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Calenda - O calendário de letras e de ciências sociais e humanas

La fête dansante

Festive dance

Pratiques, imaginaires et cultures festives en danse

Practices, images and festive cultures in dance

*  *  *

Publicado quinta, 18 de fevereiro de 2021

Resumo

À l’appel du confinement, diurne et nocturne, l’espace festif devient suspect et identifié comme dangereux dans la crise pandémique actuelle. Jugées comme des activités « non essentielles » par le gouvernement, les pratiques festives, et avec elles les activités et les valeurs qu’elles déploient, sont officiellement interdites dans l’espace public et déconseillées dans la sphère privée. Outre les dégâts économiques causés par cette interdiction dans certains secteurs professionnels associés aux loisirs, à la production d’activités et d’évènements festifs (bars, boîtes de nuit, clubs, salles des fêtes, festivals, bals, concerts) et les réactions critiques qu’elles génèrent, nous souhaitons interroger, par le biais des effets de ces mesures coercitives sur le monde social, les sens et les fonctions festives de la danse.

With the enforcement of lockdowns, diurnal and nocturnal, the festive space has become suspect and identified as dangerous in the current pandemic crisis. Deemed “non-essential” activities by the French government, festive practices, and with them the activities and values they embody, are officially prohibited in the public sphere and discouraged in the private sphere. In addition to highlighting the economic damage caused by this ban in certain professional sectors associated with entertainment and the production of festive activities and events (bars, nightclubs, clubs, party halls, festivals, balls, concerts), and the adverse reactions that they generate, we wish to question, through the effects of these coercive measures on the social world, the significations and functions of festive dance.

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Centre National de la Danse, Pantin, 8-9 octobre 2021 

Argumentaire

À l’appel du confinement, diurne et nocturne, l’espace festif devient suspect et identifié comme dangereux dans la crise pandémique actuelle. Jugée comme des activités « non essentielles » par le gouvernement, les pratiques festives, et avec elles les activités et les valeurs qu’elles déploient, sont officiellement interdites dans l’espace public et déconseillées dans la sphère privée. Outre les dégâts économiques causés par cette interdiction dans certains secteurs professionnels associés aux loisirs, à la production d’activités et d’évènements festifs (bars, boîtes de nuit, clubs, salles des fêtes, festivals, bals, concerts) et les réactions critiques qu’elles génèrent, nous souhaitons interroger, par le biais des effets de ces mesures coercitives sur le monde social, les sens et les fonctions festives de la danse. S’il est aujourd’hui envisageable d’imaginer une société dépourvue d’espace et de temps dédiés aux plaisirs festifs, qu’en est-il réellement du rôle historique, social et anthropologique joué par la fête dansante ? Mais d’abord qu’entend-on par « fête », et l’entend-on de la même manière partout et en tous temps ? En quels termes parle-t-on de la fête dansante dans différents contextes historiques et sociolinguistiques (chahut, bringue, teuf, boucan, s’enjailler, etc.) ? Et surtout, quelle place le corps dansant occupe-t-il au sein des pratiques festives ?  

En prise directe avec l’actualité, ces deux journées d’étude proposent une réflexion sur les pratiques, les imaginaires et les cultures festives en danse ouverte à tous les champs disciplinaires, périodes historiques, contextes géographiques et socio-culturels. Nous désirons faire dialoguer les perspectives de chercheurs, chercheurs-praticiens, artistes et professionnels de la fête dansante. Si vous souhaitez participer à cette manifestation, veuillez nous envoyer votre proposition avant le 1er avril 2021 (voir informations pratiques à la fin de l’appel).

Axes thématiques

Sans limitation, les propositions pourront s’inscrire dans l’un des axes thématiques présentés ci-dessous.  

  • Fêter par la danse

Le premier axe envisage la danse en contexte festif et questionne les fonctions sociales et symboliques attribuées aux pratiques dansantes dans les manifestations festives (cérémonies civiles ou religieuses, fêtes nationales, régionales ou locales, festivals) et aux côtés d’autres activités associées à ces occasions (cortège carnavalesque, pratiques gastronomiques). Nous souhaitons également interroger la nature des relations entre pratiques dansantes et autres activités au sein de la fête (hiérarchisation des activités, homologies/intertextualité, amalgames/fusion, etc.).

  • Figures du fêtard

Une seconde perspective s’intéresse aux praticiens et praticiennes de fêtes dansantes en questionnant les figures du fêtard. Il s’agit d’une part de questionner les enjeux identitaires impliqués par la fête dansante (rapport entre fête et âge, classe, race et genre, question des utopies et des collectifs). D’autre part, il s’agit de se pencher sur la sociologie des danseurs et danseuses participants à des réunions festives dans un cadre institutionnalisé (festnoz, par ex.), commercial (club et bars, par ex.), privé (cadre domestique ou pas) ou clandestin (rave, par ex.).

