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Le partenariat de soin avec les patients

The care partnership with patients - 2nd international conference

IIe colloque international

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Publié le mardi 15 septembre 2020

Résumé

Le partenariat en santé reconsidère en profondeur la relation de soin avec les patients. Si la vision de rendre le patient acteur de sa santé est largement partagée, les modalités pour y parvenir n’en restent pas moins des sujets de controverses. À la suite du premier colloque international sur le partenariat de soin avec les patients, organisé à Nice en 2019, cette deuxième édition vous propose d’interroger les avancées du partenariat dans les milieux de soin, dans l’enseignement médical et paramédical, dans la recherche, dans l’organisation des établissements et des réseaux de santé tant de médecine de ville qu’hospitaliers, au sein des collectifs associatifs ou encore de citoyens, et dans les politiques de santé, au regard de la conduite et de l’accompagnement du changement.

Annonce

Argumentaire

En 2019, la Faculté de Médecine, Université Côte d’Azur, et le Centre d'Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P) ont organisé à Nice, le 1er colloque International sur le partenariat de soin avec les patients. Les deux jours consacrés à ce colloque ont été l’occasion de réaliser un état des lieux du partenariat en France mais également à l’international dans les pays principalement francophones.

Le partenariat reconsidère en profondeur la relation de soin avec les patients. Si la vision de rendre le patient acteur de sa santé est largement partagée, les modalités pour y parvenir n’en restent pas moins des sujets de controverses. Comme nous y invite Ghadiri, Flora et Pomey (2017), la lecture foucaldienne du « virage patient partenaire de soins » constitue une « reconfiguration de l’exercice du pouvoir médical et lutte pour de nouvelles subjectivités » (p.25). La place du patient partenaire au sein de l’équipe de soin comme des établissements et réseaux de santé, la professionnalisation du patient partenaire ressource/formateur/chercheur, l’approche « partenariat » versus approche « centrée sur le patient » sur laquelle se fonde l'Education Thérapeutique du Patient (ETP), le positionnement du représentant d’usagers et des associations de patients, sont ainsi quelques interrogations parmi d’autres que soulèvent la mise en œuvre du partenariat

Cette 2é édition vous propose d’interroger les avancées du partenariat de soin avec les patients et les proches aidants dans les milieux de soin, dans l’enseignement médical et paramédical, dans la recherche, dans l’organisation des établissements et des réseaux de santé tant de médecine de ville qu’hospitaliers, au sein des collectifs associatifs ou encore de citoyens, et dans les politiques de santé, au regard de la conduite et de l’accompagnement du changement.

C’est à partir de recherches empiriques, de propositions conceptuelles ou encore de propositions issues de pratiques professionnelles ou d’expériences de vie avec la maladie que ce colloque, ouvert à l’ensemble de la communauté scientifique, aux professionnels du système de santé (sanitaire et médico-social), aux patients, aux proches aidants, aux membres d’associations de patients, aux représentants des usagers et aux représentants institutionnels, ambitionne d’interroger la mise en œuvre du changement que représente le partenariat de soin avec les patients.

Les modalités de traitement, les répercussions sur le mode de vie, la gravité des possibles complications, l’impact sur l’espérance de vie, mais aussi les transformations individuelles et collectives impliquées, exigent de la personne vivant avec la maladie chronique, « le maintien d’un pouvoir d’agir sur soi » (Tourette-Turgis, 2015, p.23). Vivant avec la maladie dans son quotidien, le patient et le proche aidant sont parties prenantes du projet de santé. Leurs vécus leur permettent d’acquérir des savoirs expérientiels, une vision autonormative de santé (Barrier, 2015). D’objet de soin, le patient devient « sujet en soin » (Tourette-Turgis, 2015).

À la suite de modèles proposant un continuum dans l’engagement des patients (Carman et al., 2013), Pomey et al. (2015) positionnent la perspective du partenariat de soin avec les patients « en considérant le patient comme un acteur de soins à part entière dont le statut de soignant repose sur une compétence de soins » (p.42). Une décision et des actes de soins de qualité sont issus de l’alliance de l’expertise clinique (connaissances scientifiques des professionnels de la santé) et de l’expertise patient (savoirs expérientiels des patients issus de la vie avec la maladie) : « il s’agit là d’une relation d’interdépendance dont la pleine compréhension permet de revoir comment considérer le traitement des maladies chroniques » (Ibid., p.43). L’une des modélisations proposées ancre ainsi « une vision du partenariat au niveau de la relation individuelle de soin (niveau micro), sur laquelle se structurent des interventions de soutien au partenariat au niveau des organisations de santé, d’enseignement et de recherche (niveau méso) et au niveau des organismes gouvernementaux responsables de l’élaboration des politiques publiques (niveau macro) » (Hervé, Stanton-Jean et Mamzer, 2017, p.15).

