Abstract
In the analogue era, legal rules were not always known, their interpretation was limited to the question of copyright or respect for the privacy of persons recorded in interviews, and anonymization seemed to be the answer to all outstanding questions. On the contrary, the digital era has given rise to a real reflection on these issues, challenging some of the working methods on the ground. From now on, in addition to the new rules brought by GDPR (General Data Protection Regulation), researchers must know how to implement a data management plan or when to inform Data Protection Authorities such as the CNIL (French National Commission of Informatics and Liberty) about methods used to process personal data. They must also take into account the following issues: how to reference witnesses and recordings, what are the rules of long-term preservation, historical exception or data destruction… Can the researcher make an informed decision while on fieldwork while being fully aware of the rights, duties and on consequences of their corpus creation, the constraints on exploitation, dissemination or transmission? What consequences could this have on the gathering, archiving and process of return to the informants?
À la différence de l’ère analogique, où les règles juridiques n’étaient pas toujours connues, où leur interprétation se limitait à la question du droit d’auteur ou à celle du respect de la vie privée des personnes enregistrées dans les entretiens, et où l’anonymisation semblait la réponse à toutes les questions en suspens, le numérique a engagé une véritable réflexion sur ces questions, remettant en cause partie des méthodes de travail sur le terrain. Désormais, outre les nouvelles règles du RGDP – Règlement européen sur la protection des données, le.la chercheur.e doit savoir comment mettre en œuvre un plan de gestion de données ou quand informer la CNIL – Commission nationale de l’informatique et des libertés – des traitements des données personnelles mis en oeuvre. Il.Elle doit aussi prendre en compte les questions de citation des témoins, connaître les règles de durées conservation des archives comme l’invocation de l’exception historique ou de destruction… Le/la chercheur.e. peut-il.elle prendre une décision éclairée sur le terrain en étant pleinement au fait des droits, des devoirs et des conséquences de leur constitutions de corpus, des contraintes sur l’exploitation, la diffusion ou la transmission ? Quelles conséquences cela peut-il avoir sur les phases de collectes, d’archivage et de restitution ?
A partir de ahora, además de las nuevas normas del RGDP (Reglamento Europeo de Protección de Datos), el investigador debe saber cómo aplicar un plan de gestión de datos o cuándo informar a la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) de la forma en que aplica y trata los datos personales. También debe tener en cuenta la forma en que obtiene información de los entrevistados, debe poseer conocimientos sobre las normas y métodos de preservación de los archivos, así como de los reglamentos legislativos relativos a la caducidad de la conservación de archivos. En esta última, él/ella debe tener en consideración la referencia de elementos históricos de los archivos. Derivado de lo anterior, se presentan dos cuestiones principales sobre estos temas, la primera es: ¿Puede el/ la investigador/a tomar decisiones fundamentadas para su trabajo basándose en el conocimiento de los derechos, las responsabilidades, las consecuencias de la creación de su corpus y las limitaciones de explotación, difusión y transmisión de dichas informaciones? La segunda es: ¿Cuáles son las posibles consecuencias de estas decisiones en las diversas fases de recolección, preservación y restitución de datos?
A differenza dell’era analogica, in cui le disposizioni di legge non erano sempre note, dove la loro interpretazione era limitata alla questione del diritto d’autore o del rispetto della riservatezza delle persone registrate nelle interviste, e dove l’anonimizzazione sembrava essere la risposta a tutte le domande in sospeso, la tecnologia digitale ha avviato una vera riflessione su queste domande, mettendo in discussione parte dei metodi di lavoro sul campo. D’ora in poi, oltre alle nuove regole del RGDP – regolamento generale sulla protezione dei dati – il ricercatore deve sapere come attuare un piano di gestione dei dati o quando informare la CNIL – Commission nationale de l’informatique et des libertés [Comissione nazionale francese dell’informatica e delle libertà] – del trattamento dei dati personali attuato. Deve anche tener conto delle questioni della citazione dei testimoni, conoscere le regole di conservazione degli archivi come la chiamata in causa dell’eccezione storica o della distruzione….. È possibile per un ricercatore prendere decisioni informate mentre fa ricerca sul campo essendo pienamente consapevole dei diritti, dei doveri e delle conseguenze che derivano dalla costituzione dei suoi corpus di ricerca, dei vincoli della pubblicazione, della diffusione o della trasmissione? Quali conseguenze questo può avere sulle fasi di raccolta, di archiviazione e di restituzione?