  • Chorégraphier la fête

Ce troisième axe considère la fête dansante en tant que représentation artistique et véhicule d’imaginaires. Nous nous intéresserons aux représentations de la fête dansante, en observant sa présence sur les scènes de production de l’imaginaire, en premier lieu au sein des arts spectaculaires, plus particulièrement les danses théâtrales, mais également via la littérature, les arts visuels ou le cinéma. La réflexion pourrait porter sur la fête comme motif chorégraphique ou comme objet de spectacularisation, voire d’artification au sein du bal. 

  • Réguler la fête

En tant que lieu d’exercice du pouvoir, la fête dansante est un terrain d’observation fertile à l’étude des mouvements de régulation des corps. Cet axe envisage les rapports des pratiques festives aux diverses instances et expressions du pouvoir. Il invite à réfléchir aux mesures coercitives adressées aux espaces festifs (des interdits implicites aux dispositifs censoriels) et à leurs effets (clandestinité, formes d’autocensure). Il propose également d’ouvrir un questionnement sur le corps festif comme instrument expressif au service du pouvoir (fêtes royales, célébrations nationales). 

  • S’émanciper par la fête

Ce dernier axe aborde la capacité émancipatrice, transgressive, revendicatrice et/ou réparatrice de l’expérience festive dansée, notamment dans le cadre de mouvements sociaux (fêtes révolutionnaires, danses de protestation) ou de rituels (rites d’apprentissage, d’initiation). L’identification de certaines puissances dansantes par le prisme d’une étude des phénomènes de parodie, de satire ou de pastiche pourrait être privilégiée. De même, une attention envers le potentiel fédérateur du « faire la fête » permettrait de traiter des manières collectives de réparer le vivant et de générer du collectif.

Modalités pratiques

Les propositions de communication sont attendues

pour le 19 avril 2021 

et devront être transmises à l’adresse suivante : fetedansante@gmail.com

Les intervenant.es sont invité.es à proposer différents formats de communication d’une durée maximale de 30 minutes (conférence-performée, contribution collective, atelier partagé, etc.)

Pour proposer une communication, veuillez envoyer les deux documents suivants en fichiers attachés :

Document 1 (anonymisé — ne doit pas comporter votre nom) :

  • Le titre de la proposition
  • Un résumé d’une page maximum avec bibliographie indicative incluse
  • 5 mots-clés
  • Veuillez nommer votre fichier de la façon suivante : “DOC1_VOTRE TITRE.docx”

Document 2 :

  • Le titre de la proposition
  • Votre nom, prénom, statut(s), affiliation(s) et vos coordonnées électroniques
  • Une notice biographique de 5-10 lignes, rédigée en texte continu et à la troisième personne (discipline, institution(s) ou collectif(s) de rattachement, thèmes de recherche, etc.)
  • Veuillez nommer votre fichier de la façon suivante : “DOC2_VOTRE NOM.docx”

Les propositions seront évaluées par le comité scientifique en double aveugle. La sélection des contributions sera communiquée courant juin 2021.

Organisation

Camille Paillet (Université Paris 8, Musidanse/Université Paris 1 Sorbonne, CHS) et Laura Steil (Université Paris 8)

Comité scientifique

Christophe Apprill (URMIS), Andreas Fickers (UniLu, C2DH), Thomas Fouquet (IMAF, CNRS), Pascale Goetschel (Université Paris 1 Sorbonne, CHS), Isabelle Launay (Université Paris 8, Musidanse), Marina Nordera (Université Côte d’Azur, CTEL), Claudia Palazzolo (Université Lumière Lyon 2, Passages XX-XXI), Joëlle Vellet (Université Côte d'Azur, CTEL)

Bibliographie indicative 

ANDRIEU Sarah, FANOUILLET Laura, LEFEVRE Betty [dir.], « Danse(s) et populaire(s) », Recherches en danse, no9, 2020

APPRILL Christophe, Les Mondes du bal, Nanterre, Presses universitaires de Nanterre, 2018

CRESSEY Paul [1932], The Taxi Dance-Hall: A Sociological Study in Commercialized Recreation and City Life, Chicago, The University of Chicago Press, 2008

CROZAT Dominique et FOURNIER Sébastien, « De la fête aux loisirs : évènement, marchandisation et invention des lieux », Annales de Géographie, vol. 643, no3, 2005, pp. 307-328

