécialisés dans le conditionnement des itinéraires axés surle patrimoine mondial ». Par ailleurs, en plus des touristes, les sites du PatrimoineMondial attirent de plus en plus d’investisseurs étrangers et mobilisent de plus enplus d’acteurs locaux et internationaux contribuant à la circulation et à l’application de certaines réglementaires et normes établies par l’UNESCO pour l’ensemble de ses sites.Comment ces normes circulent-elles dans les différents sites du PatrimoineMondiale ? Quelles stratégies adoptent-ils pour se différencier de la concurrencetout en répondant aux demandes de touristes internationaux et aux besoins dela population locale ? Et de quelle manière peut-on préserver les sites du patrimoine mondial des effets négatifs qu’impliquent les activités touristiques ?

AXE 6 : Les circulations touristiques par rapport aux questions de droits de propriété intellectuelle et de revenus liés à la culture

L’internationalisation du tourisme implique une circulation croissante des loiset des normes relatives à la culture qui peuvent s’appliquer au patrimoine culturel mais aussi aux notions connexes d’industries créatives et de droits de propriété intellectuelle. En effet, l’émergence des politiques patrimoniales a conduità redéfinir les pratiques artistiques non seulement comme “ patrimoine “ maisaussi comme ressources économiques potentiellement utilisables dans le cadredes “ industries culturelles “ ou “ industries créatives “. La propriété intellectuelle(PI) désigne les « créations de l’esprit : inventions, œuvres littéraires et artistiques,ainsi que les symboles, noms et images utilisés dans le commerce » (OMPI, 2010).L’importance de la propriété intellectuelle a été reconnue pour la première foisdans la Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle (1883)et la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques(1886). Depuis 2014, l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) alancé un projet intitulé “Comité de Desarrollo y Propiedad Intelectual, CDIP, 2015”.De nos jours, les outils du système de propriété intellectuelle sont largement applicables au secteur du tourisme (Kono, 2009; Idris, 2003; Lis-Gutiérrez, Gaitán-Angulo, Moros, Lis-Gutiérrez, and Viloria, 2017). Ces outils peuvent encourager lapromotion du tourisme, du savoir, des traditions et de la culture nationale (biensmatériels et immatériels), afin de favoriser la croissance économique, d’accroîtrela valeur ajoutée, d’accroître la productivité, la compétitivité et la capacité d’innovation, de favoriser le développement social et de réduire les inégalités (Borissova,2017).Dans la littérature touristique, différentes analyses ont souligné la relation entrele développement durable du tourisme et la propriété intellectuelle (Wang, Chai,and Subramanian A., 2015), en quoi consiste cette relation ? L’un des aspects lesplus importants des études précédentes est le lien entre le patrimoine culturel etles industries culturelles, qui expliquent l’interaction économique entre le patrimoine culturel et la PI (Wanda George, 2010). Quelle est la relation entre le patrimoine culturel et la propriété intellectuelle ? Comment préserver les valeurs culturelles dans ces conditions ? Qui sont les utilisateurs et “ propriétaires “ légitimesdes biens et pratiques culturels et, par conséquent, les bénéficiaires légitimesd’éventuels bénéfices économiques ?

Conditions de soumission

Pour soumettre votre proposition de communication, merci de vous rendre sur le site Internet des RIJCT 2019 : https://rijct2019.sciencesconf.org 

avant le 28 avril 2019.

 Les propositions de participation peuvent être sous forms de :

  • Communications suivies d’une discussion avec la salle
  • Expositions photographiques
  • Posters
  • Projections

Communication

  • Présentation de/des auteur(s)
  • CV sur 1 page
  • Précision de l’axe 1 à 6 dans lequel s’inscrit la proposition de communication ;
  • Résumé de maximum 300 mots précisant la problématique, la méthodologie et le cas échéant les premiers résultat des travaux.