Ainsi, de nouvelles conceptions, de nouveaux modèles reconnaissant la place ou  laissant plus de place à la personne malade, appellent à un partenariat entre patients, proches aidants et professionnels du système de santé et suscitent de plus en plus d’intérêt auprès des institutions et réseaux de santé, des établissements de santé, des professionnels en santé, comme des associations de patients et des patients eux-mêmes.

Une recherche sur les représentations du partenariat de soin (Lartiguet et Saint-Jean, 2019), réalisée auprès d’acteurs impliqués dans le changement de la relation professionnel en santé - patient (patients, professionnels de santé, responsables institutionnels), a permis de proposer une caractérisation du changement que constitue le partenariat, véritable « innovation sociale » (Ghadiri, Flora et Pomey, 2017) :

- ce changement, en rupture avec la culture médicale paternaliste, modifie durablement et de manière irréversible la relation professionnel en santé - patient (notamment en reconnaissant le patient comme un soignant, c’est-à-dire un acteur de soin à part entière). En ce sens, il représente une « transformation significative » (Tilman et Ouali, 2001, p.15), un changement de niveau 3 par opposition au changement dans la continuité (Saint-Jean et Seddaoui, 2013).

- ce changement est imposé par le cadre sociétal (Guy, 2013) de notre système de santé actuel, et constitue un « changement paradigmatique des soins » (Borgès Da Silva, 2015). Il a pour enjeu la pérennité économique du système de santé ; il repositionne le patient comme sujet en soin dont « la maladie est une occasion d’apprentissage » (Tourette-Turgis, 2015) ; il se fonde sur la construction et la reconnaissance de leurs savoirs expérientiels (Jouet, Flora, et Las Vergnas, 2010).

Le changement peut se repérer sur les quatre axes identifiés par Marcel (2014) : ontologique, artéfactuel, épistémologique et praxique.

Le partenariat remet en perspective la relation de soi à l’Autre. Le professionnel en santé vise à abandonner sa fonction « apostolique » (Balint et Valabrega, 1960), pour une relation plus équilibrée avec le patient, en adoptant une nouvelle posture. La décision thérapeutique est partagée et co-construite. Outre la transformation identitaire professionnelle, voire personnelle, du clinicien, le partenariat de soin remet en perspective l’ancrage de l’identité professionnelle de l’ensemble des professionnels en santé.

Dans un même temps, les représentants d’associations de patients, traditionnellement engagés contre la pensée médicale (Flora, 2012), vont tenter d’évoluer dans leurs relations avec les professionnels en santé, pour tendre vers des approches complémentaires, susceptibles de favoriser le partenariat.

Les modes de fonctionnement, les règles, les normes, les valeurs et principes sont largement questionnés et leur hiérarchie discutée. Que ce soit pour renouveler le colloque singulier ou encore pour l’intégration du patient partenaire au sein des équipes de soin, de formation des professionnels en santé, de recherche, le partenariat requiert de faire évoluer les organisations voire les cadres juridiques, c’est-à-dire les structures et incitatifs qui déterminent de manière significative les comportements des professionnels en santé. Le seul sujet, quelque peu polémique, de la professionnalisation des patients partenaires peut être un réel exemple des bouleversements organisationnels que génère une telle évolution.

Avec pour perspective, l’efficience de la prise en soin de la personne vivant avec une maladie, le partenariat de soin, permettant la mutualisation des savoirs académiques et cliniques des professionnels en santé avec ceux du vécu avec la maladie, produit de nouveaux savoirs. La co-construction de la décision de soin engendre une nouvelle alliance thérapeutique. Nourrissant une relation professionnel en santé - patient sur un nouveau mode éthique, le partenariat est par ailleurs vecteur de sens pour les patients, les proches aidants comme pour les professionnels en santé : si pour les premiers, il peut améliorer la qualité de vie avec la maladie, il serait source d’amélioration de la qualité de vie au travail pour les seconds.