DE BAECQUE Antoine, Les Nuits parisiennes (XVIIIe-XXIe siècles), Paris, Le Seuil, 2015

FLÉCHET Anaïs, GOETSCHEL Pascale, HIDIROGLOU Patricia, MOINE Caroline, VERLAINE Julie [dir.], Une Histoire des festivals. XXe-XXIe siècles, Paris, Publications de la Sorbonne, 2013

FOUQUET Thomas, « La Nuit urbaine, un “espace potentiel” ? Hypothèses dakaroises », Cultures & Conflits, no105/106, 2017, pp.83-97

FOURNIER Laurent Sébastien, La Fête en héritage. Enjeux patrimoniaux de la sociabilité provençale, Aix-en-Provence, PUP, 2005

GARCIA Luis-Manuel, « Crowd Solidarity on the Dancefloor in Paris and Berlin », Performance and the Changing City: Postindustrial Contexts in Europe and the United States, Londres, Routledge, 2013, pp. 227–255

GARCIA Luis-Manuel, « Doing Nightlife and EDMC Fieldwork », Dancecult : Journal of Electronic Dance Music Culture, vol.5, no1, 2013, pp. 3-17

GASNAULT François, Guinguettes et lorettes. Bals publics et danse sociale à Paris entre 1830 et 1870, Paris, Aubier, 1986

GAUTHARD Nathalie [dir.], Fêtes, mascarades et carnavals. Circulations, transformations et contemporanéité, Paris, l’Entretemps, 2014

GRAVARI-BARBAS Maria, « La “ville festive” ou construire la ville contemporaine par l’événement » dans Edith Fagnoni et Jérôme Lageiste [dir.], Bulletin de l’Association des géographes français, 2009, pp. 279-290

GRAVARI-BARBAS Maria, La Ville festive. Espaces, expressions, acteurs, Mémoire d’HDR, Université d’Angers, 2000

HASLAM Dave, Life after dark : A history of British nightclubs and music venues, London, Simon & Schuster, 2015

JACOTOT Sophie, Danser à Paris dans l’entre-deux-guerres. Lieux, pratiques et imaginaires des danses de société des Amériques (1919-1939), Paris, Nouveau Monde, 2013

JORON Philippe, La Fête à pleins bords. Bayonne : fêtes de rien, soif d’absolu, Paris, CNRS Éditions, 2012

KOSMICKI Guillaume, Free party. Une histoire, des histoires, Paris, Le mot et le reste, 2010

LALLEMENT Emmanuelle, « Que la fête s’éclate », Socio-anthropologie, no38, 2018

LAUNAY Isabelle, PAGÈS Sylviane, PAPIN Mélanie, SINTÈS Guillaume [dir.], Danser en 68. Perspectives internationales, Paris, Deuxième époque, 2019

LAWRENCE Tim, « Disco and the Qeering of Dance Floor », Cultural Studies, vol.25, no2, 2011, pp.230-243

LELOUP Jean-Yves, Digital magna. De l’utopie des raves parties à la génération MP3, Paris, Le mot et le reste, 2013

PERROT Michelle, « La Ville en mouvement. Fêtes et manifestations », Ethnologie française, vol.12, no2, 1982, pp.12-35

ROUSIER Claire [dir.], Scènes de bal, bals en scène, Pantin, CND, 2011

THORNTON Sarah, Club cultures: Music, media and subcultural capital, Middletown, Wesleyan University Press, 1996

VOGEL Shane, The scene of the Harlem cabaret: Race, sexuality, performance, Chicago and London, University of Chicago Press, 2009

ZAYTSEVA Anna, « Être comme chez soi : Mécanismes de tri et homogénéisation sociale dans les clubs et bars DJ de Saint-Pétersbourg » », Cultures & Conflits, no105-106, 2017, pp.99-122

Centre National de la Danse, Pantin, 1-2 octobre 2021

Symposium chairs

  • Camille Paillet (Université Paris 8, Musidanse/Université Paris 1 Sorbonne, CHS)
  • Laura Steil (Université Paris 8)

Programming committee

  • Christophe Apprill (URMIS),
  • Andreas Fickers (UniLu, C2DH),
  • Thomas Fouquet (IMAF, CNRS),
  • Pascale Goetschel (Université Paris 1 Sorbonne, CHS),
  • Isabelle Launay (Université Paris 8, Musidanse),
  • Marina Nordera (Université Côte d’Azur, CTEL),
  • Claudia Palazzolo (Université Lumière Lyon 2, Passages XX-XXI),
  • Joëlle Vellet (Université Côte d'Azur, CTEL)