Announcement
Présentation
Les modalités d’enregistrement ou de prise de vue/vidéo sur le terrain par les chercheur.e.s en sciences humaines et sociales se sont modifiées par la prise en compte des questions juridiques et éthiques : les lois françaises et européennes, les financements académiques et les différents appels à projets demandent désormais de façon systématique la signature de contrats d’autorisation pour l’utilisation des données produites. De plus en plus d’institutions mettent en place des comités d’éthique qui établissent des règles qui régissent l’obtention de leurs financements, les témoins veulent savoir et comprendre ce qui sera fait de leur image et de leur parole et ce que sont devenus les anciens enregistrements, les communautés dont sont issus les personnes interviewées souhaitent pouvoir exploiter les films ou les enregistrements d’un point de vue patrimonial, les artistes s’emparent désormais de la matière archives pour leurs créations… Les injonctions à la pluridisciplinarité a fait aussi beaucoup évoluer les méthodes, et certaines manières de faire se répandent aujourd’hui dans les SHS résultant à la fois de l’influence du domaine de la santé, avec le modèle du consentement éclairé, et de la révolution entraînée par le numérique en matière de données (mode de collecte, quantité, etc.).
À la différence de l’ère analogique, où les règles juridiques n’étaient pas toujours connues, où leur interprétation se limitait à la question du droit d’auteur ou à celle du respect de la vie privée des personnes enregistrées dans les entretiens, et où l’anonymisation semblait la réponse à toutes les questions en suspens, le numérique a engagé une véritable réflexion sur ces questions, remettant en cause partie des méthodes de travail sur le terrain. Désormais, outre les nouvelles règles du RGDP – Règlement européen sur la protection des données, le.la chercheur.e doit savoir comment mettre en œuvre un plan de gestion de données ou quand informer la CNIL – Commission nationale de l’informatique et des libertés – des traitements des données personnelles mis en oeuvre. Il.Elle doit aussi prendre en compte les questions de citation des témoins, connaître les règles de durées conservation des archives comme l’invocation de l’exception historique ou de destruction… Le/la chercheur.e. peut-il.elle prendre une décision éclairée sur le terrain en étant pleinement au fait des droits, des devoirs et des conséquences de leur constitutions de corpus, des contraintes sur l’exploitation, la diffusion ou la transmission ? Quelles conséquences cela peut-il avoir sur les phases de collectes, d’archivage et de restitution ?
Ce numéro de Sonorités aura pour objectif de présenter à la fois des articles de réflexion qu’il s’agisse de cette évolution méthodologique ou des conséquences de ces nouvelles pratiques sur les résultats de la recherche, des exemples de cas particuliers et des solutions qui ont été mises en place pour les résoudre ou encore des récits de situation qui ont impliqué des changements radicaux dans la façon de travailler.
Conseil Scientifique de ce numéro
- Agnès Arp (Université de Iéna, Allemagne)
- Florence Descamps (Historienne, EPHE PSL, Paris, France)
- Loubna Dimachki, Université du Liban (Linguiste, Beyrouth Liban)
- Myriam Fellous-Sigrist (King’s College, London, Royaume Uni)
- Isabelle Gras, SCD AMU (Conservatrice des bibliothèques, Aix-en-Provence, France)
- Emilie Jouin, référente pour les questions éthiques/juridiques au laboratoire ICAR (Lyon)
- Perla Olivia Rodríguez, Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM)
- Valentina Zingari, (chercheure indépendante en anthropologue, Sienne, Italie)
Modalités de soumission
Disciplines : toutes les disciplines de sciences humaines et sociales et toute autre domaine scientifique où l’entretien de terrain enregistré/filmé est utilisé pour la production de connaissances.