Enfin, l’ensemble de la pratique soignante est remis en cause par le partenariat. La pratique asymétrique du soin fait place à une pratique partenariale : la place du professionnel comme celle du patient sont remodelées.

« Let the patient revolution begin ; patients can improve healthcare : it’s time to take partnership seriously » [1], tel était le titre de l’éditorial du British Medical Journal, formulé par Richards, Montori, Godlee, Lapsley, et Paul (2013). En effet, le partenariat de soin avec le patient augure d’un changement paradigmatique ; l’évolution des identités professionnelles comme personnelles, des normes, des pratiques professionnelles, de l’élaboration des savoirs, la professionnalisation des patients et aidants partenaires en constituent les enjeux principaux.

Le partenariat, dont les fondements reposent sur la complémentarité des savoirs du patient, du proche aidant et des professionnels en santé, a pour objectif de rendre la personne actrice de ses soins si elle le souhaite. Il vient se confronter à la persistance de pensées sociales sur lesquelles s’ancrent nos systèmes de santé actuels :

  • la pensée médicale organiciste (Le Breton, 2011), qui fonde la pensée scientifique caractérisée sous les traits de « l’Evidence based médecine »[2].
  • la pensée militante des associations de patients qui peuvent être engagées dans une dynamique plus de confrontation avec le pouvoir médical (Flora, 2012).
  • la pensée du patient, qui se conçoit comme un objet de soin et que peut symboliser la construction épistémologique et sociale du mot patient (Pierron, 2007).
  • la pensée néo-libérale institutionnelle, qui vise un mode de pérennité économique du système de santé.

Si le partenariat peut difficilement s’inscrire dans une injonction au changement ou dans une conduite visant l’adhésion à un quelconque modèle, il semble bien qu’un accompagnement au changement visant une perspective « d’émancipation œcuménique» (Broussal, 2017, p.54) de l’ensemble des acteurs, afin de fertiliser le champ des possibles, soit le vecteur de l’évolution de la pensée médicale et plus largement celle des professionnels en santé, celle des associations de patients comme celle des patients et des proches aidants, celle des institutions de santé.

Type de contributions

L’appel à contributions concerne la soumission de propositions de communications.

Ces communications pourront être orales lors d’ateliers thématiques ou sous forme de posters. Elles pourront être en langues française ou anglaise.

2 types de communication peuvent être proposés :

 1 – Communications scientifiques

Ces communications pourront s’appuyer sur des recherches empiriques ou conceptuelles, ainsi que sur des témoignages problématisés de pratiques professionnelles, expériences de vie avec la maladie ou encore d’initiatives collectives impliquant des patients et/ou proches aidants :

Les propositions relevant de recherches empiriques devront présenter la question de recherche posée, le terrain investigué, la méthodologie mobilisée, des éléments d’analyse et les résultats disponibles ou envisagés, une bibliographie ;

Les propositions d’ordre conceptuel devront situer et présenter un questionnement ainsi que les références utilisées pour le travailler, une bibliographie ;

Les propositions s’appuyant sur une pratique professionnelle, une expérience de vie avec la maladie ou une initiative collective impliquant des patients et/ou des proches aidants devront comporter à la fois une description de la situation concernée et une analyse de celle-ci en précisant les outils de recueil et d’analyse utilisés, les concepts ou théories mobilisés, ainsi qu’une bibliographie.

 2 - Témoignages

Ceux-ci ne nécessitent pas le recours à un cadre théorique, une analyse systématique et le recours à des données de recherche. Ils rendent compte d’une expérience de patient, de proche aidant, de professionnel en santé, etc. La contribution doit permettre de contribuer à faire avancer la réflexion, les connaissances dans le domaine du partenariat de soin avec le patient.

Axes

Les deux types de proposition de communication doivent s’inscrire dans l’un des trois axes suivants du colloque :

AXE 1 – Niveau Micro « Évolution de la relation individuelle soignant-soigné »

Il s’agit là d’éclairer plus spécifiquement les changements repérables quant à la place du patient et du professionnel dans le colloque singulier ; comment la perspective du partenariat met-elle à l’épreuve la prise en soin du patient ? Quelles sont les pratiques/actions permettant de favoriser la transition vers davantage de pratiques du partenariat ? …

AXE 2 - Niveau Méso « Évolution des postures et pratiques professionnelles dans le soin, la formation des professionnels, la recherche, l’innovation et l’organisation des établissements et des réseaux de santé ».