Description

With the enforcement of lockdowns, diurnal and nocturnal, the festive space has become suspect and identified as dangerous in the current pandemic crisis. Deemed “non-essential” activities by the French government, festive practices, and with them the activities and values they embody, are officially prohibited in the public sphere and discouraged in the private sphere. In addition to highlighting the economic damage caused by this ban in certain professional sectors associated with entertainment and the production of festive activities and events (bars, nightclubs, clubs, party halls, festivals, balls, concerts), and the adverse reactions that they generate, we wish to question, through the effects of these coercive measures on the social world, the significations and functions of festive dance. If today it is conceivable to imagine a society devoid of spaces and times dedicated to festive pleasures, what is really the historical, social and anthropological role played by the dance party? But first, what do we mean by “party”, and do we mean it the same way everywhere and at all times? In what terms do we speak of the dance party in different historical and sociolinguistic contexts (s’enjailler, chahut, bringue, boucan, teuf, etc.)? And above all, what place does the dancing body occupy within festive practices?

In response to current events, this symposium invites a reflection on dance practices, imaginaries and festive cultures, open to all disciplinary fields, historical periods, geographical and socio-cultural contexts. We wish to cross the perspectives of researchers, researchers-practitioners, artists and dance party professionals.

To participate to this event, please send us your submission before April 19, 2021 (see submission guidelines at the end of the call). Without limitation, submissions may fall within one or several of the thematic axes presented below

1)   Celebrating through dance

The first axis considers dance in a festive context and examines the social and symbolic functions of dance practices in festive events (civil or religious ceremonies, national, regional or local holidays, festivals), alongside other activities associated with these occasions (carnival procession, gastronomic practices). We also question the nature of the relationships between dance practices and other activities within the party (prioritization of activities, homologies/intertextuality, amalgamation/fusion, etc.).

2)  The partygoer

The second axis is interested in the practitioners of dance parties and in the figure of the partygoer. On the one hand, we explore the identity politics related to the dance party (relationship between partying and age, class, race and gender, the question of utopias and collectives). On the other, we examine the sociological profiles of dancers participating in festive encounters, whether institutionalized (festnoz for example), commercial (club and bars for example), private (in the domestic setting or not) or clandestine (rave for example).

3)   Choreographing the party

The dance party will be considered in this third axis as an artistic representation and a vehicle of imaginations. We are interested in the ways the dance party is represented on stage and within the spectacular arts, more particularly theatrical dances, but also in literature, visual arts or cinema. The reflection could focus on the party as a choreographic motif or as an object of spectacularization, or artification within the ball.

4)   Regulating the party

As a site where power can be exercised, the dance party is a fertile field for observing the regulation of bodies. This axis considers the relationship of festive practices to the various instances and expressions of power. It invites to reflect on the coercive measures imposed on festive spaces (from implicit prohibitions to censorship devices) and their effects (clandestinity, forms of self-censorship). It also proposes to interrogate he festive body as an expressive instrument in the service of power (royal festivals, national celebrations).

5)   Emancipating through the party

This last axis addresses the emancipatory, transgressive, restorative and protest potential of the dance party, particularly in the context of social movements (revolutionary festivals, protest dances) or rituals (learning rites, initiation). The power of festive dance could be approached through the prism of phenomena such as parody, satire or pastiche. Attention could likewise be given to the community-building or collective healing potentials of the dance party.

Submissions guidelines

Note: While, for practical reasons, most of the sessions will be held in French, we will do our best to foster a welcoming and inclusive environment for participants and contributors with varying degrees of fluency in French. We also welcome contributions in alternative formats (such as photo/video contributions or conference-demonstrations for example) by non-francophone contributors.

To submit a proposition, please send an email to fetedansante@gmail.com with the following attachments.

The deadline for submissions is April 19th, 2021. 

Document 1 (anonymized— must not contain name):

  • Title
  • An abstract of one page maximum, bibliography included
  • 5 keywords
  • Name your file: “DOC1_TITLE.docx”

Document 2 :

  • Title
  • Your first name, last name, status, affiliation(s) and email address
  • A short biography of 5-10 lines, written in the third person
  • Name your file: “DOC2_YOUR NAME.docx”

The submissions will be anonymously peer-reviewed by the programming committee.

Notifications of acceptance will be communicated in June 2021.