Poster

  • Présentation de/des auteur(s)
  • CV sur 1 page
  • Précision de l’axe 1 à 6 dans lequel s’inscrit la proposition de communication ;
  • Résumé de maximum 300 mots précisant la problématique, la méthodologie et le cas échéant les premiers résultat des travaux.
  • Police Arial 12 et interligne 1,5 

 Exposition photographique

  • Présentation de/des auteur(s)
  • CV sur 1 page
  • Précision de l’axe 1 à 6 dans lequel s’inscrit la proposition de communication 
  • Sélection de photos légendées

Les participants sélectionnées devront nous faire parvenir leurs résumés long (5000 mots) et les PDF des posters et expositions avant le 14 juillet 2019 sur le site Internet : https://rijct2019.sciencesconf.org

 A propos des présentations 

  • Le temps de présentation ne peut excéder 15 minutes
  • La présentation orale peut se faire, au choix, en anglais ou en français. Nous vous recommandons toutefois de préparer votre présentation PDF dans la seconde langue (par exemple, pour une présentation en français merci de préparer une présentation PDF en anglais)
  • Il n’est pas nécessaire d’envoyer la présentation à l’avance : vous pouvez l’apport-er sur une clé USB
  • Un ordinateur portable (pas de Mac) sera disponible dans chaque chambre ainsi qu’un beamer ; aucun autre ordinateur ne sera connecté
  • Pour une meilleure logistique, veuillez utiliser le logiciel powerpoint (*.ppt et *.pptx)
  • Toute exigence particulière concernant la présentation du podium, telle que les systèmes audio ou vidéo, doit être demandée à l’avance par e-mail (rijct2019@gmail.com) et vérifiée au préalable avec le comité d’organisation

A propos des affiches

  • Le temps de présentation est disponible pendant chaque pause café
  • Les affiches seront présentées en 2 sessions (9 et 10 septembre)
  • Les affiches seront presentées en format PDF
  • Mentionnez au bas de la page le numéro et le titre du ou des axes dans lesquels votre contribution s’inscrit
  • Un panneau sera disponible ainsi que de l’équipement pour fixer les affiches aux panneaux d’affichage
  • L’assistance sera fournie à votre arrivée

 Textes complets

  • Langue française ou anglaise 
  • Longueur maximale du titre : 100 caractères (sans espaces), gras ; pas de sous-ti- tres séparés 
  • Prénom(s) et nom(s) des auteurs et affiliation(s)
  • Texte, références bibliographiques, graphiques et images, : 5000 caractères (sans espaces) 
  • Police Arial 12 et interligne 1,5 
  • Document en format PDF et Word. Aucun réexamen n’est prévu. Les auteurssont responsables de la qualité du texte (contenu et langue)

Les résumés des propositions acceptées seront mis en commun dans un document (format papier et format numérique) et mis à disposition de participants au colloque. Des précisions et indications supplémentaires seront données suite à la sélection des résumés.

Pour toute question, n’hésitez pas à contacter le comité d’organisation. 

Les articles complets peuvent être envoyés avant le 30 juillet.

Comité scientifique

  • BOUKHRIS Linda, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France
  • CHAPUIS Jean-Michel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France
  • COMINELLI Francesca, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France
  • CONDEVAUX Aurélie, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France
  • COUSIN Saskia, Université Paris Descartes, France
  • DJAMENT-TRAN Géraldine, Université de Strasbourg, France
  • DOCQUET Anne, Chargée de recherche 1ère classe IRD. IMAF (site Raspail), France
  • GRAVARI-BARBAS Maria, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France
  • GUINAND Sandra, University of Vienna, Autriche
  • GWIADZINSKI Luc, Université Grenoble-Alpes, France
  • JACQUOT Sébastien, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France
  • LABADI Sophia, University of Kent, Royaume-Uni
  • REGNAULT Madina, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France
  • SALAZAR Noel, KU Leuven, Belgique
  • STASZAK Jean-François, Université de Genève, Suisse
  • TOBELEM Jean-Michel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, France

Places

  • Cité Internationale Universitaire de Paris
    Paris, France (75)

Date(s)

  • Sunday, April 28, 2019

Keywords

  • tourisme, circulation, mondialisation, imaginaire, norme, propriété intellectuelle, modèle urbain, trace numérique, objet touristique

Contact(s)

  • Sara Ouaaziz
    courriel : rijct2019 [at] gmail [dot] com
  • Alicia Orea Giner
    courriel : rijct2019 [at] gmail [dot] com
  • Valentina Montalto
    courriel : rijct2019 [at] gmail [dot] com

Information source

  • RIJCT Rencontres internationales des jeunes chercheurs en tourisme
    courriel : rijct2019 [at] gmail [dot] com

License

CC0-1.0 This announcement is licensed under the terms of Creative Commons CC0 1.0 Universal.

To cite this announcement

« Tourism and global circulations: new issues and approaches in research », Call for papers, Calenda, Published on Friday, April 12, 2019, https://doi.org/10.58079/12fh

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