AccueilRegards croisés sur les territoires en crise et sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne

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Regards croisés sur les territoires en crise et sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne

The comparative perspectives of territories in crisis and food security in Subsaharan Africa

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Publié le mardi 24 novembre 2020

Résumé

La région d’Afrique subsaharienne reste l’un des foyers de crises en Afrique depuis plus de deux décennies. Ces crises politico-militaires ont affecté diversement l’équilibre économique et social des populations, mais également l’environnement à travers la dégradation des aires protégées. L’économie des pays d’Afrique subsaharienne reste basée sur l’agriculture. Cependant, l’agriculture africaine se présente comme la plus vulnérable au monde en raison de sa forte dépendance aux variabilités climatiques et de la faible capacité d’adaptation des producteurs à ces changements. Plus de 95% de l’agriculture africaine est de type pluvial et les projections de la baisse de la production agricole due aux variabilités climatiques sont de l’ordre de 10 à 50 %.

Annonce

Le colloque se tiendra du 12 au 14 octobre 2021 au sein du campus 2 de l’Université Alassane Ouattara.

Contexte et justification

Le territoire, espace contrôlé-borné désigne dans un contexte d’espace connoté technocratique, un espace dont l’enracinement historique et l’identité créent une spécificité qui peut constituer une ressource pour le développement local (Bailly, 2014, p. 54). Agencement de ressources matérielles et symboliques capable de structurer les conditions d’existence d’une collectivité, le territoire est dans cette perspective une ressource dynamique (Raffestin, 1986, p. 181). La dynamique des territoires repose sur des évènements qui se caractérisent par des circonstances imprévisibles, des moments de perturbation et d’incertitude qui peuvent agir comme un révélateur d’éléments latents dans la vie quotidienne des collectivités (Morin, 1994, p. 82). Ces évènements à caractère de facteurs de bouleversement non souhaité s’identifient à la crise perçue comme une ambiguïté déstabilisatrice, à fort climat d’incertitude qui peut créer des problèmes pour la mise en œuvre des actions au sein de la collectivité (Niamien et al., 2017, p. 48). Les territoires de la crise sont ceux qui sont affectés par elle, qui en porte les stigmates comme les espaces ruraux touchés par l’enclavement fonctionnel. Dans cette mesure, la réflexion commande la délimitation des champs de crises évoquées (Gnamien, 2014, p. 38). Il s’agit des crises économiques et financières, des crises sanitaires et des crises de gouvernances avec un point d’honneur accordé aux crises alimentaires et agricoles. La région d’Afrique subsaharienne reste l’un des foyers de crises en Afrique depuis plus de deux décennies. Ces crises politico-militaires ont affecté diversement l’équilibre économique et social des populations, mais également l’environnement à travers la dégradation des aires protégées. L’économie des pays d’Afrique subsaharienne reste basée sur l’agriculture. Cependant, l’agriculture africaine se présente comme la plus vulnérable au monde en raison de sa forte dépendance aux variabilités climatiques et de la faible capacité d’adaptation des producteurs à ces changements. Plus de 95 % de l’agriculture africaine est de type pluvial et les projections de la baisse de la production agricole due aux variabilités climatiques sont de l’ordre de 10 à 50 %. Aux contraintes climatiques de développement de l’agriculture se greffent les pesanteurs techniques. Elles font référence à la faible taille des superficies liées au fait que l’outillage utilisé fait essentiellement appel à l’énergie humaine. La pratique de la polyculture vivrière et de la culture itinérante sur brûlis appauvrit rapidement le sol et l’irrigation est peu maitrisée des paysans. L’un des impacts les plus importants qui découlent du malaise de l’agriculture subsaharienne est l’insécurité alimentaire. Sa prévalence de plus en plus importante dans les espaces ruraux fait plancher les réflexions vers une action : la sécurisation alimentaire qui suppose, pour sa part, plutôt « la création des conditions de pérennisation d’une situation donnée ou à atteindre » et porte une « attention aux processus structurants et au fonctionnement global du système alimentaire » (Janin, 2018, p. 17). Par conséquent, la sécurisation s’intéresse davantage à ce qui permet de « faire face » pour construire une action positive et durable (Hubert, 2006, p. 15). La notion de sécurisation englobe également les « pratiques spontanées » des populations, ainsi que l’analyse de l’articulation entre les projets locaux et les pratiques alimentaires. Le présent colloque se propose alors de faire une capitalisation des résultats de recherche sur la dynamique des territoires d’une part, et d’autre part, sur la dynamique des systèmes de production en lien avec la question de la sécurité alimentaire.

Axes d’interventions du colloque

Quatre  thématiques ont été définies pour structurer les réflexions au cours du colloque.