Dates de l’appel : lancement de l’appel, 3 octobre 2019 – date limite d’envoi des contributions, 20 janvier 2020
Forme demandée : résumé de 5000 caractères (espaces compris), et informations signalétiques du/des auteur.e.s (Nom, Prénom, Institution, Statut)
Langues acceptées : français, anglais, italien
Protocole de rédaction : https://journals.openedition.org/afas/2451
Retour des relectures du comité scientifique : 1er mars 2020
Envoi des articles : 1er juin 2020
Résumés à envoyer à : veronique<dot>ginouves<at>univ-amu<dot>fr & vztraverso<at>gmail<dot>com
Presentation
In the social sciences and humanities (SSH), researchers’ methods to record, photograph and film during fieldwork are modified in the last decades by taking into account legal and ethical issues: European and French laws, research funding policies and various calls for project more and more systematically require the signature of agreements for the use of the data produced; More and more institutions are setting up ethics committees to establish rules governing the funding they receive; Witnesses or informants want to know and understand what will be done with their image and their voice and what has become of the old recordings; Interviewees’ communities want to be able to exploit the films or recordings from a heritage point of view; Artists increasingly take possession of archival material for their creations… The demand for multidisciplinarity has also greatly impacted research methods, and several practices are now being used in SSH disciplines as a result of two influences: the health sector, with the model of informed consent, and the revolution brought by digital technologies in the area of data management (data gathering, formats, volume, etc.).
In the analogue era, legal rules were not always known, their interpretation was limited to the question of copyright or respect for the privacy of persons recorded in interviews, and anonymization seemed to be the answer to all outstanding questions. On the contrary, the digital era has given rise to a real reflection on these issues, challenging some of the working methods on the ground. From now on, in addition to the new rules brought by GDPR (General Data Protection Regulation), researchers must know how to implement a data management plan or when to inform Data Protection Authorities such as the CNIL (French National Commission of Informatics and Liberty) about methods used to process personal data. They must also take into account the following issues: how to reference witnesses and recordings, what are the rules of long-term preservation, historical exception or data destruction… Can the researcher make an informed decision while on fieldwork while being fully aware of the rights, duties and on consequences of their corpus creation, the constraints on exploitation, dissemination or transmission? What consequences could this have on the gathering, archiving and process of return to the informants?
This issue of Bulletin de l’AFAS. Sonorités will aim to include the following:
- articles reflecting on this methodological evolution or the consequences of these new practices on research results;
- examples of specific cases and implemented solutions found to address the issues their raised;
- Detailed description of cases that required radical changes in the way practitioners work.
Special Issue Editors
- Véronique Ginouvès (MMSH, AMU-CNRS, USR3128)
- Véronique Traverso (Ifpo, ICAR, UMR5191)
Scientific committee for this special issue
- Agnès Arp (University of Iena, Germany)
- Florence Descamps (Historian, EPHE PSL, Paris, France)
- Loubna Dimachki (Linguist, University of Libanon, Beyrouth)
- Myriam Fellous-Sigrist (King’s College London, London, United Kingdom)
- Isabelle Gras, (Library curator, SCD AMU, Aix-en-Provence, France)
- Emilie Jouin (responsible for ethical and legal issues at the research centre ICAR, Lyon, France)
- Perla Olivia Rodríguez, Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM)
- Valentina Zingari (Independant researcher in anthropology, Sienna, Italy)
Disciplines: all disciplines in the humanities and social sciences, and any other research fields where audio-recorded or filmed fieldwork interviews are used for the production of knowledge.
Important dates
- call opened on the 3 October 2019 (in French)
- deadline for contributions: 20 January 2020
How to submit a proposal
Please send a summary of 5 000 characters (including spaces), and descriptive information about the author(s) (Family Name, First name, Institution, Status)
Accepted languages: French, English, Italian, Spanish
Summary send to : veronique<dot>ginouves<at>univ-amu<dot>fr & vztraverso<at>gmail<dot>com
Argumento
Los investigadores en ciencias humanas y sociales están cambiando los métodos de trabajo de campo en los que utilizan grabaciones sonoras y audiovisuales. Este cambio es consecuencia de la toma de conciencia de asuntos jurídicos y éticos. En este hecho ha incidido la legislación francesa y europea, la financiación académica y las diversas convocatorias de proyectos que exigen, de forma sistemática, la firma de documentos legales de autorización para la utilización de los datos producidos.
Por ello, cada vez se incrementan más las instituciones que crean comités de ética para establecer las normas que rigen la obtención de financiamiento, debido a que las personas que son grabadas desean saber y comprender qué se hará con su imagen y su discurso grabado. Y también desean conocer qué ha pasado con las grabaciones antiguas.