 Il s’agit là de rendre compte de travaux de recherche ou de témoignages de professionnels, de patients ou proches aidants, visant l’accompagnement du changement que porte le partenariat dans sa dimension collective : la pratique du soin (clinique et éducatif), la formation des professionnels de santé, la recherche, l’innovation, l’organisation des établissements et réseaux sanitaires ou médico-sociaux (gouvernance, qualité).

L’éducation thérapeutique du patient, avec son approche centrée sur le patient, apparait en France, en Suisse, en Belgique, comme un levier de l’approche partenariat de soin. Selon l'apport des soumissions, un intérêt plus particulier sera apporté aux travaux interrogeant les pratiques en éducation du patient et leur évolution à l'aune du développement de l'approche partenariat de soins.

AXE 3 – Niveau Macro « Évolution des politiques institutionnelles et transformation des contextes d'exercice des métiers dans le champ sanitaire et médico-social »

Il s’agit là d’interroger la façon dont les politiques institutionnelles de santé peuvent contribuer au déploiement du partenariat sur le(s) territoire(s) ; comment peuvent-elles conduire le changement au sein de nos systèmes de santé ? Quels dispositifs peuvent être mis en place ? Comment promouvoir l’émergence d’une nouvelle figure au sein du système de santé : le patient partenaire ? Sa professionnalisation peut-elle être un levier de la mise en œuvre du partenariat ?

Modalités de contribution

Format de la proposition de communication : il est demandé de respecter les critères présentés ci-dessous pour répondre à cet appel. Toute proposition qui ne les respecterait pas sera écartée.

Vous pouvez consulter le guide de soummission de contribution en cliquant ici.

Date limite de soumission : 15 octobre 2020

Réponse du comité scientifique : 30 novembre 2020

Par ailleurs, certaines de ces communications pourront être sélectionnées dans le cadre de l’écriture d’un ouvrage collectif.

Soumission du texte complet  (nombre de mots maximum, bibliographique incluse : 8500) en cas d’acceptation de la communication pour l’ouvrage collectif : 31 mars 2021.