Axe 1 : Agriculture, Résilience climatique et sécurité alimentaire

En Afrique Subsaharienne, l’exacerbation des conflits et la variabilité du climat sont étroitement liées aux échecs de la lutte contre la faim (FAO, 2016, p. 94). Ils sont des facteurs clés de la récente progression de la faim dans le monde, ainsi que des crises alimentaires graves et de leurs impacts sur la nutrition et la santé. La faim est beaucoup plus présente dans les pays dont le système agricole est très sensible aux précipitations, à la température et aux sécheresses graves, et dont une part importante de la population tire ses revenus de l’agriculture (FAO, 2018, p. 19) ; et l’Afrique subsaharienne n’est pas en marge de ce constat. Toutefois, il est donné de constater que les agriculteurs en fonction des difficultés de production dans les territoires agricoles en crises arrivent à concevoir des mécanismes d’adaptation et/ou de résilience. Alors, quelles sont les mutations des systèmes agricoles qui ont cours pour améliorer la sécurité alimentaire des populations en Afrique Subsaharienne ? Comment les difficultés de productivité agricole affectent la sécurité alimentaire des ménages ? Comment l’agriculture s’adapte-t-elle à la variabilité climatique ? Quelles sont les nouvelles formes de résiliences climatiques adoptées par les agriculteurs ? Quelles innovations pour quelles agricultures ? Quels moyens de production ? Dans quels contextes ? Que penser de l’essor de l’agriculture urbaine et périurbaine dans le contexte de la sécurité alimentaire ?

Axe 2 : Service de vulgarisation et financement agricole

Depuis 50 ans, l’approche de la vulgarisation et de la recherche agricole a considérablement évolué dans les pays en développement et ce processus est loin d’être terminé (Norton, 2006, p. 188). Les systèmes de recherche et de vulgarisation agricoles sont de plus en plus sous pression pour répondre à un besoin de réadaptation perpétuelle des agricultures en Afrique de l’Ouest : introduction de nouvelles variétés, recours à d’autres intrants externes, adaptation des conseils agricoles à la modification du climat, etc. De nos jours, les systèmes de recherches souffrent d’un amenuisement de financement tandis que les systèmes de vulgarisation manquent de personnels qualifiés. Plusieurs recherches tentent à démontrer que la vulgarisation émanant des institutions non gouvernementales (organisations paysannes, consultants spécialisés, ONG) serait une voie susceptible de bonifier les activités agricoles en Afrique subsaharienne. Par ailleurs, la plupart des banques agricoles d’État en Afrique Subsaharienne ont dû cesser leur activité. Depuis, la politique agricole éprouve des difficultés à financer de manière rationnelle l’agriculture. Aujourd’hui, les institutions de micro-financement sont appelées à la rescousse des territoires agricole en crise. Cependant, les actions de ceux-ci se limitent majoritairement dans l’espace urbain et périurbain, faute de système bancable adéquat en milieu rural. Alors : Pourquoi les services de vulgarisations et de recherche sont-ils importants pour le développement de l’agriculture ? Est-ce que les orientations de la recherche et de la vulgarisation tiennent-elles suffisamment compte des besoins des paysans ? Comment orienter donc ses actions pour qu’elles soient en phase avec le développement agricole ? Par ailleurs, la recherche agricole s’adapte-t-elle aux demandes du marché de l’emploi agricole ? La communication dans la restitution des résultats s’adapte-t-elle au langage des paysans ? Quel rôle pourrait jouer les ONG et les organisations paysannes dans la vulgarisation des résultats de la recherche ? Quelles formes de crédit agricole pour les populations rurales ? Comment envisager différemment le financement agricole pour une meilleure efficacité ? Quel rôle des TIC comme outils de vulgarisation et de bancarisation en milieu rural ?

Axe 3 : Territoires agricoles, protection sociale et enjeux sanitaires

La plupart des populations dans les zones rurales sont confrontées à des conditions de travail particulièrement laborieux et risquées, associées à un manque de protection sociale. L’état de santé des travailleurs agricoles dépend du niveau général des services de santé publique de proximité mais aussi de la qualité de l’approvisionnement en eau et en aliment de qualité. De nos jours, en dépit des efforts des Etats en Afrique Subsaharienne, la question de la santé des populations rurales se pose avec acuité. L’usage intensif de machines agricoles (tracteurs, moissonneuses, outils tranchants et perçants, etc.) et de produits chimiques (pesticides fertilisants, antibiotiques, etc.) et autres substances cancérigènes (les herbicides phénoxyacétiques, rayonnements UV, etc.) a accru les risques d’accidents de travail et professionnel dans l’agriculture, faisant de ce métier l’un des plus dangereux au monde selon l’Organisation Internationale du Travail (BIT, 2000). A ces différentes menaces, s’ajoutent également des maladies parasitaires (bilharziose et la distomatose hépatique), des maladies transmissibles par contact avec les animaux dangereux et venimeux (insectes, araignées, scorpions, serpents) et des maladies liées au contact permanent des agriculteurs avec l’eau dans le cadre des aménagements hydro-agricoles. Dès lors, les services de santé en milieu rural sont-ils accessibles aux travailleurs agricoles ? Quels sont impacts de l’utilisation excessive des pesticides sur la santé des populations ? Quelles correspondances peut-on établir entre les techniques, les méthodes agricoles et la recrudescence des pathologies chez les populations rurales ? Comment les conditions d’accès à l’eau potable influencent-elles la santé des populations ? Quelles sont les stratégies d’adaptations des populations devant les difficultés d’accès aux services de santé ?