Las comunidades de las que provienen los entrevistados desean poder explotar las películas o grabaciones desde un punto de vista patrimonial. En algunos casos, los artistas se apoderan de dichos archivos para sus creaciones personales,
Se observa así, una tendencia hacia la diversificación de los métodos que rigen las ciencias humanas y sociales. Estos se ven influenciados por el sector de la salud y en particular por los formularios de consentimiento que firman los pacientes; así como por la revolución tecnológica de los datos (método de colecta, cantidad, etc).
A diferencia de la era análoga, en la que no siempre se conocían las normas jurídicas, en la que su interpretación se limitaba a la cuestión del derecho de autor o al respeto de la intimidad de las personas entrevistadas; y en la que el anonimato parecía ser la respuesta a todas las cuestiones pendientes; la tecnología digital ha motivado una verdadera reflexión sobre estas cuestiones poniendo en tela de juicio una parte de los métodos de trabajo en la investigación.
A partir de ahora, además de las nuevas normas del RGDP (Reglamento Europeo de Protección de Datos), el investigador debe saber cómo aplicar un plan de gestión de datos o cuándo informar a la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) de la forma en que aplica y trata los datos personales. También debe tener en cuenta la forma en que obtiene información de los entrevistados, debe poseer conocimientos sobre las normas y métodos de preservación de los archivos, así como de los reglamentos legislativos relativos a la caducidad de la conservación de archivos. En esta última, él/ella debe tener en consideración la referencia de elementos históricos de los archivos.
Derivado de lo anterior, se presentan dos cuestiones principales sobre estos temas, la primera es: ¿Puede el/ la investigador/a tomar decisiones fundamentadas para su trabajo basándose en el conocimiento de los derechos, las responsabilidades, las consecuencias de la creación de su corpus y las limitaciones de explotación, difusión y transmisión de dichas informaciones?
La segunda es: ¿Cuáles son las posibles consecuencias de estas decisiones en las diversas fases de recolección, preservación y restitución de datos?
En este número de Sonorités presentaremos artículos que buscan responder a estas cuestiones mediante la reflexión sobre la evolución de estos métodos y la repercusión de estos en la investigación. Asimismo, presentaremos ejemplos específicos y posibles soluciones a estas dudas, así como situaciones en las que se han experimentados cambios radicales que han permitido una metamorfosis de las técnicas de trabajo.
Consejo científico de este número
- Agnès Arp (University of Iena, Germany)
- Florence Descamps (Historian, EPHE PSL, Paris, France)
- Loubna Dimachki (Linguist, University of Libanon, Beyrouth)
- Myriam Fellous-Sigrist (King’s College London, London, United Kingdom)
- Isabelle Gras, (Library curator, SCD AMU, Aix-en-Provence, France)
- Emilie Jouin (responsible for ethical and legal issues at the research centre ICAR, Lyon, France)
- Perla Olivia Rodríguez, Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM)
- Valentina Zingari (Independant researcher in anthropology, Sienna, Ital
Disciplinas: todo aquella disciplina científica o que pertenezca al conjunto de las disciplinas de ciencias humanas y sociales en las que se utiliza la grabación sonora o audiovisual.
Propuestas de comunicación
-
Fechas de entrega: Del 3 de octubre del 2019 al 20 de enero del 2020 – Fecha límite para el envío de las aportaciones
- Formato requerido: Resumen de 5000 caracteres con espacios
- Incluir informaciones del/ a los autores (Nombre, apellido, institución, estatus)
- Idiomas: francés, inglés, italiano, castellano
- Protocolo de redacción: https://journals.openedition.org/afas/2451
- Respuesta de las relecturas del comité científico: 1 de marzo del 2020
- Envió de los artículos: 1 de junio del 2020
Argomento
Le modalità di registrazione, o di fotografia o ripresa sul campo dai ricercatori in scienze umane e sociali hanno subito cambiamenti alla luce delle questioni giuridiche ed etiche: la legislazione europea, I finanziamenti accademici e i vari inviti a presentare progetti scientifici richiedono ormai sistematicamente la firma di contratti di autorizzazione per l’uso dei dati raccolti. Sempre più istituzioni creano comitati etici che stabiliscono regole in merito all’ottenimento dei loro finanziamenti, i testimoni vogliono conoscere e capire cosa si farà con la loro immagine e con le loro voci e cosa è stato fatto delle registrazioni più vecchie, le comunità da cui provengono gli intervistati vogliono poter sfruttare i film o le registrazioni da un punto di vista patrimoniale, gli artisti si appropriano ora del materiale d’archivio per le loro creazioni… Le spinte alla pluridisciplinarietà hanno anche modificato i metodi, e alcuni modi di agire si stanno diffondendo nelle discipline di scienze umane, sia per l’influenza del settore sanitario, con il modello del consenso informato, sia per la rivoluzione portata dalla tecnologia digitale in materia di dati (modalità di raccolta, quantità, ecc.).