Comité scientifique

  • AUSSEL Lucie : Maîtresse de Conférences en Sciences de l'Éducation et de la Formation ; chercheuse à l’UMR EFTS, Université Toulouse Jean Jaurès ; coordinatrice de l'entrée thématique "Conduite et accompagnement du changement".
  • BASTIANI Bruno : Docteur en Sciences de l'Éducation et de la Formation ; chercheur associé à l’UMR EFTS, Université Toulouse Jean Jaurès, formateur à l’Institut Toulousain de Simulation en Santé (ITSimS).
  • BEYNE-RAUZY Odile : Professeur en médecine interne, Institut Universitaire du Cancer de Toulouse Oncopôle ; vice doyenne de la Faculté de médecine Toulouse-Purpan.
  • BERKESSE Alexandre : Chargé de mission « Partenariat avec les patients » pour la structure régionale d’appui à la Coordination et l’Amélioration des Pratiques Professionnelles en Santé de Bretagne (CAPPS Bretagne) ; conseiller stratégique au Centre d’Excellence sur le Partenariat avec les Patients et le Public (CEPPP) de l’Université de Montréal.
  • BRINGER Jacques : Professeur en endocrinologie, ancien doyen de la Faculté de médecine de Montpellier ; Président du Conseil d’Orientation de l’Espace Régional de Réflexion Éthique Occitanie (ERE-OC).
  • BROUSSAL Dominique : Professeur des Universités en Sciences de l'Éducation et de la Formation, Université Toulouse Jean Jaurès ; responsable du Conseil Scientifique de l'UMR EFTS.
  • CODSI Marie-Pierre: Médecin de famille, Maîtrise de recherche en pédagogie des sciences de la santé, Faculté de médecine de l'Université de Montréal. Responsable du développement académique du Centre d'excellence sur le partenariat avec les patients et le public (CEPPP).
  • COUARRAZE Sébastien : Docteur en Sciences de l'Éducation et de la Formation ; chercheur associé à l’UMR EFTS, Université Toulouse Jean Jaurès ; infirmier anesthésiste CHU Toulouse et formateur à l’Institut Toulousain de Simulation en Santé (ITSimS).
  • DARMON David : Co Directeur du Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P) ; vice-président Santé, Université Côte d'Azur, Faculté de médecine ; directeur du département d’enseignement et de recherche en médecine générale.
  • DE LA TRIBONNIERE Xavier : Médecin, Faculté de Médecine de Montpellier ; responsable de l’Unité Transversale d'Éducation du Patient (UTEP), Hôpital La Colombière, CHU de Montpellier.
  • DO Marine : Docteur en Sciences de l'Éducation et de la Formation, chercheure associée à l’UMR EFTS, Université Toulouse Jean Jaurès ; cadre de santé Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Villeneuve sur Lot ; patiente partenaire.
  • FAURE  Jean-Baptiste : Docteur en neurosciences cognitives ; président Savoirs Patients (Institut pour la promotion des patients et aidants partenaires en santé) ; patient partenaire.
  • FERNANDEZ Nicolas : Docteur en pédagogie ; professeur agrégé du Centre de Pédagogie Appliquée aux Sciences de la Santé (CPASS), Faculté de médecine, Université de Montréal ; patient partenaire auprès de la Direction Collaboration et Partenariat Patient (DCPP).
  • FLORA  Luigi : Docteur en sciences de l’Éducation et de la formation ; Co directeur patient du Centre d'innovation du partenariat avec les patients et le public (CI3P), Faculté de médecine, Université Côte d’Azur ; chercheur en Sciences Humaines et Sociales ; coordinateur du partenariat avec les personnes à l’épreuve de psycho traumatismes, Centre National Ressources et Résilience (CN2R) ; patient partenaire.
  • GALIBERT Béatrice : cadre de santé Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Carcassonne ; master Éthique du soin et Recherche.
  • GROSS  Olivia :  Docteur en Santé Publique – Qualifiée en Sciences de l’Éducation et de la Formation, chercheuse  au Laboratoire d’Éducations et Pratiques de Santé (LEPS EA3412 - Paris 13 - Bobigny).
  • HEJOAKA Fabienne : Anthropologue de la Santé ; Ingénieure de recherche au Laboratoire Population - Environnement - Développement (LPED), UMR 151-IRD-AMU Université Aix-Marseille, patiente partenaire.
  • JARNO Pascal : Médecin, coordinateur structure régionale d’appui pour la Coordination et l’Amélioration des Pratiques Professionnelles en Santé de Bretagne (CAPPS Bretagne).
  • LASSERRE MOUTET Aline : Master en Sciences de l'Éducation et de la Formation, coordinatrice du Centre hospitalo-universitaire d’Education Thérapeutique du Patient, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse.
  • PETRE Benoit : Chargé de cours, département des Sciences de la Santé Publique, Université de Liège, Belgique.
  • RITZ Patrick : Professeur de Nutrition clinique au CHU de Toulouse ; pilote du centre intégré de l’obésité de Toulouse ; faculté de Médecine de Toulouse-Rangueil.
  • SAINT-JEAN Michèle : Maître de Conférences en Sciences de l'Éducation et de la Formation, chercheure à l’UMR EFTS, Université Toulouse Jean Jaurès ; responsable du Parcours de Master 2 « Encadrement des Services dans la Santé et le Social.
  • TERRAL Philippe : Maitre de Conférences HDR, sociologue ; directeur du CreSco ; directeur adjoint de la MSHS-T, Université Paul Sabatier – Toulouse.

Coordination Comité Scientifique

  • LARTIGUET Patrick : doctorant Sciences de l’Éducation et de la Formation, chercheur associé à l’UMR EFTS, Université Toulouse Jean Jaurès ; patient partenaire.
  • SZAPIRO Nathalie : Médecin, pilote projet PRS Partenariat, Direction des Droits des Usagers et Affaires Juridiques, Agence Régionale de Santé Occitanie.

Lieux

  • Université Toulouse 2 Jean Jaurès - Bâtiment Olympe de Gouge - 5, allée Antonio Machado
    Toulouse, France (31)

Dates

  • jeudi 15 octobre 2020

Mots-clés

  • éducation à la santé, partenariat de soin, changement, patient partenaire

Contacts

  • Sébastien REYNES
    courriel : umr-efts [at] univ-tlse2 [dot] fr

URLS de référence

Source de l'information

  • Sébastien REYNES
    courriel : umr-efts [at] univ-tlse2 [dot] fr

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Le partenariat de soin avec les patients », Appel à contribution, Calenda, Publié le mardi 15 septembre 2020, https://doi.org/10.58079/15a1

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