Axe 4 : Gouvernance territoriale et gestion foncière

Depuis des décennies, les politiques visant la promotion du secteur agricole en Afrique Subsaharienne n’ont pas eu le succès escompté bien que la plupart des économies soient basées sur l’agriculture. Les agriculteurs sont restés pauvres et les milieux ruraux souffrent toujours d’une insuffisance d’infrastructure de base. Et même, la décentralisation qui devait être accompagnée d’une décentralisation des services agricoles tarde à impulser un développement rural. Par ailleurs, depuis les indépendances, les politiques foncières devant régir l’accès à la terre pour l’agriculture ne sont pas appliquées et respectées dans de nombreux pays en Afrique Subsaharienne malgré le fait que l’accès à la terre est le déterminant le plus fondamental des possibilités de revenu dans les zones rurales des pays en développement et en transition. Sans une définition claire des droits d’accès à la terre, ou régime foncier, la production est plus difficile à mener et l’exploitant hésite à investir à long terme dans les améliorations de productivité. Dès lors, quels sont les rôles de l’Etat, des collectivités décentralisées, du secteur privé et de la société civile dans la mise en valeur de l’agriculture en tant qu’instrument de développement ? Comment la prise de décision et la mise en œuvre des politiques agricoles peuvent-elles être améliorées et améliorer les conditions de vie des agriculteurs ? Quel type de droit d’utilisation des terres - collectif, coopératif ou individuel convient le mieux ? Comment promouvoir les droits des femmes à la terre ? Quel peut être le rôle des projets agricoles dans le développement rural ? Compte tenu de la raréfaction des terres arables sur tous les continents, quelles mesures de politique peuvent inciter à intensifier l’utilisation des terres cultivables existantes ?

Public cible

Le colloque s’adresse aux groupes cibles suivants :

  • Experts, Chercheurs et Enseignants-chercheurs communauté scientifique et technique ; 
  • Étudiants ;
  • Organismes internationaux ;
  • Acteurs d’ONG ou de Bureaux d’études ; 
  • Opérateurs économiques et institutions de finance ; 
  • Services techniques des institutions publiques et privées ; 
  • Collectivités territoriales et décideurs dans les domaines du développement rural ; 
  • Etc.

Instructions pour la soumission de communications

Les communications en Français ou en Anglais seront soumises sous la forme de communication orale ou de Poster. Les propositions de communication devront répondre aux indications suivantes :

  • Titre de la communication ;
  • Nom et prénoms de ou des auteurs ;
  • Institution de rattachement ; 
  • Adresse e-mail du correspondant principal ;
  • Axe d’inscription de la communication ;
  • Résumé de la proposition, 500 mots au plus, qui mentionnera la problématique, les données sur lesquelles se fonde l’analyse, les approches méthodologiques et les résultats.

Les propositions de communication devront être envoyées au format Word à l’adresse suivante : colloquelavse.ured@gmail.com 

Calendrier et frais de participation

Le calendrier se présente comme suit :

  • 31/01/2021 : Date butoir de réception des résumés ;

  • 15/03/2021 : Avis du comité scientifique sur l’acceptation des résumés ;
  • 30/06/2021 : Réception des textes complets des propositions de communication ;
  • 31/08/2021 : Retour d’instruction des propositions de texte ;
  • 12/10/2021 : Colloque.

Les frais de participation au colloque se répartissent comme suit : Étudiants : 20 000 F CFA Enseignants-chercheur, Chercheurs : 50 000 F CFA Autres participants : 60 000 F CFA Les frais d’inscription comprennent la participation au colloque, l’accès aux conférences, le kit du participant, les actes du colloque, les pauses café et le déjeuner. Le payement se fera sur place avant le début du colloque.

Contacts

Pour tous autres renseignements, veuillez contacter le secrétariat.

Email : colloquelavse.ured@gmail.com

Téléphone : (00 225) 03 38 00 72 / (00 225) 49 47 47 57)

Bibliographie

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Dates

  • dimanche 31 janvier 2021

Mots-clés

  • vulgarisation, financement agricole, securité alimentaire, territoire agricole, gouvernance fonciere, changement climatique

Contacts

  • Konan Kouassi
    courriel : kouassikonan50 [at] yahoo [dot] fr
  • Guy-Roger Yoboue Koffi
    courriel : kgryoboue [at] gmail [dot] com

Source de l'information

  • Colloque LAVSE
    courriel : colloquelavse [dot] ured [at] gmail [dot] com

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Regards croisés sur les territoires en crise et sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne », Appel à contribution, Calenda, Publié le mardi 24 novembre 2020, https://doi.org/10.58079/15l2

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