Selected bibliography

ANDRIEU Sarah, FANOUILLET Laura, LEFEVRE Betty [dir.], « Danse(s) et populaire(s) », Recherches en danse, no9, 2020

APPRILL Christophe, Les Mondes du bal, Nanterre, Presses universitaires de Nanterre, 2018 CRESSEY Paul [1932], The Taxi Dance-Hall. A Sociological Study in Commercialized Recreation and City Life, Chicago, The University of Chicago Press, 2008

CROZAT Dominique et FOURNIER Sébastien, « De la fête aux loisirs : évènement, marchandisation et invention des lieux », Annales de Géographie, vol. 643, no3, 2005, pp. 307-328 DE BAECQUE Antoine, Les Nuits parisiennes (XVIIIe-XXIe siècles), Paris, Le Seuil, 2015 FLÉCHET Anaïs, GOETSCHEL Pascale, HIDIROGLOU Patricia, MOINE Caroline, VERLAINE Julie [dir.], Une Histoire des festivals. XXe-XXIe siècles, Paris, Publications de la Sorbonne, 2013

FOUQUET Thomas, « La Nuit urbaine, un “espace potentiel” ? Hypothèses dakaroises », Cultures Conflits, no105/106, 2017, pp.83-97

FOURNIER Laurent Sébastien, La Fête en héritage. Enjeux patrimoniaux de la sociabilité provençale, Aix-en-Provence, PUP, 2005

GARCIA Luis-Manuel, « Crowd Solidarity on the Dancefloor in Paris and Berlin », Performance and the Changing City: Postindustrial Contexts in Europe and the United States, Londres, Routledge, 2013, pp. 227–255

GARCIA Luis-Manuel, « Doing Nightlife and EDMC Fieldwork », Dancecult. Journal of Electronic Dance Music Culture, vol.5, no1, 2013, pp. 3-17

GASNAULT François, Guinguettes et lorettes. Bals publics et danse sociale à Paris entre 1830 et 1870, Paris, Aubier, 1986

GAUTHARD Nathalie [dir.], Fêtes, mascarades et carnavals. Circulations, transformations et contemporanéité, Paris, l’Entretemps, 2014

GRAVARI-BARBAS Maria, « La “ville festive” ou construire la ville contemporaine par l’événement » dans Edith Fagnoni et Jérôme Lageiste [dir.], Bulletin de l’Association des géographes français, 2009, pp. 279-290

GRAVARI-BARBAS Maria, La Ville festive. Espaces, expressions, acteurs, Mémoire d’HDR, Université d’Angers, 2000

HASLAM Dave, Life after dark. A history of British nightclubs and music venues, London, Simon & Schuster, 2015

JACOTOT Sophie, Danser à Paris dans l’entre-deux-guerres. Lieux, pratiques et imaginaires des danses de société des Amériques (1919-1939), Paris, Nouveau Monde, 2013

JORON Philippe, La Fête à pleins bords. Bayonne : fêtes de rien, soif d’absolu, Paris, CNRS Éditions, 2012

KOSMICKI Guillaume, Free party. Une histoire, des histoires, Paris, Le mot et le reste, 2010

LALLEMENT Emmanuelle, « Que la fête s’éclate », Socio-anthropologie, no38, 2018

LAUNAY Isabelle, PAGÈS Sylviane, PAPIN Mélanie, SINTÈS Guillaume [dir.], Danser en 68. Perspectives internationales, Paris, Deuxième époque, 2019

LAWRENCE Tim, « Disco and the Queering of Dance Floor », Cultural Studies, vol.25, no2, 2011, pp.230-243

LELOUP Jean-Yves, Digital magna. De l’utopie des raves parties à la génération MP3, Paris, Le mot et le reste, 2013

PERROT Michelle, « La Ville en mouvement. Fêtes et manifestations », Ethnologie française, vol.12, no2, 1982, pp.12-35

ROUSIER Claire [dir.], Scènes de bal, bals en scène, Pantin, CND, 2011

THORNTON Sarah, Club cultures. Music, media and subcultural capital, Middletown, Wesleyan University Press, 1996

VOGEL Shane, The scene of the Harlem cabaret. Race, sexuality, performance, Chicago and London, University of Chicago Press, 2009

ZAYTSEVA Anna, « Être comme chez soi : Mécanismes de tri et homogénéisation sociale dans les clubs et bars DJ de Saint-Pétersbourg » », Cultures & Conflits, no105-106, 2017, pp.99-122

Locais

  • Centre National de la Danse - CN D
    Pantin, França (93)

Datas

  • segunda, 19 de abril de 2021

Fonte da informação

  • Camille Paillet
    courriel : paillet [dot] camille [at] gmail [dot] com

Licença

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Para citar este anúncio

« La fête dansante », Chamada de trabalhos, Calenda, Publicado quinta, 18 de fevereiro de 2021, https://doi.org/10.58079/1627

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