AccueilTraduire l'expérience. Écritures de la violence extrême après 1945

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Publié le mercredi 01 décembre 2021

Résumé

Ce colloque cherche à interroger les différentes modalités de l’écriture de l’expérience de la violence extrême en tant que conséquence d’actions collectives, en allant de la deuxième guerre mondiale à nos jours. Il vise à faire entrer en dialogue des perspectives transhistoriques au prisme de la sociologie, de la littérature et des arts visuels, afin d’aborder le phénomène de la violence extrême de façon interdisciplinaire et de le situer plus particulièrement dans un contexte d’échange international.

Annonce

Présentation

À travers les contributions de spécialistes venus de dix pays et de quatre continents, ce colloque cherche à interroger les différentes modalités de l’écriture de l’expérience de la violence extrême en tant que conséquence d’actions collectives, en allant de la deuxième guerre mondiale à nos jours. Il vise à faire entrer en dialogue des perspectives transhistoriques au prisme de la sociologie, de la littérature et des arts visuels, afin d’aborder le phénomène de la violence extrême de façon interdisciplinaire et de le situer plus particulièrement dans un contexte d’échange international.

Programme

Vendredi 3 décembre 2021

  • 9h00  Ouverture du colloque – accueil et présentation du projet scientifique  
  • 9h30  Gudrun Heidemann (Université de Lodz) : Ins fremde Text/Bild übersetzt : Collagierte Gewaltgeschichte(n) bei Herta Müller und Nora Krug
  • 9h50  Aleksandra Lévy-Lendzinska (Université Paris-Est Créteil – IMAGER) : Auf den  Spuren der Gedächtnisarbeit bei Jorge Semprún L’Écriture ou la vie 
  • 10h10 Hala Fawaz (Université de Bretagne Occidentale – HCTI) : Imaginer pour comprendre : les stratégies rhétoriques à l’œuvre chez Jorge Semprún
  • 10h30 Discussion 

10h50 Pause-café

  • 11h10 Jana Schmidt (Hannah Arendt Center at Bard College) : Futures Not Yet : Jewish Exiles, Black Politics
  • 11h30 Brou Didier Anoh (Université Félix Houphouët-Boigny, Abidjan) : La parole extrême : De l’intimité et l’extimité du témoignage post-génocide dans la littérature africaine francophone
  • 11h50 Discussion 

12h10 Déjeuner

  • 14h00 Iris Hermann (Université de Bamberg) : Gewalterfahrung im Dialog von Tätern und Opfern. Robert Schindels Romane im Österreich der Waldheimjahre
  • 14h30 Marie-Lise Auvray (Université Sainte-Anne, CREAF) : Le Figuier sur le toit de Marguerite Andersen, un récit des espaces au service de la survivance et de la transmission mémorielle
  • 14h50 Jose Luis Arraez (Université d’Alicante) : Les mémoires d'Ana Novac : saisir la réalité concentrationnaire à travers les sens, traduire l’horreur à travers des images
  • 15h10 Discussion 

15h30 Pause-café

  • 15h50 Myrna Insua (IUNMA / Université Paris-Est – IMAGER / Université de Salamanque) : Les derniers témoins : raconter à l’ère de la pédagogie de la transmission
  • 16h10 Messan Tossa (Université de Lomé) : Convergences dialogiques des écritures du génocide
  • 16h50 Daniel Feierstein (Université de Buenos Aires / UNTREF) : GENOCIDE

Samedi 4 décembre 2021

  • 9h30 Javier Sánchez Zapatero (Université de Salamanque) : La escritura del testigo : la memoria de la violencia concentracionaria en la literatura española
  • 10h00 Valentine Auvinet (Université de Paris – CERILAC) : Faire entendre les voix des fantômes : traduction, montage, réécriture de l’archive dans Holocaust de Charles Reznikoff et Histoires d’Amérique de Chantal Akerman 
  • 10h20 Isman Oumar Houssein (CFEEF Djibouti) : Guerre et littérature francophone en Corne de l'Afrique: Entre fiction et témoignage
  • 10h40 Discussion 

10h50 Pause-café

  • 11h10 Elisabeth Kertesz Vial (Université Paris-Est Créteil – IMAGER) : "Se questo è un uomo" : construction d’une œuvre et d’un personnage (1945/2017)
  • 11h30 Borja Cano Vidal (Université de Salamanque) : Narrar (desde) la cicatriz : grietas del pasado en Fractura de Andrés Neuman
  • 11h50 Discussion 

12h10 Déjeuner 

  • 14h00 María Marcos Ramos (Université de Salamanque) : El testimonio del fotógrafo de Mauthausen. La importancia de lo retratado 
  • 14h20 Enrico Maria Faltoni (Université de Bologne) : Pour une caractérisation des témoignages : analyse contrastive des récits de deux survivants de la Shoah
  • 14h40 Yves Laberge (Université d’Ottawa – ÉSAPI) : Méthodologies comparées de la mise en récit du traumatisme : approches sociologiques
  • 15h00  Discussion 
  • 15h20 Francisca Noguerol Jimenez (Université de Salamanque) : Presentar o representar ? : testimonio, entre la mirada forense y la subjetividad

Lieux

  • Université paris Est Campus Centre Amphi 3 - 61 Av du Géneral de Gaulle
    Créteil, France (94)

Format de l'événement

Événement uniquement sur site


Dates

  • vendredi 03 décembre 2021
  • samedi 04 décembre 2021

Mots-clés

  • violence, extrême, témoignage, littérature des camps

Contacts

  • Myrna Insua
    courriel : myrna [dot] insua [at] gmail [dot] com

URLS de référence

Source de l'information

  • Myrna Insua
    courriel : myrna [dot] insua [at] gmail [dot] com

Licence

CC0-1.0 Cette annonce est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons CC0 1.0 Universel.

Pour citer cette annonce

« Traduire l'expérience. Écritures de la violence extrême après 1945 », Colloque, Calenda, Publié le mercredi 01 décembre 2021, https://doi.org/10.58079/17t6

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