A differenza dell’era analogica, in cui le disposizioni di legge non erano sempre note, dove la loro interpretazione era limitata alla questione del diritto d’autore o del rispetto della riservatezza delle persone registrate nelle interviste, e dove l’anonimizzazione sembrava essere la risposta a tutte le domande in sospeso, la tecnologia digitale ha avviato una vera riflessione su queste domande, mettendo in discussione parte dei metodi di lavoro sul campo. D’ora in poi, oltre alle nuove regole del RGDP – regolamento generale sulla protezione dei dati – il ricercatore deve sapere come attuare un piano di gestione dei dati o quando informare la CNIL – Commission nationale de l’informatique et des libertés [Comissione nazionale francese dell’informatica e delle libertà] – del trattamento dei dati personali attuato. Deve anche tener conto delle questioni della citazione dei testimoni, conoscere le regole di conservazione degli archivi come la chiamata in causa dell’eccezione storica o della distruzione….. È possibile per un ricercatore prendere decisioni informate mentre fa ricerca sul campo essendo pienamente consapevole dei diritti, dei doveri e delle conseguenze che derivano dalla costituzione dei suoi corpus di ricerca, dei vincoli della pubblicazione, della diffusione o della trasmissione?
Quali conseguenze questo può avere sulle fasi di raccolta, di archiviazione e di restituzione?
Questo numero di Sonorités si propone di presentare sia gli articoli di riflessione su questa evoluzione metodologica e le conseguenze di queste nuove pratiche sui risultati della ricerca, sia particolari studi di caso e le soluzioni messe in atto per risolverli, sia infine resoconti di situazioni che hanno comportato cambiamenti radicali nel nostro modo di lavorare.
Discipline: tutte le discipline delle scienze umane e sociali e di qualsiasi altro campo scientifico in cui la manutenzione di archivi registrati/filmati è utilizzata per la produzione di conoscenza.
Modalità d'invio
- Date dell’invito: lancio del contributo, 3 ottobre 2019 (in francese) – termine ultimo per la presentazione dei contributi, 20 janvier 2020
- Modulo richiesto: riepilogo di 5000 caratteri (spazi inclusi) e informazioni descrittive dell’autore/i (Nome Istituzione, Statuto).
- Lingue accettate: francese, inglese, italiano
- Protocollo di redazione: https://journals.openedition.org/afas/2451
- Restituzione delle revisioni del Comitato Scientifico: 1 marzo 2020
- Invio articoli: 1 luglio 2020
Direzione del numero
- Véronique Ginouvès (MMSH, AMU-CNRS, USR3128)
- Véronique Traverso (Ifpo, ICAR, UMR5191)
Comitato scientifico
- Agnès Arp (University of Iena, Germany)
- Florence Descamps (Historian, EPHE PSL, Paris, France)
- Loubna Dimachki (Linguist, University of Libanon, Beyrouth)
- Myriam Fellous-Sigrist (King’s College London, London, United Kingdom)
- Isabelle Gras, (Library curator, SCD AMU, Aix-en-Provence, France)
- Emilie Jouin (responsible for ethical and legal issues at the research centre ICAR, Lyon, France)
- Perla Olivia Rodríguez, Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM)
- Valentina Zingari (Independant researcher in anthropology, Sienna, Ital
Invio e conttato: veronique<dot>ginouves<at>univ-amu<dot>fr ; vztraverso<at>gmail<dot>com